- Auteur : Karine Giebel
- Editeur : Belfond
- Date de sortie : 8 novembre 2018
- ISBN : 2714480934
- EAN : 978-2714480934
Enquêteurs qui l'ont lu
Kamiyu-chan
1 #AvisPolar / 161 notes
Son #AvisPolar sur Toutes blessent la dernière tue - Karine Giebel
Chineuse Delecture
1 #AvisPolar / 712 notes
Son #AvisPolar sur Toutes blessent la dernière tue - Karine Giebel
Une écrivaine très appliquée dans la construction psychique de ses personnages. Si bien que la longue lecture du récit échafaude une empathie tisser au fil des pages....ou non. Le propos dénoncé est grave et contemporain. Malin le suspense apporté par de deux récits qui se chevauchent avec deux temporalités différentes, cependant le hasard, le manichéisme, et la rapidité d’attachement des personnages parasitent son dénouement.
lois
1 #AvisPolar / 54 notes
lireencore93420
1 #AvisPolar / 274 notes
Son #AvisPolar sur Toutes blessent la dernière tue - Karine Giebel
Tama a été vendue à une famille en France, son quotidien est que brimades et coups et un jour un espoir renait, est ce que enfin elle seras heureuse et libre ?
Tama, ce personnage m’as bouleversée mais pas que Tayri, Izri et Gabriel ont aussi une place dans cette histoire et vous prennent aux tripes. Ainsi que ce récit que nous écrit si bien cette autrice, on commence dans ce roman happé par l’intrigue, bon très vite les scènes difficiles arrivent, je ne suis pas étonnée, c’est sa marque de fabrique, et le sujet qui est l’esclavage, donc pour moi c’est cohérent autant de violence pour un thème comme celui-là.
Dans ce livre, il y a vraiment tout ce que j’aime : d’abord un phénomène sociétal, des personnages vraiment extrêmement bien travaillées et deux histoires parallèles au début et qu’ils vont se rejoindre, une pincée d’amour, d’espoir et bien sur des rebondissements et de la cruauté.
Ce livre m’as hantée, j’ai beaucoup réfléchi à cette histoire, car je sais que des récits comme celui-ci existent réellement dans notre monde, des jeunes femmes sont esclaves quelque part dans de jolies maisons, et s’en sortent jamais.
Karine GIEBEL a le don de nous faire vivre des émotions dans ses publications pour nous alerter et nous sensibiliser dans une problématique existante, c’est ce qui est le plus touchant dans ses livres, c’est que c’est une fiction mais qui subsistent.
L’action est omniprésente, addictif et percutante, des scènes sont très difficiles pour lire, mais c’est tellement remarquablement transcrit, on est plongée complétement dans le quotidien de Tama, ses peurs, ses douleurs, et l’espoir renait, tout n’est pas noir dans ce livre, c’est aussi qui fait de ce livre un énorme coup de cœur pour moi, je sais que j’oublierais jamais ce livre
Sixième livre de cette autrice, et je me sens complétement chamboulée par cette lecture, je pense que c’est impossible de rester insensible à une telle histoire, c’est simple, je trouve aucun défaut dans ce livre, elle m’a fait pleurer, c’est tellement émouvant, c’est fort, brut, mais vrai, véritable, coriace car c’est dans notre monde, et pas de la science-fiction.
Karine GIEBEL de livre en ouvrages m’étonne de plus en plus, elle va si loin dans l’action de ses écrits, et c’est tellement addictif, passionnant, je veux vraiment lire tous ces textes, je veux en louper aucun.
LesRêveriesd’Isis
1 #AvisPolar / 86 notes
Son #AvisPolar sur Toutes blessent la dernière tue - Karine Giebel
Le premier constat s’impose de lui-même. Ce roman est addictif. Il est impossible de se détacher de l’histoire de Tama. Les parenthèses qu’offrent les chapitres consacrés à Gabriel sont presque importuns au début. Plus d’une fois je me suis demandé où cela allait mener, et le fil entre Tama et lui n’a rien d’évident. Lorsqu’il apparaît, il commence par nous induire en erreur d’ailleurs, avant de donner son plein potentiel. La manière de relier les deux histoires est vraiment savoureuse et efficace. Cela permet aussi de montrer d’autres facettes de la personnalité de Gabriel, de comprendre son drame personnel, et d’espérer pour lui des jours meilleurs.
L’histoire de Tama est donc la ligne directrice de de roman. Cette vie est terrible et désolante, poignante et désespérante. Sincèrement, il faut prendre une grande gorgée d’air et d’optimisme pour s’atteler à cette lecture. Plus d’un passage fait frémir, plus d’une de ses mésaventures vous arrache les entrailles, le cœur et des larmes. C’est dur, violent, d’une cruauté inouïe. Cette pauvre enfant ne se verra rien épargner. Les coups, le viol, la manipulation. Et finalement, c’est quand elle espère le plus, qu’elle croit avoir enfin vu le bout du chemin, qu’elle perd le plus. Ce n’est plus de l’ironie dramatique, c’est l’acharnement d’un destin cruel et aveugle.
D’autant que Tama n’a pas mérité cela. Du fond de sa souffrance, du fond de son placard, elle est animé d’un courage, d’une force et d’une résilience hors norme. C’est un beau personnage féminin, sans doute un peu naïf, mais à la densité humaine extraordinaire. J’ai espéré avec elle, je me suis désespérée avec elle, j’ai posé le livre, trop émue par une catastrophe s’abattant sur ses maigres épaules, j’ai pleuré pour elle, parce que parfois, c’est trop. Et c’est peut être là un de mes bémols : par moments, l’hybris, l’excès et la démesure affleurent. On n’épargne aucune injure à cette pauvre enfant, et ça fait trop. Trop pour mon petit cœur, trop pour ne pas basculer vers un aspect un peu malsain. Dans cette surenchère d’horreurs, le lecteur est plus d’une fois mal à l’aise, il détourne le regard, pose le livre, respire pour couper une lecture qui devient éprouvante, j’ai envie de dire : étouffante. Je sais que des esclaves des temps modernes existent encore, je soupçonne l’horreur de leur vie, oui, mais lire noir sur blanc autant de douleurs, de souffrances, de tortures reste terriblement éprouvant.
L’ensemble du récit est mené tambour battant, et cela fonctionne très bien. Il n’y a pas de temps mort, pas de pause. Tout a un sens, et trouve sa place dans l’économie d’ensemble. J’ai aimé découvrir Gabriel plus humain qu’il ne veut l’admettre, j’ai apprécié la représentation nuancée d’Izri, le révolté, le truand au bon fond, je n’ai eu d’autre choix que de détester Mejda et les Charendon, je me suis révoltée devant Greg… Les personnages ici font surgir mille et un sentiments : le dégoût, l’aversion, l’amour, le compassion, la pitié…. Il est impossible de ressortir indemne d’une telle lecture.
Enfin, je dirai juste que la chute du roman est émouvante. J’espérais autre chose, mais tout bien réfléchi, cela n’aurait pas été dans le fil de l’oeuvre. Cette fin est à la fois tragique et lumineuse. Dans le noir du désespoir et de la souffrance, une petite flamme semble s’allumer, distillant un espoir vacillant, un espoir arrivé trop tard pour certains, mais sans doute in extremis pour d’autres.
Ainsi, j’ai adoré ma lecture. Ce livre est dense, addictif et hautement émouvant. Par contre, il ne faut pas se leurrer, certaines pages sont très dérangeantes et mettent vraiment mal à l’aise. A ne pas mettre entre toutes les mains ! Âmes sensibles s’abstenir.
ec90
1 #AvisPolar / 47 notes
bonne_heure_litteraire
1 #AvisPolar / 113 notes
Son #AvisPolar sur Toutes blessent la dernière tue - Karine Giebel
Que dire de cette lecture...🤔
C’est un véritable coup de coeur mais aussi un coup au corps ! Cette femme a un talent fou pour vous assénez des coups de poignards en plein coeur, avec une écriture incisive, pleine de douleur mais avec une certaine poésie. Les mots sont durs, les actes blessent, l’histoire percute...une lecture qui bouleverse.
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Ce livre décrit 2 histoires : Celle de Mata une enfant "vendue" par son père au Maroc à une femme vivant en France et pensant que c’etait sa meilleure chance d’apprendre et de réussir dans la vie en étant en France mais qui malheureusement vit l’enfer sur terre, et l’histoire de Gabriel, un homme vivant reclu dans sa montagne et qui un jour trouve une femme inconsciente dans son écurie...
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Les 2 histoires sont totalement indépendantes l’une de l’autre jusqu’a...🤫 NO SPOILER !⛔
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787 pages en moins de 48h, il va s’en dire que le coup de coeur est immense et la lecture addictive ! Vraiment, je vous conseille à toutes et à tous de lire ce roman au plus vite, voici un livre indispensable dans sa bibliothèque
booksandmartini
1 #AvisPolar / 84 notes
Son #AvisPolar sur Toutes blessent la dernière tue - Karine Giebel
Bon, bon, bon. Alors autant dire que je suis mitigée face à cette lecture..
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Encore une fois Karine Giebel nous livre un roman fluide, alternant chapitre court avec des plus longs. Alternant entre le récit passée et présent. Comme à chaque ces personnages sont touchant. Leur histoire bouleversante. Puis sincèrement qui ne serai pas toucher par cette histoire d’esclavagisme des temps modernes ? Prendre le lecteurs aux tripes semble être la spécialité de Karine Giebel.
Mais (car oui il y a un mais et un gros pour le coup) avec ce troisième romans hyper saisissant, poignant, brutal, violent... J’ai cet horrible arrière gout que malheureusement Karine Giebel reste bloqué dans un certains schéma qui à super bien marché avec « Purgatoire des Innocents » et « Meurtres pour Rédemption ». Car bien que cette histoire soit touchante à souhait, la fin ne m’a pas étonné. Je retrouvais ce fameux schéma de fin présent dans les 2 autres ouvrages.
Certes, j’ai avalé les 700 pages en 24h (non ne me juger pas, oui j’ai une vie, mais quand je suis a fond dedans... je suis à fond), mais je reste sceptique...
Sandrine Bouquine
1 #AvisPolar / 42 notes
Son #AvisPolar sur Toutes blessent la dernière tue - Karine Giebel
Toutes blessent la dernière tue de Karine Giebel n’est, pour moi, pas vraiment un thriller, en tous cas pas celui auquel on s’attend mais c’est un roman difficilement qualifiable. C’est une histoire passionnante, émouvante, violente qui traite de l’esclavage « moderne » et qui se dévore très vite. L’auteure a un talent certain pour surprendre son lectorat... une lecture que j’ai énormément aimée.
Je n’ai finalement lu que peu de romans de cette auteure et jusqu’à ce jour, chacune de mes lectures a été une belle découverte même si pour celle-ci il y a bien failli y avoir un MAIS...
C’est une histoire violente tant physiquement que moralement que nous raconte l’auteure, celle de Tama, 9 ans, que son père a laissé partir en France en espérant qu’elle aurait une meilleure vie que celle qui l’attend au pays et qui se retrouve enfermée dans un placard, esclave d’une famille bien sous tous rapports, vivant chaque jour un enfer. C’est horrible à lire, on a beaucoup de mal à imaginer que des humains puissent être aussi méchants, violents et considérer autrui comme une chose...bref, c’est violent à lire dès les premières pages on s’attache à Tama, on a envie de rentrer dans le livre pour la sauver et on attend fébrilement et avec impatience de voir si et comment elle va s’en sortir.
En parallèle, l’auteure nous montre un homme, Gabriel, dont on ne sait pas grand chose si ce n’est qu’il tue des gens et qui se retrouve devant une situation qui va bouleverser sa vie et nous par la même occasion.
Le problème de ce roman est qu’il est long, très long et même si j’ai dévoré les 740 pages en 3 jours parce que j’ai aimé particulièrement l’histoire de Tama, force est de reconnaître, objectivement qu’il n’y avait pas besoin de consacrer autant de pages à la vie de Tama, moitié moins aurait suffi à nous faire prendre la mesure de toute l’horreur qu’elle a subie.
L’alternance des chapitres entre la vie de nos deux personnages est disproportionnée, pour 20 pages de Tama on en a 2 de Gabriel et les pages de Gabriel sont tellement peu instructives qu’elles agacent, on veut retourner avec Tama. J’avoue qu’au bout d’un moment ça m’a un peu lassée, j’avais même une idée du déroulement de l’intrigue et j’attendais avec appréhension de voir si j’avais raison. Bon après c’est aussi là le talent de l’auteure qui arrive toujours à surprendre son lectorat par des twists inattendus ce qui a été le cas ici et a redonné à cette lecture un regain de suspens et de tension.
Au final et malgré une petite baisse de régime au milieu, j’ai énormément aimé cette lecture parce que j’aime les "belles" histoires avec des personnages attachants et profonds qui m’embarquent dans leur vie et c’est ce que l’auteure a su m’offrir avec Tama dans un premier temps puis avec Gabriel qui se révèle dans le dernier tiers du roman. Il y a du suspens pour savoir comment tout cela va finir, c’est captivant et la tension est maintenue jusqu’à la toute dernière page.
Encore une belle découverte de la plume de l’auteure même s’il y a un petit bémol.
Loudiebouhlis
1 #AvisPolar / 171 notes
Son #AvisPolar sur Toutes blessent la dernière tue - Karine Giebel
Sept cent quarante quatre pages qui vont vous bouleverser, vous fasciner, vous retourner, vous briser. Parce qu’une chose est sûre, il est inconcevable d’espérer sortir indemne d’un livre de Karine Giebel.
Je n’ai pas tout lu de cet auteur car même si je l’aime profondément, elle reste le genre d’auteur qui me fait complètement flipper. La cruauté qu’elle expose dans ces romans ne me laisse pas de marbre, bien au contraire. Comme je l’ai dis à une amie, j’ai bien conscience de ne pas vivre dans le pays des bisounours mais ce que je sais c’est qu’il y a des sujets, qui sont pour moi, intouchables. C’est infiniment dur de lire la cruauté faite aux enfants, mais Karine Giebel ne se formalise pas de ça. Elle y va. Dans le trash, dans le sordide, dans l’horreur.
Et je dois dire qu’au début, j’étais septique. Dès le prologue, j’ai senti mon cœur se retourner, se serrer, se briser. J’ai hésité. Longuement. Je me suis demandé si j’allais pouvoir lire ce livre. Si c’était vraiment fait pour moi. Ou si ça allait être au dessus de mes forces. Au bout de cent pages, une pause s’est imposée. J’étais révolté. Et tellement en colère de lire ça. Qu’on se méprenne pas. J’ai conscience que la cruauté, que l’esclavage existe... mais ai-je vraiment envie de le lire ?! C’est la question que je me suis longuement posée. J’ai donc abandonner mon livre au détriment d’une de sommeil afin de réfléchir. Au réveil, une seule envie. Une seul désir.
Celui de savoir comment le personnage principal, mon personnage chouchou allait s’en sortir. Allait finir... C’était plus fort que moi. C’était devenue nécessaire. Indispensable. Vital.
Elle sait parfaitement comment rendre ses personnages très attachants malgré leur noirceur. Même les pires bruts arrivent à nous toucher en plein cœur. À nous prendre par les sentiments.
Vous vous en doutez cette lecture m’a marquée, m’a touché. Elle me trotte dans la tête. Elle me donne envie d’y retourner, d’en vouloir plus. Alors je sais par avance que je n’attendrais plus autant de temps pour lire un énième Giebel, parce que par chance, il m’en reste trois dans ma pile à lire. Trois des meilleures, qui plus est.
Alors je n’ai qu’une chose à ajouter... Karine à très bientôt !
Musemania
1 #AvisPolar / 414 notes
Son #AvisPolar sur Toutes blessent la dernière tue - Karine Giebel
Je tiens à remercier énormément Agnès Chalnot Communication pour sa confiance ainsi que les Editions Belfond pour l’envoi de ce service-presse qui pour moi sera l’un de mes coups de cœurs de l’année 2018 ! Un conseil : ne passez pas à côté !
L’an passé, je vous avais fait part de mon coup de cœur pour le recueil de nouvelles de Karine Giebel, « D’ombre et de silence » [Voir ma chronique : http://musemaniasbooks.blogspot.com/2018/01/dombre-et-de-silence-de-karine-giebel.html]. Cette année ne dérogera pas à la règle car j’ai tout simplement A-D-O-R-É son dernier - « pavé » si je puis dire – « Toutes blessent, la dernière tue ». Surtout, ne vous effrayez pas par le nombre de pages car ce serait vraiment dommage. Malgré ces 740 pages, je l’ai dévoré en à peine deux jours. Une fois commencé, il est difficile de déposer ce livre, au risque de se désociabiliser totalement du monde extérieur. Les chapitres sont courts et filent à toute allure, trop vite pour moi.
M’émouvoir par des mots, au contraire des images, n’est vraiment pas chose aisée. Pourtant ici, je dois me confesser et avouer : l’auteure y parvient et ce, à plusieurs reprises en plus. Si j’ai un jour la chance que Karine Giebel lise une de mes chroniques, je souhaiterais qu’elle sache que pour cela - car ce n’est vraiment pas chose aisée - elle est une de mes auteures favorites et pour lesquelles j’ai le plus de respect. Si j’avais pu être écrivaine, j’aurais aimé avoir la plume qu’elle déploie dans chacun de ses romans. Autant, on peut parfois être un peu sceptique par l’unanimité de très nombreuses critiques allant toutes dans le même sens (pour ce titre par exemple) autant c’est plus qu’amplement mérité.
On découvre en parallèle deux histoires. D’abord, celle de Tama, depuis sa naissance dans un petit et pauvre village marocain jusqu’à sa vente à une famille franco-marocaine de la banlieue parisienne où elle sera utilisée à titre d’esclave et où aucun cadeau ne lui sera jamais fait. A côté, il y a celle de Gabriel, homme torturé et vivant en reclus, pour lequel non plus la vie n’a pas été tendre. Bien entendu, on se doute que leur destin sera de se rencontrer d’une manière ou d’une autre. Pourtant, vous serez surpris car les apparences sont parfois trompeuses et surtout, dans les livres de Karine Giebel.
Ce qui est dur et effrayant dans ce livre, c’est de se dire que la réalité n’est pas si éloignée de la fiction ; combien d’enfants (!) et jeunes femmes sont vendues chaque année pour être utilisées comme esclave auprès de familles européennes ou autres, pas forcément fortunées pour autant ? Les chiffres en feraient frémir plus d’un et pourtant, c’est le quotidien de ces trop nombreuses jeunes filles et femmes.
La justesse des émotions et de son écriture en fait un grand roman, difficilement classable mais qui ne s’oublie pas facilement. Une fois les dernières pages tournées, il est vraiment pénible de se séparer de ses personnages, auxquels on n’a pu que s’attacher et qui m’hanteront sûrement encore quelque temps…
Chronique sur mon blog : https://musemaniasbooks.blogspot.com/2018/07/toutes-blessent-la-derniere-tue-de.html
Nahjka
1 #AvisPolar / 10 notes
Ju lit les Mots
1 #AvisPolar / 379 notes
Son #AvisPolar sur Toutes blessent la dernière tue - Karine Giebel
Plonger dans un pavé est un vrai plaisir pour moi ! Oui je suis fana de ces pavés qui font peur… Plus le truc est gros (je vous vois venir ! Rien de sexuel…) plus je m’éclate ! Bref, ce n’est donc pas le nombre de page qui me freine… Mais qui dit gros pavé, dit que je suis plus exigeante dans la lecture. Il faut que l’auteur arrive à m’accrocher et surtout ne pas me perdre en route. J’ai déjà eu le plaisir de découvrir la plume de l’auteur, avec « Juste une ombre » et sur quelques nouvelles, j’attendais donc beaucoup de cette lecture… Pour autant, c’est en demi-teinte que je termine ce livre.Une lecture qui a mis du temps à se digérer… Une lecture dont le sujet touche, mais une lecture aux parties inégales.
Karine Giebel, nous embarque dans une intrigue touchante, avec sujet principal l’esclavage moderne. Et même si cela semble tout droit sorti de l’imagination de l’auteur, on sait malheureusement que l’horreur existe.
La première partie campe l’intrigue et Tama, personnage principal est décrite avec empathie. Sa vie est un calvaire et ce qu’elle vit est le summum de la noirceur dont l’être humain est capable. Le sujet est grave et touche à la corde sensible du lecteur.
Je me suis même demandée, si ce n’était pas le parti pris de l’auteur… A la sortie du livre, j’ai eu la sensation que plusieurs livres traitaient du sujet… Je venais de lire « dans la cave » de Minette Walters… Peut-être un trop plein d’émotions… Je ne sais pas, mais toujours est-il que dans l’ensemble, je suis passée à côté !
J’ai survolé des passages entiers, car même si les descriptions sont importantes et parfois riches de surprises, j’ai trouvé ici que certaines étaient superflues et l’ennui m’a guetté à plusieurs reprises !
Dans la première partie, l’auteur arrive à jouer avec nos nerfs et quelques passages font repartir l’intrigue, mais entre temps, j’ai réussi à perdre le fil, sans surprise, l’auteur dévoilant trop ses cartes…
Je ne me suis pas sentie embarquée… Plus je tournais les pages et plus je me sentais perdue… Je sais que le sujet est grave, mais pourquoi l’auteur a-t-elle pris le parti de trop en faire ? Pourquoi autant de violence… Une violence gratuite, dans la seconde partie… Avec Gabriel… Même si on sait qu’une victime a du mal à sortir de ce cercle infernal… Mais pourquoi ne pas dénoncer l’esclavage d’une manière plus subtile.
Pourquoi retourner la situation et faire de Tama un personnage aussi naïf ? Je n’ai pas compris, j’ai longtemps cherché la réponse… Et j’ai arrêté de chercher… La romance qui a pointé son nez va supplanter l’intrigue et me vriller les neurones ! Encore une fois, l’auteur m’a perdu… Même si le parallèle entre les deux parties a une raisonnance entre esclavage et amour toxique, cela ne l’a pas fait et l’auteur s’est fourvoyée…
Je n’ai eu aucune surprise avec ce final prévisible…
Une déception et j’en suis la première navrée… J’attendais beaucoup de ce livre, qui pourtant est très dur, sans concession et d’une rare cruauté, mais le tout est balayé par cette déception et cette sensation d’avoir tourné en rond sur plus de 700 pages…
En bref, une lecture que je vais vite oublier…
Plaisirdelivres
1 #AvisPolar / 1 notes
ellemlire
1 #AvisPolar / 33 notes
Laurence S
1 #AvisPolar / 1539 notes
Son #AvisPolar sur Toutes blessent la dernière tue - Karine Giebel
S’il y a bien un roman qu’on ne peut pas lâcher une fois ouvert c’est Toutes blessent la dernière Tue de Karine Giebel. Ne vous laissez pas impressionner par les 800 pages du livre... On ne peut pas lâcher ce roman. C’est addictif et ce, dés les 10 premières lignes. Ce roman raconte le calvaire de la jeune Tama, orpheline, "vendue" par son père qui pensait qu’elle aurait une vie meilleure en France. Mais la nature humaine n’est pas toujours si bonne, et la jeune Tama se retrouve esclave de bourgeois sans coeur, sans pitié, sans humanité. et ce n’est que le début... Ce roman, noir, très très noir, relate l’histoire de cette jeune esclave, et ce n’est pas toujours facile à encaisser. On souffre avec elle. On espère avec elle. On combat avec elle. Car Tama est forte et combative. On ne peut pas trop en dire sur l’histoire et tous les rebondissements qui jalonnent la vie de Tama, mais l’écriture de Karine Giebel nous accroche, nous happe totalement dans cette histoire terrible. Une vraie découverte pour ma part qui n’avait pas encore lu de roman de Karine Giebel. Une auteur française qui se positionne, en tout cas avec ce livre, dans la cours des grands, des très grands maitre du roman noir. Un choc littéraire.
Maëva Dupré
1 #AvisPolar / 2 notes
Son #AvisPolar sur Toutes blessent la dernière tue - Karine Giebel
J’avais lu toutes sortes de critiques sur ce livre. J’avais envie de le lire pour me faire mon avis. Si j’ai été emballée dans le premier tiers du livre (quand même un pavé de 700 pages !) Je finis par m’essoufler, m’ennuyer face au déluge de sentiments dans ce livre. Le sujet de l’esclavage est enfouis face à un amas de violences. Violence sur violence. Gratuite, sans intérêt à mes yeux. Giebel m’avait pourtant habituée à mieux. Mais, indéniablement, la passion s’effrite entre nous. Même si le sujet avait le mérite d’être intéressant, et j’aurais aimé qu’il soit encore plus creusé.
MAis peut-être Giebel me rattrapera à son prochain roman, j’espère.
Maëva Dupré
1 #AvisPolar / 6 notes
La liseuse heureuse
1 #AvisPolar / 291 notes
Son #AvisPolar sur Toutes blessent la dernière tue - Karine Giebel
Le petit (ou le gros !) dernier de Karine Giebel est un roman irréfutablement sombre et addictif, vous ne le lâcherez pas jusqu’à la dernière page.
C’est incontestable ! cet auteur à l’art du thriller, elle fait monter la tension et la maintient à son paroxysme du début à la fin. Une sueur froide coule le long de notre dos dès les premières pages, nous comprenons vite la réalité, partagés entre voyeurisme et impuissance face à l’histoire, à la situation quasi sans issue.
Une lecture dure, un livre poignant à lire absolument pour Karine Giebel, pour sa qualité d’écriture, pour l’histoire, pour la prise de conscience. Un roman noir profond qui comble les grands adeptes de ce genre de livres. L’écriture est irréprochable, il ne souffre d’aucune incohérence, j’aimerais juste découvrir toute les qualités d’écriture de cette auteur dans un autre registre moins noir moins desespéré mais c’est ce qui fait son "charme" et sa signature aussi. A lire mais pas les jours de déprime ou si justement pour se dire que finalement notre vie est magnifique !
steph
1 #AvisPolar / 5 notes
Son #AvisPolar sur Toutes blessent la dernière tue - Karine Giebel
Tama, jeune esclave du 21ème siècle vit l’enfer en France, une figure féminine tellement forte malgré les épreuves et qui garde espoir.
On ne peut s’empêcher de tourner les pages afin de découvrir si Tama trouvera sa liberté, la sécurité et le courage de se battre encore et encore…
Le récit d’un destin très sombre où il faut se battre pour atteindre la lumière
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Un très beau et diabolique roman sur l’esclavage moderne. Karine Giebel, aux travers de personnages tantôt attachants, tantôt haïssables, parvient à tisser une intrigue pleine de suspense et de rebondissements, jouant avec les nerfs du lecteur comme elle sait si bien le faire. J’ai été très touchée par cette thématique difficile mais malheureusement bien réelle. Grand moment de lecture, même si beaucoup de passages sont très durs.