- Auteur : A.J. FINN
- Traducteur : Chloé Royer
- Genre : Suspense, Thriller / Drame
- Editeur : Presses de la Cité
- Date de sortie : 16 mai 2024
- EAN : 9782258209022
Disponible sur
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Résumé :
« Je serai mort dans trois mois. Venez écrire mon histoire. »
Voici ce que demande Sebastian Trapp, célèbre auteur de romans noirs, à Nicky Hunter, sa correspondante de longue date. Cette dernière, experte en littérature policière, le rejoint donc dans sa superbe demeure de San Francisco pour l’aider à rédiger sa biographie. C’est là qu’il vit reclus avec sa seconde épouse, sa fille et son neveu. Mais si, en apparence, tout se passe à merveille, Nicky ne peut s’empêcher de repenser à la mystérieuse disparition de la première femme et du fils aîné de Trapp, une nuit de 31 décembre. Cette affaire non résolue vieille de vingt ans aurait-elle un lien avec la requête de l’écrivain ?
Par l’auteur à succès de La Femme à la fenêtre !
« Le nouveau roman d’A. J. Finn est beau, intense, envoûtant. J’ai été subjuguée. » - Lisa Jewell, auteure
« Captivant… Fin de l’histoire nous délecte de références aux grands romans policiers et offre des rebondissements aussi habiles qu’inattendus. » - Wall Street Journal
Source : éditions Les Presses de la Cité
Musemania 18 juillet 2024
Fin de l’histoire - A. J. Finn
A.J. Finn n’est pas un nom inconnu dans le cadre de la littérature noire. Et même si cela ne vous dit rien, vous connaissez sûrement son premier thriller : soit pour l’avoir lu, soit pour en avoir vu l’adaptation cinématographique, « La femme à la fenêtre ».
Pour ma part, je l’avais lu à sa sortie et je l’avais beaucoup aimé. J’ai aussi vu l’adaptation avec Amy Adams et préférais quand même le bouquin. A.J. Finn revient cette année avec son second thriller, « Fin de l’histoire ».
J’ai trouvé que celui-ci est, avant tout, un roman d’ambiance. La maison de l’écrivain Sebastian Trapp à San Francisco a un environnement vraiment particulier, une espèce d’atmosphère assez oppressante où on perçoit que de nombreux secrets sont cachés entre ses murs.
C’est pour cela qu’il ne faut pas s’attendre à Ille et une action dans une bonne partie du livre qui compte un peu plus de 600 pages. Pourtant, cela m’a beaucoup plu et j’ai été embrigadée par l’histoire.
Comme pour sa première œuvre, A.J. Finn aime surprendre ses lecteurs et offrir des retournements de situations qu’ils ne soupçonnaient pas le moindre du monde. Et c’est cela qui plaît aux lecteurs, dont je fais partie.
La plume est à nouveau très fluide et agréable. Je me suis rendu compte que, comme pour « La femme à la fenêtre », je ne parvenais pas à éprouver de l’empathie pour les personnages, que ce soient Nicky ou Sebastian. Mais ce n’est pas grave car cela n’a pas du tout entaché mon plaisir de lecture.
La dernière partie se dévore et a complètement chamboulé les soupçons que je m’étais forgés. Bref, un très bon moment de lecture, très visuel et parfait à glisser dans votre valise pour cet été !
Musemania 18 juillet 2024
Fin de l’histoire - A. J. Finn
A.J. Finn n’est pas un nom inconnu dans le cadre de la littérature noire. Et même si cela ne vous dit rien, vous connaissez sûrement son premier thriller : soit pour l’avoir lu, soit pour en avoir vu l’adaptation cinématographique, « La femme à la fenêtre ».
Pour ma part, je l’avais lu à sa sortie et je l’avais beaucoup aimé. J’ai aussi vu l’adaptation avec Amy Adams et préférais quand même le bouquin. A.J. Finn revient cette année avec son second thriller, « Fin de l’histoire ».
J’ai trouvé que celui-ci est, avant tout, un roman d’ambiance. La maison de l’écrivain Sebastian Trapp à San Francisco a un environnement vraiment particulier, une espèce d’atmosphère assez oppressante où on perçoit que de nombreux secrets sont cachés entre ses murs.
C’est pour cela qu’il ne faut pas s’attendre à Ille et une action dans une bonne partie du livre qui compte un peu plus de 600 pages. Pourtant, cela m’a beaucoup plu et j’ai été embrigadée par l’histoire.
Comme pour sa première œuvre, A.J. Finn aime surprendre ses lecteurs et offrir des retournements de situations qu’ils ne soupçonnaient pas le moindre du monde. Et c’est cela qui plaît aux lecteurs, dont je fais partie.
La plume est à nouveau très fluide et agréable. Je me suis rendu compte que, comme pour « La femme à la fenêtre », je ne parvenais pas à éprouver de l’empathie pour les personnages, que ce soient Nicky ou Sebastian. Mais ce n’est pas grave car cela n’a pas du tout entaché mon plaisir de lecture.
La dernière partie se dévore et a complètement chamboulé les soupçons que je m’étais forgés. Bref, un très bon moment de lecture, très visuel et parfait à glisser dans votre valise pour cet été !
Aziza_Linda 9 juillet 2024
Fin de l’histoire - A. J. Finn
Lu dans le cadre de l’OP CLUB VIP - BEPOLAR, je n’ai malheureusement pas du tout accroché. Je dirais même que cette lecture fut un supplice. Il y a beaucoup trop de descriptions à mon goût et c’est rédhibitoire pour moi.
Le début était plutôt pas mal mais ensuite j’étais obligée de lutter pour ne pas m’endormir.
Les 100 derniers pages révèlent un twist inattendu mais qui ne permet pas de rattraper l’ennui ressenti durant ma lecture.
300 pages en moins et cela aurait pu me plaire mais cela n’engage que moi.
Je vous invite donc à vous faire votre propre avis, d’autant qu’il y en a qui aiment les longues descriptions qui leur permettent de se sentir immergés dans l’histoire.
Tiffany ST 8 juillet 2024
Fin de l’histoire - A. J. Finn
Après avoir lu la "Fin de l’histoire", il est à présent temps de vous faire part de mon avis, non ?
Apprenant subitement qu’il va quitter ce monde dans les 3 mois, Sebastian Trapp, écrivain de romans policiers, décide de rédiger ses mémoires avant qu’il ne soit trop tard. C’est auprès de Nicky Hunter, biographe et passionnée du genre policier qu’il va demander de l’aide. La demande de l’écrivain comporte une énigme que Nicky va devoir résoudre : la disparition de Hope et de Cole, épouse et fils de Sebastian le jour du réveillon en décembre 1999.
Cependant, dans ce manoir à l’ambiance glauque et pesante, aux pièces secrètes cachant des vérités, Nicky va devoir cohabiter avec d’autres membres de la famille qui ont eux aussi leurs secrets : des morts et des disparitions suspectes. Et si toutes les disparitions étaient liées ? Sont-ils coupables ? Se couvrent-ils ?
Nicky Hunter va à chaque avancée de la rédaction de la biographie de l’écrivain s’approcher de la vérité, ce qui lui vaudra de nombreuses menaces, afin de l’inviter à rester dans ses rangs. Mais ce n’est pas les menaces qui vont lui faire peur. Elles vont la pousser à enquêter davantage quitte à se mettre en péril.
Au fil de son enquête, Nicky va aller de lieu en lieu stratégique dont l’auteur nous les décrit d’une réalité telle qu’on s’y croirait réellement. Tout comme nous, Nicky HUNTER aime chasser (de l’anglais to hunt, vous avez vu le lien ahahah ?) la vérité dans le sens où on y est accro (Et oui les accros du polar/thriller, on se reconnait !), au point de passer des nuits blanches pour l’atteindre en tournant les pages.
Aux côtés de Nicky, on va franchir un labyrinthe entre vérités et fausses pistes. L’auteur aime nous faire prendre de nombreux chemins pour ne pas qu’on devine trop vite l’issue finale de l’intrigue.
De plus, il sème des indices dans notre cerveau pour qu’ils germent. Quel petit jardinier ce A.J. Finn...
Malgré une écriture moderne à l’intrigue au suspens de plus en plus insoutenable, j’ai manqué d’attachement envers les personnages, bien que l’auteur ait mis un point d’honneur sur leur état psychologique.
Aussi, j’ai trouvé que quelques passages n’étaient pas nécessaires au récit, car ils nous éloignaient de l’intrigue, ce qui aurait pu réduire davantage la taille conséquente du roman.
Néanmoins, je salue ses nombreuses références policières à nos chers célèbres auteurs anglais Arthur Conan Doyle et Agatha Christie, maîtres du roman policier. On pourra aussi remarquer la connexion entre les deux personnages principaux, comme s’ils étaient destinés à se rencontrer. Une rencontre qui est loin d’être du hasard si vous voyez ce que je veux dire... Ils finissent sans arrêt leurs phrases. Hum.. Étrange, non ?
Bref ! L’auteur sait nous tenir en haleine et nous apprendre la patience tout en nous faisant avoir la jugeote quant à la résolution de l’intrigue, associant la vie personnelle et la vie d’écrivain de Sebastian Trapp autour de certains flashbacks. C’est un roman palpitant qui tourne un peu trop sur la longueur mais qui mérite d’être lu.
marysoad 1er juillet 2024
Fin de l’histoire - A. J. Finn
J’ai adoré !
Au début, j’ai été surprise. Après avoir lu "La femme à la fenêtre", je m’attendais à être dans un thriller psychologique assez prenant dès le début. Je n’ai pas ressenti ça, au contraire. J’ai trouvé le début du roman "gentillet". On découvre les personnages, leur caractère, un bout de leur histoire.
Puis petit à petit, l’atmosphère se fait plus pesante, on doute de tout le monde. Des personnages adorables peuvent devenir détestables, et inversement.
Plus on avance dans le livre, plus le suspense augmente. L’univers devient plus sombre, et c’est plaisant.
Au fur et à mesure, il est difficile de lâcher ce roman, afin de connaître le dénouement le plus rapidement possible.
Souvent déçue par les seconds romans, j’ai préféré celui là au premier de l’auteur.
Petit plus pour : M. Trapp, personnage excentrique à mon goût et pour toutes les citations présentes dans le livre.
angelita 29 juin 2024
Fin de l’histoire - A. J. Finn
Fin de l’histoire de A. J. Finn, présentation
Six jours plus tôt, Nicky arrive de New York. Elle se rend dans la maison d’un auteur dont la femme et le fils ont disparu il y a de nombreuses années.
Depuis toujours, elle écrit à cet auteur de polars.
Sebastian Trapp a promis de tout lui raconter.
Avis Fin de l’histoire de A. J. Finn
Nicky a entretenu une longue correspondance avec un auteur de policiers à succès, Sebastian Trapp. Ce dernier a vécu un drame et a été longtemps soupçonné et il l’est toujours, lorsque sa première femme et son fils ont disparu sans laisser de traces. Sebastian, qui a peu de temps à vivre, souhaite laisser ses derniers mots et Nicky est invitée à les écrire. Par conséquent, Nicky est invitée dans la belle demeure de l’écrivain. Elle se fait fort de résoudre cette énigme et connaître la vérité sur cette mystérieuse disparition. Nicky est bien accueillie par la famille, moins par Madeleine, l’aînée de Sebastian Trapp. Au fil des quelques jours qu’elle va passer dans cette maison, elle se rendra compte qu’il y a beaucoup de non-dits. Tous ont quelque chose à dire, mais lorsque les confidences se font plus intimes, celles-ci s’arrêtent malgré les relances de Nicky. Ce sont des proches de la famille, ceux qui ont vécu avec eux, ceux qui les ont côtoyés. Quant à Sebastian, il joue son jeu. Encore bel homme, toujours à l’affut, il est quand même très fatigué par son traitement. Il emmènera Nicky dans divers endroits qui ont une histoire pour lui, pour sa famille. Charge à Nicky d’écrire, de relater les faits, les gestes pour élucider ce mystère. Toujours en rappel, les nombreux succès de Sebastian, son retrait de la vie publique et littéraire pendant une dizaine d’années, son remariage et son retour pour un seul roman. Est-ce que Nicky est manipulée par Sebastian ?
De son côté, Madeleine, la fille aînée de Sebastian, qui a tout essayé et jamais rien réussi, s’interroge sur la présence de Nicky et elle ne l’accepte pas forcément. Mais Nicky est assez à l’aise avec tous les membres de la maisonnée. Elle tente de se rapprocher de Madeleine. Cette dernière reçoit d’étranges SMS, qu’elle garde pour elle seule. Elle n’en dormira plus, elle scrutera tous et toutes, cherchant la personne à l’origine de ces SMS.
La fête donnée par son père et sa belle-mère sera également un point d’orgue concernant ce roman. Car d’autres éléments étranges vont survenir et le lendemain, un suicide, peut-être déguisé en meurtre, va mettre le feu aux poudres et obliger Nicky a enquêté et soupçonné tout le monde.
Nicky connaît très bien l’auteur, elle a tout lu et encore relu ce qu’il a écrit. Elle a également lu de nombreux auteurs policiers et sa culture est immense sur ce point là. D’ailleurs, l’auteur du roman fait de nombreuses références à tous ces auteurs. Les personnages, Nicky et Sebastian peuvent commencer une phrase et l’autre la finir.
L’auteur du roman aborde les enfants qui se sentent mal dans leur peau, dans leur sexe. Ils subissent aussi bien des violences physiques que morales, et ce dans leur propre famille. Un parent peut ne pas les comprendre car il attend un certain comportement de cet enfant. Et face à lui, ce parent se sent déçu. Mais ce parent ne cherche pas à comprendre par quoi passe son enfant. Ce parent a un idéal, celui de son propre parent, de son passé qu’il veut changer. Par conséquent, ce sont des secrets, mais toujours à un moment la vérité éclate.
J’ai trouvé ce roman vraiment trop long à lire. L’auteur tente de s’attacher à la psychologie des personnages, à l’enquête menée par Nicky, mais c’est vraiment trop développé. C’est très long à se mettre en place pour arriver au final. J’ai eu l’impression de perdre mon temps. L’auteur a très certainement voulu embrouiller son lecteur, mais je pense qu’il s’y est mal pris. Le dénouement est, je dois bien dire, assez spectaculaire car je ne m’y attendais pas tout. Il tient, par rapport, au reste, en très peu de pages. C’est toutefois bien écrit.
Dany La 23 juin 2024
Fin de l’histoire - A. J. Finn
Le meilleur thriller psychologique de la saison. Absolument captivant !
Nicky Hunter, spécialiste de romans policiers est une correspondante pertinente de Sébastien Trapp, célèbre auteur de romans policiers. Il l’invite dans sa superbe demeure à San Francisco pour écrire sa biographie. Un mystère entoure l’auteur dont la première femme et leur fils ont disparu un soir de réveillon. Les a t-il tués ?
Les personnages sont tous plus étonnants les uns que les autres. Admirablement croqués par Finn, on les soupçonne du pire tour à tour.
Tout comme le labyrinthe, pièce maîtresse du jardin de Sebastien Trapp, ce roman est un vrai dédale. Le style est remarquable : L’auteur nous entraîne dans un maelström d’intrigues, de rebondissements, avec une écriture très cinématographique et même poétique. Son premier roman a été adapté avec succès au cinéma et celui-ci mériterait de l’être.
En dehors de l’intrigue, l’auteur s’est amusé à ponctuer son récit de phrases tirées d’autres romans policiers, comme ceux d’Agatha Christie ou Arthur Conan Doyle.Cela m’a bien fait sourire.
quant au final, le suspense était haletant jusqu’aux dernières lignes.