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Hex - Thomas Olde Heuvelt

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21 #AvisPolar
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3 enquêteurs
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Résumé :

Bienvenue à Black Spring, charmante petite ville de la Hudson Valley. Du moins en apparence : Black Spring est hantée par une sorcière, dont les yeux et la bouche sont cousus. Aveugle et réduite au silence, elle rôde dans les rues et entre chez les gens comme bon lui semble, restant parfois au chevet des enfants des nuits entières. Les habitants s’y sont tellement habitués qu’il leur arrive d’oublier sa présence. Ou la menace qu’elle représente. En effet, si la vérité échappe de ses murs, la ville tout entière disparaîtra.

Pour empêcher la malédiction de se propager, les anciens de Black Spring ont utilisé des techniques de pointe pour isoler les lieux. Frustrés par ce confinement permanent, les adolescents locaux décident de braver les règles strictes qu’on leur impose. Ils vont alors plonger leur ville dans un épouvantable cauchemar…

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Vos #AvisPolar

  • Riz-Deux-ZzZ 3 décembre 2022
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    En bref, un roman d’épouvante qui cache bien son jeu dans les premières pages : le ton léger laisse place insidieusement à une atmosphère lourde de mystères et secrets ancestraux. Une lecture parfaite pour les amateurs de frissons.

    Les premiers chapitres, et particulièrement les premières pages, peuvent décontenancer : les scènes semblent assez loufoques, le ton très léger face à une situation hors du commun (une sorcière qui campe dans votre salon, ce n’est a priori pas banal...). L’auteur plante seulement le décor de Black Spring, cette petite communauté coupée du monde à cause d’une malédiction qui pèse sur elle depuis des siècles et qui, finalement, est devenue un détail de la vie quotidienne.

    Thomas Olde Veuhelt arrive parfaitement à décrire l’Humain dans ce qu’il a de plus mauvais en lui : la colère, la frustration, l’esprit de vengeance… Toute cette cruauté et cette violence qu’on garde cachées en nous et qui peuvent exploser dès la première situation qui dépasse nos limites.
    Ainsi, l’ambiance assez bon enfant au départ va s’alourdir, les enjeux se modifier et la menace s’identifier clairement.

    Faisant référence à Simetierre de Stephen King sur certains aspects, l’intrigue est vraiment bien menée. L’escalade de l’horreur est savamment mesurée pour que le lecteur s’immerge complètement dans l’atmosphère de Black Spring.
    Le dénouement est peut-être un peu rapide, un peu précipité tandis que le reste de l’intrigue jouait plus sur la langueur de ce village et de ses habitants. Cependant, l’auteur joue sa carte de la malédiction jusqu’au final et nous laisse une sensation de continuité intéressante.

  • Riz-Deux-ZzZ 3 décembre 2022
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    En bref, un roman d’épouvante qui cache bien son jeu dans les premières pages : le ton léger laisse place insidieusement à une atmosphère lourde de mystères et secrets ancestraux. Une lecture parfaite pour les amateurs de frissons.

    Les premiers chapitres, et particulièrement les premières pages, peuvent décontenancer : les scènes semblent assez loufoques, le ton très léger face à une situation hors du commun (une sorcière qui campe dans votre salon, ce n’est a priori pas banal...). L’auteur plante seulement le décor de Black Spring, cette petite communauté coupée du monde à cause d’une malédiction qui pèse sur elle depuis des siècles et qui, finalement, est devenue un détail de la vie quotidienne.

    Thomas Olde Veuhelt arrive parfaitement à décrire l’Humain dans ce qu’il a de plus mauvais en lui : la colère, la frustration, l’esprit de vengeance... Toute cette cruauté et cette violence qu’on garde cachées en nous et qui peuvent exploser dès la première situation qui dépasse nos limites.
    Ainsi, l’ambiance assez bon enfant au départ va s’alourdir, les enjeux se modifier et la menace s’identifier clairement.

    Faisant référence à Simetierre de Stephen King sur certains aspects, l’intrigue est vraiment bien menée. L’escalade de l’horreur est savamment mesurée pour que le lecteur s’immerge complètement dans l’atmosphère de Black Spring.
    Le dénouement est peut-être un peu rapide, un peu précipité tandis que le reste de l’intrigue jouait plus sur la langueur de ce village et de ses habitants. Cependant, l’auteur joue sa carte de la malédiction jusqu’au final et nous laisse une sensation de continuité intéressante.

  • emy8909 28 avril 2022
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    Bienvenue à Black Spring, petite ville américaine charmante, mais seulement en apparence, car celle ci est hantée par une sorcière aux yeux et à la bouche cousue.

    Elle rôde dans les rues et entre chez les gens à sa guise. Les habitants y sont habitués mais n’oublie pas pour autant ce qui leur arrivera s’ils la touchent ou écoutent ses chuchotements.

    Black Spring est équipé de technologie de points ainsi que de stratagèmes élaborés pour éviter tout incident.
    Mais c’était sans compter sur un groupe d’ado qui décident de braver les interdits et les règles et va ainsi plonger Black Spring dans l’horreur.

    Nous plongeons au coeur de cette petite communauté coupé du monde qu’est Black Spring, qui navigue entre peut et adoration pour la sorcière.

    Tout est structuré, organiser et réfléchi pour la caché aux yeux extérieurs.
    L’histoire est prenante et intriguante. Au travers de son récit, l’auteur nous montre à quel point l’humain peut être sauvage et violent face à la peur. J’ai également adoré l’historie personnelle de la sorcière

  • emy8909 28 avril 2022
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    Bienvenue à Black Spring, petite ville américaine charmante, mais seulement en apparence, car celle ci est hantée par une sorcière aux yeux et à la bouche cousue.

    Elle rôde dans les rues et entre chez les gens à sa guise. Les habitants y sont habitués mais n’oublie pas pour autant ce qui leur arrivera s’ils la touchent ou écoutent ses chuchotements.

    Black Spring est équipé de technologie de points ainsi que de stratagèmes élaborés pour éviter tout incident.
    Mais c’était sans compter sur un groupe d’ado qui décident de braver les interdits et les règles et va ainsi plonger Black Spring dans l’horreur.

    Nous plongeons au coeur de cette petite communauté coupé du monde qu’est Black Spring, qui navigue entre peut et adoration pour la sorcière.

    Tout est structuré, organiser et réfléchi pour la caché aux yeux extérieurs.
    L’histoire est prenante et intriguante. Au travers de son récit, l’auteur nous montre à quel point l’humain peut être sauvage et violent face à la peur. J’ai également adoré l’historie personnelle de la sorcière

  • SophiaJarion 12 février 2022
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    La couverture et le résumé très réussis m’ont donné envie d’acheter ce roman.

    Mon avis est mitigé.

    Première partie du livre : l’idée de cette sorcière qui se promène dans la ville est géniale. Les habitants notent son emplacement sur une appli, ils ont l’habitude de la voir et n’en ont au final pas tant peur que ça. J’ai trouvé ça très amusant. Puis viennent quelques séquences dans lesquelles une bande d’ados s’amuse à défier les règles du village (ne pas toucher la sorcière, ne pas interagir avec elle, ne pas filmer etc). Là, on se dit que ça commence à sentir le roussi, quelque chose de terrible va forcément se passer. La description des scènes est très visuelle, et j’avoue avoir frissonner en me les imaginant. Cette sorcière sale aux yeux et à la bouche cousue a tout pour faire peur. A la fin de cette première partie, je me suis même dit : ça sent le coup de cœur pour ce livre !

    Et puis est arrivée la deuxième partie. J’ai un peu décroché et je me suis sentie éloignée des personnages. Je ne m’attendais pas à ce type de dénouement, même s’il propose des pistes de réflexion intéressantes. Certes, il y a beaucoup d’action dans les dernières pages et on ne s’ennuie pas, mais je reste quand même sur ma faim.

  • Ambre.34 26 novembre 2021
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    J’ai dévoré ce roman !
    Une ambiance glauque à souhait ! L’auteur ne prend pas de pincettes et décrit les événements comme dans un bon film d’horreur.
    Arrivée au milieu du roman, l’histoire a un peu stagné et je me suis ennuyée mais ensuite l’auteur a redynamisé l’histoire.
    La description de la sorcière est très bien "ficelée", par contre, on a du mal à la voir comme un fantôme. Je dirai plutôt comme un spectre, quelque chose de réellement présent.
    Tout le long du livre, on se demande si un habitant finira par lui découdre la bouche et les yeux, et ce qu’il se passerait si une telle chose arrivait.
    Jai aimé l’arrivée des nouveaux habitants et leur rencontre avec la sorcière, leur choc en la voyant pour la première fois mais j’ai trouvé que ce côté ci de l’histoire n’était pas assez poussé, j’aurais apprécié en savoir plus.

    La fin de l’histoire est un peu partie dans tous les sens, j’ai eu du mal à suivre le rythme d’un coup plus soutenu. Et l’auteur m’a un peu perdu dans trop de bizarrerie.

    J’ai aperçu quelques fautes d’orthographe mais pas énormément (2 à mon souvenir).
    Pour le reste j’ai complètement adhéré à l’histoire, on se représente très bien les scènes. Je recommande pour les personnes ne craignant pas le glauque et le gore !!

  • loeilnoir 2 août 2021
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    Attirée par la couverture de ce roman ainsi que par l’avis dithyrambique de Stephen King, j’étais très impatiente de découvrir cette histoire horrifique où le fantôme d’une sorcière terrorise les habitants d’une petite ville…. Dit comme cela on pourrait ne pas y croire car le sujet en lui-même n’est pas bien original, mais voilà ce sujet est traité de façon intéressante et intelligente. Ce livre a eu raison de mes préjugés cartésiens et m’a procuré un très bon moment de lecture.

    Imaginez une charmante petite ville située sur les bords de l’Hudson, à quelques encablures de New York. Charmante, vraiment ? Black Spring est hantée par le fantôme de Katherine Van Wyler, une sorcière dont les yeux et la bouche sont cousus, qui rôde dans les rues de la ville et impose sa présence aux habitants, entrant chez eux comme bon lui semble. Au fil des ans, sa présence est devenue familière, certains la surnomment d’ailleurs « Mamie » mais personne n’oserait la défier, n’y la révéler au reste du monde au risque de voir la ville disparaitre. Personne sauf une bande d’adolescents qui s’amusent à la filmer jusqu’au jour où la situation dérape…

    La tension monte progressivement : tout commence assez lentement, le temps pour l’auteur d’instiguer soigneusement le climat délétère qui règne sur cette petite ville confinée depuis des siècles. Dès qu’ils s’en éloignent trop longuement, les habitants sont pris d’un mal-être insupportable doublé d’une profonde angoisse pouvant les pousser à commettre l’irréparable : quiconque né en ce lieu est condamné à y rester jusqu’à la mort, quiconque y vient n’en repart jamais… Une communauté régie par le Décret d’Exception, inculqué dès le plus jeune âge à tous les habitants, pour les obliger à respecter la sorcière. Celle-ci est observée continuellement par les caméras de l’HEX, une association qui a pour mission de la surveiller et surtout de la dissimuler au reste du monde. Cela vous donne un aperçu de l’ambiance qui règne sur cette charmante petite ville… Mais lorsque des gamins faisant fi de l’autorité et des règles imposées, s’en prennent à la sorcière, les évènements gagnent en intensité : Katherine Van Wyler, aveugle et condamnée à se taire depuis des siècles n’a de cesse de vouloir se venger. Si certains passages procurent une bonne dose de frissons sympathiques et que le final glaçant est bien à la hauteur de cet ambitieux roman, sa profondeur réside dans la description des relations entre les membres d’une communauté soumise à la peur.

    En lisant les remerciements de l’auteur, on apprend que la version originale de ce roman situait l’intrigue dans un petit village néerlandais, et que suite à une proposition de son éditeur pour une publication à l’étranger, T. Olde Heuvelt a eu l’opportunité de réécrire le livre en déplaçant son intrigue aux Etats-Unis et en modifiant le final. Oh ! Mais pourquoi ? Une version de l’intrigue située aux Pays-Bas ne pouvait apporter qu’un plus à cette histoire intrigante.

    Ce roman ravira les amateurs de lectures fantastiques et les adeptes de grands maitres dont T. Olde Heuvelt est le digne héritier : Stephen King, Graham Masterton, Clive Barker, Dean Koontz …

  • Bérénice BP 16 juillet 2021
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    À première vue, c’est prometteur, l’ambiance a l’air assez noire, la malédiction annonce diverses possibilités quant à l’avenir des habitants et on se demande, à juste titre, ce que ces adolescents vont bien pouvoir faire et dans quel pétrin ils vont aller se fourrer !

    Le livre est composé en deux parties :

    1. Assez longue (presque les 3/4 du livre), cette partie est censée mettre en place tout l’historique autour de cette sorcière … Mais, dès les premières pages, on se retrouve au cœur d’un foyer dont on ne connaît rien et qui banalise la présence de cette entité. Puis il faut attendre plusieurs chapitres avant d’avoir vraiment une explication sur sa présence. Arrive ensuite d’une liste d’événements liés aux actions de ce groupe d’adolescents peu décrit, qui « brave » les interdits… On découvre également comment les habitants de cette petite ville gèrent la présence de cette sorcière et là c’est assez grotesque.
    2. Beaucoup plus rapide, les choses s’accélèrent vraiment et je me suis clairement dit que ça devenait intéressant et angoissant … puis le soufflé est retombé ! Alors certes l’ambiance devient glauque et dérangeante, on voit bien que ça tourne au chaos, mais alors que dans la première partie, l’auteur était allé au ralenti, que j’en attendais beaucoup plus, cette fois-ci, c’est beaucoup trop !! Les événements et les personnages partent à la dérive dans des fantasmagories complètement dérangeantes …

    Pour résumé, il y avait un potentiel énorme, au final le sujet a été (selon moi) très mal exploité. J’ai eu l’impression de me retrouver face à un vieux film d’horreur totalement décalé où les scènes d’épouvantes sont absurdes. Je n’ai pas frissonné en lisant ce livre, j’ai été dégoûtée de par la perversion humaine ou les éléments décrits, chagrinée aussi mais, en soi, je me suis assez ennuyée 🤷🏻‍♀️

  • Enlivre_moi 30 avril 2021
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    Dans la ville de Black Spring, la vie s’écoule paisiblement. Du moins en apparence, car une sorcière aux yeux et à la bouche cousue hante la ville et menace de la détruire au moindre contact. La cohabitation est en statu quo depuis des siècles, jusqu’à ce qu’une bande d’ados décident de faire bouger les choses.
    🧙‍♀️
    Je ne m’attendais pas du tout à cela quand j’ai acheté ce roman. Je pensais trouver un livre qui fait peur, j’ai trouvé une histoire à l’ambiance malsaine qui va crescendo. Et je ne pouvais plus le lâcher surtout pendant les passages sur l’histoire de la sorcière.
    🧙‍♀️
    Il y a d’assez nombreux personnages et on se balade dans la ville pour faire connaissance avec ses habitants. J’ai adoré la sorcière qui n’est pas l’habituelle vieille aigrie pleine de verrues. Elle plane toujours au dessus de l’histoire même quand elle n’est pas présente dans la scène.
    🧙‍♀️
    L’ambiance malsaine qui trouve surtout son origine dans la peur des habitants va devenir de plus en plus pesante jusqu’au final atroce. L’auteur a bien retranscrit la nature humaine : sous des dehors civilisés peut se cacher un monstre. Bon j’avais deviné la fin et je l’ai trouvée un peu brouillonne. Mais c’est un détail.
    🧙‍♀️
    J’ai adoré l’organisation de l’Hex et toutes les techniques mises au point pour cacher la sorcière ainsi que le personnage de Robert Grim. Son évolution est le miroir de celle de Steve Mathers qui m’a choquée du point de vue moral. Et je ne parle pas de Griselda... bref la caractérisation est un point fort du roman !
    🧙‍♀️
    En bref, un roman que j’ai beaucoup aimé et qui fait frissonner.

  • Maks 30 mars 2021
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    Une lecture qui passe toute seule malgré plus de cinq cents pages, une fois plongé dans l’histoire on ne la lâche plus.

    Si un mot doit représenter ce roman c’est « originalité ». Thomas Olde Heuvelt réussit à donner un coup de jeune au thème de la littérature horrifique grâce à un personnage de sorcière très bien construit, dans un village isolé ou cette entité prend le rôle d’idole. Les gens vivent avec elle comme si elle faisait partie des meubles.

    Ce personnage de sorcière est vraiment très bon et fait une grande partie de l’originalité du récit qui dans l’écriture et les descriptions pourrait passer pour un texte de Stephen King, aussi détaillé et avec le génie d’une écriture dynamique et prenante. Les chapitres s’enchainent sans que le lecteur y fasse attention.

    « Hex » est un roman que j’ai vraiment apprécié, qui commence calmement mais dont l’action et l’horreur vont évoluer progressivement pour finir en apothéose de l’horreur. Une histoire à recommander à tous amateurs de frissons.

    https://unbouquinsinonrien.blogspot.com/2019/03/hex-thomas-olde-heuvelt.html

  • stokely 29 mars 2021
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    La quatrième de couverture m’avait été attirée cette histoire de sorcière qui apparait ou elle veut quand elle veut à Black Spring.

    Mais les premiers bémols sont apparus dès le début de ma lecture en effet pour le côté frissonnant et mystérieux, dès les premières apparitions de la sorcière dans un lieu toute une famille se moque de celle-ci et va jusqu’à lui mettre un torchon sur la tête. Lors d’une autre apparition il y a une scène digne d’un film de Pierre Richard avec celle-ci et le summum arrivant quand elle se rend dans un autre lieu à un moment privé diront nous.

    La je me suis même demandé si cela valait le coup d’aller plus loin, l’histoire me faisant plus rire qu’autre chose….

    Mais le style de l’auteur plutôt moqueur et drôle au début prend une autre tournure au bout d’un certain temps, il faut tout de même bien attendre le milieu du livre pour que cela bouge un peu soit plus de 200 pages.

    J’ai aimé le côté sorcière antique et le mélange avec la société moderne, cela parle d’applications pour la localiser, de séries de vampires actuelles, etc.…

    La fin est aussi un peu trop too much à mon goût toute l’action se déroulant quasiment à la fin du livre, je n’ai pour ma part pas du tout eu peur, mais certaines scènes sont vraiment très glauques et donne à réfléchir.

  • Le Monde de Marie 5 novembre 2020
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    Pendant une petite centaine de pages j’avoue avoir eu du mal à bien rentrer dans cette lecture. Je n’y retrouvais pas l’horreur voulue et je trouvais l’écriture assez brouillonne avec une impression d’incohérence d’une phrase à l’autre. Est-ce dû à un soucis de traduction !? Mais voilà, je me suis accrochée et j’ai finalement beaucoup aimé.

    Je me suis attachée aux personnages principaux et l’évolution de plus en plus inquiétante du récit m’a finalement séduite. Je me suis moins sentie perdue et j’ai trouvé une belle fluidité dans le texte. Les choses empires et avec cela des évènements cruels. Même si ce livre n’est pas que cela, j’ai eu plaisir à y trouver de jolies scènes d’horreur qui m’ont fait frissonner.

    Une lecture qui ira finalement plus loin que ce à quoi je m’attendais. Elle nous conte une histoire de sorcières dans un village dont les coutumes et les mentalités n’ont pas évoluées si ce n’est en apparence. Par l’évolution des faits, l’auteur nous pousse à nous interroger sur qui incarne vraiment le mal, qui a vraiment les yeux fermés !?

    Un récit que j’ai trouvé idéal pour la période d’Halloween.

  • Elleia 29 septembre 2020
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    📚 : Quiconque né en ce lieu est condamné à y rester jusqu’à la mort. Quiconque y vient n’en repart jamais.
    Bienvenue à Black Spring, charmante petite ville de la Hudson Valley. Du moins en apparence : Black Spring est hantée par une sorcière, dont les yeux et la bouche sont cousus. Aveugle et réduite au silence, elle rôde dans les rues et entre chez les gens comme bon lui semble, restant parfois au chevet des enfants des nuits entières. Les habitants y sont tellement habitués qu’il leur arrive d’oublier sa présence. Ou la menace qu’elle représente. En effet, si la vérité échappe de ses murs, la ville tout entière disparaîtra.
    Pour empêcher la malédiction de se propager, les anciens de Black Spring ont utilisé des techniques de pointe pour isoler les lieux. Frustrés par ce confinement permanent, les adolescents locaux décident de braver les règles strictes qu’on leur impose. Ils vont alors plonger leur ville dans un épouvantable cauchemar.

    J’ai adoré ce livre digne d’un roman de Stephen King ! L’univers est tellement bien décris et raconté, qu’on a l’impression que la sorcière va apparaître n’importe où chez nous. On a envie de prendre ces gamins par le bord de l’oreille et les secouer pour qu’ils comprennent qu’ils sont en train de faire des grosses conneries.

    Jusqu’à la fin ont espère, on retient son souffle et on prie (même si on est pas croyant) afin que ce village retrouve la paix ou au moins une quelconque chose positive.

    Un roman qui donne froid dans le dos mais qui nous en apprend beaucoup sur la nature du mal et... de l’être humain.

  • Michèle Bdr 4 août 2020
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    J’ai tout simplement adoré cet excellent roman d’horreur, un vrai coup de cœur. Une sorcière qui hante une petite ville et qui y retient ses habitants prisonniers, cela peut sembler bateau d’un premier abord, mais c’est tellement plus que ça. Ce sont des pages qu’on tourne avidement, impossible de tenir son "allez, un dernier chapitre avant de dormir". Un suspens qui monte au même rythme que l’escalade de la monstruosité de l’espèce humaine, jusqu’à son apothéose finale. Une ambiance sombre, pesante, parfois malsaine. Absolument rien à envier aux œuvres du grand King.

  • Asmo Stark 23 janvier 2020
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    😱 HEX - Thomas Olde Heuvelt 😱
    Traduction : de l’anglais par Benoît Domis à partir de la traduction du néerlandais de Nancy Forest-Flier
    Editions le Livre de Poche
    Bienvenue à Black Spring, charmante bourgade américaine hantée par une sorcière aux yeux et à la bouche cousus. Envie d’y poser vos valises ? Attention, car lorsque l’on s’installe à Black Spring, on en repart plus, la ville vit sous une malédiction depuis 350 ans, depuis que les habitants ont condamné Katherine van Wyler pour sorcellerie. Katherine a alors semé la mort (après être revenu d’entre les morts évidemment) jusqu’à ce qu’un groupe courageux réussisse à lui coudre la bouche et les yeux et à enchaîner ses bras autour de son corps, la rendant relativement inoffensive. Aujourd’hui elle rôde dans les rues et entre chez les gens au gré de ses envies, se contentant généralement de juste rester planté à un endroit. Les habitants se sont habitués à sa présence et respecte scrupuleusement les règles imposées par l’HEX : signaler sa présence sur l’application, ne pas entrer en contact avec elle et surtout ne jamais révéler son existence aux étrangers. Mais une bande de jeunes souhaite remettre en question les règles et vont entreprendre des expériences qui vont à l’encontre des interdictions, jouant avec la vie des habitants de Black Spring.
    Stephen King dit de ce livre "Brillant et totalement original", et ce n’est pas moi qui contredirait le Maître.
    Le début du livre pose le décor, présente les personnages en décrivant leurs quotidiens, raconte les débuts de la malédiction et le fonctionnement de l’HEX (le service de gestion de la malédiction). C’est le début de l’immersion. Ensuite je ne vais pas trop en dévoiler mais les actions et les rebondissements commencent à s’enchaîner sur un rythme qui va crescendo. Impossible de lâcher le livre, on est ferré.
    Si le plan général reste commun à beaucoup de livres du genre : une famille heureuse, une bande de gamins bravant les interdits, un adolescent perturbé qui pète les plombs, le fanatisme religieux... Thomas Olde Heuvelt réussit à se servir de ces bases pour faire une histoire originale et surprenante.
    Une lecture addictive et immersive que j’ai adoré, où la pression, l’angoisse et la peur monte petit à petit jusqu’au point de rupture 😰.

  • LeoLab 1er août 2019
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    Un bon moment de lecture. Je partage le fait que Stephen King ait apprécié l’originalité de l’histoire, car on y retrouve beaucoup de similitudes avec ses écrits à bien des égards. J’ai adoré cet histoire de sorcière forçant tout un village à vivre en totale autarcie, isolé du reste du monde sous peines de grands malheurs. Un roman efficace bien que le frisson promit n’a pas eu son emprise sur moi.

  • Elise 16 juillet 2019
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    —> Commentaire pour Le Signal de M. Chattam !

  • Elise 16 juillet 2019
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    J’ai adoré ce livre ! Avant celui-ci, j’avais lu sa trilogie (L’Âme du Mal, In tenebris et Maléfices). On voit que ce n’est pas vraiment le même genre (j’ai entendu beaucoup de lecteurs dire qu’il y avait beaucoup de fantastique dans ses dernières œuvres et que ça ne plaisait pas forcément...). Pour ma part, Signal est un coup de cœur littéraire ! Malgré un début un peu difficile (trop de personnages et de multiples actions au départ sans savoir vraiment où tout ça menait...) j’ai vraiment aimé l’histoire, elle est très addictive ! Ca m’a un peu fait penser au style de Stephen King, l’horreur dans le livre est bien maîtrisée et la fin est magistrale !
    Je recommande vivement !

  • Matildany 24 mai 2019
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    Dans la petite ville de Black Rock, ancienne colonie hollandaise, vit depuis fort longtemps une sorcière, Katherine van Wyler. Enchaînée, yeux et lèvres cousus, elle erre dans la ville selon son bon vouloir, entre à son gré dans les maisons, imposant son odeur nauséabonde et faisant régner la terreur, car un seul de ses chuchotement provoquera des envies de suicide.

    Les habitants ont dû s’organiser, car quiconque s’installe à Black Rock devra y vivre pour toujours. Et si les déplacements quotidiens sont tolérés, le secret doit être gardé, ou la malédiction de Katherine décimera la ville entière. Cette communauté, vivant donc principalement en vase clos, sous contrôle drastique d’un Conseil, va se voir bousculée le jour où un groupe d’adolescents, lassés de se voir surveillés en permanence, manifeste une envie de s’ouvrir plus au monde.

    Et les conséquences seront terribles.
    Un roman d’horreur, mais pas seulement. C’est aussi une analyse des conséquences de vivre dans une communauté repliée sur elle-même, l’étude de personnages qui soudain ne sont plus maîtres de leur vie, le conflit des générations, ...

    Une tension palpable, une ambiance prenante, des moments réellement angoissants, mais aussi l’analyse psychologique des relations familiales en font un premier roman bien maîtrisé, un vrai conte horrifique pour adultes. J’ai pensé à Blair Witch, Simetierre, Mother, pour donner une idée des références de l’auteur.

    Dans une note de celui-ci, on apprend que ce livre a d’abord été publié aux Pays-Bas et en Belgique , en néerlandais et qu’ il a ensuite réécrit entièrement la fin pour la version anglaise, en resituant l’action aux États-Unis.

    https://www.instagram.com/danygillet

  • Sometimes a book 14 mai 2019
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    Cette lecture a été pour moi en demi-teinte : une première partie avec un rythme assez lent, sans beaucoup d’action et une deuxième partie explosive avec un message très fort et très pertinent.

    Une première partie difficile

    La première partie de ce livre sert à mettre en place l’ambiance censée être de plus en plus pesante. Elle est nécessaire à l’histoire et nous permet de comprendre et de ressentir la crainte dans laquelle vivent les habitants de Black Spring depuis le début de leur existence. Seulement, j’ai trouvé que cette ambiance se mettait en place trop lentement et durait trop longtemps (quasiment les 3/4 du livre). Je n’ai pas réussi à rentrer tout de suite dans l’histoire, je n’ai pas ressenti l’angoisse espérée. J’avais plutôt l’impression de continuer ce livre, poussée par une curiosité malsaine : savoir ce qui va arriver aux personnages, puisqu’on s’en doute, les choses ne vont pas bien se passer.

    Et il est vrai que les choses commencent à dégénérer petit à petit, il y a quelques passages très intéressants dans cette partie qui, malgré la lenteur, nous poussent à continuer. Il est également très intéressant de découvrir la manière dont les habitants gèrent la malédiction et les évènements qui se déroulent durant ce récit. On suit ainsi plusieurs personnages qui ont tous appris à vivre et à s’adapter à leur manière dans cette ville. Et j’ai trouvé que le gros point fort de ce livre est justement la psychologie de ces personnages et leur évolution que j’ai trouvé extrêmement cohérente. J’en reparlerai après, mais je suis certaine que si l’histoire de ce livre avait été réelle, les personnes qui y auraient été confrontées auraient eu des réactions totalement similaires. Et c’est finalement ça qui fait le plus peur dans ce livre…

    Outre la lenteur de la première partie, ce qui a fait que j’ai eu des difficultés à la lire est sûrement le style d’écriture. En effet, ce livre a été traduit de l’anglais alors qu’il a, à l’origine, été paru en néerlandais. Il s’agit donc d’une traduction d’une traduction (seulement pour la première partie, puisque l’auteur a totalement réécrit la deuxième partie pour la sortie américaine). Et je pense que cet élément m’a fortement dérangée. Je me suis plusieurs fois arrêtée sur certaines tournures de phrases étranges, les évènements étaient de temps en temps relatés au présent quand tous les reste du texte était au passé. Bref j’ai été très perturbée par l’écriture, ce qui n’a plus du tout été le cas dans la deuxième partie…

    Une deuxième partie magistrale

    Autant j’ai dû mettre plus d’une semaine à lire la première partie, autant j’ai dévoré la deuxième partie en moins d’une journée. Arrivé à la fin de la première partie, tout s’accélère et les évènements s’enchaînent à un rythme effréné. On tombe d’un seul coup dans l’horreur sans qu’on le voie vraiment venir et on se retrouve piégé à Black Spring en compagnie de ses habitants.

    Encore une fois, et particulièrement dans cette partie, j’ai trouvé que les émotions et les réactions des personnages étaient gérés de manière tout à fait incroyable. C’est d’une telle cohérence qu’on finit presque par se demander si ce livre ne relate pas des évènements réels !

    Et ce que j’ai finalement trouvé magistral dans ce roman est le message qu’il fait finalement passer. Je ne m’attendais pas à ce qu’un livre d’horreur mettant en scène une sorcière puisse délivrer un message aussi fort et aussi lourd de sens, mais c’est pourtant le cas. Non pas terrifiée, j’ai en fait été touchée par ce récit et je ne peux donc que vous le recommander même si ce n’est pas votre genre de lecture habituel.

    Petit bonus : si vous n’avez pas l’habitude de le faire, je vous conseille vivement de lire les remerciements de l’auteur (après votre lecture, bien sûr, il contient des spoilers !).

  • Angie - Blog Culturez-moi 14 mai 2019
    Hex - Thomas Olde Heuvelt

    Mamie K
    Katherine van Wyler a été condamnée à mort pour sorcellerie dans la petite ville de Black Spring en 1664. Les colons de l’époque ont tué ses deux enfants avant de l’assassiner après de multiples actes de tortures. Mais Katherine n’est jamais partie de Black Spring. Elle a lancé une terrible malédiction sur la ville et tous ses habitants. Plus de 300 ans plus tard, elle parcourt toujours les rues de la ville, les yeux et la bouche cousus, les mains entravées par de lourdes chaines.
    En apparence, elle est « inoffensive ». Bien sur les règles de la ville interdisent de la toucher et de lui parler sous peine de subir une mort atroce. Elle apparait de manière aléatoire en ville et peut y rester des heures sans bouger, immobile, seul un murmure de paroles anciennes s’échappant de la commissure de ses lèvres. le plus important est de ne JAMAIS écouter ce murmure sans quoi vous serez pris d’une irrésistible envie de vous suicider immédiatement, par tous les moyens à votre disposition…
    Si la description de la sorcière est clairement effrayante, l’attitude des habitants envers elle empêche toute forme de terreur de se mettre en place. A Black Spring, enfants et adultes sont habitués à la présence de la sorcière (ou de Mamie K comme l’appellent certains). Quand elle apparait au milieu de leur salon et y reste plantée parfois plusieurs heures, ils se contentent de lui mettre un torchon sur la tête en attendant qu’elle parte. Cette relation à la sorcière dès le début du roman m’a empêchée de succomber à la peur. Bien évidemment, la sorcière se montrera sous un autre jour au fil de l’histoire. Malheureusement, cette première image de mamie rabougri inoffensive, presque vulnérable ne s’est jamais effacé dans mon esprit au profit d’une vraie méchante sorcière.

    Bienvenu(e)s à Black Spring !
    La force de ce roman tient dans l’atmosphère extrêmement oppressante due à l’enfermement des habitants de la ville. Black Spring vit presque en autarcie depuis plus de 300 ans, cachant l’existence de la sorcière au reste du monde. La malédiction de Mamie K possède un deuxième effet kiss-cool… Les habitants ne peuvent jamais s’éloigner très longtemps de la ville. Un jour ou deux tout au plus avant de ressentir une irrépressible envie de mettre fin à leur jour. Quand on emménage ou qu’on nait à Black Spring c’est pour le meilleur mais surtout pour le pire.
    Pour vivre « au mieux » cette cohabitation et cet enfermement, la ville a créé l’HEX. Une organisation chargée de surveiller toutes les apparitions de la sorcière, de les recenser, afin que chaque habitant connaisse sa position à chaque instant. L’enjeu est également de mettre en place des stratagèmes parfois curieux pour la cacher aux rares étrangers se promenant en ville. Mais l’HEX c’est aussi un code : le code d’exception, en vigueur depuis des décennies qui définit des règles strictes et un code de conduite primordial vis-à-vis de la sorcière. Un code tellement ancien que les punitions pour quiconque violerait la loi sont clairement d’un autre temps…
    Hex c’est donc un roman d’horreur mais également une réflexion sur la nature de l’Homme et sur sa manière de vivre en communauté. Essayez d’enfermer quelques milliers de personnes dans un endroit un peu isolé, avec une atmosphère fanatique et vous verrez que les plus bas instincts refont vite surface…

    Et l’intrigue dans tout ça ?
    Oui parce que c’est bien beau, ça fait 3 heures que je vous parle du cadre de l’histoire mais pas vraiment de l’intrigue en elle-même. Et bien on suit majoritairement une charmante famille de Black Spring composée du père Steve, de Jocelyn, la mère et de leur deux garçons Tyler et Matt. Tyler l’ainé de la fratrie à 17 ans et des idéaux plein la tête. Pour lui l’enfermement n’est pas la solution. Avec un groupe de potes, il va braver interdit sur interdit pour tenter de dévoiler la vérité au reste du monde. Forcément vous vous douter que tout va partir en sucette…
    Point positif, il n’y aucun temps mort dans le roman. J’ai tourné chaque page avec plaisir en voulant connaître la suite. Les chapitres bien qu’un peu long offrent un rythme d’action constant et les personnages sont assez classiques mais non moins attachants.
    En revanche, aux 2/3 du roman, un évènement vient rebattre toutes les cartes. Ce moment passé, j’ai vraiment eu un air de déjà-lu (pour ne pas dire de presque plagiat). Je ne vous dirais pas à quel roman je pense pour ne pas vous spoiler, mais ça a clairement entaché la fin de ma lecture. Si le début du roman fait preuve d’une certaine originalité, cette fin déjà écrite (en mieux) par Stephen King est une grosse ombre au tableau.

    EN BREF
    Ca a été très difficile pour moi d’écrire cette chronique car j’ai eu beaucoup de mal à mettre des mots et un ressenti sur ma lecture. C’est d’ailleurs pour cela que cette chronique est beaucoup trop longue.
    Donc si je dois conclure je dirais que c’est un bon livre, agréable à lire, avec un postulat de base original mais inconstant dans sa qualité. Il manquait quelque chose pour nous faire véritablement sombrer dans l’horreur et la folie. Mais comme je le disais plus haut : n’est pas Stephen King qui veut 😉

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