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À toutes les femmes qu’on aime - Serge Boudoux

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Résumé :

Grâce à une campagne de vaccination massive les multiples variants du coronavirus étaient provisoirement domptés, la vie avait repris son cours normal et tout redevenait (malheureusement) comme avant. Quant à moi, blotti égoïstement dans mon petit paradis Provençal je me croyais délicieusement à l’abri des errements de cette société devenue folle sans me douter une seule seconde de ce qui allait me tomber sur la tête !

Vous ne me croirez sans doute pas lorsque je vous dirai : "j’ai rencontré le diable" pourtant c’est la vérité.
En réalité c’est lui qui est venu à ma rencontre.

On ne devrait pas écrire "le" et "lui" car mal absolu et démon sont plutôt d’un genre indéfini, même et surtout s’ils traversent parfois notre existence avec une grâce féminine exquise... pour châtier les hommes infidèles !

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Vos #AvisPolar

  • Cancie 18 août 2021
    À toutes les femmes qu’on aime - Serge Boudoux

    https://notre-jardin-des-livres.ove...

    Après une trilogie et trois autres livres, Serge Boudoux vient de publier À toutes les femmes qu’on aime pendant quelques instants secrets, un thriller fantastique truculent au style décapant.
    Les fans de Georges Brassens auront peut-être reconnu dans ce titre les paroles d’une de ses chansons « Les passantes ». Il faut cependant savoir que c’est Antoine Pol qui a écrit ce poème que Brassens a ensuite mis en musique. L’auteur cite d’ailleurs au cours de l’histoire, les vers du poète, tout comme il insère quelques vers de Jean Richepin, de Ronsard ou encore des paroles de la chanson « Le bleu de l’été » de Yvette Giraud, sans oublier le poème de Rosemonde Girard « L’éternelle chanson », dont deux vers sont devenus célèbres dans le monde : « Car vois-tu chaque jour je t’aime davantage, Aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain », la médaille orne la couverture du bouquin.
    Mais n’allez pas croire qu’il s’agit d’un roman d’amour conventionnel, pas du tout.
    Le récit débute le 25 juin 2022 et l’été semble bien démarrer, la vie pouvant reprendre son cours normal, les multiples variants du coronavirus étant provisoirement apprivoisés.
    Notre narrateur, Pierre, écrivain, héros de cette histoire, entend bien couler des jours heureux dans son petit paradis provençal, à Montauroux, pays de Fayence auprès de son épouse Nathalie.
    Mais voilà qu’une belle jeune femme se présente chez lui, alors qu’il est seul. Sa femme est partie faire du shopping et son fils Lucas, 22 ans, étudiant en médecine, est en randonnée dans le Mercantour pour cinq jours. C’est donc avec beaucoup d’empressement et d’enthousiasme que Pierre accueille cette charmante personne.
    Pierre n’hésite pas à dire, à l’issue de cette rencontre « j’ai rencontré le diable… En réalité c’est lui qui est venu à ma rencontre. »
    En effet, cette belle intruse, Léa, va embarquer notre homme assez volage jusque-là, à l’instar de beaucoup, d’après lui, dans une aventure complètement folle où des meurtres horribles s’enchaînent.
    Serge Boudoux écrit dans un style inimitable et sans pareil , n’hésitant pas à faire dire à son narrateur, amoureux invétéré de toute belle femme, toutes les pensées qui lui trottent dans la tête, des plus sérieuses aux plus foldingues, avec un humour omniprésent et souvent assez caustique. Des allusions et références aux témoins de Jéhovah ou au professeur Raoult ou plus loin dans le temps à la bête du Gévaudan sont autant de clins d’oeil ironiques. C’est également avec beaucoup de psychologie et une imagination débordante que l’écrivain brosse les portraits de ses personnages, leur donnant force et véracité. J’ai pu cependant, être parfois un peu lassée par quelques répétitions.
    J’ai trouvé intéressant aussi la manière dont l’auteur fait dire à Pierre ce qu’écrire est pour lui.
    À toutes les femmes qu’on aime pendant quelques instants secrets est un bouquin pour le moins original qui laisse beaucoup de place à l’imaginaire et qu’il est difficile de quitter avant de l’avoir fini, tant le suspense est maintenu jusqu’au bout, un bouquin porté par l’amour.
    Serge Boudoux que je remercie pour son extrême gentillesse et sa magnifique dédicace dédie son livre tout comme Brassens avait dédié son poème :
    À toutes les femmes qu’on aime
    Pendant quelques instants secrets
    À celles qu’on connaît à peine
    Qu’un destin différent entraîne
    Et qu’on ne retrouve jamais.

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