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Les Disparus de Pukatapu - Patrice Guirao

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Résumé :

Pukatapu, c’est un paradis de sable blanc, de corail et de cocotiers perdu dans le Pacifique, à des milliers de kilomètres de Tahiti. Le long de ses eaux turquoise, une poignée de maisons colorées abritent quinze hommes, neuf femmes et, étrangement, pas un seul enfant.
Lilith, photographe, et Maema, journaliste à La Dépêche de Papeete, y effectuent un reportage sur les conséquences du réchauffement climatique. Elles croient avoir trouvé l’éden, jusqu’au jour où, sur la plage, Lilith découvre une petite main coupée.
Mais sur l’îlot, nulle trace d’un cadavre et personne ne manque à l’appel...

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Vos #AvisPolar

  • ludi33 25 juin 2020
    Les Disparus de Pukatapu - Patrice Guirao

    Patrice Guirao nous entraine avec son roman dans un voyage au coeur de Pukatapu, petit archipel perdu dans le pacifique, en compagnie de Lilith, photographe, et Maema, journaliste, deux amies parties faire un reportage sur la montées des eaux dues au réchauffement climatique.
    Alors que Lilith découvre une main coupée sur la plage, l’île paradisiaque va alors changer d’ambiance. Les deux journalistes vont mener des investigations qui ne vont pas plaire à tout le monde.
    L’intrigue policière est très bien amenée. On suit avec plaisir les investigations des deux amis. Et si le soleil omniprésent empêche l’atmosphère d’être trop pesante, la multiplication des morts va mener les héroïnes loin dans les secrets des habitants de l’île
    Au passage, l’auteur passe un message écologique sur l’intrusion pas toujours bienvenue du monde moderne, qui cherche à modeler à son image chaque recoin de la terre et qui mène dans ces paradis perdus des expériences.

  • Lady_cafeine 20 mars 2020
    Les Disparus de Pukatapu - Patrice Guirao

    Les Disparus de Pukatapu, une très bonne lecture, dépaysante et surprenante à plus d’un titre ! Une chose est sûre, je ne m’attendais pas à cela en commençant ce livre.

    Une main découverte sur une plage, un atoll polynésien où aucun disparu n’est à déplorer... C’est le point de départ de cette enquête, la seconde des journalistes Lilith et Maema. L’histoire est originale et les personnages le sont tout autant. L’écriture est fluide, très sobre. Le roman se lit globalement vite car l’auteur ne nous offre aucune fioriture inutile. J’ai apprécié suivre plusieurs personnages en parallèle, même si selon moi cela a limité le suspense par moments car certaines histoires "avancent" plus vite que d’autres. Les deux héroïnes se complètent, et si je déplore souvent un manque de réalisme dans les amitiés littéraires, j’ai trouvé que ces deux personnages fonctionnaient bien ensembles et l’auteur a réussi à rendre leur complicité palpable.

    Si Les Disparus de Pukatapu se suffit à soi-même et ne nécessite pas d’être lu dans l’ordre des tomes de la série, j’ai senti qu’il m’avait quand même manqué quelques clés pour mieux comprendre l’histoire commune de Lilith et Maema. Ces deux héroïnes étant plutôt attachantes, je pense lire Le bûcher de Moorea pour peut-être découvrir leur rencontre.

  • Sonia Boulimique des Livres 29 février 2020
    Les Disparus de Pukatapu - Patrice Guirao

    « Les disparus de Pukatapu » est le second tome mettant en scène notre duo, Lilith, photographe pigiste de 27 ans, et Maema, journaliste culturelle de 37 ans. Si vous n’avez pas lu le premier, ne vous inquiétez pas, vous ne serez pas gêné quant au déroulé de l’histoire, mais par contre, vous aurez loupé des moments de vie de nos personnages. Je vous conseille donc quand même de rattraper votre retard, vous ne le regretterez pas !

    Nous retrouvons Lilith et Maema à Pukatapu, petit îlot perdu dans le Pacifique, atoll fictif posé sur l’océan. Elles font un reportage sur les conséquences de la montée des eaux dues au réchauffement climatique. D’ailleurs elles attendent un chercheur de l’IFREMER qui va leur apporter l’aide technique et le point de vue scientifique dont elles ont besoin pour boucler leur article. Le cadre est toujours aussi idyllique, comme dans le premier volet, la plage de sable fin borde le lagon bleu turquoise, les cocotiers apportent un peu d’ombre, les fleurs de tiaré embaument l’air. On s’y croirait !

    L’auteur ne passe pas dix chapitres pour planter le décor, c’est un fait ! Nous entrons dans le vif du sujet rapidement, et j’aime être happée par l’intrigue dès le départ. Lilith va trouver une main coupée sur la plage. D’où vient-elle ? A-t-elle dérivée depuis longtemps ? Et surtout à qui appartient-elle ?

    Lilith et Maema vont mener l’enquête, qui ne sera pas de tout repos, vous vous en doutez ! Car dans cette communauté isolée de tout, les langues ne se délient pas facilement. La radio est le seul moyen de communication avec le monde extérieur, une goélette apporte le ravitaillement, mais au vu du nombre de passage mensuel, il ne faut pas oublier de commander de la farine, c’est clair ! Les investigations de notre duo vont déséquilibrer le groupe.

    Les traditions et croyances ancestrales sont bien présentes, j’ai adoré les découvrir au fil de la lecture. Voilà la caractéristique intéressante du polar « noir azur ». Le lecteur s’imprègne d’une autre culture, d’un cadre d’enquête exceptionnel en total contrepied des standards (ça fait du bien de sortir de Paris ou d’une grande mégalopole étrangère !). Nos protagonistes sont deux femmes, et qui n’appartiennent pas au milieu policier de surcroît. Une bouffée d’oxygène de plus !

    La plume est toujours aussi légère qu’un pétale de tiare-aute. Une écriture bleu turquoise, certes, mais qui ne fait pas dans la dentelle et met à mal le lecteur. La construction est solide, nette et sans bavure, en respectant tous les codes des polars classiques. Deux affaires se déroulent parallèlement, deux sujets graves sont développés (vous en connaissez déjà un, il s’agit du réchauffement climatique, pour découvrir le second…il vous faudra lire le roman😉 ). Cela permet de réfléchir sur les conséquences non évaluées des actes humains, j’avoue que cela m’a fait frémir.

    Nos personnages se développent encore un peu plus, Lilith et Maema deviennent nos copines, on s’attache à elles. J’aurai aimé fouiller davantage leur passé, mieux découvrir le parcours de vie qui les ont façonné. Une belle perspective pour Maema se dévoile à la fin, c’est touchant !

    Le glossaire est appréciable pour comprendre tous les termes évoqués. Quand je vous parlais d’immersion, je ne plaisantais pas, le lecteur en ressort formaté ! J’ai failli partir bosser en paréo (je rigole mais en tous cas, c’est appréciable de voir autre chose !)

    Et la phrase qui tue à la fin du roman : « Le tiaré noir » paraîtra en 2021, troisième enquête de Lilith. Et comment j’attends moi ????? Je serai au rendez-vous, c’est clair !

    #LesdisparusdePukatapu #NetGalleyFrance #PatriceGuirao #LaBêteNoire #RobertLaffont

  • Lisez.du.polar 26 février 2020
    Les Disparus de Pukatapu - Patrice Guirao

    🌺 J’ai attrapé un coup d’amour 🌺

    Avec la sortie des Disparus de Pukatapu (La Bête Noire) et la version poche du Bûcher de Moorea (Pocket), je réaffirme mon profond coup de cœur pour le polar noir azur !

    J’attendais avec impatience le retour de Lilith, son tempérament de feu, ses croyances chevillées au corps et à l’âme. Elle nous entraîne cette fois sur une petite île paradisiaque, isolée du monde : Pukatapu, ses plages de sable fin, son horizon aux milles couleurs, sa cocoteraie et ses allées de coraux. L’endroit idéal pour planquer des cadavres. Le tome 2 des enquêtes de Maema la journaliste et Lilith la photographe démarre très fort : une petite main en décomposition échouée sur le rivage, mais pas de corps.

    Dans une communauté coupée du monde, où l’isolement renforce les croyances ancestrales et exacerbe les méfiances, les morts sont le prix à payer pour cacher un lourd secret.

    Le polar noir azur, c’est quoi ? c’est le parfum des frangipaniers, le grondement des vagues et le souffle des tempêtes. C’est la culture polynésienne, ses rites, sa cosmogonie, ses croyances, indissociables de la vie de son peuple, de sa survie. C’est la beauté qui vient cacher les péchés, l’embrasement de l’horizon pour masquer la noirceur humaine.

    J’ai choisi de lire le roman sans utiliser le glossaire, pour m’imprégner encore plus de cette histoire aux parfums de tiaré, de cette culture si lointaine et si riche, du fragile équilibre de la nature et de la dévotion que lui porte le peuple polynésien. Pour finalement mieux comprendre, par delà les mots et leur traduction. Et j’ai bien fait, j’ai encore plus aimé que le Bûcher de Moorea !

    Le polar noir azur, c’est aussi de la part de l’éditeur, un très beau travail visuel, pour offrir au livre un écrin à sa hauteur : une couverture sublime et un teaser à couper le souffle.

    Je n’ai pas le talent d’écriture de Patrice Guirao, qui sait avec beaucoup de poésie porter en mots la beauté de cette culture et de ces îles. Je ne peux que vous inviter à vous plonger dans ses pages 🌺

    Quant à moi, Patrice, je serai au rendez-vous pour Le Tiaré Noir 🖤

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