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La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

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19 #AvisPolar
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Résumé :

Yan est flic à la police judiciaire de Lille.
Depuis quelque temps, un « passager clandestin » s’est invité dans sa vie : « l’Araignée », c’est le surnom qu’elle lui a donné.
Alors que Yan traque l’auteur du meurtre d’un journaliste connu pour ses reportages à sensation, elle n’a pas d’autre choix que de composer avec son « invisible ennemie » : insidieuse, omniprésente, l’Araignée tisse sa toile, cuisante morsure dans ses chairs survenant n’importe où, n’importe quand…
En parallèle, Brath, son collègue, enquête sur la mort étrange d’un homme retrouvé décapité, assis au volant de sa voiture, la tête reposant sur la banquette arrière.
En équilibre sur un fil, Yan ne baisse pas les bras, avance sur son chemin de douleurs au risque de se perdre… définitivement.
Source : Taurnada Editions


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Vos #AvisPolar

  • dany.plaisant 20 mars 2024
    Marathon du polar 2023, équipe LEGANGDESBEPOLAIRES
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    Enfin je découvre la plume de Sacha !!
    Et je me dis : pourquoi avoir attendu ???
    Thriller qui commence fort : 1 meurtre violent et 1 suicide. 2 enquêtes différentes que l’on suit.
    Yan, major à Lille, enquête sur le meurtre d’un journaliste retrouvé noyé dans sa baignoire, le visage massacré.
    Brath et son équipe sont chargés du suicide d’un homme décapité dans sa voiture.
    Yan souffre d’un mal qui la dévore, qu’elle surnomme "l’araignée", l’endométriose. Douleurs insupportables qu’elle tente d’apaiser à coup d’antidouleurs en surdose, et dont elle ne parle à personne.
    Ce thriller terriblement addictif se lit d’une traite. Les 2 enquêtes sont finement menées, les liens entre les enquêteurs sont plus qu’amicaux, c’est une vraie famille.
    Et moi qui ne connaissais cette araignée que de nom, j’ai appris beaucoup de choses sur ces douleurs violentes, qui foudroient Yan à n’importe quel moment.
    Un polar qui nous tient en haleine, la plume est directe, percutante et énergique, pas de temps mort, et des rebondissements assez surprenants.
    Les thèmes abordés sont très bien développés, la maladie, le journalisme, l’homophobie, la torture dans certains pays, la manipulation mentale, les dangers de l’hypnose.... tout est habilement décrit.
    Merci Sacha de m’avoir conseillée ce thriller à Osny et rdv dans un prochain salon !!!

  • lecturesdudimanche 26 octobre 2023
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    Quand août est synonyme pour les uns, de reprise du boulot, et pour les autres, de vacances bien méritées, cette année, pour moi, ça ne rimait qu’avec surcharge de travail et congés postposés ! Un contexte de lassitude, donc, et comme souvent quand le moral n’est pas au beau fixe, la panne de lecture guette… Heureusement, le beau temps a refait son apparition, l’occasion d’une petite escapade d’une journée… Afin de trouver la route moins longue, j’avais emporté ma liseuse et je me suis arrêtée sur ce titre, que j’avais déjà commencé mais sans aller au-delà de dix pages. Ça n’était sans doute pas le moment…

    Cette fois, alors que les kilomètres défilaient, les pages en faisaient tout autant ! Et, sans que je m’en aperçoive, l’Araignée m’a prise dans ses filets. Une Araignée bien plus clémente que celle qui pourrit la vie de Yan, flic à la PJ de Lille. Son Araignée à elle, c’est l’endométriose, avec laquelle elle doit composer dans son boulot et qu’elle tait à ses proches. Et alors qu’elle est de plus en plus souvent victime de violentes crises, elle doit enquêter sur la mort d’un reporter, que son agresseur a battu avant de l’assassiner. Son ami de toujours, Brath, flic lui aussi, se retrouve sur une affaire de suicides pour le moins spectaculaires.

    Au niveau des enquêtes, on navigue ici en eaux connues. Au niveau de la plume, celle de Sacha est simple et efficace. On pourrait croire que cela en fait un bon divertissement, comme il en existe tant d’autres. Sauf que l’ombre de l’endométriose a plané sur ma fille… et sauf que, à ce moment-là, j’avais un grand besoin d’humanité. Alors avec ces ingrédients somme toute classiques, Sacha Erbel s’est frayé un chemin jusqu’à mon cœur et j’ai eu un véritable coup de foudre pour Yan, courageuse, spontanée, drôle, humaine… Et quelles que soient les descriptions que l’auteure a faites de Yan, dans mon esprit, il m’a été impossible de lui substituer le visage de l’auteure, parce qu’elle est fonctionnaire de police, détentrice d’un diplôme de criminologie et qu’elle aussi, l’Araignée, elle connaît…

    Bien sûr que Yan est un personnage de fiction, mais l’auteure a su la rendre réelle, crédible et attachante. Pas de supers cops ici, juste des êtres humains, avec leurs faiblesses et leurs caractères, et une sacrée dose d’humour qui fait du bien. Je crois que rien n’arrive par hasard, et j’avais besoin de ça à ce moment-là ! Avec cette histoire simple sans ramifications alambiquées, Sacha Erbel a su conquérir mon cœur de lectrice.

    Un coup de cœur que j’évoque également dans ce podcast de BePolar !

  • Cindymartin.13 17 juillet 2023
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    Yan est flic à la police judiciaire de Lille, une femme au caractère bien trempé qui va devoir élucidés le meurtre d’un journaliste avec son binôme Granulé "Malik" et Oui parce-que dans cette brigade tout le monde porte un surnom même les voitures de police sans parler aussi de l’ascenseur hihihi....

    Yan n’est plus dans son état normal depuis que l’araignée comme elle l’appelle s’est incrusté dans son corps.
    Malgré sa terrible souffrance jour après jours et sans compté qu’elle devient accro aux médocs pour lui laisser quelques heures de répit elle ne va pas lâcher l’affaire.

    Son ami Brath "Barthélémy" D’une autre équipe est sur une affaire de suicidés assez troublants.
    Comment peut ont se suicider par décapitation.
    Les deux affaires ont-elles un lien ? Peut-être pas à vous de voir..

    Un réel plaisir d’apprendre à connaître les personnages avec un caractère et cadre de vie tous différents les uns des autres.

    L’histoire est prenante dès les premières lignes, l’écriture est fluide et extrêmement addictive.
    La construction des personnages est géniale.
    Un sujet pas mal abordé dans l’histoire "L’hypnose " où l’auteur va nous apprendre beaucoup de choses sur le sujet, j’ai trouvé les explications très intéressantes.
    Vous allez découvrir la maladie de Yan et toute sa souffrance qui malheureusement excite réellement. "L’endométriose"
    L’auteur est arrivé à marier enquête policière avec le sujet de cette maladie à la perfection.
    Deux sujets juxtaposés qui m’on fait ressentir plusieurs émotions à la fois, je me suis mise à la place de Yan et croyais moi c’est une femme extrêmement courageuse.
    Vous l’avez compris, j’ai adorée je l’écris et peut le dire haut et fort c’est un COUP DE COEUR ❤.

  • Sophie Grelaud 16 juillet 2023
    Marathon du polar 2023, équipe LESGLOUTONSWOLFVERINES
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    C’est l’histoire de Yan qui est flic à la PJ de Lille.
    Elle souffre d’endometriose et doit composer avec son "invisible ennemie" qu’elle surnomme "l’araignée".
    Au départ, j’ai été un peu surprise que ce livre soit qualifié de thriller car le récit suit l’enquête de plusieurs policiers sur plusieurs enquêtes.
    Au fil de la lecture, le côté thriller est apparu pour finir en beauté
    Je tiens aussi à souligner que la description de l’araignée est très bien faite et qu’elle permet de comprendre cette maladie quand on est pas concernée.
    Pour moi, ce livre devrait être proposé aux collégiens car l’intrigue peut intéresser aussi bien les filles que les garçons et cela permettrait aux ados de connaître cette maladie

  • raia 30 janvier 2023
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    Yan souffre d´endometriose. Maladie encore peu connue mais surtout peu comprise par la gente masculine. Ayant peur d’être reléguée au rang d’une administrative, cette flic va tout faire pour le cacher. Même à son coéquipier le plus proche.

    Elle va enquêter sur un déchaînement de violence sur un journaliste connu. Mais qui aurait pu faire ça ?
    En parallèle, Brath est confronté à deux suicides avec des mises en scène très particulières.

    On est autant affecté par la douleur de Yan que par les enquêtes particulières.

    Un livre qui se dévore.

  • Riz-Deux-ZzZ 11 janvier 2023
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    En bref, un polar qui sort des sentiers battus en abordant des thèmes très intéressants.

    D’emblée, on sent que l’auteure sait de quoi elle parle... Que ce soit au niveau de l’enquête policière, des procédures judiciaires et de la hiérarchie ou encore au niveau plus personnel, avec cette maladie dévastatrice et envahissante. En effet, elle nous avoue en notes de fin qu’elle connaît les deux sujets sur le bout des doigts et cela nous permet de nous rendre compte la place qu’un handicap invisible peut avoir dans une vie, les conséquences mentales, physiques et relationnelles qu’il implique. Certains passages sont très durs émotionnellement, tellement la souffrance de l’héroïne est palpable.

    L’intrigue en elle-même est vraiment bien menée même si elle reste classique dans son déroulement. Encore une fois, Sacha Erbel choisit de partir sur des thématiques rarement abordées, et avec un bagage théorique qui assoit une vraie crédibilité dans le récit.

    Concernant les personnages, notamment le trio de tête Yan/Brath/Granulé, ils sont très attachants. J’ai parfois eu l’impression que j’arrivais en cours de saga tellement leur relation est déjà forte, on ressent un passif entre eux qui soude une amitié et une équipe de travail.

    Je suis ravie d’avoir découvert l’auteure, et je suis curieuse de la suivre dans ses prochaines aventures, et de peut-être retrouver Yan.

  • Laconteuse 22 novembre 2022
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    Si vous aimez les romans policiers, ce roman est fait pour vous !!

    On va suivre Yan, policière à la PJ de Lille, son affaire est celle d’un journaliste reconnu retrouvé mort chez lui. Pourquoi l’a-t-on tué surtout que peu d’indices se trouvent sur le lieu du crime ! En parallèle, un autre meurtre est découvert, mais celui-ci est par décapitation ! Brath, le collègue de Yan, sera charger de cette enquête pour le moins étrange. Outre le travail qui s’accumule, Yan est confrontée à "L’araignée", un passager clandestin qui lui pourri la vie depuis quelques temps...

    C’est une première pour moi, de lire la plume de Sacha Erbel et cela a été une belle surprise. J’ai apprécié ces enquêtes au coeur de Lille (ville que j’apprécie beaucoup !). J’ai passé un très bon moment lecture, car on est plongé au milieu de l’enquête malgré le fait que nous connaissons déjà le coupable mais nous ne connaissons pas ses motivations !

    Pour la seconde enquête, là aussi c’est assez complexe et très surprenant car je ne m’attendais pas du tout à cet assassin. Et lorsque que l’on pense que l’histoire s’essouffle un peu, cela repart de plus belle.

    Vous l’aurez compris, j’ai passé un très bon moment lors de ma lecture et je vous conseille ce roman si vous aimez les policiers.

  • Les lectures de Maryline 14 novembre 2022
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    J’ai adoré ce thriller !
    Yan est flic à Lille et elle enquête sur la mort d’un journaliste avec l’aide de Granulé, son collègue et ami. Ils comprennent vite que l’enquête ne va pas être facile, un journaliste ayant souvent de nombreux ennemis. De l’autre côté, ses collègues, dont Barth avec qui elle est très proche, sont sur un suicide, ou ce qui y ressemble. En effet, un homme décapité est retrouvé dans sa voiture et une lettre accompagne le cadavre.
    Les deux enquêtes ne vont pas être faciles, il va falloir chercher des témoins, des potentiels coupables, et se dépêcher, car de nouvelles morts surviennent... Ce ne sera pas de tout repos pour Yan qui se bat depuis quelques temps avec une maladie qui la handicape. Elle l’appelle l’Araignée. Cette dernière lui bouffe le ventre, l’empêche parfois de respirer et de se concentrer. Mais Yan ne veut rien dire et fait en sorte de trouver de quoi se calmer sans qu’aucun de ses collègues ne se rende compte de ses soucis... Mais ce n’est pas chose aisée.
    J’ai beaucoup aimé ces deux intrigues, elles sont différentes et, en même temps, elles sont similaires sur certains points. La vengeance, le mal-être, la différence, l’exclusion... tous ces thèmes sont abordés et se révèlent délicats dans certaines situations. Yan va-t’elle tomber dans le piège qu’on va tenter de lui tendre ? Ses amis pourront-ils la sauver d’elle-même ?
    Un magnifique thriller qui prend aux tripes (c’est le cas de le dire, avec les soucis de Yan), des intrigues passionnantes, des flics qui donnent tout et un roman qui méritent le succès. Bravo à l’auteure que je ne connaissais pas encore.

  • Clem_YCR 6 novembre 2022
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    Une nouvelle sortie des éditions Taurnada au résumé à nouveau très alléchant. Cette histoire d’Araignée m’a fortement intriguée, une allégorie à la fois imagée et mystérieuse. Ce livre a été pour moi une révélation ; pas tant pour l’aspect enquête policière, dont le dénouement semble assez prévisible (bien que très original il faut l’avouer), que pour l’Araignée.

    L’intrigue est prenante ; l’auteure alterne deux enquêtes en parallèle : un suicide par décapitation et le meurtre d’un journaliste. Si Yan est en charge de l’affaire du journaliste, avec son partenaire, Granulé, son mentor et ami, Brath a, quant à lui, écopé du suicidé. Si les deux enquêtes ne sont pas forcément amenées à se rejoindre, les enquêteurs interagissent constamment entre eux, que ce soit au poste ou en dehors, pour échanger sur leurs affaires en cours ou alors parler privé.

    Le problème, c’est que depuis que Yan a rencontré l’Araignée, elle va mal, très mal et elle ne souhaite surtout pas que cela se voit ; elle se renferme sur elle-même et a parfois des sautes d’humeur. Pire, elle est prête à tout pour continuer à bosser parce que son boulot, c’est tout ce qui lui reste.

    J’ai beaucoup aimé l’ambiance qui règne entre ces collègues policiers, qui se côtoient depuis des années et se connaissent par coeur. Les souvenirs de bizutage, l’évocation des années d’études… on sent vraiment un côté famille. En même temps il y a une certaine rivalité bon-enfant, comme la course à la meilleure voiture de service ! Sacha Erbel retranscrit également a quel point ce métier est dur, la nécessité de dissocier un corps de la personne qu’il a été, les crimes auxquels sont confrontées les forces de police étant parfois atroces.

    Voilà pour la partie roman policier. La plume de l’auteure est vraiment agréable à lire, son récit bien construit et, surtout, les émotions et réactions de ses personnages sont très réalistes. Ce qui m’a énormément touchée, je vous le disais, c’est l’insidieux compagnon de route de Yan, l’Araignée comme elle l’a appelé. D’abord très imagé, à la limité de l’irréel, le mal dont souffre Yan est finalement nommé. Une maladie dont on parle (trop) peu, et quand bien même on en parle, on ne le fait qu’en surface. L’une de mes meilleures amies en est atteinte et, en lisant La mort est parfois préférable, j’ai découvert ce qu’elle traversait. Je lui ai envoyé un message pour lui demander si c’était très douloureux (parce qu’en vrai, elle n’en parle jamais), je me suis rendue compte à quel point, de la même manière que Yan, elle prenait sur elle et cachait sa douleur aux autres. Chaque Araignée est différente, certaines, peut-être, moins douloureuses que d’autres. Lorsque j’ai parlé de Yan à mon amie, elle m’a dit "comme je la comprends". Rien que pour ça, pour avoir pu entamer ce dialogue et voir la force dont fait preuve mon amie, je remercie Sacha Erbel d’avoir écrit ce roman. D’avoir créé cette héroïne, peut-être un peu personnelle, sa lutte constante, son besoin de faire cesser la douleur, peu importe le risque de surdosage médicamenteux, sa honte devant le corps médical qui ne comprend pas sa détresse, sa honte d’être dépendante. C’est une héroïne qui m’a profondément marquée et touchée, et j’espère qu’elle pourra porter son message à un grand nombre de lecteurs.

  • Des plumes et des livres 25 octobre 2022
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    Dans La mort est parfois préférable, nous découvrons Yan, une flic de la PJ de Lille. Si en apparence, elle reste forte et effectue son travail consciencieusement, Yan souffre et prend de plus en plus d’anti-douleurs pour apaiser « l’Araignée » qui la ronge de plus en plus. Elle va devoir aller au-delà de la souffrance, de la maladie pour élucider le meurtre d’un grand reporter. En parallèle, son ami et équipier, Brath, va devoir comprendre comment deux personnes peuvent se suicider par décapitation de manière assez particulière.

    La mort est parfois préférable est un polar psychologique. Les enquêtes de police en elles-mêmes n’ont pas beaucoup de suspens contrairement à la plupart des polars actuels (d’ailleurs le meurtrier du reporter est nommé très rapidement, mais la police va-t-elle le retrouver ?). Cependant, ce roman est très intéressant sur de nombreuses thématiques : la maladie, la gestion de la douleur, la dépendance aux anti-douleurs, les médecines alternatives, le cheminement des enquêtes jusqu’à l’appréhension des suspects.

    La plume de Sacha Erbel est fluide et agréable à lire. Sans entrer dans une identification au personnage de Yan, on a néanmoins de la compassion pour elle. Mais le plus grand tour de force de La mort est parfois préférable est que nous comprenons le meurtrier du reporter, Sacha Erbel arrive à inverser les rôles, la victime devient coupable et l’assassin devient victime.

    En bref, La mort est parfois préférable a été une belle découverte de l’écriture de l’autrice. Si j’ai l’occasion, je n’hésiterai pas à découvrir ses précédents romans.

    https://desplumesetdeslivres.wordpress.com/2022/09/08/sortie-du-jour-la-mort-est-parfois-preferable-sacha-erbel/

  • lireencore93420 25 octobre 2022
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    Yann est flic à la police judiciaire de Lille. Depuis quelque temps, un « passager clandestin » s’est invité dans sa vie : « l’Araignée », c’est le surnom qu’elle lui a donné. En parallèle, Brath, son collègue, enquête sur la mort étrange d’un homme retrouvé décapité, assis au volant de sa voiture, la tête reposant sur la banquette arrière.

    C’est un polar extrêmement psychologique, ce sont ceux que je préfère, et l’atout de ce roman, c’est la maladie de l’enquêtrice qu’elle appelle l’araignée, qui va l’épuiser, l’as vider et elle ne veut rien lâcher et tenir pour continuer à suivre les investigations.

    C’est vraiment douloureux à lire, j’ai ressenti ces douleurs, mais c’est tellement important de parler de ces femmes et sûrement aussi des hommes qui sont malades et qui continue d’avoir une vie professionnelle. Je trouve cela tellement admirable, et j’ai bien aimé le cadre que l’autrice a choisi pour parler de cette pathologie si peu connue.

    On suit deux enquêtes en parallèle, et ce sont deux investigations très bien orchestrées dont l’une colle très bien avec les soucis de santé de Yan, c’est très bien trouver.

    Les valeurs d’amitié sont très importantes dans ce récit, et je pense que c’est cela qui va beaucoup aider Yan.

    J’ai vraiment adoré ce livre ou est liée l’intime et l’addiction de la résolution de plusieurs crimes, j’ai aussi beaucoup aimé l’écriture de l’autrice qui est très percutante et qui va droit au but sans fortitudes, j’apprécie beaucoup quand c’est comme cela.

    C’est une histoire noire, cruelle par moments, mais le côté psychologique est très prenant, et on ne peut que s’attacher à ce personnage qui se bat contre ses démons.

    Des thèmes forts sont traités : la maladie, mais aussi l’homosexualité et le journalisme d’investigation et sont intégrés à la poursuite des assaillants des meurtres.

    C’est une belle découverte, je suis ravie que Sacha Erbel a rejoint l’équipe des autrices de Taurnada, et j’ai très envie d’aller voir ce qu’elle a fait d’autres.

  • valmyvoyou lit 1er octobre 2022
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    Yan est major à la police judiciaire de Lille. Le commissariat dans lequel elle est affectée, est chargé de deux affaires simultanées. Avec son collègue, surnommé Granulé, Yan s’occupe du meurtre d’un journaliste. Deux autres membres de l’équipe, Brath et Michel, sont appelés sur le lieu d’une scène étrange : un suicide par décapitation. Les deux binômes échangent sur leurs enquêtes respectives et les duos s’intervertissent. Le changement d’attitude de Yan inquiète ses co-équipiers.

    Yan souffre d’un mal qu’elle tente de garder secret. Elle essaie de le tenir à distance par des médicaments, de moins en moins efficaces. Les crises de sa maladie, qu’elle appelle l’Araignée, sont de plus en plus rapprochées et de plus en plus intenses. Elles sont de plus en plus handicapantes, envahissent son esprit et son corps et il lui devient difficile de cacher ses souffrances. Atteinte moi-même d’ #unhandicapinvisible, d’une autre nature, mais proche par ses répercussions, j’ai été sensible par la volonté de l’auteure de décrire l’impact sur le quotidien, la fatigue extrême qui en découle, l’incompréhension de l’entourage, le tabou du siège des douleurs et la souffrance permanente.

    En ce qui concerne les enquêtes, les dérives possibles de deux métiers sont explorées. Les affaires regroupent trois morts. C’est dans le passé et dans la personnalité des victimes que la PJ trouvera les mobiles et les modes opératoires. Il est question de consentement, que ce soit dans la parole ou dans le laisser-aller. Il s’agit de confiance trompée, d’abus de faiblesse et de mise en danger d’autrui. Hélas, fragilisée par son état physique, toujours sur le fil de la conscience, Yan manque de vigilance…

    J’ai adoré ces policiers, attentifs les uns aux autres, pour qui l’entraide n’est pas un mot galvaudé. Ils veillent les uns sur les autres, même quand celui qui souffre, refuse toute confidence et soutien. Hélas, le silence a, parfois, des conséquences dramatiques… Les intrigues, dans lesquelles la manipulation tient une place prépondérante, m’ont, également, captivée. J’ai aimé que la psychologie et le mensonge occupent un rôle important et torturent mon cerveau. J’ai adoré La mort est parfois préférable.

  • unevietoutesimple 25 septembre 2022
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    Je remercie les éditions Taurnada pour m’avoir fait découvrir ce roman avant sa parution.

    Au début de ma lecture, j’ai été déstabilisée par le fait que Yan soit une femme. En effet, pour moi, ce prénom est masculin et il m’a fallu un petit temps d’adaptation pour assimiler que nous étions en présence d’une femme. Mais ce qui m’a le plus dérangée, ce sont les surnoms donnés aux policiers, je ne savais plus trop qui était qui, d’autant plus que l’auteure utilise parfois leur surnom, parfois leur prénom. Tout cela a fait que je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages.

    Cela dit, “La mort est parfois préférable” est une lecture plaisante avec une écriture fluide et rythmée. Les enquêtes sont intéressantes et vous tiennent en haleine. J’avais deviné une partie du dénouement mais cela n’a pas nui à ma lecture. Mais ce qui est au centre de l’histoire, c’est l’Araignée, ce mal dont souffre Yan, elle prend le pas sur tout le reste.

    On sent que l’auteure sait de quoi elle parle autant au niveau de l’enquête que de la maladie dont souffre Yan et qu’elle maitrise son sujet sur le bout des doigts. J’ai beaucoup apprécié sa façon de relater les faits que ce soit les scènes de crimes ou d’autopsie.

    C’est une jolie découverte d’une auteure dont je n’avais jamais entendu parlé et que je serais ravie de lire à nouveau.

  • Lectures noires pour nuits blanches 14 septembre 2022
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    Yan est flic à la police judiciaire. Elle et son équipe enquêtent sur deux affaires en parallèle, un journaliste sauvagement assassiné et des suicides par décapitation.

    Un polar somme toute classique avec les enquêtes, autopsies, interrogatoires et autres procédures. Ce qui rend ce roman singulier c’est son héroïne, Yan. Loin de la flic badass que l’on croise souvent dans les polars, Sacha Erbel a choisi d’en faire une femme fragile, obligée de se battre au quotidien contre une ennemie invisible, tout en menant une vie professionnelle pas des plus reposante et en cachant à son entourage sa maladie. J’avais dit qu’elle n’était pas badass ?
    À travers Yan, l’auteure nous informe sur cette maladie trop méconnue et trop souvent ignorée. Elle en fait presque un personnage à part entière.
    J’ai évidemment ressenti beaucoup d’empathie pour Yan. Comme je la comprends ! En plus de la douleur, il faut fréquemment supporter, l’incrédulité, les réflexions et les jugements à deux balles.

    J’ai beaucoup aimé les autres membres de l’équipe, qui auraient peut-être mérité d’être plus approfondis. C’est une bien belle équipe qui se serre les coudes en toute occasion, comme une famille.
    En plus de la douleur et la maladie, Sacha Erbel aborde d’autres thématiques tout aussi importantes et intéressantes. Il y a des sujets qu’il est toujours bon d’aborder. L’intrigue rythmée est très prenante et même si l’on devine très rapidement les tenants et les aboutissants des deux affaires, j’ai passé un très agréable moment de lecture.

    L’auteure se dévoile et nous livre un roman très intimiste en nous faisant part de son expérience professionnelle et personnelle. Flic, diplômée en criminologie et côtoyant elle aussi l’Araignée, elle a dû mettre beaucoup d’elle-même dans la personnage de Yan. Cela confère au roman une dimension encore plus réaliste.

    Un polar très addictif et captivant, qui pourrait même se révéler instructif pour certains.
    Que pourrais-je ajouter d’autre à part lisez-le !

  • Sonia Boulimique des Livres 10 septembre 2022
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    Ce roman a été déstabilisant pour moi. Déjà, l’auteure, Sacha, est une femme. J’étais persuadée que c’était un homme. Et Yan, son personnage principal, est une femme aussi. Pour moi, Yan est plus un prénom masculin, j’ai vraiment eu du mal à m’y faire, ça a été la catastrophe. Ma cervelle de Yop m’a agacée en refusant d’admettre que Yan était une femme (quelle tête de pioche, peut-être devrais-je consulter…). Ou comment un simple petit détail de rien du tout peut compromettre une lecture. Mais heureusement, Sacha était là pour remettre mes pauvres neurones dans le droit chemin !

    Yan Lebrun, « La Tiote », spécialiste en criminologie, travaille à la PJ de Lille. Elle enquête avec son collègue Mika, « Granulé », sur le meurtre d’un journaliste, tué sauvagement à son domicile. Autre intrigue, c’est Barthélémy, « Brath », et Michel, qui se voient charger d’un suicide par…décapitation. Étrange manière d’en finir avec la vie, non ? Deux enquêtes menées de front, qui se rejoindront peut-être à un moment de l’intrigue. Deux affaires qui vont mener nos policiers dans les bas-fonds de Lille, où des sujets graves et très intéressants sont plus qu’abordés. J’ai appris beaucoup de choses sur l’homosexualité dans des pays où elle est considérée comme illégale, où la honte et la dissimulation sont de règle, pour échapper à de terrifiantes représailles. Je suis allée approfondir le thème sur internet, et ce que j’ai lu rejoins la parole de Sacha et fait vraiment froid dans le dos. La partie relative au journalisme d’investigation s’est également avérée passionnante.

    Sacha aborde également un autre sujet délicat, non mentionné dans le résumé, je n’en parlerais donc pas. Yan décrit « l’Araignée » qui la bouffe de l’intérieur avec beaucoup de justesse. L’occasion pour l’auteure de nous démontrer que le rôle du subconscient est loin d’être secondaire, et que l’on peut compter sur la puissance du mental sur le physique.

    J’ai été émue par ce que vit Sacha, par son courage et sa détermination. C’est une femme très forte, qui vous insuffle de l’énergie et de la positivité, que j’ai pris plaisir à suivre du point de vue privé. C’est ce que j’ai aimé dans ce roman : on n’est pas juste face à des enquêteurs payés pour résoudre des meurtres. On est face à des hommes et des femmes qui ont une vie personnelle, des émotions et des attentes. Et qui forment une grande famille. J’ai vraiment beaucoup apprécié le portrait fait des personnages. Je me suis attachée à eux.

    La plume de Sacha sait être délicate et sensible au bon moment, et devenir vive et percutante à d’autres, rendant la lecture très agréable. Elle maîtrise son sujet, aussi bien en terme de procédures judiciaires (Sacha est une ancienne flic) et en terme de connaissance de l’Araignée (les notes de l’auteur à la fin m’ont émues). L’humour est présent, grâce aux répliques de nos protagonistes, ou encore à leurs surnoms, même les voitures de fonction en ont un. Cela rapproche lecteur et personnages et permet une belle immersion dans l’histoire.

    « Tout le monde a un surnom ici, même les véhicules de la PJ. C’est leur monde à eux, leur seconde famille. Un repère dans une réalité qui montre l’être humain dans ce qu’il fait de pire. Ils passent plus de temps ensemble au boulot qu’avec leurs femmes et leurs enfants, alors ces surnoms, ce microcosme qu’ils se sont créé, c’est leur point d’ancrage à l’image d’une bulle d’air qui remonterait des profondeurs. »

    Niveau enquête, j’ai assez rapidement pu placer quelques pièces du puzzle, mais il m’en manquait tout de même pour découvrir le schéma final ! Je me suis régalée car les investigations sont détaillées à l’extrême, Sacha place le lecteur au cœur de l’enquête. A nous les témoignages, les debriefings avec l’équipe, les constatations, les autopsies, le jargon des flics (no panic, tout est expliqué !). J’ai vraiment eu l’impression d’être avec eux dans les locaux de la PJ, et cette plongée est absolument géniale !

    Un roman très riche et instructif, embarquant le lecteur qui ne souhaite qu’une chose : être absorbé par les pages et le récit. Une très belle lecture que je vous conseille. Lancez-vous, faites connaissance avec Yan, vous ne le regretterez pas !

    « Le matraquage de tronche symbolise la rage, la haine pure et simple. La vengeance me semble une piste intéressante, mais je ne sais pas encore dire pourquoi. En criminologie, la strangulation signifie que l’on veut faire taire la personne. On veut qu’elle arrête de parler. Le fait de porter des coups au visage peut faire ressortir la frustration, la volonté de prendre l’ascendant sur l’autre, ou les deux à la fois. »

    Je remercie les Éditions Taurnada pour cette lecture.

    #Lamortestparfoispréférable #SachaErbel #Taurnada

  • Les livres de Cédrick 8 septembre 2022
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    L’autrice est fonctionnaire de police depuis bientôt 30 ans. Cela se ressent forcément sur son écriture et la maîtrise du quotidien des forces de l’ordre. Si vous ajoutez à cela son diplôme de criminologie appliquée à l’expertise mentale... On peut affirmer que Sacha Erbel maîtrise son sujet. C’est d’ailleurs un des points communs entre l’autrice et son personnage principal, le Major Yan Lebrun.

    Yan est flic à la police judiciaire de Lille depuis de nombreuses années. Elle aime son travail et ses collègues mais elle doit lutter chaque jour un peu plus contre des douleurs de plus en plus vives. Cette maladie, son araignée comme elle l’appelle, tisse sa toile dans son corps, sans s’arrêter. Cela devient de plus en plus handicapant et la pousse vers des comportements extrêmes.

    Yan et son coéquipier, alias Granulé, forment le premier duo d’enquêteurs de ce roman. Le second est constitué de Brath, son ami de longue date, et de Michel son coéquipier. Ces quatres enquêteurs nordistes vont parcourir notre belle ville de Lille pour retrouver l’assassin d’un journaliste et comprendre ce qui est à l’origine d’un suicide particulièrement spectaculaire...

    Lire ce thriller a été très agréable. L’écriture est fluide et les pages se tournent à toute vitesse. L’intrigue est présente mais n’a pas son importance habituelle. L’araignée y prend une place prépondérante et rend le roman particulier et donc intéressant. J’ai par contre un peu moins apprécié le mélange des genres avec des passages parfois trop explicatifs voire pédagogiques. Ils sont certes intéressants mais cela casse le rythme et je les aurais plus appréciés en dehors du récit.

    Si vous recherchez un thriller qui est en même temps un témoignage sur une maladie touchant environ 10% des femmes, ce livre saura répondre pleinement à vos attentes.

    Je vous en souhaite une agréable lecture.

  • Sylvie Belgrand 8 septembre 2022
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    C’est pour moi un coup de cœur que ce polar un peu à part ! En effet, en plus d’une intrigue originale et passionnante, Sacha Erbel évoque avec beaucoup de sensibilité la dépression, la souffrance physique et la solitude de celui ou celle qui souffre. Ne vous y trompez pas, on n’est pas dans le larmoyant, mais plutôt dans le courage et la force. Et puis, l’humour et l’attachement sincère entre les personnages vous donneront le sourire. Un très bon roman policier à dévorer.

  • Le Monde de Marie 8 septembre 2022
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    Un thriller écrit par une fonctionnaire de Police à travers lequel elle va nous dépeindre la vie d’enquêteur mais aussi se livrer sur une terrible maladie qu’est l’endométriose. L’auteure y a mis une part d’elle-même et réussi à nous ouvrir les yeux sur les conséquences que peut avoir ce terrible mal.

    Yan, qui lutte pour cacher les troubles dont elle souffre. Cette araignée qui tisse sa toile dans son quotidien. Chaque jour plus intense. Chaque jour plus insoutenable. Une femme forte est pleine de bagout qui peu à peu se perd dans les affres de sa douleur. Un aspect terriblement réaliste qui aura d’horribles conséquences pour notre héroïne.

    Une double intrigue que l’on va suivre aux côtés de deux équipes d’enquêteurs. Des suicides aux mises en scènes insolites. Un homme retrouvé battu et noyé dans sa baignoire. A travers elles, on va plonger dans les dérives du journalisme d’investigation et dans celles d’un praticien narcissique (je ne vous en dirais pas plus pour ne pas spoiler !).

    Des enquêtes bien construites et prenantes qui, accompagnées des conséquences de la douleur de Yan, vont nous offrir des moments palpitants aux dénouements incertains. L’auteure malmène ses protagonistes et les réactions de ses derniers, leurs faiblesses et leur détermination en font des personnages très humains et attachants.

    Une lecture qui se dévore et une fin sous haute tension. J’ai adoré.

    https://mespassionsmesenvieslemondedemarie.blogspot.com/2022/09/la-mort-est-parfois-preferable-sacha.html?m=1

  • Bagus35 27 août 2022
    La mort est parfois préférable - Sacha Erbel

    Merci aux éditions Taurnada de m’avoir permis la lecture de ce bon thriller .Yann est major à la police de Lille et doit enquêter sur le meurtre d’un journaliste à son domicile alors que la maladie la ronge et qu’elle fait tout pour donner le change à ses collègues .Ces mêmes collègues qui eux enquêtent sur d’étranges suicides dont le modus operandi dépasse l’entendement .Un bon thriller où les méthodes policières sont bien détaillées du fait que ce soit le métier de l’auteure .

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