- Auteur : Hanna Jameson
- Genre : Action / Thriller
- Editeur : Marabout
- Date de sortie : 18 septembre 2020
- EAN : 978B08HVJVGPK
Disponible sur
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Résumé :
Jon pensait avoir largement le temps de répondre au dernier sms de sa femme. Mais alors qu’il prend son petit-déjeuner dans le hall de l’Hotel Sixième en Suisse après une conférence, le monde se rappelle à lui avec d’atroces nouvelles. Washington DC a été effacée par une bombe nucléaire. Plus de nouvelles de New-York. Londres s’est éteinte. Berlin aussi. Voilà ce qu’il a le temps de comprendre avant que les média et les réseaux sociaux ne soient coupés à leur tour. Avant que le ciel ne se couvre de nuages oranges.
Deux mois plus tard, ils sont vingt survivants réfugiés dans cet hôtel connu pour son histoire teintée de suicides et de meurtres. Jon et ses compagnons d’infortune essaient de maintenir un semblant de quotidien. Jusqu’au jour où ils découvrent le corps d’une petite fille.
Les provisions s’amenuisent, les tensions s’affutent. Et si finalement le danger n’était pas à l’extérieur ?
Source : Babelio
Enlivre_moi 6 janvier 2023
The last - Hanna Jameson
Alors que Jon est dans un hôtel en Suisse pour une conférence, les grandes villes du monde subissent soudainement des attaques nucléaires. Bientôt ils ne sont plus que 20 survivants dans cet hôtel et le corps d’une petite fille est retrouvée...
La 4e de couverture de ce roman cochait toutes les cases du roman de mes rêves : du post-apo, une enquête sur un meurtre, un huis-clos dans un hôtel glauque ayant abrité un serial killer, un soupçon de paranormal et une narration sous forme de journal.
Et j’ai effectivement tourné les pages à toute vitesse. Mais je crois que j’aimais plus l’idée de l’intrigue que l’intrigue en elle-même. Parce que finalement je suis un peu déçue.
L’idée de l’hôtel immense et presque vide, bien que non originale, est géniale. Mais tellement sous-exploitée. Je n’ai pas eu beaucoup de frissons de peur, et pour cause ses couloirs sont peu explorés, de même que l’enquête est trop laissée de côté.
L’aspect politique est également trop peu présent et j’ai été agacée par les sous-entendus rapides et peu clairs sur le président américain responsable de la catastrophe. Soit tu expliques, soit tu n’en parles pas. Les personnages (l’auteur ?) ne voulaient pas trop se mouiller...
Enfin l’enquête est baclée, l’auteur s’appesantissant trop sur certaines thématiques comme la moralité de son personnage. Aussi la fin est trop rapide et complètement tirée par les cheveux.
Bref, j’étais un coeur facile à prendre sur cette lecture et pourtant je ne suis pas convaincue, je me dis que l’auteur est un peu passé à côté de son sujet.