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Gamine, Guerrière, Sauvage - Eric Cherrière

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Résumé :

« La vie, c’est comme la guerre, ma petite Maud, les seuls vainqueurs sont ceux qui survivent. N’oublie pas : il n’y a ni bonnes ni mauvaises armes. Au bout du compte, une seule chose importe. Rendre les coups. »

Maud, 15 ans, n’oublie rien de ce que lui dit son grandpère. Elle préfère Albert Einstein à Rihanna, elle use de son ordinateur comme d’une arme mais uniquement de la main gauche, la droite est tranchée à hauteur du poignet. Aux côtés de son frère tant aimé, elle grandit entre un père ex-champion d’athlétisme et une mère exchampionne de bodybuilding. Avec le grand-père, les cinq sont comme les doigts de la main qui manque à Maud.
À la suite d’un délit mineur commis par l’un d’eux, la famille est plongée dans la précarité. Maud sera prête à tout pour les sortir de la misère. Rien ne l’arrêtera et son implacable détermination les conduira au-delà des frontières…
D’une petite ville française jusqu’aux étendues glacées de l’Antarctique, en passant par la Cour pénale internationale de La Haye et un mystérieux think tank norvégien, Gamine Guerrière Sauvage est le portrait d’une enfant du siècle. Le bras de fer qu’une jeune fille entame avec le monde.
Source : Éditions PLON

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Vos #AvisPolar

  • L’atelier de Litote 15 juillet 2021
    Gamine, Guerrière, Sauvage - Eric Cherrière

    Coup de cœur pour ce thriller rythmé à l’écriture incisive et touchante. Il ne faudrait pas résumer Maud à son handicap, ce ne serait pas lui rendre justice. Une de ses mains n’est plus là sans qu’elle sache vraiment comment c’est arrivé. Il faut dire que dans la famille de Maud, on ne se parle pas beaucoup. Petite fille elle a su nouer une relation très forte avec son grand-père paternel, il lui a toujours donné de bons conseils sous forme de proverbes. Alors que la vie se charge de faire sombrer sa famille dans la précarité, elle décide de remettre à flot les finances de la famille. Les liens de cette famille se trouvent renforcés par toutes les épreuves qu’elle subie mais jusqu’où cela peut-il les mener ? C’est elle le cerveau, l’unique narratrice, la hackeuse de talent qui va mener un combat qui pourrait bien tous les entraîner au fond du gouffre ou tout au contraire les sortir de leur condition.
    Un roman intense où tout tourne autour des agissements de Maud, je suis subjuguée par l’intelligence de cette gamine de 17 ans tout juste qui sait se projeter et voir un horizon là où il n’y avait rien. Je n’ai pas vu passer les pages tant j’étais en état de sidération quand aux moyens utilisés et j’ai enfin compris le sens du titre. Le roman prend une coloration de plus en plus sombre et laisse le lecteur en plein désarroi. J’ai aussi aimé tout se qui touchait à l’histoire familiale de Maud, une généalogie qui nous fait voyager dans les terres glacées de Scandinavie. Une gamine touchante au début du livre, avec des rêves de justice qui nous porterons jusqu’à la Cour pénale internationale de la Haye. Un livre hypnotique dont la superbe couverture m’a happé. Une métamorphose impressionnante, alors que nous découvrons au sortir du cocon de l’enfance un lépidoptère monstrueux. Bonne lecture.

    http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2021/03/23/38881681.html

  • Musemania 10 juin 2021
    Gamine, Guerrière, Sauvage - Eric Cherrière

    Après avoir beaucoup apprécié « Jeu de peaux » d’Anouk Shutterberg dans le cadre du club des experts du polar des Editions Plon en compagnie de Babelio, j’ai tenté « Gamine guerrière sauvage » d’Eric Cherrière.

    Ce ne fût pas une lecture désagréable ou contraignante loin de là, car une fois plongée dedans, le livre m’a plu. Mais en même temps, et je dois avouer que c’est d’ailleurs bien dommage, deux éléments m’ont « dérangée » dans ce livre.

    La première concerne en quelques sortes les invraisemblances. Alors oui, je sais, on est dans un livre, on peut en jouer. Je pense d’ailleurs avoir l’esprit assez ouvert, il suffit de regarder mes choix éclectiques en matière de littérature. Mais certains détails comme au sujet de l’Antarctique ou de la Cour Pénale Internationale « faisaient trop gros » et donnaient au livre un côté burlesque qu’il m’était parfois malaisé d’apprécier. Une fois que je commence à lever les yeux au ciel, cela induit un souci à ma lecture.

    Ensuite, la seconde chose relevée et quand même assez conséquente pour que je la mentionne est que je n’ai pas apprécié le personnage de Maud, issue d’une famille que l’on pourrait facilement qualifiée de losers. Autant durant la première partie du livre, j’ai trouvé son personnage assez intéressant, autant dans la seconde, je l’ai trouvée détestable.

    Attention, c’est peut-être quelque chose de voulu de la part de l’auteur et c’est pourquoi je ne dénigre pas la qualité du livre ! L’empathie que j’avais pu éprouver pour elle s’est -finalement – bien vite envolée. Par contre, j’ai trouvé le personnage du grand-père profondément attachant. Je pense qu’il faut prendre ces personnages comme ils viennent avec un certain second degré.

    Écrit à la première personne du singulier, c’est comme si Maud elle-même nous narrait son histoire. Comme je l’ai déjà fait remarquer dans l’une de mes chroniques pour un autre livre, je trouve que cela permet une meilleure immersion du lecteur dans le récit.

    Comme vous l’aurez compris, malgré deux points mitigés, cela n’en est pas une mauvaise lecture pour autant que je vais m’empresser d’oublier. J’ai, malgré tout, passé un bon moment de lecture et vous invite à vous forger votre propre opinion puisqu’il ne s’agit que de mon humble avis.

    Voilà que l’aventure des experts du polar en compagnie des Editions Plon et Babelio se poursuit et je la trouve hyper intéressante par les livres proposés. Déjà deux lectures fort bien différentes mais par lesquelles je me suis laissée porter.

  • Lectures noires pour nuits blanches 26 mai 2021
    Gamine, Guerrière, Sauvage - Eric Cherrière

    Il me fallait bien un roman original et fort pour me tirer de l’espèce de marasme dans lequel je tombe lorsque je n’arrive pas à lire pendant plusieurs jours. Une couverture attirante, un titre intriguant, un résumé qui interpelle, il ne m’en fallait pas plus pour plonger tête la première dans ses pages.

    "La vie, c’est comme la guerre, ma petite Maud, les seuls vainqueurs sont ceux qui survivent. N’oublie pas : il n’y a ni bonnes ni mauvaises armes. Au bout du compte, une seule chose importe. Rendre les coups."

    Maud grandit avec cette devise dans la tête. Elle compense son handicap physique, il lui manque sa main droite, par une très vive intelligence. Quand les soucis s’accumulent au sein de la famille, elle décide de partir en guerre contre la société. Son arme favorite, son ordinateur qu’elle manie avec dextérité. C’est un genre de mini Lisbeth Salander, déterminée, combative, implacable. Elle ne reculera devant rien pour se sortir de la misère. Rien ne l’arrêtera, sa détermination sans faille la poussera à commettre des actes effroyables. La gamine deviendra guerrière, prête à tout, sauvage, sans états d’âme.

    "On ne naît pas sauvage, on le devient."

    C’est une adolescente à la fois fascinante et agaçante qui va nous provoquer des sentiments contradictoires. Un personnage complexe et ambivalent qui porte quasiment à lui tout seul le roman. J’ai eu du mal à réellement éprouver de l’empathie pour Maud. J’ai aimé sa rage, sa volonté, sa révolte, beaucoup moins sa froideur, sa cruauté et certains de ses choix. Si elle n’a pas réussi à m’émouvoir, elle m’a perturbée et je ne l’oublierai pas de sitôt. Malgré tout j’ai aimé cette famille où l’amour et l’entraide règnent. Je les ai trouvés touchants, soudés jusqu’au bout, prêts à tout pour s’en sortir,

    Un roman singulier, très noir, dérangeant avec une pointe d’immoralité. L’auteur n’hésite pas à nous bousculer et nous pousse à nous interroger sur pas mal de choses. Un roman que j’ai très peu vu passer et c’est bien dommage. Une très belle découverte que je vous recommande sans hésitation

    Choisie pour intégrer l’équipe des experts polar des Éditions Plon, ça s’annonce plutôt pas mal avec cette première et excellente lecture. Je remercie très chaleureusement Babelio et les Éditions Plon pour cette opportunité et leur confiance.

  • Aude Lagandré 2 mai 2021
    Gamine, Guerrière, Sauvage - Eric Cherrière

    Étrange et fascinant que le titre singulier de ce roman « Gamine Guerrière Sauvage ». Trois mots, noms ou adjectifs selon les interprétations pour décrire Maud, son héroïne, trois parties pour brosser un tableau précis et fidèle de son existence. Maud est née un jour sombre…. 11 septembre 2001 au moment où le monde entier a les yeux rivés sur des écrans télé quand les tours jumelles s’écroulent. « Je n’intéresse personne, ma naissance est un effondrement et ce n’est même pas le mien. » Maud vit à Tulle entre un père ex-champion d’athlétisme et une mère ex-championne de body-building. Son frère Alban incarne l’espoir sportif de toute la famille et porte sur ses épaules les regrets de carrières arrêtées trop tôt. Maud possède un signe distinctif : une main droite tranchée, dont la famille tait les origines, mais elle est aussi dotée d’une forme d’intelligence supérieure. En sus de ses résultats scolaires exceptionnels, elle possède des aptitudes uniques dans le domaine de l’informatique. Elle se fond sur le net tel un fantôme, sans jamais laisser de traces.Maud est également reine d’un territoire reculé, propriétaire de 1 km2 de terre en Antarctique, léguée par son arrière-grand-père. « Un kilomètre sur 1 kilomètre. Une part de rêve, la possibilité d’un espoir. Celui d’une terre sans maître. »

    Cette famille devrait avoir un mental de gagnant. En raison d’un passé sportif commun, mais aussi en raison de l’éducation reçue par le grand-père notamment. Or, elle croule sous les dettes, peine à finir les fins de mois. Lorsque le père est arrêté et perd son emploi au sein d’une fabrique d’armes, c’est l’annonce d’une ruine assurée. Le massacre des 99 pendus de Tulle le 9 juin 44 plane sur la ville, comme il plane sur la famille. Une forme de déterminisme social est installée dans les esprits : rien ne sert de se battre, c’est perdu d’avance. Curieux lorsqu’on est élevé avec ce mantra « (…) il n’y a ni bonnes ni mauvaises armes. Au bout du compte, une seule chose importe. Rendre les coups. »

    À 15 ans, Maud a une imagination prolifique, elle ne s’impose aucune limite, aucun carcan. Le monde entier est son territoire. Elle est la figure forte parmi les faibles fréquemment humiliés. Elle suit le credo « La vie, c’est comme la guerre, ma petite Maud, les seuls vainqueurs sont ceux qui survivent. », et survivre c’est dans ses cordes. Elle prend donc naturellement la main au sein de cette famille qui ne sait pas vraiment s’aimer, mais qui s’aime vraiment. Entre une Robin des bois version féminine et une Lisbeth Salander, Maud sauve la famille du gouffre financier où elle se trouve. « Je découvre que je suis prête à tout pour être en haut du haut de l’échelle sociale et de la chaîne alimentaire. » Hacker de génie, elle cherche, débusque et s’approprie l’argent dormant en mettant à contribution toute sa famille. Maud devient maîtresse en son royaume, régnant sur les terres familiales, pièce d’échec essentielle de toutes les parties à jouer lorsqu’elles sont gagnantes. Autour d’elle, sa famille se soude : elle forme désormais une seule et même entité, œuvrant de front pour le bien commun.

    Seule une ado de 15 ans aux idéaux plus vastes qu’elle-même peut se lancer ainsi dans une lutte contre une mauvaise distribution des cartes à la naissance. Voir ses parents courber l’échine, envisager une seule minute ce déterminisme social lui donne des ailes. « (…) je découvrais que le courage n’avait pas de sexe. » La guerre contre ce qu’elle considère comme des injustices est déclarée. Comment gravir les marches de l’échelle sociale lorsqu’on est « mal né » ? En détectant les failles du système. Il n’y a qu’une gamine de 15 ans pour croire qu’elle a le monde à portée d’un clic. Délicieusement dérangeant, un brin immoral, « Gamine Guerrière Sauvage » décrit à merveille la soif de plus de justice sociale, la construction de soi par la révolte et la détermination. « — Non ! Ce qui fait mal, c’est pas de tomber, c’est de ne pas pouvoir se relever. » À travers les yeux de Maud, il subsistera cette idée de croire que tout reste possible, et surtout ce qui semblait impossible… Un roman qui nous redonne des ailes, malheureusement souvent coupées par le sérieux de l’âge adulte et la fin des rêves d’adolescence.

    Je remercie les éditions Plon de leur confiance.

  • Cancie 1er mai 2021
    Gamine, Guerrière, Sauvage - Eric Cherrière

    http://notre-jardin-des-livres.over...

    En introduction des trois parties qui composent le roman, un chapitre court mais édifiant nous met en présence de la narratrice Maud que l’on devine être la « gamine guerrière sauvage ». Les sentences émises par son grand-père, lors de l’enterrement auquel il l’a emmenée, leçons de vie qu’il n’a pas su faire entrer dans la tête du père de Maud ne seront pas oubliées par celle-ci et rythmeront en quelque sorte sa vie.
    « La vie, c’est comme la guerre, ma petite Maud, les seuls vainqueurs sont ceux qui survivent. »
    « N’oublie pas, ma petite Maud : il n’y a ni bonnes ni mauvaises armes. Au bout du compte, une seule chose importe. Rendre les coups. »

    Maud est née le 11 septembre 2001, une date restée dans toutes les mémoires. Elle vit à Tulle dont elle connaît le passé historique : le massacre du 9 juin 1944 et les quatre-vingt-dix-neuf pendus. Son père, ex-champion d’athlétisme est employé à la Fabrique d’armes. Sa mère, ex championne de bodybuilding est agent de sécurité au centre commercial et donne des cours à l’Athéna Fitness club chaque vendredi soir pour arrondir les fins de mois. Son frère Alban, qu’elle adore, plus jeune qu’elle d’un an fait du cross, coaché par son père. Il se bat du mieux qu’il peut, contre ses adversaires, « contre lui-même et contre le poids que font peser sur ses épaules les échecs de notre père ».
    Maud a une main morte, la main droite, tranchée au niveau du poignet et porte une prothèse : sujet tabou à la maison, aucune réponse à ses questions.
    Très intelligente, elle tente de trouver sur Internet les réponses refusées par ses parents sur l’origine de ses blessures et voyage depuis des années, la nuit, dans la nasse des réseaux. « Grâce à des logiciels aussi performants qu’illégaux, je suis passée reine dans l’art d’être intraçable ».
    il faut ajouter l’octroi de sa Majesté la reine de Norvège à son arrière-grand-père Alban de la concession d’une parcelle de 1 kilomètre carré sur l’inlandsis de l’Antarctique en remerciement « d’inestimables services rendus au royaume et au peuple de Norvège, au péril de sa vie, au sacrifice de ses mains ».
    Cette quasi double vie, celle vécue au sein de cette famille certes modeste mais aimante et l’autre, celle vécue via les réseaux sociaux qui compense les manques aurait pu continuer ainsi, si un événement ou plutôt un délit mineur commis par l’un des membres de la famille n’était pas venu les jeter dans la précarité et donner à Maud la presque obligation pour elle d’intervenir pour les sortir de la misère. Cet élément déclencheur sera la source d’un bouleversement complet et irréversible dans les habitudes de vie de la famille.
    À eux seuls, les trois mots qui composent le titre : Gamine Guerrière Sauvage décrivent absolument bien cette Maud confrontée au monde et superbement représentée sur la couverture du livre. Quel portrait magnifique et vivant de cette enfant du siècle nous a brossé Éric Cherrière, cet auteur déjà primé ou nominé pour d’autres romans et également réalisateur-scénariste !
    Il montre comment une enfant blessée et trompée par la société peut se rebeller et devenir une véritable guerrière pour faire face aux inégalités sociales, s’affranchir des codes sociaux et du déterminisme social, pour pouvoir vivre libre. Il décrypte très bien l’engrenage dans lequel un être peut tomber avec la quasi impossibilité de retour en arrière.
    C’est avec beaucoup de crédibilité qu’il révèle le rôle immense que peuvent jouer les réseaux sociaux dans la vie des jeunes d’aujourd’hui et le pouvoir que peuvent arriver à détenir ces surdoués de l’informatique s’ils deviennent hackers.
    Il n’oublie pas de mentionner les marchands d’armes, les paradis fiscaux et ce double rôle que peuvent jouer certains politiques ou personnages importants paradant avec une façade très humaniste derrière laquelle se cache un tout autre visage où l’argent se révèle être leur seule préoccupation.
    Avec ce thriller, Éric Cherrière nous embarque dans un grand périple, nous emmenant jusqu’à la Cour pénale internationale de la Haye non sans nous avoir fait rêver à ces étendues glacées de l’Antarctique. Une tension et une angoisse latente sont présentes dès le début et ne feront que s’amplifier pour atteindre de grands sommets… Néanmoins, l’amitié et l’amour tout aussi présents, sans oublier le franc-parler savoureux du grand-père, une fine poésie et une touche de merveilleux, nous permettent de supporter l’enchaînement des situations jusqu’à un dénouement plutôt imprévu.
    C’est un roman très fort, très contemporain, politique et social mais avant tout un roman psychologique très maîtrisé qui m’a enthousiasmé par son originalité et qui pose brillamment la question du déterminisme social. C’est également un récit qui interpelle violemment.
    Si j’ai pu découvrir ce brillant auteur et ce thriller passionnant, c’est grâce aux éditions Plon et à Babelio que je remercie très sincèrement pour m’avoir donné cette chance d’être sélectionnée pour intégrer les experts polar de ces mêmes éditions.

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