Club Sang

Profitez de toutes nos fonctionnalités et bénéficiez de nos OFFRES EXCLUSIVES en vous inscrivant au CLUB.

JE REJOINS LE CLUB SANG

Vincent Manzagol

Inscrivez-vous et/ou connectez-vous pour vous inscrire à nos alertes Vincent Manzagol

  • Livres
  • News
  • Biographie
  • Videos
  • Podcasts
  • Dossiers
Plus
Moins

Vincent Manzagol est né en Isère, près de Grenoble en 1963. Son enfance très urbaine, dans la capitale alpine, est ponctuée de séjours réguliers dans le massif tout proche de la Chartreuse où il prend vite l’habitude d’y effectuer des escapades.
Il quitte le lycée très tôt, à 16 ans, trouvant la vie active plus excitante que les études. Il exerce un nombre incalculable de petits métiers : peintre en bâtiment, ouvrier d’usine (sur une presse hydraulique), magasinier, agent administratif à l’ANPE, jardinier, animateur, documentaliste, charpentier-couvreur (sur le toit d’une église de montagne), pion dans des collèges savoyards où il rencontrera sa future femme…
Après avoir passé son bac en candidat libre, il suit des études d’histoire à l’université de Grenoble, obtient une licence et devient professeur d’histoire et de lettres dans l’enseignement professionnel.

Très jeune, il trouve dans la bibliothèque paternelle des romans policiers, tels ceux d’Auguste Le Breton ou de Jim Thompson. Suivront le James Ellroy de la série Lloyd Hopkins, Tony Hillerman et surtout Dennis Lehane dont le roman Mystic River lui permet de s’autoriser un vœu d’écriture qui fait probablement référence - inconsciemment - à l’adolescence, lorsque la vie des hoboes de John Steinbeck le passionnait davantage que ses professeurs de lycée.

Passé la cinquantaine, divorcé et de retour à Grenoble, il reprend les chemins de la faculté pour effectuer une recherche d’histoire culturelle sur le rescapé d’Auschwitz Joseph Bialot, lui aussi auteur tardif de romans noirs.
Il reconnaît aussi une dette à la littérature classique française ou étrangère et aux grands auteurs qui l’ont toujours accompagné : Flaubert avant tout, mais aussi Dostoïevski, Jean Giono, Céline, Albert Camus et même, plus étonnamment, Julien Gracq. Sans être de l’autofiction, il y a du réel disséminé dans son premier roman Le Bâtiment des juges. Ce sera aux lecteurs de deviner où.

Plus
Moins
Plus
Moins
Plus
Moins