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Et le mal viendra - Jérôme Camut - Nathalie Hug

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Résumé :

" On vous a alertés sur la valeur inestimable de l’eau, vous n’avez pas voulu voir. Alors on vous a assoiffés, et vous vous êtes entretués. Va-t-il falloir que l’on entasse six mille cadavres d’enfants devant vos portes pour que vous réagissiez enfin ? "

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Vos #AvisPolar

  • eTemporel 21 avril 2020
    Et le mal viendra - Jérôme Camut - Nathalie Hug

    J’ai découvert l’univers de Jérôme Camut et Nathalie Hug avec Islanova en octobre 2019. J’avais adoré ce thriller écologique, un roman engagé mais dénué de jugement et un excellent moment de lecture. Et le mal viendra en est la suite directe, même s’il revient sur les événements de 2025 pour apporter nombre de précisions totalement indispensables, à mon sens. J’avais hâte de retrouver tous ces personnages et c’est encore en compagnie de mon amie Julie que je l’ai fait.

    Ce second volume se déroule entre 2015 et 2028. L’intrigue se tient trois ans après les attentats de 2025, alors que Julian Stark est toujours sur les traces de sa fille Charlie, radicalisée par l’Armée du 12 Octobre. Pourtant, de nombreux flashback nous ramènent en arrière, à l’heure où la vie de Morgan Scali, l’ennemi public numéro un, a basculé avec le décès de sa femme lors de l’attentat du Bataclan en 2015. Ce sont autant d’excursions dans le passé qui suivent le parcours de Morgan et ses enfants, Shana et Milan, mais aussi ceux de Vertigo, Abigail, Novak et Ozalee et nous guident vers la génèse d’Islanova.

    Le parallèle entre Morgan et Julian est clairement le point fort de ce roman. Ce sont deux hommes forts et profondément humains, mais là où l’adversité - et quelle adversité, il faut bien le dire ! - finit par faire plonger le premier dans le terrorisme, le second s’accroche à ses convictions. Dénué de manichéisme, ce livre nous offre deux personnages extraordinaires, envers lesquels on ne peut s’empêcher d’éprouver de l’empathie, même pour le terroriste, oui. La construction du roman est hyper bien faite pour ça, c’est malin et passionnant. Aucun détail d’Islanova n’est oublié, tout trouve son explication ici et c’est génial !

    Malgré les attentats, j’ai apprécié l’humanité qui se dégage de cette histoire. La manière dont on assiste à la montée de la résolution de Morgan, jusqu’à dépasser cette limite qui ne devrait jamais être franchie. J’ai aimé, comme dans le premier tome, le message écologique et humaniste, et j’ai été touchée, malgré tout, par le Manifeste pour la Vie de Morgan Scali, présent à la fin du livre. Enfin, j’ai trouvé passionnant - et effrayant aussi, bien sûr ! - de voir comment les gouvernements et les sociétés d’armement peuvent s’allier pour arriver à leurs fins.

    Bref, je ne me suis pas ennuyée une seconde et j’ai dévoré ce roman ! Une lecture rythmée, complexe mais intelligente et vraiment prenante. De quoi me donner envie de découvrir très vite les autres romans de ce duo d’auteurs. Foncez !

  • Aude Lagandré 6 octobre 2019
    Et le mal viendra - Jérôme Camut - Nathalie Hug

    Ce pourrait être un conte philosophique humaniste, un tract pamphlétaire, un programme politique, une dissertation sur la légitimité de l’être humain, une fable pour enfants appelant à l’égalité, une diatribe sur le bien et le mal, une satire sur la propension à juger, un brûlot sur l’hypocrisie, un réquisitoire pour ou contre la violence.

    C’est un roman. Un thriller sociétal. Un thriller qui vous assène des vérités que vous n’avez ni envie d’entendre ni envie de voir. Un roman qui m’a faite me sentir misérable, méprisable, honteuse. J’en sors touchée, cabossée, coupable, vexée, furieuse, blessée, triste.

    Je ne me lancerai pas dans un résumé de ce livre. C’est tout simplement impossible. J’ai rarement lu une œuvre aussi dense, aussi condensée, capable d’aborder avec intelligence tant de sujets qui devraient nous préoccuper au quotidien, mais qui ne nous touchent plus. Que faisons-nous bien installés au fond de nos canapés, devant nos télés ou nos journaux de presse écrite, hurlant contre les scandales qui passent nos portes quotidiennement, contre les photos abjectes qui emplissent nos cerveaux ? Rien… Nous sommes devenus des moutons anesthésiés refusant souvent de voir parce que cela nous dérange. Voilà l’effet que ce livre a eu sur moi.

    Des images me revenaient sans cesse en tête : les plages japonaises pleines du sang des baleines, des ours polaires faméliques piégés sur un minuscule morceau de banquise, des photos d’enfants morts sur le sable ayant tenté de fuir leur pays en guerre, des corps décharnés mourant de faim et de soif, des morts par balles aux terrasses des cafés, des exécutions dues à des dessins ou des propos polémiques… et même, pour parler un peu d’un sujet proche, des gilets jaunes. Une expression aussi : humanité de merde…

    Vous voulez savoir comment on passe de l’humanisme au terrorisme. Lisez ce roman.

    Vous voulez rêver « d’un monde où les uns et les autres prendraient soin de tous » ? Lisez ce roman.

    Vous voulez comprendre pourquoi « L’humanité scie la branche sur laquelle elle est assise » ? Lisez ce roman.

    Vous souhaitez être éclairés sur la notion de sacrifice ? Lisez ce roman !

    Des sujets très actuels comme l’environnement, l’économie, la technologie se répandent à foison au gré des rencontres avec les différents protagonistes découverts dans « Islanova » ou la trilogie « W3 ». Mais ce sont bien les personnages qui mènent le roman. Deux hommes, deux destins, pour deux temporalités : l’une commence en 2016, l’autre en 2018. Un but commun : changer les choses. Leurs différences résident dans la manière d’œuvrer.

    Aux confins de l’Afrique jusqu’aux terrasses parisiennes, Jérôme Camut et Nathalie Hug vous embarquent pour une ballade dans notre monde, celui que nous avons construit et que nous laisserons à nos enfants. Il y a de quoi s’inquiéter… Il y a de quoi avoir honte… Ces auteurs ont décidé de mettre leurs révoltes et nos contradictions sur le papier et nous les envoient en pleine face. La violence du choc m’a mise KO debout, terrassée par la vacuité de ma propre vie, prenant conscience de ce confort étonnant de découvrir les combats des autres qui mettent ainsi en exergue l’absence des miens. Accrochez-vous à vos sièges parce que ça va secouer, vous n’êtes pas prêts de dormir sur vos deux oreilles, à moins d’avoir zéro conscience et pas une once de culpabilité.

    J’en ressors groggy, dévastée par une palette d’émotions rarement ressenties à la lecture d’un seul livre, incapable de choisir mon camp, impuissante à offrir un début de réponse sur la façon opportune de mener les combats qui devraient être les nôtres. Notre irresponsabilité, collective, ne nous honore pas.

    J’ai été autant attachée à Morgan Scali et sa soif d’idéaux, qu’à Julian Stark pour son besoin de vengeance et sa droiture. Finalement, ils ne sont pas si opposés lorsqu’on creuse un peu. Ils sont les vecteurs de cette histoire bouleversante, terriblement humains et humanistes, entiers, et idéalistes.

    Ce récit est éclairant. Ce récit est engagé sans être moralisateur. Ce récit nous projette dans un avenir proche aux inégalités qui se creusent, un monde dans lequel les disparités provoquent les conflits, la haine, la révolte et le besoin de plus de justice sociale.

    Et le mal viendra… À moins qu’il ne soit déjà là…

  • Killing79 25 avril 2019
    Et le mal viendra - Jérôme Camut - Nathalie Hug

    Mon seul et unique contact avec le couple Jérôme Camut et Nathalie Hug se résume au premier épisode de leur série W3. J’avais trouvé ce thriller efficace et sombre à souhait. Depuis, mon envie dévorante de nouveautés et ma PAL toujours croissante ne m’ont pas permis de renouveler l’expérience.

    Pour ce volume, on tend plus dans le roman d’aventure. Comme ces auteurs ne font jamais dans la simplicité, l’histoire est assez complexe. En effet, les personnages sont multiples et sont transportés à chaque chapitre d’une époque à l’autre. Il faut donc quelques dizaines de pages afin d’appréhender au mieux les liens qui les unissent. Mais une fois tout le tableau maîtrisé, on peut se laisser porter dans cette aventure.

    Et quelle aventure ! Se déroulant dans un futur proche, le roman aborde les thèmes de l’environnement et des inégalités sur la planète. Il confronte le monde actuel aux actes de l’être humain. Pour traiter de ces sujets, les auteurs ont décidé d’utiliser l’angle de la guerre. Les évènements alternent entre les deux camps de cette confrontation : les idéalistes et les gouvernants. On suit donc chaque acteur, avec ses convictions et ses devoirs. Les protagonistes sont attachants, pleins de nuances et conforte l’histoire dans un réalisme prenant.

    La qualité de cette aventure est bien sûr basée sur la puissance romanesque insufflée par les auteurs. Mais elle repose aussi sur sa neutralité. Elle ne choisit jamais son camp, elle n’est jamais à charge et veut juste paraître réaliste sur la situation. Pas de bien, pas de mal, juste des conséquences. Le lecteur n’a donc pas l’impression de subir un livre à charge et manichéen mais de seulement prendre conscience d’un futur possible.

    « Et le mal viendra » fait partie d’un diptyque mais peut parfaitement se lire seul. La lecture de ce second épisode va juste vous donner, comme moi, l’envie de vous jeter sur le précédent. Vous découvrirez une histoire rythmée, surprenante et passionnante. Vous continuerez aussi de collecter les différentes pièces de l’œuvre foisonnante et intelligente du couple Camut/Hug. Bravo à eux !

    http://leslivresdek79.com/2019/04/25/454-jerome-camut-nathalie-hug-et-le-mal-viendra/

  • universpolars 15 avril 2019
    Et le mal viendra - Jérôme Camut - Nathalie Hug

    L’Afrique, sa grandeur, sa splendeur, sa richesse, sa végétation et sa faune. Voilà les éléments qui nous accueillent lorsque nous tournons les premières pages de ce livre et que nous débarquons en République démocratique du Congo.

    Un gorille - un mâle Alpha - sera là pour cet accueil et, tacitement, il vous expliquera clairement que sur ce territoire, il est chez lui et vous, l’étranger, vous êtes juste invité. Toléré ? Aucun blabla, évidemment, juste une aura puissante et autoritaire. Il n’y aura pas que ce gorille qui réagira de la sorte...

    Car en tournant encore quelques pages, vous constaterez que ce pays pauvre, sanguinaire et instable dégage une violence inouïe, brute, sans aucune concession. Parachutés au milieu de diverses milices rebelles, constituées notamment d’enfants-soldats - de soldats tout court finalement, l’enfant est mort -, nous n’aurons aucun doute sur un point : l’espoir n’existe pas. A qui la faute ?

    Ce qui vous marquera probablement aussi, en tournant ces pages, c’est cette échelle graduée qui vous situera dans le temps, au cours de la lecture. Elle commence en 2016 et se termine ... en 2028.

    Le terrorisme sera au centre de cette intrigue, mais pas uniquement au sens que vous pourriez l’imaginer. Aucun fusil d’assaut en jeu, ni d’arme de poing, pas d’effusions de sang, pas de bombe, aucune ceinture bourrée d’explosifs, ni d’arme blanche. Rien de tout cela ! Mais une violence énorme ...

    Et justement ... Ce récit nous révèle la montée en puissance - en violence ! - et - surtout ! - une prise de conscience d’un homme déterminé, en souffrance, un bon père de famille qui a décidé d’aller aider là où il peut être utile. Un homme qui a décidé de tenir une promesse. C’est très paradoxal non ? Cet aspect-là de la trame m’a déstabilisé. Le principe de combattre la violence par la violence prendra ici tout son sens.

    Ce volet-là de l’intrigue sera capital et vous obligera à vous poser mille questions liées à la conscience : le bien et le mal, la fin justifie-t-elle les moyens, défendre une bonne cause à tout prix, et j’en passe. Vous aurez certainement du mal à vous situer, à trouver un endroit stable où poser votre conscience.

    Le caractère des personnages s’épaissit très rapidement au fil des pages. Quelques notions apparaîtront petit à petit, telles qu’un décès tragique et injuste non-accepté - le déni total - et, par extension, la douleur, la détermination, puis la folie. Quoique ...

    Deux hommes vont être ici confrontés. Le premier, complètement obnubilé par ses convictions, puissant, doit absolument être stoppé. Le second, un flic aux abois, qui compte retrouver sa fille par tous les moyens, fera tout pour l’arrêter. Bon, c’est assez réducteur comme présentation, car des circonstances complexes lieront l’un et l’autre d’une manière très étroite !

    Ballottés entre deux périodes éloignées d’une douzaine d’années, nous allons pouvoir régler notre focus d’une manière toujours plus précise, afin d’obtenir un regard clair et net sur ces événements.

    De cette manière, nous allons comprendre progressivement comment une puissante cellule terroriste peut se mettre en place, mais aussi pourquoi. Encore une fois, il faudra aborder le terme terroriste dans son sens le plus large.

    Nous pourrons alors comprendre que plusieurs paramètres sont essentiels, à savoir les rencontres - parfois hasardeuses -, de la hargne, de la conviction, de l’autorité et pas mal de chance. Mais, ce qui ressortira comme étant l’élément le plus fort, ce sera le sentiment de faire quelque chose de juste. C’est ce point-là qui vous causera, sans doute, un problème de conscience.

    Les éléments du passé, qui défilent devant nos yeux étape par étape, chapitre après chapitre, nous aideront à comprendre toujours un peu plus ce que nous vivons au présent, soit l’enquête en cours. Le lien entre les deux époques est construit subtilement et avec beaucoup de finesse.

    Humainement parlant, ce récit est puissant ! Cette histoire est une vraie prise de conscience, doublée d’une sérieuse remise en question qui nous poussera inexorablement à ouvrir les yeux. Pour ce dernier point, les protagonistes de ce roman ont choisi la manière forte, soit de forcer la main pour ne laisser aucun choix possible.

    D’un point de vue familial, l’approche sera douloureuse et difficilement concevable. Sur ce point-là, je vous laisserai en juger par vous-même. Lorsque la haine et la détermination se mêlent à la naïveté, à l’utopie ou peut-être même à l’ignorance, le spectacle en devient effroyable.

    Ce récit engagé vous conduira, avec son dénouement, vers une montagne de questions liées à la conscience, qui vous tourmenteront, tortureront votre esprit critique et satureront votre conscience d’antinomies et de contradictions.

    Mais, au final, chacun arrivera à se forger sa propre opinion, j’en suis persuadé. J’ai énormément utilisé le mot conscience dans cette chronique et je pense que vous comprendrez pourquoi après avoir lu ce livre.

    Bonne lecture.

  • C’est Contagieux 28 mars 2019
    Et le mal viendra - Jérôme Camut - Nathalie Hug

    La chronique qui est venu qui a vu et qui a été vaincue ! COUP DE FOUDRE !

    Il y va des livres comme de l’amour, des livres dont tu tombes instantanément amoureux - un lecteur/une lectrice, ça a un petit cœur d’artichaut tu sais – et qui vont continuer à t’accompagner sur une bonne partie de ton chemin de vie. Des livres « coups de foudre ».
    « Et le mal viendra » en fait assurément partie. Il est composé de phéromones tenaces. Ta dernière pensée est pour lui quand tu te couches et la première chose qui imprègne ton esprit au petit matin est une nouvelle pensée pour lui, fugace ou pas.

    Pour vous mettre dans l’ambiance, voici comment le roman démarre : « L’Afrique tu te la prends dans la gueule et tu l’aimes ou alors tu remontes dans le premier coucou et tu te casses le plus loin possible ».
    Effectivement, on se le prend dans la gueule ce roman !

    C’est rare qu’un thriller dégage autant d’émotions contradictoires. La force des Camhug (contraction de Jérôme Camut et Nathalie Hug), c’est de parler à tes tripes et à ton cœur avec la même énergie alternant les moments d’une beauté à couper le souffle, chargés de poésie et de silences, et les scènes d’action époustouflantes dignes des plus grands films d’action. Certaines scènes sont si magnifiquement découpées que tu te vois transporté dedans, une immersion en zone littéraire addictive.

    « Et le mal viendra » est un roman populaire (avec toute la noblesse du terme), un blockbuster sociétal, une épopée à la Jules Verne mâtinée d’un thriller épique, un passeport pour l’aventure. Mais quel souffle ! L’action saute aisément d’un continent à l’autre entre Europe et Afrique, une vadrouille entre terres inconnues et polar urbain. Et non seulement cette dichotomie fonctionne mais en plus elle lustre le bouquin d’un vernis précieux.

    Ce livre est d’une richesse phénoménale et d’une ambition folle. Que ce soit dans la démesure vertigineuse de l’intrique ou dans le soin et la finition apportés aux personnages. Un vrai travail d’orfèvre tant les ciselures et les déchirures de chacun y sont admirablement dépeintes. Les personnages sont si contrastés, jamais noir ou blanc, que l’identification et l’empathie fonctionnent à plein régime.

    Les sujets traités sociétales et politiques (l’éco-terrorisme, la radicalisation, la raréfaction de l’eau…) font mouche. Les Camhug tutoient l’époque et en démontent les rouages. Leur constat est implacable et fait dresser les cheveux sur la tête ; les événements décrits dans ce roman paraissent si réels et si crédibles qu’ils en deviendraient possibles dans notre réalité.
    L’acuité des auteurs à comprendre la Société et à nous la recracher en pleine gueule est tout simplement bluffante. D’ailleurs, l’une des idées centrales du livre est de montrer comment, insidieusement, se construisent et se propagent les idées extrémistes. Cela peut partir d’une idée noble voire altruiste et pourtant finir dans le drame le plus absolu. L’enfer est pavé de bonnes intentions mais ses marches sont glissantes. Comme à chacun de leur roman, les Camhug se paient le luxe de susciter la réflexion sans jamais sacrifier au dynamisme puissant du thriller.

    Impossible de terminer cette chronique sans saluer la fin du roman qui touche à la perfection. C’est tellement rare une fin aussi ultime et aussi réussie. Combien de romans avec-vous kiffé tout du long avant d’être déçu et frustré par la fin, un goût amer dans la bouche ? Ce ne sera pas le cas ici, vous l’aurez compris. Au contraire, elle vous hantera de nombreux jours durant une fois le livre refermé. La marque d’une GRANDE œuvre.
    Je vous parlais de coup de foudre en début de chronique mais comment ne pas avoir de crush pour un bouquin qui t’étreint avec autant de passion et de grâce ?

    Chronique à retrouver sur https://cestcontagieux.com/

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