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La trilogie écossaise : L’île des chasseurs d’oiseaux ; L’homme de Lewis ; Le braconnier du lac perdu

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  • ValG 29 juillet 2023
    Marathon du polar 2023, équipe CAMVAL
    La trilogie écossaise : L’île des chasseurs d’oiseaux ; L’homme de Lewis ; Le braconnier du lac perdu

    Le braconnier du lac perdu est le dernier tome de la trilogie écossaise, que j’ai dévoré aussi vite que les deux premiers.
    Fin, le héros, qui a du se reconvertir après avoir démissionné de la police, doit prendre en chasse les braconniers qui pillent les eaux sauvages de Lewis. Et le plus brillant des amis de Fin, Whistler, est le plus redoutable des braconniers...
    Cette trilogie raconte de belles aventures humaines au coeur d’une nature forte, puissante.
    Nous n’avons aucune difficulté à nous glisser dans la peau des personnages, au sein même de cette nature hostile et à ressentir leur souffrance

  • tatibibibi 11 décembre 2020
    La trilogie écossaise : L’île des chasseurs d’oiseaux ; L’homme de Lewis ; Le braconnier du lac perdu

    Après la découverte de Peter May avec le premier volet de sa trilogie écossaise, même enthousiasme à la lecture du second.
    Certes, il s’agit là encore d’une enquête policière débutant par la découverte d’un corps "entourbé" depuis plusieurs dizaines d’années, mais comme dans le premier opus, cette enquête s’accompagne d’analyses particulièrement fines et fouillées des différents protagonistes.
    L’inspecteur récurrent Macleod, quoique démissionnaire de la police, se remet en quête du passé... et des passés souvent imbriqués des personnages, et ce d’autant plus difficilement que l’un des suspects pressentis est atteint de la maladie d’Alzheimer.
    Et de ces passés resurgissent des liens, des drames, des rancoeurs que l’on aurait pu croire oubliés. Mais la résilience n’est pas de mise sur l’île de Lewis et les traumatismes de l’enfance ont la vie dure !
    Le malheur n’est peut-être pas une destinée,mais il peut conditionner une vie future.
    L’un des intérêt de ce roman est la mise en lumière d’un épisode douloureux et peu reluisant de l’histoire écossaise, à savoir le sort des "homers", ces enfants orphelins ou de condition modeste , "déportés" par l’Eglise catholique dans les Hébrides où on leur fait perdre et leur identité et leur enfance à coup de violences psychologiques et physiques. A rapprocher du destin des jeunes filles "perdues" irlandaises si efficacement mis en scène dans "Magdalena sisters" .
    Comme dans le premier tome, cette enquête respire Ecosse, vibre Ecosse, au rythme des tourbières et des landes tourmentées par les vents.
    Et que dire de l’écriture, riche, foisonnante, enfiévrée, dense et captivante !!
    Vite le 3e opus !!!

    3e et dernier opus de cette trilogie écossaise : un "cold case" retrouvé dans un lac disparu. Un passé enterré qui ressurgit, et avec lui des conflits que l’on croyait oubliés , qui n’étaient que latents.
    Et Peter May d’affiner ses personnages, celui de Finn en particulier, promu pour l’occasion au rang de chef de la sécurité, affecté à la lutte contre les braconniers sur l’île de Lewis.. Une fois de plus l’enquête trouvera son aboutissement au sein des insulaires de Lewis et plus précisément parmi les membres d’un groupe folk-rock de 6 amis "liés à la vie, à la mort".
    Il y est question de silences, de secrets, de mensonges, de désirs, de jalousies. Longtemps tus, mais qui finissent par exploser.
    Comme dans les 2 premiers tomes, P.May cisèle ses personnages, à la manière des statuettes de Lewis, nous permettant d’en appréhender les complexités et les souffrances et de prendre la mesure des liens qui les unissent, forts, exemplaires et parfois désastreux. Le lac perdu, réapparu de façon cataclysmique est à l’image de la résurgence d’un passé commun aux personnages.
    On devine la profonde empathie de P. May pour ses personnages, pour leurs failles, leur incapacité à exprimer leurs états d’âme, leur violence contenue ou pas ; d’où son style mis à leur service pour les y aider. Foisonnant, dense, ample, parfois oratoire.
    Et toujours l’Ecosse en toile de fond, attachante, violente et authentique et cette île de Lewis à laquelle Finn se voit viscéralement attaché.
    Et cette question à laquelle il lui sera peut-être plus facile de répondre au terme de cette trilogie " la vie n’est-elle qu’un cycle de naissance, de vie et de mort, dénué de sens ?"

  • Polars urbains 12 juillet 2020
    La trilogie écossaise : L’île des chasseurs d’oiseaux ; L’homme de Lewis ; Le braconnier du lac perdu

    Je ne suis que moyennement fan des romans "chinois" de Peter May mais cette trilogie écossaise est exceptionnelle : intrigues, analyse psychologique, descriptions poétiques... tout y est. Indispensable, à déguster l’hiver, quand le vent souffle, vieux Malt en main.

  • reb_books 10 juillet 2020
    La trilogie écossaise : L’île des chasseurs d’oiseaux ; L’homme de Lewis ; Le braconnier du lac perdu

    Une magnifique trilogie écossaise !
    Peter May sait nous transporter grâce aux descriptions des paysages, certes magnifiques, mais rudes de l’île de Lewis. Ce sont des polars softs et peu rythmés mais on se laisse embarquer par les personnages et les lieux qu’on a envie d’aller visiter, une fois les livres fermés.

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