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Passé parfait - Leonardo Padura

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Résumé :

La Havane. Hiver 1989. Le lieutenant Mario Conde est chargé d’enquêter sur la disparition mystérieuse du directeur d’une grande entreprise. Rafael Morfn était étudiant avec Mario Conde, il était beau, brillant et il a épousé Tamara, le grand amour de Mario. Le lieutenant Conde va mener une double recherche sur son passé et sur le disparu.


Dans ce premier roman de la tétralogie Les Quatre saisons, Leonardo Padura nous présente ses personnages : le Vieux, commissaire et grand fumeur de cigares, Carlos El Flaco, l’ami d’enfance, vétéran des guerres d’Angola cloué dans son fauteuil roulant, Josefina la cuisinière qui crée des banquets avec rien, et tout le petit monde d’un quartier populaire de La Havane autour de Mario Conde, le flic amateur de rhum et de littérature, le représentant de la génération “cachée”, celle dont la lucidité mesure cruellement les échecs des utopies.

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Vos #AvisPolar

  • IsaVP 2 septembre 2020
    Passé parfait - Leonardo Padura

    La Havane c’est comme un village, avec sa bande de copains inséparables depuis l’enfance, son lycée où les amitiés se consolident et les amours se nouent, ses bars où l’on parle des matches de baseball en buvant du rhum.
    Le lieutenant Mario Condé nous invite sur son île, avec une enquête sur un ancien camarade de classe disparu et l’on s’imprègne tellement de l’ambiance qu’on a la sensation d’être installé depuis longtemps à Cuba, d’avoir toujours connu ce groupe d’amis et de partager avec eux la douceur de l’hiver cubain et la saveur des plats locaux.
    L’enquête n’est pas en soi passionnante et traîne un peu en longueur, mais elle est un prétexte à raconter ce pays, où les habitants vivent de petites combines, avec un sens de l’amitié et du dévouement que l’on ne retrouve qu’au sein d’une même famille.
    Dans un style drôle et sensuel, Leonardo Padura nous dévoile des personnages désabusés du régime communisme et fatalistes quant à leur avenir, qui ont malgré tout conservé une profonde joie de vivre.
    Plus besoin de partir en vacances à La Havane, on vient d’y passer un roman, et c’était bien agréable

  • Sharon 20 mai 2020
    Passé parfait - Leonardo Padura

    Je ne suis pas sûre de lire à nouveau Padura avant longtemps, alors qu’il est tant de romans qui me restent à découvrir, tant d’auteurs que je n’ai pas encore lu, et que je trouve toujours ou presque les mêmes faits qui me dérangent.
    Nous sommes dans un roman policier, et c’est le premier tome de la tétralogie. Soit. Le roman est relativement court – 277 pages. Comme l’action est lente, mais lente ! Pourtant, l’enquête se déroule sur un laps de temps assez court, mais tout semble prendre du temps, y compris les déplacements d’un point à un autre pour aller interroger la mère du disparu, la maîtresse du disparu, le collègue du disparu. Oui, sa femme a été interrogée, mais même là, le rythme est lent, comme s’il fallait deux interrogatoires pour que Mario Conde ose enfin poser les questions qu’il doit poser – à moins qu’il ne veuille pas brusquer Tamara, qu’il connait depuis le lycée. En fait, il connaissait son mari aussi, et il l’enviait fortement – pour tout, y compris pour le fait d’être, à l’époque, le petit ami de Tamara, que Mario convoitait/désirait. Ce n’est pas que ce dernier fait influence l’enquête, c’est plutôt qu’il plonge le lecteur dans le passé, celui, commun, de Mario, Tamara, Rafaël, mais aussi El Flaco, et aussi celui de Cuba.
    Leonardo Padura n’est pas tendre avec Cuba, ses dirigeants, son système politique, et toutes les dissonances qui s’ensuivent. Pourquoi le serait-il, d’ailleurs ? Il est tant de choses qui ne vont pas, que ce soit dans l’adolescence, le début de l’âge adulte ou la période présente de Mario Conde. Il est aussi la violence, qui n’est pas seulement inhérente à la société, elle semble être partout – et le supérieur de Conde n’en peut plus, de tout ce qu’il voit, de tout ce qu’il constate, de ces meurtriers qui n’ont aucun remords, et même de très bonnes excuses – à leurs yeux, forcément.

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