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Cinabre - Nicolas Druart

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Résumé :

Cinabre, c’est la couleur de l’hôtel le plus chic de Toulouse, étau de velours fréquenté par une clientèle fortunée. Un rouge minéral qui rappelle la couleur du sang.
L’Hôtel Ferdinand fut le théâtre d’un quadruple homicide dans les années 1980. Son directeur, Eugène Ferdinand, y massacra sa famille avant d’être abattu par la police. Toute sa famille sauf Richard, petit dernier miraculé. C’est lui-même qui décidera trente ans plus tard de rouvrir l’établissement… Mais on n’efface pas à coups de travaux monumentaux une réputation sulfureuse.

Les Rois de Pique sont six anciens camarades de promo qui ont fui l’hôpital pour se lancer en indépendants. Lorsque l’un d’eux disparaît après avoir soigné une cliente de l’Hôtel Ferdinand, personne ne semble s’en émouvoir. Seul Elliot Akerman, infirmier sensible et sans concession, va partir à sa recherche.
Pendant ce temps, Toulouse vit sous la terreur d’un tueur qui attaque ses victimes au sabre. Est-il isolé ? Et qui doit se sentir menacé ? Pour le capitaine Aubert et son équipe, c’est le début d’un combat sans fin contre une hydre voilée par des nappes de sang.

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Vos #AvisPolar

  • Lectures noires pour nuits blanches 22 avril 2023
    Cinabre - Nicolas Druart

    L’action se situe à Toulouse, la ville rose qui pour l’occasion se voile de rouge.

    Rouge comme l’Hôtel Ferdinand, principal protagoniste de cette histoire. Dans les années 1980, il fut le lieu d’un massacre perpétré par le directeur qui tua toute sa famille avant de se donner la mort. Il fait l’objet de nombreux fantasmes et toutes sortes de rumeurs circulent à son sujet, surtout depuis qu’il a été réouvert par Richard, seul rescapé de la tuerie. Il rendrait fou, il est le théâtre de nombreux suicides, des choses étranges s’y dérouleraient... Un lieu qui inspire effroi et fascination.

    Rouge comme celui qui monte aux joues d’Elliot, personnage co-vedette de ce récit. Un jeune homme au physique quelconque, plutôt introverti, fuyant les conflits et voulant plaire à tout le monde. Infirmier libéral, il a une passion, écrire des thrillers. Un personnage qui n’inspire pas une grande sympathie et qui, au fil du roman, se révèlera bien moins lisse et insignifiant qu’il n’y paraît. Quand son collègue Manu disparaît c’est tout naturellement qu’il se décide à mener l’enquête.

    Rouge comme le sang que déverse sur la ville un tueur au sabre sanguinaire. La police est sur les dents, les attaques toujours plus violentes se multiplient et le tueur semble insaisissable.

    Rouge comme le cinabre, pigment obtenu à partir du sulfure de mercure. Il paraîtrait que cette couleur serait le symbole de l’immortalité.

    Rouge comme la couverture de ce véritable page-turner que nous livre Nicolas Druart. Un thriller énigmatique et oppressant qui monte en puissance. Mais surtout un roman avec une ambiance, mystérieuse, envoûtante et d’une grande noirceur. Il a particulièrement bien travaillé l’atmosphère pesante et mystérieuse de l’hôtel. Le petit côté King et Poe mentionné sur la couverture lui sied très bien.
    Embarquée dès les premières pages, j’ai eu du mal à le lâcher. Le rythme trépidant s’intensifie jusqu’au final en apothéose. Après coup, en y repensant, je me rends bien compte qu’il y a quelques invraisemblances et de grosses ficelles sur la fin mais qu’importe, j’ai vraiment passé un excellent moment.
    J’ai aimé me perdre dans les couloirs labyrinthiques de cet hôtel, à la fois envoûtée et angoissée par le décor et l’ambiance oppressante qui y règne.
    J’ai aimé suivre ces deux enquêtes, me perdre en conjectures et me faire balader.
    J’ai aimé l’écriture de l’auteur et les nombreuses références à la pop culture qui, pour certaines, m’ont beaucoup parlé.

    Rouge comme l’encre avec laquelle j’ai écrit le nom de Nicolas Druart dans mon carnet des auteurs à suivre. Que de belles surprises et découvertes pour ce prix Harper Collins.

    Rouge comme le petit coeur que je mets à ce roman. Un excellent thriller, rythmé, plein d’action et de rebondissements, à l’atmosphère sibylline merveilleusement rendue. Une réussite !
    N’hésitez pas à faire un tour à l’Hôtel Ferdinand à vos risques et périls et bon séjour !

    https://www.facebook.com/lecturesno...

  • bonne_heure_litteraire 25 mars 2023
    Cinabre - Nicolas Druart

    Encore une belle réussite pour l’auteur avec ce dernier roman qui fut tout aussi plaisant et exaltant pour moi que les précédents.
    .
    Cinabre c’est un roman dont toute l’intrigue tourne autour de l’hôtel Ferdinand, au coeur de Toulouse, un hôtel mysterieux, qui renferme beaucoup de secrets et qui d’après la rumeur, serait un lieu où bon nombre de gens ont disparu où se sont donnés la mort car l’hôtel rendrait fou, ceux qui y logent, surtout quand on connait l’effroyable fait divers qui a fait connaitre cet hôtel.
    .
    Cet endroit m’a beaucoup fait penser à la série "American Horror Story" particulièrement la saison dans laquelle joue Lady Gaga pour ce qui l’ont vu, car cette saison se déroule également dans un hôtel où il se passe des choses macabres, loufoques et où l’atmosphère se veut dérangeante. Voila comment j’ai perçu l’hôtel Ferdinand.
    .
    Et bien sûr comme pour chaque bon thriller qui se respecte, la manipulation du lecteur est bien présente. On pense se faire une idée de certains personnages, de leurs vies...et au final on a tout faux, à moins que...🤔 Un roman qui vous pousse à vous creuser les méninges, qui maitrise parfaitement les codes d’un bon thriller avec rebondissements, grosse dose d’émoglobine, suspense, angoisse, retournement de cerveau et le tout dans un "what the f*ck" final qui vous laisse vraiment sans voix.
    .
    J’ai adoré, j’ai apprécié chaque chapitre, j’aime énormement la plume de cet auteur et j’en redemande encore !

  • lecturesdudimanche 24 février 2023
    Cinabre - Nicolas Druart

    Une couverture intrigante, un résumé alléchant, un partenariat tout frais avec HarperCollins… autant d’éléments qui m’ont convaincue de tenter une nouvelle fois la plume de Nicolas Druart ! J’ai démarré doucement, prudemment, comme quand on teste du bout de l’orteil la température de l’eau de la piscine pour savoir s’il faut y aller piano ou plonger d’un coup. Parce que j’avoue avec sincérité que je n’avais pas été séduite par l’enclave !

    Cette fois, la magie a opéré très rapidement ! Direction Toulouse, où on fera la connaissance de deux individus particulièrement attachants. On a d’abord Antoine, enquêteur divorcé mais qui garde un lien véritablement privilégié avec sa petite fille, préservant dans sa vie vouée à la traque d’odieux criminels une bulle d’oxygène journalière dans laquelle rien d’autre qu’elle ne compte. Antoine et son équipe traquent un criminel qui s’amuse à trancher des chairs et leur enquête prend très vite une tournure très particulière. Vient ensuite Elliot, infirmier et apprenti écrivain, hypersensible et, de l’avis de tous, toujours trop stressé. Ainsi, lorsqu’il tente d’alarmer son entourage de la disparition inquiétante de l’un de ses collègues, il n’est une nouvelle fois pas pris au sérieux ! D’autant que le seul indice dont dispose Elliot est que son collègue a disparu juste après une visite dans un hôtel toulousain à la réputation sulfureuse : l’Hôtel Ferdinand, qui fût le théâtre d’un drame bien des années auparavant et qui, depuis, est source de rumeurs et de légende urbaine.

    Comme un hôte privilégié, le lecteur pénétrera dans l’un des plus somptueux et énigmatiques hôtels de Toulouse. L’hôtel exercera sur nous la même puissante aura que sur Elliot : un soupçon de peur, une dose de mystère et une profusion de luxe et de divertissements qui nous happent dès le début ! Et pendant que la ville vit dans la terreur d’un tueur aux motivations des plus obscures, Elliot s’enfonce dans une addiction envoûtante.

    L’auteur joue avec nos nerfs grâce à une ambiance admirablement posée, qui oppresse tout au long de la lecture. Quelques retournements de situation surprennent, d’autres sont amenés discrètement, en sorte que les plus attentifs d’entre nous aurons ressenti la fierté d’ « avoir deviné » !

    La fin prend son temps et, lorsque le dénouement se déroule en nous promettant de souffler un peu, parce que le Bien a presque triomphé du Mal, l’auteur embusqué nous tend un dernier piège ! Pour résumer tout cela, rien qu’un mot : Magistral…

  • mouffette_masquee 5 janvier 2023
    Cinabre - Nicolas Druart

    Résumé : L’Hôtel Ferdinand, théâtre dune horreur sans nom à la fin des années 80 : le propriétaire y a assassiné toute sa famille. Sauf son fils, Richard, qui a évité la mort de peu. Trente ans plus tard, il rouvre l’Hôtel, mais celui-ci garde une sombre réputation : les gens s’y suicident, deviennent fous.
    Les Rois de Pique est un cabinet infirmier formé par six anciens camarades. Quand l’un d’eux disparaît après avoir prodigué des soins dans l’Hôtel, Elliott s’en inquiète immédiatement et décide de le retrouver. Mais il ne sait pas dans quoi il s’embarque...
    Au même moment, un tueur fou attaque des gens au sabre et terrorise la ville de Toulouse, qu’il semble choisir au hasard. Y a-t-il un lien ?

    Mon avis : Je découvre l’auteur avec ce livre (bien que son précédent, « L’enclave », me fait de l’œil) et c’est une très bonne surprise ! J’ai beaucoup aimé l’ambiance pesante et hors du temps de l’Hôtel Ferdinand, avec au fond de ma tête le fameux « Shining » de Stephen King. Je me suis laissé guider par la descente aux enfers d’Elliott. L’Hôtel, comme un personnage à part entière du récit, semble vivant, avec une âme sombre et ensorcelante, telles les sirènes maudites qui charment pour vous attirer vers la mort. Mais point de fantastique ou de paranormal ici, rassurez-vous ! C’est un thriller psychologique puissant et sombre, où il est difficile de se maintenir à flot sans sombrer à notre tour dans la folie. Véritable page-turner, le suspense est addictif, grâce à ses nombreux retournements de situation et son environnement anxiogène : j’ai décoré ce livre en quelques jours, avide de comprendre, de connaître le dénouement. Et j’ai été bluffée ! Si je n’avais qu’un conseil à vous donner, c’est de prendre au plus vite votre réservation pour l’Hôtel Ferdinand, si vous l’osez...

  • Chineuse Deculture 20 mai 2022
    Cinabre - Nicolas Druart

    Quelle déception, un début prometteur avec une mise en place intrigante, typologie de crime et héros intéressant. Le verbe est travaillé, les formules ampoulées, Druart sait écrire. Mais le dernier titre du livre se précipite, les ficelles mutent en corde, pas de surprise, et tout ce que vous soupçonniez du début se réalise. a suivre toutefois.

  • Les_lecturesdeflo 4 mai 2022
    Cinabre - Nicolas Druart

    Mais quel bouquin ! Impossible de le lâcher !

    Je suis une nouvelle fois conquise par la plume et l’imagination de Nicolas Druart. Mais où va-t-il chercher de telles histoires ? Il a vraiment le don de transporter son lecteur dans un univers parallèle, dans lequel la folie flirte avec la raison, la fiction avec la réalité, le surnaturel avec le rationnel, un univers imprévisible, stupéfiant et effrayant.

    « Cinabre, c’est la couleur de l’hôtel le plus chic de Toulouse, étau de velours fréquenté par une clientèle fortunée. Un rouge minéral qui rappelle la couleur du sang »

    Je me suis perdue volontairement au coté d’Elliot dans les couloirs du mystérieux hôtel Ferdinand. Plus j’avançais et plus je me demandais comment l’auteur allait s’en sortir.

    Le dénouement est un peu trop tiré par les cheveux à mon goût, mais peu importe, car une chose est certaine, c’est que l’ambiance angoissante m’a donnée les chocottes, et que j’ai pris ENORMEMENT de plaisir à lire ce livre.

    Tout comme L’enclave, Cinabre n’est pas un livre qu’on oublie, car tout les ingrédients qui le composent en font un thriller original et marquant.

    Il dresse au passage un constat accablant sur l’évolution de nos modes de vie. C’est un moyen habille de pointer du doigt un fléau qui ronge notre société.

    Je vous invite à découvrir cet auteur si ce n’est pas encore fait.

  • universpolars 30 avril 2022
    Cinabre - Nicolas Druart

    Je suis - suivre, donc … - cet auteur depuis ses débuts et j’ai remarqué une belle évolution au fil de ses bouquins. Je suis parfois allé à contre-courant avec mes retours, mais j’adhère à ce style qui tend vers le huis clos, l’intrication psychologique, ou les deux à la fois, évidemment. Une sorte de subtilité que j’apprécie beaucoup en ressort bien souvent.

    Ce récit nous amène une fois de plus à Toulouse - bon sang, il pleut beaucoup !! - et le milieu hospitalier n’est jamais très loin. Bien entendu, un auteur parle de ce qu’il connaît, non … ?

    Un vrai massacre perpétré sur une place du centre-ville va déstabiliser les membres de la PJ, ceci de par son mode opératoire. Il faut admettre qu’il n’est pas courant.

    Nous évoluons en fait sur deux axes. Sur l’un, nous suivons la police criminelle qui enquête sur ces agressions et, sur l’autre, nous suivons un infirmier prénommé Elliot, qui s’inquiète de la disparition de l’un de ses collègues, depuis qu’il est allé soigner une patiente dans l’hôtel situé en face de leur cabinet, l’Hôtel Ferdinand. Ne reste plus qu’à tirer la courbe qui va s’élever entre ces axes !

    J’ai beaucoup aimé suivre le personnage d’Elliot, un infirmier très angoissé dans la vie, réservé, qui aime écrire des thrillers à ses heures perdues - une autobiographie monsieur Druart … ? Je ne l’espère pas, du moins pas entièrement. Au niveau psychologique, l’auteur nous démontre d’une façon radicale à quel point un être humain peut changer, ou à quel point on peut le faire changer. Assez subtile.

    Un autre personnage a attiré toute mon inattention. L’Hôtel Ferdinand. Il n’a pourtant rien de lugubre, comme ça, au premier abord, mais je vous assure que c’est justement ça qui inquiète. C’est très paradoxal. Cet établissement va prendre beaucoup de place entre ces pages, mais aussi dans votre esprit. Ce contexte fou et anxiogène m’a fait penser à un thriller récent de Patrick Senécal et, franchement, il y a pire comme référence !

    La morale, le jugement ou encore l’esprit de liberté sont des termes qui vont rythmer ce récit, voire carrément mener la danse. Qu’est-ce qui est bien ou mal ? Qui le définit ? Ces questions vont s’avérer être intéressantes pour les lecteurs de ce bouquin.

    Malgré un dénouement un peu « Rock n’roll », j’ai beaucoup aimé la finalité de cette trame, à savoir qu’un événement isolé et ponctuel peut grandement changer le cours des choses.

    A lire.

  • Musemania 2 avril 2022
    Cinabre - Nicolas Druart

    La plume de Nicolas Druart ne m’est pas inconnue car il y a quasi un an, je l’avais découverte avec l’excellent « L’enclave », un thriller pour lequel j’avais eu littéralement un énorme coup de coeur. Cette année, Nicolas Druart nous propose à nouveau un thriller, « Cinabre » et à nouveau, il a réussi à entièrement me chambouler.

    Ici, on quitte les terres assez sauvages de la vallée du Lot pour rejoindre la ville de Toulouse. On va y visiter l’hôtel le plus chic de la ville, « L’Hôtel Ferdinand ». Ce dernier a connu un épisode terrible dans les années 80, lorsque son propriétaire fut abattu par la police après qu’il ait massacré sa famille, à l’exception de son petit dernier, Richard. A part cela, je ne vous en dirai pas plus pour ne pas gâcher votre potentiel plaisir de lecture.

    Nicolas Druart a, comme pour « L’enclave », fait de son lieu un personnage à part entière. L’Hôtel Ferdinand est finalement un protagoniste dans l’histoire : il vit, se modifie, évolue, transpire ses sentiments. Par les descriptions de l’auteur, on a l’impression d’avoir soi-même logé dans une de ses chambres, d’y avoir parcouru les interminables couloirs et d’en avoir ressenti ses mystères.

    Le suspens est encore une fois bien au rendez-vous. Parfait « page-turner », il vous tiendra en haleine durant plusieurs heures et vous ne souhaiterez qu’une seule chose : en connaître la suite. Le problème évident avec ce type de thriller, c’est qu’il est tellement bon que, même si on veut découvrir le dénouement, on n’a pas envie qu’il se termine.

    J’ai autant apprécié les personnages, les lieux, les enquêtes, l’ambiance pesante, bref : tout. Je n’ai absolument aucun grief à formuler dans cette lecture. Cela ne servirait (mais alors pas du tout) de chercher de midi à quatorze heure des points négatifs, car, pour moi, je n’en trouverai certainement pas.

    Je ne peux que vous conseiller vivement ce bouquin d’une des nouvelles voix du thriller français qui constitue l’un de mes coups de coeur de cette année.

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