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On la trouvait plutôt jolie - Michel BUSSI

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Résumé :

Du désert sahélien à la jungle urbaine marseillaise, en quatre jours et trois nuits...
Un suspense renversant et bouleversant.

« – Qu’est-ce qui ne va pas, Leyli ? Vous êtes jolie. Vous avez trois jolis enfants. Bamby, Alpha, Tidiane. Vous vous en êtes bien sortie.
– Ce sont les apparences, tout ça. Du vent. Il nous manque l‘essentiel. Je suis une mauvaise mère. Mes trois enfants sont condamnés. Mon seul espoir est que l’un d’eux, l’un d’eux peut-être, échappe au sortilège.
Elle ferma les yeux. Il demanda encore :
– Qui l’a lancé, ce sortilège ?
– Vous. Moi. La terre entière. Personne n’est innocent
dans cette affaire. »

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Vos #AvisPolar

  • jeanmid 19 février 2020
    On la trouvait plutôt jolie - Michel BUSSI

    Je peux vous le dire sans aucun doute : le Michel BUSSI 2017 est encore un grand millésime ce qui prouve que le talent ne s’émousse pas toujours avec le succès .
    Il a réussi une nouvelle fois à me désorienter , à me faire perdre tous mes repères qui vont s’avérer quelques dizaines de pages avant la fin , tous faux . le roi de la manipulation a encore frappé !
    Mais « On la trouvait si jolie » est avant tout un vibrant hommage à ces milliers de migrants qui chaque jour fuient la misère et la guerre , au péril de leur vie , abandonnant toutes leurs économies à des passeurs peu scrupuleux .
    Comme certains l’ont bien compris le malheur des uns fait le juteux business des autres ..
    Parmi ces candidats au voyage vers l’Occident , Leyli , cette béninoise dont l’histoire édifiante est symptomatique de celle de ces milliers d’africains qui tentent le tout pour le tout pour rejoindre l’Europe et ses mirages . Leyli cette mère combattante qui habite un HLM de Port de Bouc à proximité de Marseille et qui ferait tout pour le bonheur de ces trois enfants , Bamby , Alpha et Tidiane. Une histoire qui rebondit aujourd’hui avec l’assassinat de collaborateurs ou d’anciens employés de Vogelzug , cette association en plein essor qui gère le sort de nombreux immigrants politiques ou économiques dont aucun pays ne souhaite les voir fouler leur sol .
    L’enquête est confiée au commandant Petar Velika et à son adjoint , le jeune lieutenant Julo Flores : deux flics au tempérament diamétralement opposé , l’un travaillant purement à l’instinct l’autre profitant des nouvelles technologies pour trouver des pistes , notamment celle de Bambi13…
    Une affaire dont les ramifications vont s’étendre de part et d’autres de la Méditerranée .
    L’auteur a réussi un nouveau coup de maître bâti bien sur sur un récit brillamment ficelé , des rebondissements plus qu’inattendus , un rythme soutenu , une tension permanente , mais ce que je retiendrai avant tout ce sont ces personnages qu’ils soient de premier ou de second plan . Tels Leyli et sa force de caractère qui cache un douloureux secret , Ruben ce gérant d’hôtel de seconde classe qui se rêve en aventurier au long cours , Tidiane , fan de l’ OM et dont le ballon de foot ne quitte jamais ces pieds plus d’une seconde et tous ces africains qui rêvent d’un avenir meilleur loin de leur de leurs villages et de leurs familles . Des personnages attachants , émouvants qui donnent à cette histoire une véritable matière pour un documentaire d’investigation .

  • lecturesdudimanche 6 avril 2019
    On la trouvait plutôt jolie - Michel BUSSI

    Pour les habitués de cet espace, pas de secret dans le fait que Michel Bussi est un auteur que j’affectionne. Aussi, à la sortie de son nouveau roman « On la trouvait plutôt jolie », j’ai aussitôt validé ma précommande chez Belgique Loisirs sans même avoir lu le résumé ! Même pas peur d’être déçue… Alors, avais-je vu juste ?

    Avant de vous délivrer ma réponse, reprenons l’historique :

    1.) Michel Bussi est un auteur manipulateur qui joue avec ses histoires pour nous balader et, lorsque nous nous croyons plus futés que lui, nous envoyer en général droit dans le mur avec nos hypothèses tortueuses !

    2.) J’ai triché en dévorant les avis des copinautes sur la blogosphère, notamment celui de Sonia (du blog Par les yeux de Sonia) qui m’a déjà fourni de précieux conseils de lecture… Et, soit dit en passant, qui est également grande fan de Bussi.

    Bref, je me sentais prête à démarrer ma lecture, sur mes gardes, attentive au moindre détail que l’auteur ne manquerait pas de laisser discrètement échapper pour les plus rusés d’entre nous, lecteurs assidus. J’ai tout analysé, gardé chaque phrase suspecte dans un coin de mon cerveau… Et ricané rapidement… Héhé, mon ami, cette fois je te tiens… J’ai tout compris… Compris quoi ?? Oui, parce que dans tout ça, j’en oublie totalement de vous donner le thème du livre… Qui n’est pas super clair à la lecture du résumé, sachez-le !

    « On la trouvait plutôt jolie », c’est l’histoire de Leyli, malienne réfugiée en France, qui, comme tant d’autre, s’est battue pour devenir citoyenne française et élever dignement ses trois enfants (Bamby, Alpha et Tidiane) à Marseille où elle s’est établie. On découvre, savamment distillée au travers des chapitres, son histoire, bouleversante et dure ; tandis que dans le présent, sa fille Bamby semble suspect numéro un dans le meurtre d’un membre de Vogelzug, une association venant en aide aux migrants.

    En toile de fond et au travers des échanges entre les différents protagonistes, Bussi, en bon professeur de géographie qu’il est, nous dresse un portrait au vitriol d’une situation que personne n’ignore mais que nombre d’entre nous feignent de ne pas savoir. Et pourtant, la plume de Bussi ne se pose pas en défenseur ou opposant de la cause, il énonce « simplement » (si l’on peut dire) des faits qui sont malheureusement devenus le quotidien de beaucoup.

    Revenons-en à l’intrigue : comme je l’ai annoncé, j’avais la ferme intention d’être bien plus maline que l’auteur. J’avais donc décortiqué les lignes, forgé mon opinion, ricané puisque j’avais déjoué les pièges les plus subtils tendus par l’auteur… Pour découvrir, à une cinquantaine de pages de la fin, qu’encore une fois, Bussi m’avait complètement baladée ! Bon, j’avais capté un petit détail quand même, maigre consolation à côté de la claque monumentale que j’ai prise ! Juste un détail : Seigneur, Monsieur Bussi, où allez-vous chercher des noms pareil ?? Bamby ?!? Petar ?!? (Si si, je vous jure, il a appelé son flic Petar…)

    Bon, vous vous souvenez de mon questionnement initial ? Alors, déçue ? Vous l’aurez deviné, absolument pas ! L’histoire belle et triste de naufragés de la vie qui ne demandent pas grand-chose de plus qu’une petite part de bonheur à partager en famille servie sur un plateau garni de meurtres… Tout ce qu’aime !

  • valmyvoyou lit 2 février 2019
    On la trouvait plutôt jolie - Michel BUSSI

    Je crois que je suis devenue très exigeante. Je n’avais lu que quelques pages, même pas dix, et j’ai pensé que je rentrais moins vite dans l’histoire que dans les autres livres de Michel Bussi. 😂 Quelques pages plus loin, j’étais prise au piège.

    Ce livre est addictif pour plusieurs raisons. En voici quelques-unes :

     La chronologie, tout d’abord : A 9h20, nous suivons Leyli, à 9h27, nous allons suivre les enquêteurs, puis à un autre horaire, ce sera Bamby, puis son frère, etc…
     Le mélange de genres. Le livre alterne entre du suspens, quand des meurtres se produisent, de l’émotion quand Leyli raconte ce qu’elle a vécu de son enfance, en Afrique, jusqu’à son arrivée en France, de la prise de conscience quand Michel Bussi nous décrit le business et le calvaire des migrants, etc…

     Les personnages. Il y a ceux à qui on s’attache, ceux que l’on déteste, ceux de qui on se méfie, ceux au sujet de qui on se trompe, etc…

     les sujets abordés qui collent si bien à l’actualité. La façon de les traiter nous fait réfléchir.
     l’histoire en elle-même. On veut comprendre et on croit y arriver…

    …Jusqu’à ce que l’auteur nous fasse ses révélations.
    Je peux vous dire que j’ai été bluffée ! Trois fois de suite ! Je n’ai rien vu venir. C’est ce qui fait que cette chronique est si difficile à écrire. Je ne veux rien vous révéler, afin que vous puissiez être à votre tour, ébahi par le talent de Michel Bussi, qui sait si bien nous retourner le cerveau.
    Ce livre m’a laissée pantelante. Continuez à écrire, Monsieur Bussi, on aime se faire avoir par vous.

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