L’histoire se passe en 2025, sur un ancien navire de croisière. On y trouve un décors réussi, inventif, qui propose de suivre par moments un écran vidéo placé en hauteur, d’écouter un orchestre placé dans le fond. Les transitions entre ce qui est vu sur scène et ce qui est vu sur l’écran (et inversement) fonctionnent bien. Par contre, lorsque le passage montré à l’écran s’étend quelque peu sur la durée, il arrive que cela donne l’effet d’être quelque peu mal joué, surtout si notre œil de spectateur bascule sur des codes de lectures de cinéma et non plus de théâtre. L’ensemble est de (...)