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L’évangile selon Satan - Patrick Graham

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Résumé :

Rachel, l’assistante du shérif du comté, enquête sur la disparition de quatre jeunes serveuses. Elle disparaît à son tour. Marie Parks, profileuse au FBI qui possède des dons de médium et s’est spécialisée dans la traque des Cross-Killers – les tueurs en série qui voyagent —, est chargée d’enquêter sur la disparition de Rachel. Elle retrouve son corps torturé et la dépouille des quatre disparues crucifiées dans une crypte. Le tueur, abattu par le FBI est un moine qui porte les signes du Diable.

Quelques jours plus tard, au Vatican, le cardinal Oscar Camano, patron de la congrégation des miracles, apprend que les quatre jeunes femmes assassinées sont les religieuses qu’il avait envoyées aux États-Unis pour enquêter sur la vague de meurtres qui frappent l’Ordre des Recluses, un ordre très ancien, chargé depuis le Moyen Age de protéger et d’étudier les manuscrits interdits de la chrétienté. Il confie au meilleur de ses exorcistes, le père jésuite Carzo, le soin de retrouver la trace de cet évangile que l’Église a perdu six siècles plus tôt.

Avec L’évangile selon Satan, Patrick Graham fait une entrée spectaculaire dans le club des grands écrivains de thrillers.

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Vos #AvisPolar

  • LeCarnetdeJessica 12 juillet 2019
    L’évangile selon Satan - Patrick Graham

    En voilà un thriller surprenant, voire déroutant. C’est ma première lecture de Patrick Graham et en refermant L’Évangile selon Satan, la surprise est le seul ressenti qui me vient spontanément. Oui, la surprise parce que j’ai apprécié la découverte de cet auteur que je relirai avec certitude. Mais ce n’est pas un sans faute non plus.

    Tout d’abord, je vais vous poser les grandes lignes. La scène d’ouverture se situe en 1348, dans un couvent, à l’époque de la grande peste noire, au moment où l’Église perd le contrôle d’un livre maudit.

    Ensuite, Patrick Graham nous bascule dans le présent auprès de Marie Parks. Marie est une profileuse du FBI douée d’un don très particulier à la suite d’un très grave accident de la route qui lui a fait perdre mari et enfant.

    D’abord affectée au département des enfants disparus, Marie rejoint celui des traqueurs de tueurs en série jusqu’à être menée sur les traces de celui qu’on appelle Caleb le Voyageur.

    Le démarrage foudroyant, je crois que c’est ce qui m’a le plus marqué à cette lecture.

    En quelques pages, j’ai été aspirée dans ce thriller car l’écriture de Patrick Graham est très intrusive. Sa plume tranchante et particulièrement « visuelle » m’a fait quitter mon canapé douillet pour me glisser dans la peau de Marie. Et compte tenu de la situation délicate dans laquelle elle se trouve en début de roman, ce n’était pas une position très confortable !

    Puis la dimension ésotérique du roman commence à s’insinuer doucement, mais surement, dans le texte. Si l’Histoire de l’Église, comme les secrets du Vatican, n’a rien pour me déplaire, je trouve que dans cette lecture elle prend un peu trop le dessus sur le thriller pur et sanglant de la première partie. En somme deux salles, deux ambiances.

    Un roman caméléon
    C’est ce qu’est L’Évangile selon Satan : un caméléon littéraire. Un thriller-religieux-historique qui mêle une enquête sur un tueur en série, mystères de l’Église catholique, possession et complot.

    C’est un roman très documenté qui démontre à quel point la conspiration est toujours un thème fascinant qui ne prend pas une ride.

    Mais la complexité de la toile de fond et les répétitions alourdissent le rythme de cette lecture.

    Néanmoins si les longueurs m’ont chiffonnée, je retiens de l’Évangile selon Satan l’écriture percutante, parfois ironique et la maîtrise du rythme des mots de Patrick Graham. Sa première partie est une réelle immersion dans l’horreur où certaines scènes m’ont fait hérisser les poils sur la nuque.

    Détails sur les modes opératoires des tueurs en série, description complète d’une autopsie et traque internationale, l’auteur ne nous épargne rien ! Pour ma prochaine lecture de Patrick Graham, je sais à quoi m’attendre sur le baromètre de l’hémoglobine et de la violence glaçante.

  • Isa Naturaltales 28 février 2019
    L’évangile selon Satan - Patrick Graham

    "L’évangile selon Satan" de Patrick Graham est un thriller ou enquête policière, éléments fantastiques et fanatisme religieux se mêlent pour un résultat plus que contradictoire.
    Ce roman nous dévoile l’envers du décors du Vatican avec ses cardinaux et ses coups d’état mais surtout, cette présence constante du mal et de Satan.

    L’histoire commence au Moyen-age avec un massacre sanglant de religieuses par un mystérieux moine. Nous sommes donc dans une enquête inter-temporelle ou la présence de Satan est omniprésente. Les meurtres se succèdent dans un rythme effréné avec beaucoup de redondances. En effet, le suspense est optimal, mais les crimes se ressemblent beaucoup, si bien qu’on finit par les anticiper.

    Ce qui m’a le plus dérangé dans ce roman, c’est l’abondance de descriptions religieuses, contre l’absence de développement des personnages. A part Marie, notre héroine, on ignore tout des protagonistes que l’on rencontre tout au long : leur âge, leur apparence ... si bien qu’on oublie facilement qui est qui.
    La succession de crimes ressemblants, l’absence de précisions de personnages, et aussi certains passages qui ne servent à rien, m’ont empêchée d’adhérer complètement à ce livre pourtant addictif et à la fin ... particulière.

    Un livre qui convient aux amateurs de crimes sanglants et de machinations sataniques.

  • Wolf1316 5 février 2019
    L’évangile selon Satan - Patrick Graham

    Un thriller sombre et entrainant, sur les traces d’un tueur en série particulièrement cruel et efficace. Aux côtés de Marie Parks menez l’enquête pour découvrir une relique qui pourrait bouleverser le monde.

  • Nahjka 22 janvier 2019
    L’évangile selon Satan - Patrick Graham

    Un livre atypique qui nous garde en haleine du début à la fin.
    Une multitude d’adjectifs peuvent le décrire : prenant, dérangeant, obsessionnel, captivant, déroutant !
    Bref, un scénario maîtrisé qui mêle religion, réflexion, horreur et policier à la perfection. Tout est habilement mené et l’on ne parvient plus à se détacher de sa lecture.

  • Jean-Paul dos Santos Guerreiro 5 janvier 2019
    L’évangile selon Satan - Patrick Graham

    Bonjour à toutes et à tous…

    Le 15 juillet 2007 je découvrais Patrick Graham avec L’évangile selon Satan !
    Cela faisait un moment que je le voyais chez ma libraire et un jour j’ai craqué…
    Grand bien m’a fait…

    Malgré l’épaisseur du livre je me souviens que je m’étais “régalé”…
    D’ailleurs j’avais enchainé sur deux autres de ses romans dès leurs sorties.

    Vendredi soir, mon téléphone vibre. Je jette un coup d’œil discret…
    Une demande d’ami !
    Je me frotte les yeux… Patrick Graham !!!
    Imaginez, vous êtes chez vous…
    On frappe à la porte. Vous ouvrez…
    Emmanuel Macr…, Non pas lui !
    Stephen King est là, tout sourire et il vous tend la main !!!
    C’est exactement ce que j’ai ressenti… Je suis redevenu l’adolescent que j’étais en quelques instants !
    Je suis tout de suite descendu dans mon bureau à la recherche de ses romans que j’avais adorés !

    Et de nouveau j’a bousculé l’ordre de ma PAL, prêt à passer une nouvelle nuit blanche. C’est aussi ça, être un lecteur…

    Ce thriller mystique est tout simplement flippant !
    Thriller, fantastique, horreur, on ne sait plus !
    Au fur et à mesure de ma lecture, j’avais envie de redécouvrir les chapitres suivants à toute vitesse.
    Un découpage quasi cinématographique très visuel qui donne au récit un rythme très dynamique. Il y a en parallèle une recherche historique incroyable de la part de Patrick. La grande peste de 1348, les Templiers, le Vatican et je ne vous dévoile pas tout. L’auteur va très loin dans l’irréel, mais il est indéniable qu’il fait montre d’une véritable culture de la religion chrétienne…

    Je n’ai pas pu, ne pas penser “Au nom de la rose”, à “Le Silence des agneaux”, et certains romans de Dan Brown, mais l’intrigue atypique est vraiment prenante et si vous êtes passionné du genre, c’est un roman à ne pas manquer…

    Un manuscrit de près de trois millénaires est retrouvé. Il pourrait faire basculer, s’effondrer même les bases de l’histoire de la chrétienté et des évangiles qui ont suivies…

    Un “grand livre” qui apportera frissons et angoisses !

    ÷÷÷÷÷÷÷

    Extrait :
    “L’air s’amenuisant dans le réduit où elle achève de se consumer, la grosse chandelle de cire faiblit. Elle ne va pas tarder à s’éteindre, et dégage une écoeurante odeur de suif et de corde chaude.
    Épuisée par le message qu’elle vient de graver dans la paroi à l’aide d’un clou de charpentier, la vieille religieuse emmurée le relit une dernière fois, la pulpe de ses doigts effleurant les encoches là où ses yeux fatigués ne parviennent plus à les distinguer. Puis, lorsqu’elle est certaine que ces lignes ont été gravées assez profondément, elle vérifie d’une main tremblante la solidité de la cloison qui la retient prisonnière. Un mur de briques dont l’épaisseur l’isole du monde et l’étouffé lentement.
    L’exiguïté de sa tombe lui interdit de s’accroupir ou de se tenir droite, et cela fait des heures que la vieille femme se tord le dos dans ce réduit. Le supplice de l’emmurement. Elle se souvient d’avoir lu de nombreux manuscrits rapportant les souffrances de ces condamnés que les tribunaux de la Très Sainte Inquisition emprisonnaient dans la pierre après leur avoir arraché des aveux. Des avorteuses, des sorcières et des âmes mortes auxquelles les pinces et les tisons faisaient avouer les mille noms du Diable.
    Elle se rappelle surtout un parchemin qui relatait au siècle dernier la prise du monastère de Servio par les troupes du pape Innocent IV. Ce jour-là, neuf cents chevaliers avaient encerclé ces murailles où l’on disait que, possédés par les forces du Mal, les moines faisaient dire des messes noires au cours desquelles ils éventraient des femmes pleines pour dévorer leur progéniture. Derrière cette armée, dont l’avant-garde tordait la herse à coups de bélier, des chariots et des carrosses abritaient les trois juges de l’Inquisition et leurs notaires, les bourreaux assermentés et leur attirail de mort. La porte abattue, on avait retrouvé les moines agenouillés dans la chapelle. Ayant inspecté cette assemblée silencieuse et puante, les soudards du pape avaient égorgé les plus faibles, les sourds, les muets, les difformes et les imbéciles, puis ils avaient emporté les autres dans les soubassements de la forteresse, où ils les avaient torturés nuit et jour pendant une semaine. Une semaine de hurlements et de larmes.”

  • Nicolas Elie 22 septembre 2017
    L’évangile selon Satan - Patrick Graham

    Toi aussi, j’en suis sûr, t’as dans ta bibliothèque des romans que tu as lu, il y a quelques années, et dont tu t’es dit que tu les relirais un jour.

    Un jour, si t’avais le temps.

    Ben j’ai pris le temps.

    J’avais lu ce bouquin et sa suite l’année de sa sortie, en 2007.

    Putain, dix ans !

    Je viens de le relire, parce qu’au vu de ce qui arrive à M’sieur Graham, c’était à mon sens le meilleur moyen de lui rendre hommage.

    Imagine.

    On est sur le mont du Crâne, et on vient de dresser les croix sur lesquelles on va clouer les deux larrons et Le Christ.

    T’as vu, ça rigole pas, question référence.

    Donc, imagine.

    Le Christ, ça fait quelques heures qu’on lui fait des trucs pas catholiques, et il en a marre. Il en peut plus de ces séances de tortures. Et tout ça pour ces abrutis qui le regardent en rigolant, ces crétins qui puent la sueur.

    Ça suffit.

    Alors Le Fils de Dieu, il renie son Père. Il laisse sa foi aux oubliettes et il devient dingue. Il devient aussi Janus, le fils de Satan.

    INRI ne signifie plus Jesus de Nazareth Roi des Juifs, mais Janus de Nazareth Roi des Enfers.

    Ça, c’est le postulat. La grille de départ du roman.

    J’aime bien.

    Les potes de Janus, ils écrivent un évangile. C’est leur truc à l’époque. Mais eux, c’est celui de Satan qu’ils décident de laisser aux hommes. Ils le planquent, bien sûr, et régulièrement, on zigouille des bonnes sœurs pour le retrouver parce que ce sont elles qui le cachent.

    De nos jours, en plein cœur du Vatican, il y a des types qui le cherchent, ce bouquin. S’ils le trouvent, c’est la chrétienté qui s’effondre.

    Ben ouais. Pas de Christ, pas de résurrection, donc pas de fondations à cette Église qui nous fait croire des trucs depuis 2 000 ans.

    Tout le monde cherche cet évangile qui a disparu depuis le Moyen-Âge et notamment un groupe qui œuvre dans l’ombre du Vatican, et qui s’appelle « La fumée Noire ». Que des curés pas très nets, et qui veulent renverser l’Église.

    Ce qu’il faut comprendre, c’est que Patrick Graham fait démarrer son roman en 1348, au moment où la peste noire fabrique des cadavres par tombereaux entiers. Tu entre dans un couvent de recluses. Ces nonnes chargées d’étudier et de protéger les textes reliés au Mal.

    Le Mal, donc Satan et ses potes.

    C’est parfaitement écrit. Le couvent, t’es dedans.

    Tu sens ces odeurs de pourriture et de sueur. Tu as du mal à voir à la lueur des chandelles ces textes que l’Église veut cacher. Tu peux renifler le sang des nonnes assassinées.

    T’es dedans.

    Puis en 2006, des meurtres. Dans le Maine. La patrie de King. Le hasard ou un hommage. Je sais pas, c’est pas précisé.

    En tout cas, ça commence dans le Maine.

    Marie Parks, elle est profileuse au FBI.

    Super bonne profileuse. Elle traque les cross-killers. Ces tueurs en série qui voyagent et qui sont donc les plus difficiles à trouver.

    C’est elle qui va suivre Caleb.

    Caleb, je l’aime bien. J’aime bien les tueurs en série, en général, et celui-ci est particulièrement réussi.

    Si tu l’as pas lu, je spolie pas trop.

    Des personnages attachants, notamment ce prêtre exorciste qui va aider Marie à chercher ce tueur.

    Ce qu’il faut savoir, c’est que Marie, elle est grave médium. Elle a des visions de dingues. Elle a pas besoin de récupérer des films d’horreur sur internet, elle les a dans la tête.

    C’est pratique, mais c’est pénible.
    J’arrête pour ce qui est de l’histoire.

    Ce qu’il faut que tu comprennes, c’est qu’à part King, y a personne qui peut me faire avaler des trucs fantastiques dans des histoires de tueurs et d’enquêtes. Dans le sens où je sais que ça n’existe pas.

    Personne sauf King et Graham.

    T’as compris ?

    Des bouquins sur la religion, le Bien, le Mal, Dieu, le Diable, il y en a plein.

    J’ai pas lu beaucoup mieux depuis.
    Tu vas le trouver en poche, c’est sûr, et ce sera pas qu’une bonne action.

    Tu vas passer un putain de bon moment.

    Et si tu l’as déjà, fait comme moi, relis-le.

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