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Tokyo Vice - Jake Adelstein

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9 #AvisPolar
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Résumé :

« Parfois, mieux vaut avoir de la chance que d’être bon. »

Quand Jake Adelstein intègre en 1993 le service Police-Justice du plus grand quotidien japonais, le Yomiuri Shinbun, il n’a que 24 ans et il est loin de maîtriser les codes de ce pays bien différent de son Missouri natal. À Tokyo, il couvre en étroite collaboration avec la police les affaires liées à la prostitution et au crime organisé. Pour cela, il n’hésite pas à s’enfoncer dans les quartiers rouges de la capitale, dans les entrailles du vice et de la décadence. Approché par les yakuzas, il devient leur interlocuteur favori tout en restant un informateur précieux pour la police. Une position dangereuse, inédite et ambivalente, aux frontières du crime, qui incite Jake Adelstein à entrer dans un jeu dont il ne maîtrise pas les règles.

A mi-chemin entre le polar mafieux et l’enquête journalistique, Tokyo Vice est aussi le roman initiatique d’un jeune journaliste américain à Tokyo qui nous livre, avec beaucoup d’humour, un témoignage nerveux sur l’envers de la société nippone.

Jake Adelstein est le premier étranger à avoir intégré la rédaction du Yomiuri Shinbun. Pendant plus de dix ans, il couvre le trafic d’êtres humains et le crime organisé. À la suite de son enquête sur les yakuzas, sa famille est placée sous protection du FBI pendant plusieurs années. Il a par ailleurs travaillé pour The Daily Beast, The Japan Times et Vice News.

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Vos #AvisPolar

  • Raider74 27 février 2024
    Tokyo Vice - Jake Adelstein

    Ce livre nous emmène au cœur de la société japonaise et c’est captivant, loin des clichés. L’auteur, journaliste, a voulu intégrer le meilleur journal du Japon et il réussit. C’est ainsi qu’il a voulu écrire cet ouvrage afin de nous retracer son parcours au sein de ce prestigieux journal au sein du département affaires criminelles. Il dépeint avec précision le monde des Yakusas et leur imbrication dans la société japonaise. C’est souvent glaçant.
    Par contre, l’écriture est trop journalistique et manque de rythme surtout la première partie. Il faut également être bien attentif aux noms des diverses organisations Yakusas et leurs membres, on peut vite se perdre.

  • karined1 16 février 2023
    Tokyo Vice - Jake Adelstein

    Tokyo Vice, personnellement je en connaissais pas 🤷🏽‍♀️. Je n’ai pas vu la série non plus.

    Ce livre est une immersion brutale dans le monde des Yakusas, cette mafia japonaise qui ne fait pas de cadeaux.

    Dans les années 1990, Jake Adelstein, un journaliste américain, s’installe à Tokyo et réussit à se faire embaucher dans un grand quotidien, le Yomiuri Shinbun. Chargé dans un premier temps des faits divers, il se spécialise rapidement dans le crime organisé et le au monde des yakuzas.

    Il nous entraine dans ses enquêtes d’investigation menées en parallèle, et parfois en collaboration avec la police.

    Ce livre est prenant, on découvre un monde qui nous est inconnu. On est loin du Japon des guides touristiques, loin des temples et des Geishas, plus proche de celui des bas-fonds et du crime…

    J’avoue toutefois avoir eu du mal avec les noms des personnages, et quitter le livre ne serait-ce que 2 jours m’a perdu complètement dans le qui est qui…

    L’auteur est Jake Adelstein lui-même et ce livre est son histoire.

  • M Ar Tin 16 juillet 2020
    Tokyo Vice - Jake Adelstein

    J’ai lu ce documentaire comme j’aurais lu un polar mafieux qui traiterait du trafic d’êtres humains et du crime organisé et dont le héros est un journaliste américain qui a un gang yakuza à ses basques. Un véritable ‘page-turner’ lu d’une seule traite.
    Grâce au ton donné par Jake Adelstein à son livre, qui est celui de l’humour,Tokyo Vice n’est pas un documentaire glauque. En effet, j’ai ri à plusieurs reprises.
    Amis Lecteurs, si vous voulez passer un moment de lecture plaisant et inoubliable, je vous conseille cet excellent documentaire qui se lit comme un polar grâce à la plume nerveuse et très fluide de Jake Adelstein.
    Attention ! Lecture addictive et dépaysante.
    Une fois ouvert, on ne referme ce livre qu’une fois la dernière phrase lue.
    Un véritable coup de coeur.

  • A vos livres 16 mars 2020
    Tokyo Vice - Jake Adelstein

    Tokyo Vice, c’est d’abord un bel objet. Un support extrêmement bien conçu qu’on a plaisir à contempler, puis manipuler. Et lire.
    Cependant, ne vous attendez pas à découvrir un polar nerveux et haletant, tel qu’on nous le vend. La confrontation avec les yakuzas n’apparaît, par exemple, que dans le dernier tiers du roman.

    Avant cela, l’auteur retrace son parcours de journaliste au Yomiuri Shinbun, de ses débuts comme fait-diversier de province, à son travail d’investigation auprès de la brigade des mœurs de Tokyo. À travers son cheminement, il décode la société japonaise, les rouages et contraintes de l’univers entrepreneurial, implacable pour peu que l’on ne respecte pas l’étiquette. Le jeune journaliste apprend à courber l’échine, accepte la prééminence du travail auquel il consacre tout son temps, au détriment de sa vie familiale. Il assimile ainsi les ficelles du métier, gagne la confiance de sa hiérarchie, tout en acceptant les compromis nécessaires pour mener à terme un travail d’investigation. Il s’applique aussi à garder des liens cordiaux avec les services de police parmi lesquels il est primordial de compter des indics. À choyer de sa poche.
    Les victoires paraissent bien maigres en comparaison de l’énergie, du temps et de l’argent investis, mais Jake est un journaliste acharné, porté par son ambition et sa foi en la vérité.

    L’écriture de Jake Adelstein est journalistique, accessible et précise. Son récit, instructif, peut tendre, de temps à autre, vers l’anecdotique. Il détaille beaucoup et nous frustre parfois, comme lui-même à dû l’être lorsqu’une exclusivité lui échappait, ou que la vérité se dérobait. Le personnage peut être excessif, égocentrique, prêt à beaucoup pour obtenir une information. Tout en restant autocritique et lucide. Certainement les qualités qui font le bon investigateur.
    Ces années de journalisme de terrain, en divers lieux du pays, lui font prendre conscience de l’enracinement du crime organisé dans toutes les strates de la société japonaise, des bas-fonds au monde de la finance, jusqu’aux sphères politiques.
    Les sujets couverts, toujours plus sordides, autant que les manquements de la justice, le travaillent en profondeur.
    De retour à Tokyo, il se consacre aux affaires de mœurs dans les quartiers chauds, Kabukicho et Roppongi. Lui se penche particulièrement sur le trafic d’être humain.
    Fort de ses convictions, de ses amitiés, il s’implique de plus en plus, navigue dans un univers complexe et sans merci pour tenter de mettre au jour les travers de la société japonaise.
    Lancés sur la piste des yakuzas, Jake soulève un sacré lièvre qui mettra sa vie en danger. Jusqu’où est-il prêt à aller pour faire éclater la vérité ?
    De rencontres en épreuves, il devra questionner sa morale, ses responsabilités, et définir ses limites.

    Tokyo Vice est un livre important pour ce qu’il a dévoilé, qui poussera le Japon à faire son examen de conscience dans les années suivant la parution de l’enquête. Au moins superficiellement…
    https://avoslivreschroniques.com/tokyo-vice-jake-adelstein/

  • Kirzy 29 avril 2019
    Tokyo Vice - Jake Adelstein

    Tout est vrai dans ce livre-enquête au point de vue unique : celui du seul journaliste occidental admis dans le club de presse de la police métropolitaine de Tokyo. Une dizaine d’années à couvrir les aspects les plus sombres du Japon avec en fil conducteur, les fameux Yakuzas : extorsions, assassinats, corruption, traite des êtres humaines, prostitution, une vraie plongée dans les bas-fonds de Tokyo jusqu’à l’ultime scoop qui met sa vie en danger. S’il reste en vie, c’est que les Yakuzas croient qu’il est agent de la CIA.
    Voilà une chronique extrêmement informative, souvent trépidante avec des scènes souvent truculentes comme lorsque le narrateur se rend chez un inspecteur important et cherche à l’amadouer en apportant des glaces à sa fille.
    Cela peut faire penser à Gomorra sur la mafia napolitaine, mais Tokyo vice manque un peu de " chair ", comme si l’auteur avait eu besoin de recul pour pouvoir décrire ce qu’il a vécu. Certains chapitres s’enchaînent comme une suite de micro- enquêtes sans qu’on s’y intéresse complètement. Mais dès que l’auteur revient sur le terrain des Yakuzas, cela redevient passionnant.
    A noter que ce livre n’a jamais été publié au Japon, les éditeurs n’ont pas osé suivre ...

  • Kirzy 29 avril 2019
    Tokyo Vice - Jake Adelstein

    Tout est vrai dans ce livre-enquête au point de vue unique : celui du seul journaliste occidental admis dans le club de presse de la police métropolitaine de Tokyo. Une dizaine d’années à couvrir les aspects les plus sombres du Japon avec en fil conducteur, les fameux Yakuzas : extorsions, assassinats, corruption, traite des êtres humaines, prostitution, une vraie plongée dans les bas-fonds de Tokyo jusqu’à l’ultime scoop qui met sa vie en danger. S’il reste en vie, c’est que les Yakuzas croient qu’il est agent de la CIA.
    Voilà une chronique extrêmement informative, souvent trépidante avec des scènes souvent truculentes comme lorsque le narrateur se rend chez un inspecteur important et cherche à l’amadouer en apportant des glaces à sa fille.
    Cela peut faire penser à Gomorra sur la mafia napolitaine, mais Tokyo vice manque un peu de " chair ", comme si l’auteur avait eu besoin de recul pour pouvoir décrire ce qu’il a vécu. Certains chapitres s’enchaînent comme une suite de micro- enquêtes sans qu’on s’y intéresse complètement. Mais dès que l’auteur revient sur le terrain des Yakuzas, cela redevient passionnant.
    A noter que ce livre n’a jamais été publié au Japon, les éditeurs n’ont pas osé suivre ...

  • Sylvie Belgrand 26 avril 2019
    Tokyo Vice - Jake Adelstein

    Voici un parfait exemple de ce qu’on appelle littérature du réel. C’est raconté à la première personne, sur le ton d’un roman, et pourtant c’est du vécu.
    Nous suivons donc Jake Adelstein, américain, blanc, juif, qui a réussi à se faire embaucher comme journaliste dans un grand journal japonais, ce qui, en soi, n’est pas un mince exploit.
    Sous couvert de nous raconter ses enquêtes (passionnantes), il va nous expliquer le fonctionnement de la police et de la justice japonaise, celui des Yakusa, ainsi que des médias japonais. Pour des occidentaux, les relations entre ces différentes institutions tient juste de l’incroyable, et on est souvent consterné !
    J’ai ainsi appris que le célèbre cannibale japonais qui avait sévi à Paris dans les années 80, ayant été déclaré irresponsable mentalement, a été extradé au Japon, et n’a jamais été emprisonné !
    Et ce n’est qu’une des histoires incroyables racontées par Adelstein.

    C’est bien écrit, ce qui ne gâte rien, même si le ton reste celui d’un journaliste, et non d’un romancier.
    A lire, si vous vous intéressez au Japon, à la presse écrite, aux enquêtes policières, et aux modes de vie et mentalités différents des vôtres.

    Le quatrième de couverture :
    " Vous supprimez cet article, ou c’est vous qu’on supprime. " Derrière la fumée de sa cigarette, Jake n’est pas vraiment en position de négocier. Premier journaliste occidental à travailler pour le quotidien japonais Yomiuri Shinbun, il court après les bons sujets. Et là, il en tient un. Un sérieux, un fumeux, un dangereux : le yakusa le plus célèbre du Japon s’est fait opérer secrètement aux États-Unis. L’article vaut son pesant d’or. La mafia japonaise le sait. Et elle ne fera pas de cadeau à Jake

    Jake Adelstein est journaliste. Tokyo Vice est son histoire.

  • Sylvie Geoffrion 24 mars 2019
    Tokyo Vice - Jake Adelstein

    Chapeau bien bas pour le tour de force et saluons l’audace de Jake Adelstein. Il semble qu’intégrer un des plus grands journaux japonais , pour un étranger, soit tout un exploit.
    Avant d’exposer mon opinion, permettez-moi de commenter l’édition. Mention spéciale 5 étoiles pour le travail léché. Magnifique illustration de couverture de Guillaume Gullpart, les titres de chapitre à la japonaise, donc à la verticale, les notes et commentaires à côté du texte, vraiment, une mise en page exemplaire et innovante. Bravo.
    Tokyo Vice ce sont les mémoires de ce "gaijin", embauché comme journaliste au Yomiuri Shinbun (rien que plus ou moins 15 millions de lecteurs) . C’est aussi un peu l’histoire de son intégration à la société japonaise ce qui ne semble pas si évident.
    Il commence donc par couvrir la banlieue tokyoïte et ses petites délinquances durant quelques années. Et vient la mutation vers le grand Tokyo où il suivra les enquêtes pour homicides, suicides, disparitions, prostitutions, trafics, etc.
    Il y découvre le "grand crime organisé". Enquêter sur les "yakuzas" avec tout ce que cela comporte de dangers, de menaces personnelles ou pour l’entourage, relève clairement de plus que de l’esprit d’aventure.
    Jake Adelstein s’acharnera en particulier sur un leader de cette pègre japonaise surnommé le "vautour". Vautour qui a fait son argent dans les prêts usuraires entre autres choses.
    Toutefois, je ressens un malaise en refermant ce livre. Malaise qui ne concerne pas l’exploit de l’auteur mais plutôt sa personnalité. Je ne crois pas que j’aimerais ce genre de personne. Malgré que ce qu’il a fait en dénonçant les pratiques hautement criminelles des yakuzas soit des plus louables, ce genre de personnage ne me plait pas. Centré sur lui-même, égoïste, individualiste, plein de soi, non il ne m’a pas plu. Je suis peut-être trop sévère mais c’est ce que j’ai ressenti. Même quand il nous raconte son inquiétude pour sa famille ( 2 petits enfants, 1 conjointe) ou pour son amie (Helena) ça m’a semblé artificiel comme préoccupations, bien loin d’être senti. Son empathie devenait obligation et non compassion...enfin...
    Mais soyons honnête c’est une lecture hautement intéressante et Tokyo Vice se lit comme un roman de chroniques du Japon moderne.

  • La bibliothèque de Céline 10 juillet 2018
    Tokyo Vice - Jake Adelstein

    L’histoire qui nous est contée n’est pas une histoire comme les autres. Il s’agit d’une histoire vraie : celle de Jake Adelstein, un journaliste juif américain qui intègre le plus grand quotidien japonais Yomiuri Shinbun dans les années 90. Le prologue de Tokyo Vice démarre sur des chapeaux de roue. Jake se retrouve face à une délicate position :
    « Vous supprimez cet article, ou c’est vous qu’on supprime. Et peut-être bien votre famille aussi. Mais on s’occupera de vous en premier, pour que vous appreniez quelque chose avant de mourir ».
    Cette menace vient de la mafia japonaise : les yakuzas. Mais qui sont-ils ? Pourquoi profèrent-ils une telle menace à l’encontre de Jake ?
    Dès le premier chapitre, l’auteur remonte dans le temps et nous livre son parcours. Celui qui l’a amené à cette réalité. Il nous parle de ses études, de son recrutement dans le plus renommé de tous les journaux nippons, de ses premières années lorsque le mot « yakuzas » n’avait encore qu’un sens plutôt flou et qu’il ne traitait que des affaires mineures. Incursion dans les bureaucraties administratives et politiques ; relations entre la police et les journalistes et leurs petits « arrangements » qui sont monnaie courante ; la traite des êtres humains… Le journaliste traite des sujets divers et variés qui nous permettent de nous insérer dans les méandres de la culture nippone et de ses codes relativement…atypiques. Et le lecteur en ressort riche en découvertes ! La place prépondérante du sexe, de la prostitution chez les japonais, l’importance que revêt le travail dans leur vie quotidienne, leur volonté de toujours tout vouloir bien faire, la place du suicide qui démontre à quel point cette société peut parfois être stressante…J’ai l’impression d’avoir lu « les coulisses » d’un Japon qui est souvent représenté de façon plus « lisse ».
    L’auteur présente les affaires qu’il a couvertes en détails. Parfois un peu trop ; le seul reproche que je pourrais faire à ce livre qui m’a passionnée et qui, je pense, fera le même effet à ceux qui souhaitent réellement en apprendre beaucoup sur le sujet.
    Une réalité parfois terrifiante toutefois pas dépourvue d’humour.
    « Je pense que ça ira. Mais il faut que tu saches que je suis juif, et nous sommes radins par tradition depuis deux mille ans. Je ne voudrais pas déshonorer la tradition. Que dirais-tu d’une bouteille de champagne bon marché ? »
    A l’image de la vie.
    Un livre très bien écrit. Une lecture intéressante et instructive qui soulève les incohérences d’une société qui a bien des secrets à garder.

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