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Le Cri des corbeaux - Matthieu Parcaroli

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14 #AvisPolar
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Résumé :

Après avoir participé à un concours en ligne, Julie et Théo gagnent un week-end pour deux tous frais compris dans une sublime villa à la montagne près du lac des corbeaux.
Pour ce jeune couple modeste, c’est le voyage de noces qu’ils n’ont jamais pu s’offrir. Sur place, le rêve s’arrête net lorsqu’ils voient débarquer un autre couple, eux aussi vainqueurs du concours. Comble de la malchance, le lieu, perdu dans la nature enneigée, ne semble pas desservi par le réseau. Impossible de contacter les organisateurs du jeu. Mais le séjour romantique bascule véritablement dans le cauchemar lorsqu’ils se rendent compte être enfermés dans cette immense propriété et que l’un d’eux disparaît au cours d’une coupure d’électricité.
La peur est un vilain défaut… et nos personnages vont l’apprendre de la plus cruelle des façons.

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Vos #AvisPolar

  • stokely 26 mars 2021
    Le Cri des corbeaux - Matthieu Parcaroli

    Un récit qui se lit rapidement du au petit nombre de pages 240, une intrigue plaisante à lire.

    Nous suivons ici un jeune couple d’amoureux Théo et Julie qui ont gagné à leur plus grand bonheur un week-end en amoureux dans une villa au milieu des montagnes.

    Tout commence lors du trajet avec le conducteur de la voiture plutôt mystérieux qui ne souhaite rien dévoiler du trajet, il est impossible pour le couple de savoir ou il se rende et aussitôt sa mission accomplie le chauffeur s’en va en les laissant au pied de la maison.

    Ils n’ont aucun autre moyen de locomotion et en arrivant dans cette maison après la visite de celle-ci, le couple s’aperçoit que le réseau téléphonique ne fonctionne pas dans ce coin.

    Pour couronner le tout une panne d’électricité arrive à ce moment la et ce n’est que le début des incidents qui vont s’enchaîner à grande vitesse.

    Beaucoup de lecteurs indiquent qu’il s’agit d’un huis-clos pourtant toute l’action ne se déroule pas dans la maison mais également à proximité, les pages se tournent rapidement mais cependant à mes yeux cela n’est pas un huis-clos des plus haletant, la situation est certes intrigante mais à mes yeux cela n’a rien eu d’oppressant.

    J’ai aimé les passages dans le passé des personnages qui permettent de voir ce qu’il leur est arrivé durant leur jeunesse.

    La fin est également en demi-teinte à mes yeux beaucoup ont aimé mais j’ai trouvé celle-ci un peu facile et rapide.

    Cependant pour un premier roman ce livre est plutôt agréable à lire.

  • Les livres de Cédrick 14 décembre 2020
    Le Cri des corbeaux - Matthieu Parcaroli

    Je vais vous présenter ma lecture du roman "Le cri des corbeaux", premier roman de Matthieu Parcaroli, paru aux Editions du masque.

    L’auteur commence son histoire à quelques rues de chez moi... Un jeune couple vient de gagner une semaine de vacances dans une magnifique villa de rêve... Mais mais mais (oui il en faut au-moins trois vous allez comprendre), un second couple a gagné le même séjour de rêve. Vous imaginez sans peine leur surprise lorsqu’ils se retrouvent tous les quatre. L’auteur nous dépeint parfaitement cette montagne russe de sentiments, jusqu’au moment où le drame arrive. Aucun d’entre eux ne s’attendait à avoir une telle peur...

    L’ecriture est agréable à lire et l’histoire est prenante même si la narration, ponctuée de nombreux flashbacks, n’a pas réussi à me garder captivé en permanence. Cela reste une lecture agréable avec une histoire originale dont on souhaite absolument connaître le dénouement. D’ailleurs, qui avait trouvé comment cela allait se terminer ?

  • Les livres de Cédrick 11 novembre 2020
    Le Cri des corbeaux - Matthieu Parcaroli

    Ce masque et cette plume, je les ai souvent vus sur la couvertures des livres que ma mère lisait. J’ai donc été interpellé de les revoir, sur fond vert cette fois-ci et non plus sur leur jaune "légendaire". C’est sous de nouvelles couleurs que les éditions du Masque ont fêté leur 90 ans en 2017, après avoir publié Agatha Christie pour leur premier ouvrage. C’est d’ailleurs cette même maison qui publia Charles Exbrayat avec sa truculente Imogène McCarthery. Que de bons souvenirs de lecture ! Pas pour vous ?

    Aujourd’hui, je vais vous présenter ma lecture du roman "Le cri des corbeaux", premier roman de Matthieu Parcaroli, paru comme vous l’aurez compris aux Éditions du masque.

    L’auteur commence son histoire à quelques rues de chez moi... Un jeune couple vient de gagner une semaine de vacances dans une magnifique villa de rêve... Mais mais mais (oui il en faut au-moins trois vous allez comprendre), un second couple a gagné le même séjour de rêve. Vous imaginez sans peine leur surprise lorsqu’ils se retrouvent tous les quatre. L’auteur nous dépeint parfaitement cette montagne russe de sentiments, jusqu’au moment où le drame arrive. Aucun d’entre eux ne s’attendait à avoir une telle peur...

    L’ecriture est agréable à lire et l’histoire est prenante même si la narration, ponctuée de nombreux flashbacks, n’a pas réussi à me garder captivé en permanence. Cela reste une lecture agréable avec une histoire originale dont on souhaite absolument connaître le dénouement.

  • unevietoutesimple 2 mars 2020
    Le Cri des corbeaux - Matthieu Parcaroli

    Ce roman m’a été conseillé par Victoria du blog Un livre toujours (ce n’est pas le premier livre qu’elle me conseille et jusqu’ici je n’ai pas été déçue) je ne sais plus à quel moment, et je l’en remercie car sans elle, je serais sans doute passée à côté et que j’ai passé un agréable moment de lecture.

    C’est un premier roman bien maitrisé et qui se lit très rapidement (et pas uniquement parce qu’il n’a pas beaucoup de pages). Dès le début, j’ai été happée par l’histoire et ensuite, impossible de le mettre de côté. Pour tout vous dire, il m’a fallu 3 jours/soirées pour le lire et je pense que si j’avais été en vacances, il aurait été englouti en 1 seule journée. Les chapitres sont courts, l’ensemble est rythmé et vous ne vous ennuyez pas une seconde.

    Ce “semblant” (j’emploie ce terme car une partie de l’intrigue se passe en extérieur et une autre à l’intérieur) de huis-clos parle de la peur mais pas de la simple peur, il est question ici de phobies, celles qui vous font perdre tous vos moyens, qui vous paralysent. L’ensemble est bien mené et les personnages sont bien campés même si parfois la caricature est un peu trop poussée (je pense au couple de parisiens).

    J’ai apprécié les retours en arrière sur le passé des protagonistes afin de nous faire découvrir leur plus grande peur. J’ai trouvé que cela ajoutait du rythme supplémentaire à l’intrigue.

    Certains passages ont été particulièrement oppressants pour moi mais il se trouve que je suis arachnophobe et si vous lisez le roman, vous comprendrez ce que je veux dire.

    Je pensais avoir deviné ce vers quoi on allait mais cela n’a en rien gâché mon plaisir puisque je voulais savoir si j’avais raison ou pas. Mais en fait, j’étais partie sur autre chose (à cause des mini chapitres écrits dans une police différente) mais un peu dans la même vague (difficile d’en dire plus sans dévoiler le dénouement).

    Voilà, je ne vous en dirai pas plus de peur de gâcher l’effet de surprise si vous décidiez de lire le roman. C’est une belle découverte pour moi et c’est un livre que je vous conseille.

  • La Caverne du Polar 14 février 2020
    Le Cri des corbeaux - Matthieu Parcaroli

    Aujourd’hui je vais vous parler du premier roman de Matthieu Parcaroli, Le Cri des corbeaux. C’est un auteur lorrain qui a été publié aux Editions du Masque. Je dois bien avouer que ce n’est pas toujours évident de gérer sa PAL tout au long de l’année. D’ailleurs la mienne ne diminue quasiment jamais ! Il y a tellement de nouveautés chaque année, tant de nouveaux auteurs que l’on découvre, qu’il faut bien entendu faire des choix. Mais notre travail à nous blogueurs/blogueuses consiste entre autre, de vous faire découvrir de nouveaux auteurs. Là je suis ravi d’avoir fait ce choix, cet auteur est une très belle découverte. Suivez-moi c’est parti en direction du lac des corbeaux en pleine montagne.

    On fait connaissance avec Julie et Théo un couple originaire du Nord de la France, qui vient d’ouvrir leur propre boulangerie. Ils sont les heureux gagnants d’un concours en ligne. Ils ont gagnés un week-end tout confort dans une villa luxueuse en pleine montagne et un chauffeur vient même les récupérer devant chez eux avec un 4 x 4 Audi Q5. Mais ils ne savent pas vraiment où ils vont, la destination est une surprise. Arrivé sur place ils comprennent très vite que ce lieu est aussi magnifique que perdu. Puis quelques heures après leur installation, c’est un second couple qui arrive… Personne bien entendu n’était au courant qu’ils devaient partager cette magnifique villa. D’ailleurs la tension monte très vite entre les deux couples, même si Julie et Théo sont bien décidés à rester, le second couple Simon et Agathe souhaitent partir au plus vite. Dès le lendemain ils tentent d’appeler les organisateurs mais ils n’ont aucun réseau. Puis ils décident de sortir du domaine à pied mais le grillage est électrique. Le week-end va très vite se transformer en cauchemar lorsqu’Agathe disparaît mystérieusement en forêt aux côtés de Julie…

    J’ai rapidement été happé par ce huis-clos. L’intrigue est originale et bien maîtrisé. Les chapitres sont courts et très rythmé. Dans ce roman il est question de nos différentes phobies. Comment faire au mieux pour les appréhender. Les flashbacks expliquant le présent des différents protagonistes est très bien conçu également. Le roman est un peu trop court cependant pour vraiment s’attacher aux personnages, ce qui n’est pas vraiment le but de ce récit. Quant au dénouement j’avais pensé trouver, mais pas du tout, j’ai été très surpris, mais je ne vous dirai rien de plus, vous constaterez par vous-même.

    Le Cri des corbeaux est un très bon premier roman et je suis toujours ravi de découvrir de nouveaux auteurs talentueux. De plus moi qui est un fan des « Whodunnit » je trouve qu’il a été conçu un peu à la manière british d’un roman à énigme. J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre et il se lit très rapidement. Je ne peux que vous le conseiller, lancez-vous et laissez-vous séduire par Matthieu Parcaroli. Moi j’ai hâte de lire son prochain roman.

  • Virginie.Aufildelimaginaire 21 novembre 2019
    Le Cri des corbeaux - Matthieu Parcaroli

    Le titre de ce roman m’intriguait grandement, ça me faisait un peu penser aux oiseaux de Hitchcock et le petit bandeau parlant des peurs a fini de me convaincre de l’acheter. Oui oui je sais il m’en faut peu mais franchement vous avez vu la quantité de livres qui sort comment on peut résister face à une telle pression.
    Le Cri des Corbeaux nous envoie en ballade dans un lieu idyllique, une maison magnifique avec une vue incroyable, on a juste envie de s’installer dans le canapé armé d’un bon plaid et d’un bon bouquin tout en profitant de la chaleur du feu dans la cheminée. Ah c’est beau de rêver !

    Ce séjour qui promettait une détente parfaite va tourner au cauchemar pour nos deux couples qui se retrouvent à devoir cohabiter.
    Un roman court sans que cela ne lui porte défaut car l’auteur va à l’essentiel sans embarrasser le lecteur de détail qui ne feraient pas avancer l’histoire, des chapitres courts qui donnent une bonne vitesse à cette intrigue. L’auteur nous donne aussi des détails sur la vie passée de chacun des protagonistes pour qu’on prenne leurs peurs ou plutôt leurs phobies. Je peux vous assurer que je n’étais pas totalement rassurée pendant ma lecture, j’ai d’ailleurs décidé de ne pas le lire le soir enfin la nuit car le moindre bruit me faisait réellement flipper.

    Mon seul bémol concernant cette lecture est que je n’ai pas du tout pu m’attacher aux personnages, ils ne m’ont pas marqué du tout en revanche je me souviens de ce qu’ils ont subi dans cette maison ou dans leur passé mais impossible de me rappeler leurs prénoms.
    Un roman que l’on n’a pas envie de lâcher tant on veut comprendre ce qui se passe dans cette maison. Un twist final que l’on ne soupçonne pas du tout et qui nous laisse sur le cul complet (heureusement que je n’ai pas lu les dernières pages du bouquin sinon je me serais spolié toute seule)
    Pour conclure, je ne dirais qu’une seule chose les petites lignes sont importantes parfois

  • La Bibliothèque de Juju 12 septembre 2019
    Le Cri des corbeaux - Matthieu Parcaroli

    Il y avait Le Silence des Agneaux.

    Et voilà que les corbeaux se mettent à faire du bruit. Le Cri des Corbeaux donc.

    Je ne sais pas vous mais j’ai toujours croisé au hasard de mes pérégrinations littéraires les fameux petits livres ni vraiment jaunes, ni réellement oranges de la collection Le Masque. Puis depuis 2012, plus rien … Tout fout le camp, décidément.

    Quelle ne fut pas ma surprise il y a peu de la voir revenir avec des couvertures toujours aussi reconnaissables mais aux couleurs flashouilles so 2019 ! Je me suis donc empressé de me procurer le vert ouvrage de Matthieu Parcaroli, LE CRI DU CORBEAU …

    Dans ce livre, il va être question de peur. L’auteur cite d’ailleurs Maxime Chattam en début d’ouvrage pour offrir sa vision de la PEUR. Qui peut revêtir différentes formes.

    L’histoire débute avec Julie et Théo qui se retrouvent dans une splendide villa à la montagne, après avoir gagné un concours sur internet. Leur extase va être de courte durée car ils sont vite rejoints par un couple de parisiens qui a également gagné le fameux concours. Ils vont devoir cohabiter dans un climat qui ne semble pas tellement très chaleureux …

    Peu à peu, les événements vont devenir inquiétants et Matthieu Parcarroli va jouer à nous faire peur… Les phobies étant au centre de son intrigue et de ce huis-clos oppressant.

    J’ai retrouvé le plaisir d’une lecture prenante, qui monte crescendo dans l’inquiétude. Malgré quelques effets un peu faciles pour ménager de « faux » suspense à la fin des chapitres, surtout en début d’ouvrage, on lit à grande vitesse pour savoir ce qui va arriver. Pour tenter de comprendre…

    Le final m’a peut-être un peu déçu car rapide et peu développé, à mon goût. L’auteur explique d’ailleurs que ce livre est, à la base, une nouvelle retravaillée, je suis persuadé que c’est un format qui convenait mieux pour cette fin justement.
    🕸🕷🕸
    Une lecture sans prise de tête et pour le plaisir de frissonner un peu. Je reste curieux de découvrir le prochain roman de l’auteur, qui en a sous le pied il me semble !

  • Folamie 7 juillet 2019
    Le Cri des corbeaux - Matthieu Parcaroli

    Wah ! Franchement waouh !

    J’ai adoré ce livre ! Je suis entrée dedans et je ne l’ai pas lâché. J’ai adoré cette lecture et j’ai hâte que l’auteur sorte d’autres roman comme celui-ci !

    On rencontre Julie et Théo, un couple qui s’aime énormément et qui ont hâte de se retrouver seul pour profiter l’un de l’autre grâce a ce séjour gagner lors d’un concours.

    On rencontre également Agathe et Simon, un autre couple qui eux ne doivent pas beaucoup s’aimer, Simon est infidèle et Agathe ne le quitte pas car elle s’est habitué à lui.

    Lors de la rencontre de ces deux couples, ils ne vont pas comprendre pourquoi ils se retrouvent dans la même maison alors qu’ils ont tous les quatres gagner le concours. Ils ne peuvent pas téléphoner aux organisateurs de ce concours car ils n’ont pas de réseau. Ils restent donc ensemble pour une nuit en espérant pouvoir changer d’endroit le lendemain.

    A partir de ce moment là tout va commencer. Ils vont essayer de trouver une sortie mais la maison est entourée d’une forêt et d’un immense grillage électrifié à son sommet.

    Lors de cette escapade pour trouver une sortie, Agathe va disparaitre et c’est à ce moment que tout le monde va paniquer et commencer à la rechercher.

    Après ça, tout le monde va se retourner contre tout le monde en supposant qu’ils sont complice ou bien coupable de cette disparition.

    Dans le roman, à chaque fois qu’un des personnages se retrouve face à sa peur, on à quelques chapitres qui nous font "remonter" le temps et nous explique d’où viennent ses peur rationnelle ou non. J’ai vraiment bien aimée ces parties là car on comprenais mieux pourquoi ils étaient dans ces situations plus qu’affreuses.

    Pendant ma lecture j’ai eu des moments de peur, j’ai eu peur de ce qui pourrait leur arriver car dans cette maison c’est vraiment bizarre ! La porte ou les volets se ferment tout seul ou bien le courant se coupe d’un coup. Franchement tout est fait pour que les gens a l’intérieur de cette maison soit en panique total à chaque instant.

    Je ne dévoile pas plus de ce qu’il se passe à la suite mais la fin est plus qu’inattendu ! Franchement si quelqu’un l’a lu et avais deviné ça ! Chapeau l’ami !

    Si vous pouvez vous le procurer mais foncez !! Ça ne fait pas vraiment peur, ça nous fait paniquer en même temps que les personnages et c’est ça que j’apprécie. Vivre la même choses que les personnages.

  • Michel BLAISE 30 avril 2019
    Le Cri des corbeaux - Matthieu Parcaroli

    " Le progrès fait rage et le futur ne manque pas d’avenir". Ainsi, Philippe Meyer concluait naguère ses chroniques matinales sur France Inter. Ce roman, "le cri des corbeaux" ne l’a pas démenti...

    Julie et Théo, jeunes trentenaires du nord de la France, sont les heureux gagnants, suite à un concours sur internet, d’un séjour en amoureux de quelques jours dans une villa, située à un endroit inconnu, près du "lac des corbeaux". Ils sont conduits, à bord d’une luxueuse voiture, vers une destination inconnue. Arrivés à destination, le conducteur, énigmatique et taiseux, leur remet les clefs de la maison, puis quitte promptement les lieux. Julie et Théo jouissent rapidement du luxe à leur disposition : installation dans l’une des deux chambres rutilantes, jogging pour Théo dans l’immense parc de la propriété, bain dans le jacuzzi, préparation d’un délicieux repas pour le dîner…

    Rapidement, ils sont surpris par l’arrivée d’un couple parisien, Agathe et Simon, lauréats du même concours. Tous pensent à une erreur et, espérant pouvoir joindre les organisateurs afin de comprendre, mais seulement le lendemain faute de réseau téléphonique. En attendant, ils conviennent de partager, bon an mal an, le repas, la soirée et la nuit au sein de la villa.

    Le séjour des quatre occupants prend immédiatement une exposition et un rythme effroyables et angoissants : pannes d’électricité à répétition, chutes de neige abondantes, rupture des mécanismes d’ouverture de toutes les issues de la propriété… en même temps, c’est le temps d’une première disparition : Agathe demeure introuvable. Sera-t-elle la seule à "s’évaporer" mystérieusement ?

    "Le cri des corbeaux" est le premier roman publié, en 2019, par Mattieu Parcaroli aux éditions Jean-Claude Lattès/Le masque. Il est également l’auteur d’une nouvelle - "Polenta" - récompensée par l’attribution de la deuxième place du "prix "E-crire Aufeminin" 2016".

    Les romans policiers – au sens générique – ne sont pas une sous-catégorie de la Littérature. Il est donc regrettable d’observer que certains, parmi eux, méprisent les règles les plus élémentaires de la syntaxe et de l’orthographe et sont élaborés au moyen de mots, de formules et de phrases très approximatifs qui expriment des idées du même ordre. Le roman de Matthieu Parcaroli est de ceux-là : une fiction mal rédigée dont l’écriture est très imprécise, élaborée au moyen de dialogues niais et immatures. Plus de la moitié du livre, après des dizaines de pages et de descriptions simplistes et maladroites, est structuré essentiellement autour de dialogues sans intérêt, souvent ridicules :

     "Une box. Tu sais, ce truc pour avoir internet ? En théorie, ça devrait être pas loin de la télé…" ; "Je n’arrive même pas à trouver une prise téléphonique. C’est dingue !" ; "Y’a de quoi passer de bonne soirée"… (P. 41,42),

     "Lorsque l’on souhaite que, chaque fois que l’on fait l’amour à l’autre, ce soit un véritable feu d’artifice, une symbiose totale ou l’on puisse s’abandonner sans aucune retenue. Des moments où l’on pense uniquement à l’autre et jamais à soi…"(P. 102)

     Si j’avais su qu’il y aurait eu du feu, j’aurais apporté des saucisses (P. 142),

     "Malgré ses bonnes résolutions" (sic), il avait souhaité très fort qu’il glisse dans l’escalier…"(P56, 57),

     "C’est limite dangereux : imagine, on fait un malaise ou on se blesse" (pour évoquer l’absence de téléphone portable), (P 58),

     La maison était tellement vide qu’un écho s’y était installé… (P 91),

     Ils étaient fins prêts pour partir à la recherche de leur(s) (sic) moitié(s)" (sic) (P. 127),

     "Sois rassurée…ce n’est pas une proposition indécente…et de toute façon, je n’ai pas pris de capotes (P.143) etc…

    Le récit ne maîtrise pas la langue française, son texte est pauvre, son écriture négligée.

    Il ne suffit pas d’inventer une idée pour réussir un roman, y compris un roman policier. Victor Hugo a écrit "la forme, c’est le fond qui remonte à la surface". Cette maxime s’accorde idéalement avec le roman " le cri des corbeaux". L’intrigue imaginée par l’auteur, nonobstant les avis lus ici et là, est "facile", sans prétention et démagogique au plan littéraire. Elle ne défie pas l’imagination et l’intelligence qui sied à tout récit policier ou thriller digne de ce nom. Elle est une injure à ce genre de Littérature et, plus particulièrement, à celui du "whodunit" (1) – certaines critiques ont comparé le "cri du corbeau" au roman d’Agatha Christie, dix petits nègres - excusez du peu" !

    Pour conclure, "le cri des corbeaux" est un très mauvais roman.

    Je remercie bien vivement Babelio ainsi que les éditions Jean-Claude Lattès/ Le masque de m’avoir permis de participer à cette nouvelle "opération, masse critique".

    1) Le whodunit est devenu synonyme du roman d’énigme classique du début du XXe siècle, appelé aussi roman problème ou roman jeu. Ce roman de détection est une forme complexe du roman policier dans laquelle la structure de l’énigme et sa résolution sont les facteurs prédominants. Au cours du récit, des indices sont fournis au lecteur qui est invité à déduire l’identité du criminel avant que la solution ne soit révélée dans les dernières pages. L’enquête est fréquemment menée par un détective amateur plus ou moins excentrique, par un détective semi-professionnel, voire par un inspecteur de la police officielle.
    Le roman de type « mystère en chambre close » est une forme particulière de « whodunit » et renvoie à une énigme où la victime aurait été tuée ou agressée dans un local apparemment étanche dont le coupable se serait échappé de façon irrationnelle.
    En principe, le lecteur doit disposer des mêmes indices que l’enquêteur et donc des mêmes chances que lui de résoudre l’énigme, l’intérêt principal de ce genre de romans étant de pouvoir y parvenir avant le héros de l’histoire. (Source Wikipédia).

  • Michel BLAISE 30 avril 2019
    Le Cri des corbeaux - Matthieu Parcaroli

    " Le progrès fait rage et le futur ne manque pas d’avenir". Ainsi, Philippe Meyer concluait naguère ses chroniques matinales sur France Inter. Ce roman, "le cri des corbeaux" ne l’a pas démenti...

    Julie et Théo, jeunes trentenaires du nord de la France, sont les heureux gagnants, suite à un concours sur internet, d’un séjour en amoureux de quelques jours dans une villa, située à un endroit inconnu, près du "lac des corbeaux". Ils sont conduits, à bord d’une luxueuse voiture, vers une destination inconnue. Arrivés à destination, le conducteur, énigmatique et taiseux, leur remet les clefs de la maison, puis quitte promptement les lieux. Julie et Théo jouissent rapidement du luxe à leur disposition : installation dans l’une des deux chambres rutilantes, jogging pour Théo dans l’immense parc de la propriété, bain dans le jacuzzi, préparation d’un délicieux repas pour le dîner…

    Rapidement, ils sont surpris par l’arrivée d’un couple parisien, Agathe et Simon, lauréats du même concours. Tous pensent à une erreur et, espérant pouvoir joindre les organisateurs afin de comprendre, mais seulement le lendemain faute de réseau téléphonique. En attendant, ils conviennent de partager, bon an mal an, le repas, la soirée et la nuit au sein de la villa.

    Le séjour des quatre occupants prend immédiatement une exposition et un rythme effroyables et angoissants : pannes d’électricité à répétition, chutes de neige abondantes, rupture des mécanismes d’ouverture de toutes les issues de la propriété… en même temps, c’est le temps d’une première disparition : Agathe demeure introuvable. Sera-t-elle la seule à "s’évaporer" mystérieusement ?

    "Le cri des corbeaux" est le premier roman publié, en 2019, par Mattieu Parcaroli aux éditions Jean-Claude Lattès/Le masque. Il est également l’auteur d’une nouvelle - "Polenta" - récompensée par l’attribution de la deuxième place du "prix "E-crire Aufeminin" 2016".

    Les romans policiers – au sens générique – ne sont pas une sous-catégorie de la Littérature. Il est donc regrettable d’observer que certains, parmi eux, méprisent les règles les plus élémentaires de la syntaxe et de l’orthographe et sont élaborés au moyen de mots, de formules et de phrases très approximatifs qui expriment des idées du même ordre. Le roman de Matthieu Parcaroli est de ceux-là : une fiction mal rédigée dont l’écriture est très imprécise, élaborée au moyen de dialogues niais et immatures. Plus de la moitié du livre, après des dizaines de pages et de descriptions simplistes et maladroites, est structuré essentiellement autour de dialogues sans intérêt, souvent ridicules :

     "Une box. Tu sais, ce truc pour avoir internet ? En théorie, ça devrait être pas loin de la télé…" ; "Je n’arrive même pas à trouver une prise téléphonique. C’est dingue !" ; "Y’a de quoi passer de bonne soirée"… (P. 41,42),

     "Lorsque l’on souhaite que, chaque fois que l’on fait l’amour à l’autre, ce soit un véritable feu d’artifice, une symbiose totale ou l’on puisse s’abandonner sans aucune retenue. Des moments où l’on pense uniquement à l’autre et jamais à soi…"(P. 102)

     Si j’avais su qu’il y aurait eu du feu, j’aurais apporté des saucisses (P. 142),

     "Malgré ses bonnes résolutions" (sic), il avait souhaité très fort qu’il glisse dans l’escalier…"(P56, 57),

     "C’est limite dangereux : imagine, on fait un malaise ou on se blesse" (pour évoquer l’absence de téléphone portable), (P 58),

     La maison était tellement vide qu’un écho s’y était installé… (P 91),

     Ils étaient fins prêts pour partir à la recherche de leur(s) (sic) moitié(s)" (sic) (P. 127),

     "Sois rassurée…ce n’est pas une proposition indécente…et de toute façon, je n’ai pas pris de capotes (P.143) etc…

    Le récit ne maîtrise pas la langue française, son texte est pauvre, son écriture négligée.

    Il ne suffit pas d’inventer une idée pour réussir un roman, y compris un roman policier. Victor Hugo a écrit "la forme, c’est le fond qui remonte à la surface". Cette maxime s’accorde idéalement avec le roman " le cri des corbeaux". L’intrigue imaginée par l’auteur, nonobstant les avis lus ici et là, est "facile", sans prétention et démagogique au plan littéraire. Elle ne défie pas l’imagination et l’intelligence qui sied à tout récit policier ou thriller digne de ce nom. Elle est une injure à ce genre de Littérature et, plus particulièrement, à celui du "whodunit" (1) – certaines critiques ont comparé le "cri du corbeau" au roman d’Agatha Christie, dix petits nègres - excusez du peu" !

    Pour conclure, "le cri des corbeaux" est un très mauvais roman.

    Je remercie bien vivement Babelio ainsi que les éditions Jean-Claude Lattès/ Le masque de m’avoir permis de participer à cette nouvelle "opération, masse critique".

    1) Le whodunit est devenu synonyme du roman d’énigme classique du début du XXe siècle, appelé aussi roman problème ou roman jeu. Ce roman de détection est une forme complexe du roman policier dans laquelle la structure de l’énigme et sa résolution sont les facteurs prédominants. Au cours du récit, des indices sont fournis au lecteur qui est invité à déduire l’identité du criminel avant que la solution ne soit révélée dans les dernières pages. L’enquête est fréquemment menée par un détective amateur plus ou moins excentrique, par un détective semi-professionnel, voire par un inspecteur de la police officielle.
    Le roman de type « mystère en chambre close » est une forme particulière de « whodunit » et renvoie à une énigme où la victime aurait été tuée ou agressée dans un local apparemment étanche dont le coupable se serait échappé de façon irrationnelle.
    En principe, le lecteur doit disposer des mêmes indices que l’enquêteur et donc des mêmes chances que lui de résoudre l’énigme, l’intérêt principal de ce genre de romans étant de pouvoir y parvenir avant le héros de l’histoire. (Source Wikipédia).

  • Root 20 avril 2019
    Le Cri des corbeaux - Matthieu Parcaroli

    Julie et Théo, c’est le couple sympa qu’on voudrait compter parmi ses amis. Simples, complices, marrants. Pour les deux jeunes boulangers qui ont d’ordinaire peu de temps pour la bagatelle, ce séjour remporté par Julie sur le net est plus que bienvenu. Mais à peine sont-ils arrivés en grande pompe dans leur villa de rêve – limousine avec chauffeur, vitres teintées pour garder leur destination secrète – que débarquent Agathe et Simon… vainqueurs du même concours. Erreur de l’organisateur ? Comment savoir ? Largués dans la campagne et sans contact possible avec l’extérieur, les voilà coincés là tous les quatre. Le malentendu aurait pu tourner à la rigolade si Simon ne s’avérait pas être un connard de premier choix. Snob, égocentrique, acariâtre, il exerce son emprise sur la pauvre Agathe, qui subit sans trop mot dire. Après une première soirée houleuse, les choses continuent de se gâter quand l’un des protagonistes se volatilise…

    Et quelle bonne surprise ! (pour moi, lectrice, s’entend) Quel bon moment j’ai passé avec ce roman – dévoré en deux jours. J’aime beaucoup les huis clos, l’unité de lieu débride l’imagination, mais l’entreprise est difficile. On en a lu, des huis clos, et pour que ça marche, il faut un petit truc en plus. Petit truc que Matthieu Parcaroli a parfaitement su trouver. On est dedans dès les premières pages, grâce, notamment, au naturel des dialogues. Dans une atmosphère assez polar british de prime abord se dessinent des caractères bien prononcés, qui donnent lieu à des dissonances intéressantes. La quarantaine met vite sur les nerfs. L’auteur se montre avare en petits cailloux, il n’a semé que ce qu’il faut pour qu’on ne s’égare pas, sans savoir où cette histoire nous conduira. Tandis que la peur nous imprègne tout autant que les personnages, il prépare son final tout en finesse et offre un dénouement à la hauteur de ce que l’on pouvait espérer. Non : mieux encore ! Je ne m’attendais pas à ça, et ça m’a ravie. Le genre de fin que je garderai en mémoire.

    Le Cri des corbeaux est un premier roman abouti, au suspense parfaitement maîtrisé, un juste dosage des ingrédients où chaque mot est à sa place, avec un supplément de réflexion pertinent sur la nature humaine. À quand le prochain ?

  • ju_se_livre 19 avril 2019
    Le Cri des corbeaux - Matthieu Parcaroli

    Tout est réuni pour faire un huis clos réussi. Un livre court où il faut capter l’attention du lecteur d’emblée mais mission accomplie pour Matthieu Parcaroli qui d’entrée de jeu nous immerge dans l’histoire.
    Difficile d’en parler sans spoiler, la quatrième de couverture ne révéle pas grand chose. Je vais donc faire court. Une très bonne intrigue, très bien écrite avec un suspense constant. On s’imprègne très vite de l’ambiance car l’auteur a une très bonne plume, très agréable. Et le sujet est bien maîtrisé.
    Il est difficile de deviner comment va se terminer cette histoire qui paraît complètement folle. Et j’avais hâte de connaître le fin mot car l’auteur joue avec les angoisses de ses protagonistes mais aussi celle du lecteur.

    Mais, parce qu’il y a un Mais ! Cet épilogue justement m’aura un peu refroidi. Pas parce qu’il est mauvais, au contraire, il finit le livre en beauté, Mais parce qu’il m’a fait penser énormément à un autre livre qui a exactement la même configuration. Je n’en dirais pas plus non plus🤐🤐

    Je conseille grandement ce huis-clos qui ravira les fans du genre. Et je vais suivre cet auteur de près car pour un premier roman c’est parfaitement maîtrisé 👌

  • Encore Un Livre 11 avril 2019
    Le Cri des corbeaux - Matthieu Parcaroli

    L’auteur nous livre quatre personnages, deux couples exactement.
    Dans un premier temps, Julie et Théo, couple modeste et plutôt heureux dans leur vie à deux. Ils vont vite se rendre compte que ce séjour se présente sous de mauvais augures puisque très vite débarque un autre couple, Agathe et Simon.
    Dans une ambiance ouatée autant dire que les premières hostilités se ressentent très vite avant même la succession d’événements qui m’ont plongée dans un tourbillon de suspicion et de paranoïa intense. Autant être honnête tout de suite, je me suis précipitée sur ce livre, car tout reflétait ce que j’aime retrouver sauf que je n’avais pas anticipé la thématique :p
    Ayant une réelle phobie, j’ai été servie… Pas besoin d’aller bien loin pour me procurer un sentiment d’angoisse et de peur. Les choses les plus simples sont finalement les plus terrifiantes, l’auteur sait s’arrêter là où il le faut dans sa narration pour laisser l’imaginaire prendre le relai. Projetée dans cette histoire, le sentiment d’insécurité perdure jusqu’à l’étouffement lorsque arrive ce qui me terrorise le plus !
    L’auteur excelle dans une narration exempte de détails inutiles, la construction de cette histoire amène naturellement cet empressement à vouloir comprendre ce qui se trame par l’ingéniosité de développer ces personnages par flash-back, dès lors une vraie psychologie se met en place et permet de brouiller les pistes.
    Je n’ai fait qu’une bouchée de ce thriller avec une curiosité permanente de savoir qui était l’instigateur de tout ce machiavélisme, les sensations de vivre ce cruel huis clos se sont multipliées, il était temps que ça s’arrête ! :p
    Irrationnel et psychologique Le cri des corbeaux a donc toutes mes faveurs, c’est le premier roman de cet auteur prometteur que je vais suivre de très près !

  • kateginger63 10 avril 2019
    Le Cri des corbeaux - Matthieu Parcaroli

    Avoir peur, c’est être en danger. Quatre adultes en feront les frais
    *
    Un pitch intéressant et original. Grâce à un concours, un jeune couple passera quelques jours dans un chalet tout confort au milieu des montagnes. Puis encore un autre couple non prévu arrive peu de temps après. Les quatre personnes s’entendent très mal et découvrent des faits inquiétants (coupure d’électricité, réseau absent, barrières électrifiées). Un des protagonistes disparait. Volatilisé ! Et voilà qu’une ambiance à la "Dix petits nègres" s’installe.
    Un huis-clos bien oppressant me saisit à la gorge. Dans ce récit, il ne fait pas bon d’avoir peur. D’avoir des phobies.
    *
    On se questionne sur l’identité de la personne qui joue avec les nerfs des invités. Qui détient les fils des marionnettes ?
    Avec des courts articles psychologiques centrés sur les peurs en début de chaque chapitre, je croyais avoir deviné le sujet de l’intrigue.
    Mais non, je me suis fait avoir comme une bleue. Tombée dans le panneau !
    Un rythme essoufflé, pas de temps mort, on se met dans la peau de chaque personnage, on s’effraie, on jette un oeil derrière sa porte, on fouille notre mémoire, on enquête nous-même ; mais jamais on ne peut deviner cette fin.
    *
    Conçu comme un "Whodunit" british, un polar qui a bien sa place dans l’édition du Masque ! Court mais costaud ! Chapeau l’auteur !

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