- Auteur : Stéphane Galas
- Genre : Thriller
- Editeurs : Le Livre de Poche, Michel Lafon
- Date de sortie : 3 juin 2021
- Sortie poche : 8 juin 2022
- EAN : 9782253242420
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Résumé :
Pourquoi Stella Le Carré, la fille la plus convoitée de New London, a-t-elle jeté son dévolu sur Niels Edwards, adolescent insipide et solitaire ? Stella en est si étrangement amoureuse qu’elle lui propose de se suicider avec elle. Leur amour deviendrait ainsi éternel. « Et si tu ne le fais pas, je reviendrai d’entre les morts et je te pourrirai la vie jusqu’à ce que tu me rejoignes. » Gorge serrée, ventre noué, Niels accepte, mais lorsqu’il s’agit de sauter, c’est la panique. Seul le corps de Stella se fracasse sur le béton. Dévasté, Niels s’enferme dans une culpabilité mêlée à une peur irrationnelle : celle du retour de Stella.
Quinze ans plus tard, alors qu’il semble avoir enfin trouvé un semblant d’équilibre auprès de Gabrielle et de leur fils Oscar, un message glaçant apparaît sur la buée d’un miroir : « tu as promis ». Aussitôt, les signes se multiplient. Niels en est convaincu : Stella l’appelle.
Aude Bouquine 25 novembre 2024
Un signe d’elle - Stéphane Galas
La nuit est tombée, mais quelque chose rôde. « Un signe d’elle » ? Ce n’est pas seulement l’obscurité qui s’épaissit, c’est une présence, une ombre qui murmure dans le silence. Un pacte brisé, un serment qui s’infiltre jusque dans la moelle des os. L’histoire de Niels Edwards, adolescent solitaire autrefois aveuglé par un amour toxique et irrévocable, vous saisit et ne vous lâche plus. Bienvenue dans un thriller hors du commun où la réalité se brise comme un miroir, où chaque éclat reflète un fragment d’angoisse.
L’univers oppressant de « Un signe d’elle » vous enferme dans une spirale infernale. Niels, fait une promesse insensée à Stella, sa petite amie : mourir ensemble pour sceller leur amour dans l’éternité. Mais au moment fatidique, Stella saute seule dans l’abîme, laissant son corps fracassé en bas de l’immeuble et la malédiction d’une promesse non tenue planant au-dessus de Niels : « Si tu ne sautes pas, je reviendrai te hanter, toi et ceux que tu aimes. » Quinze ans plus tard, ce serment oublié refait surface, sous la forme d’une menace qui transcende le temps et toute forme de rationalisme.
« Un signe d’elle » alterne entre deux temporalités, celles d’un passé adolescent et d’un présent où la culpabilité s’infiltre insidieusement dans chaque aspect de la vie de Niels. Devenu médecin, mari et père, il tente, tant bien que mal, de construire une existence normale. Mais peut-on jamais échapper à un passé qui s’accroche avec la ténacité d’une ombre ?
C’est ici que le talent de Stéphane Galas se manifeste avec une acuité glaçante. À travers des manifestations paranormales, des événements inexpliqués et des signes indubitables, Stella semble tenir sa promesse. Pourtant, rien n’est jamais certain. Est-ce réellement son esprit revenu d’outre-tombe ou une simple projection de la culpabilité de Niels ? Le lecteur vacille constamment entre ces deux hypothèses, englué dans le même doute que le protagoniste. Chaque « apparition » de Stella est une gifle à la rationalité, un défi lancé à un esprit cartésien.
« Un signe d’elle » prend la forme d’un dossier d’archives rassemblé par un mystérieux « cercle spirite », un procédé qui insuffle une dynamique particulière au récit. Témoignages, transcriptions, pièces à conviction : chaque élément semble ajouter une pièce au puzzle tout en brouillant davantage les pistes. C’est comme si l’on consultait les vestiges d’une affaire inexpliquée, dont la vérité s’échappe toujours.
Cette construction narrative originale amplifie la tension, rendant l’expérience encore plus immersive. Les chapitres courts, concis, rythment la lecture à un tempo effréné. Chaque fin de page est une lame suspendue au-dessus de votre tête, prête à tomber.
« Un signe d’elle » est un jeu d’ombres et de lumières, mais il explore aussi avec une profondeur troublante des thématiques telles que la culpabilité, le suicide, l’amour destructeur, les traumatismes de l’enfance et les violences faites aux femmes. Loin d’être un simple ressort dramatique, ces éléments donnent corps et âme à l’histoire. La culpabilité ronge Niels comme un poison, son esprit oscillant entre paranoïa et lucidité. Sa peur pour sa famille devient une obsession, et l’on ressent avec une intensité presque insupportable la pression qui l’écrase à chaque instant.
L’auteur jongle habilement entre des éléments psychologiques et surnaturels. Si vous êtes sceptique quant aux histoires de fantômes, ce roman saura jouer avec votre perception : chaque événement paranormal semble avoir une explication rationnelle plausible, et pourtant, quelque chose continue de troubler vos certitudes. Les frontières entre le tangible et l’éthéré se brouillent, vous laissant dans un état de doute permanent.
L’atmosphère, personnage à part entière, est le grand point fort de « Un signe d’elle ». Loin d’un Boston touristique ou idyllique, c’est une ville grise, pesante, où les ombres s’étirent jusque dans les recoins de l’âme. La maison familiale de Niels devient le théâtre principal d’événements glaçants. Un miroir embué portant un message sinistre, des objets qui bougent seuls, des sons qui résonnent dans la nuit : chaque détail semble conspirer pour effacer toute notion de sécurité.
Mais c’est peut-être dans l’esprit de Niels que réside la véritable horreur. Son incapacité à discerner la réalité de l’illusion entraîne le lecteur dans une descente aux enfers psychologique. Plus le récit progresse, plus vous vous interrogez : et si tout ceci n’était qu’une projection de sa conscience torturée ?
« Un signe d’elle » s’appuie sur une galerie de personnages profondément humains, parfois troublants. Stella, même morte, domine le récit par sa présence machiavélique. Elle est le reflet de toutes les peurs (surtout celle de voir revenir les morts) et de toutes les culpabilités enfouies. D’autres personnages secondaires viennent enrichir le récit. Gabrielle, la femme de Niels, oscille entre soutien et incompréhension, tandis que l’inspecteur Will Bosco et la médium excentrique Amanda Alvarez ajoutent une touche d’ésotérisme et d’ambiguïté.
L’apogée de l’histoire est à l’image du reste du roman : imprévisible et déstabilisante. La fin laisse des portes ouvertes, vous invitant à formuler vos propres théories. Les réponses que vous cherchiez se trouvent-elles dans le surnaturel ou dans la folie humaine ? Le roman ne vous donnera pas de certitude, et c’est très bien joué de la part de l’auteur.
« Un signe d’elle » est une véritable expérience littéraire. L’écriture incisive, le suspense haletant, et l’atmosphère oppressante vous happent. Vous serez tour à tour envoûté, angoissé, et déstabilisé. Ce roman manipule vos émotions, se joue de vos certitudes et vous laisse hanté par des messages de l’au-delà dont vous vous seriez peut-être bien passés… Stéphane Galas vous invite à jouer avec des peurs universelles : la culpabilité qui devient une force destructrice, la perte de contrôle et l’impuissance face aux événements, la peur panique de l’au-delà jouant sur l’angoisse de ce qui nous attend après la mort et de ce qui pourrait revenir d’outre-tombe. Imaginez un peu que même morte, une personne lambda puisse incarner une menace inévitable et implacable… et qu’un « pacte » adolescent puisse ruiner votre vie tout entière…
Ouvrez « Un signe d’elle » à vos risques et périls. Une fois entré dans l’univers de Niels et Stella, il n’y aura pas de retour en arrière. Et qui sait ? Peut-être entendrez-vous, vous aussi, un murmure au creux de vos nuits : « Tu as promis. »
Aude Bouquine 25 novembre 2024
Un signe d’elle - Stéphane Galas
La nuit est tombée, mais quelque chose rôde. « Un signe d’elle » ? Ce n’est pas seulement l’obscurité qui s’épaissit, c’est une présence, une ombre qui murmure dans le silence. Un pacte brisé, un serment qui s’infiltre jusque dans la moelle des os. L’histoire de Niels Edwards, adolescent solitaire autrefois aveuglé par un amour toxique et irrévocable, vous saisit et ne vous lâche plus. Bienvenue dans un thriller hors du commun où la réalité se brise comme un miroir, où chaque éclat reflète un fragment d’angoisse.
L’univers oppressant de « Un signe d’elle » vous enferme dans une spirale infernale. Niels, fait une promesse insensée à Stella, sa petite amie : mourir ensemble pour sceller leur amour dans l’éternité. Mais au moment fatidique, Stella saute seule dans l’abîme, laissant son corps fracassé en bas de l’immeuble et la malédiction d’une promesse non tenue planant au-dessus de Niels : « Si tu ne sautes pas, je reviendrai te hanter, toi et ceux que tu aimes. » Quinze ans plus tard, ce serment oublié refait surface, sous la forme d’une menace qui transcende le temps et toute forme de rationalisme.
« Un signe d’elle » alterne entre deux temporalités, celles d’un passé adolescent et d’un présent où la culpabilité s’infiltre insidieusement dans chaque aspect de la vie de Niels. Devenu médecin, mari et père, il tente, tant bien que mal, de construire une existence normale. Mais peut-on jamais échapper à un passé qui s’accroche avec la ténacité d’une ombre ?
C’est ici que le talent de Stéphane Galas se manifeste avec une acuité glaçante. À travers des manifestations paranormales, des événements inexpliqués et des signes indubitables, Stella semble tenir sa promesse. Pourtant, rien n’est jamais certain. Est-ce réellement son esprit revenu d’outre-tombe ou une simple projection de la culpabilité de Niels ? Le lecteur vacille constamment entre ces deux hypothèses, englué dans le même doute que le protagoniste. Chaque « apparition » de Stella est une gifle à la rationalité, un défi lancé à un esprit cartésien.
« Un signe d’elle » prend la forme d’un dossier d’archives rassemblé par un mystérieux « cercle spirite », un procédé qui insuffle une dynamique particulière au récit. Témoignages, transcriptions, pièces à conviction : chaque élément semble ajouter une pièce au puzzle tout en brouillant davantage les pistes. C’est comme si l’on consultait les vestiges d’une affaire inexpliquée, dont la vérité s’échappe toujours.
Cette construction narrative originale amplifie la tension, rendant l’expérience encore plus immersive. Les chapitres courts, concis, rythment la lecture à un tempo effréné. Chaque fin de page est une lame suspendue au-dessus de votre tête, prête à tomber.
« Un signe d’elle » est un jeu d’ombres et de lumières, mais il explore aussi avec une profondeur troublante des thématiques telles que la culpabilité, le suicide, l’amour destructeur, les traumatismes de l’enfance et les violences faites aux femmes. Loin d’être un simple ressort dramatique, ces éléments donnent corps et âme à l’histoire. La culpabilité ronge Niels comme un poison, son esprit oscillant entre paranoïa et lucidité. Sa peur pour sa famille devient une obsession, et l’on ressent avec une intensité presque insupportable la pression qui l’écrase à chaque instant.
L’auteur jongle habilement entre des éléments psychologiques et surnaturels. Si vous êtes sceptique quant aux histoires de fantômes, ce roman saura jouer avec votre perception : chaque événement paranormal semble avoir une explication rationnelle plausible, et pourtant, quelque chose continue de troubler vos certitudes. Les frontières entre le tangible et l’éthéré se brouillent, vous laissant dans un état de doute permanent.
L’atmosphère, personnage à part entière, est le grand point fort de « Un signe d’elle ». Loin d’un Boston touristique ou idyllique, c’est une ville grise, pesante, où les ombres s’étirent jusque dans les recoins de l’âme. La maison familiale de Niels devient le théâtre principal d’événements glaçants. Un miroir embué portant un message sinistre, des objets qui bougent seuls, des sons qui résonnent dans la nuit : chaque détail semble conspirer pour effacer toute notion de sécurité.
Mais c’est peut-être dans l’esprit de Niels que réside la véritable horreur. Son incapacité à discerner la réalité de l’illusion entraîne le lecteur dans une descente aux enfers psychologique. Plus le récit progresse, plus vous vous interrogez : et si tout ceci n’était qu’une projection de sa conscience torturée ?
« Un signe d’elle » s’appuie sur une galerie de personnages profondément humains, parfois troublants. Stella, même morte, domine le récit par sa présence machiavélique. Elle est le reflet de toutes les peurs (surtout celle de voir revenir les morts) et de toutes les culpabilités enfouies. D’autres personnages secondaires viennent enrichir le récit. Gabrielle, la femme de Niels, oscille entre soutien et incompréhension, tandis que l’inspecteur Will Bosco et la médium excentrique Amanda Alvarez ajoutent une touche d’ésotérisme et d’ambiguïté.
L’apogée de l’histoire est à l’image du reste du roman : imprévisible et déstabilisante. La fin laisse des portes ouvertes, vous invitant à formuler vos propres théories. Les réponses que vous cherchiez se trouvent-elles dans le surnaturel ou dans la folie humaine ? Le roman ne vous donnera pas de certitude, et c’est très bien joué de la part de l’auteur.
« Un signe d’elle » est une véritable expérience littéraire. L’écriture incisive, le suspense haletant, et l’atmosphère oppressante vous happent. Vous serez tour à tour envoûté, angoissé, et déstabilisé. Ce roman manipule vos émotions, se joue de vos certitudes et vous laisse hanté par des messages de l’au-delà dont vous vous seriez peut-être bien passés… Stéphane Galas vous invite à jouer avec des peurs universelles : la culpabilité qui devient une force destructrice, la perte de contrôle et l’impuissance face aux événements, la peur panique de l’au-delà jouant sur l’angoisse de ce qui nous attend après la mort et de ce qui pourrait revenir d’outre-tombe. Imaginez un peu que même morte, une personne lambda puisse incarner une menace inévitable et implacable… et qu’un « pacte » adolescent puisse ruiner votre vie tout entière…
Ouvrez « Un signe d’elle » à vos risques et périls. Une fois entré dans l’univers de Niels et Stella, il n’y aura pas de retour en arrière. Et qui sait ? Peut-être entendrez-vous, vous aussi, un murmure au creux de vos nuits : « Tu as promis. »
Lou Mael 9 novembre 2023
Un signe d’elle - Stéphane Galas
Aujourd’hui, je vous parle de « Un signe d’elle » de Stéphane Galas que j’ai découvert dans le cadre de ma participation en tant que jury au Prix des lecteurs Livre de poche catégorie Polar/Thriller.
L’auteur vous propose un thriller fantastique réussi.
Niels avait promis à Stella de se suicider avec elle mais au dernier moment il n’a pas eu le cran de passer à l’acte. Stella l’avait mise en garde, s’il l’abandonnait, elle reviendrait se venger.
15 ans après les faits, Niels n’a rien oublié de sa lâcheté, de cette promesse qu’il n’a pas tenue. Il garde en lui ses remords, ses regrets. Les seules preuves extérieures de sa culpabilité sont ses scarifications qui viennent lui rappeler année après année la mort de Stella.
Lorsque des faits inexpliqués ont lieu, il comprend que le moment est venu pour lui de payer sa dette. Stella n’en a pas fini avec lui.
J’ai beaucoup aimé cette lecture dans laquelle l’auteur arrive à alterner la réalité et le surnaturel avec beaucoup de facilité et de brio. Il jongle tellement bien entre les deux tableaux qu’il arrive à me faire douter, tout comme pour Niels, de la réalité de certains évènements. J’ai envie de vous préciser qu’il est inutile d’être réceptif au paranormal pour apprécier cette histoire tant j’ai eu le sentiment à plusieurs reprises que mon interprétation de l’intrigue pouvait uniquement émaner de mon ressenti à la lecture, de mes croyances, de mes prédispositions concernant le paranormal. Ce que j’essaie de vous expliquer c’est que si vous tentez cette lecture et que vous avez un esprit cartésien, vous n’interprèterez peut-être pas les choses de la même façon que moi.
Il y a beaucoup de personnages mais je me suis vraiment focalisé sur ceux de Niels et Stella, qui malgré sa mort arrive à être omniprésente dans le récit. D’ailleurs, son machiavélisme est parfaitement réalisé et son personnage fait froid dans le dos.
La structure du récit est très originale puisque l’histoire nous est présentée comme si nous consultions un dossier d’archive. N’ayez crainte, vous comprendrez pourquoi en tant voulu. Le style est fluide et prenant et j’ai vraiment été entrainé dans cette intrigue.
Les rebondissements sont multiples et tendent à vous faire changer d’opinion sur les personnages en permanence. C’est bien joué.
La fin, quant à elle, est à l’image du reste de cette histoire, à savoir surprenante !
Une lecture différente et très plaisante donc qui m’a convaincu d’acheter l’autre livre de cet auteur « Les ombres de Salem ». Je vous en parlerai bientôt.
labibliodeclo 23 janvier 2023
Un signe d’elle - Stéphane Galas
Cette intrigue tire donc sur le paranormal : Stella et Niels, deux ados amoureux, décident de se suicider ensemble façon Roméo et Juliette. Sauf qu’au dernier moment, lui n’a finalement pas le cran de sauter. 15 ans plus tard, le fantôme de Stella revient le hanter et le pousser à tenir parole. Une histoire donc prometteuse, qui malheureusement reste un peu longue à se mettre en place. Les rebondissements sont, à mon goût, un peu trop "gros" et j’ai vraiment trouvé que l’intrigue partait dans tous les sens.
Le découpage de ce roman est en revanche très intéressant, il est sous forme de preuves : Le cercle Spirite Margaret Hamilton - qui est fictif bien sûr - les auraient publier pour innocenter Niels dans les meurtres qui se succèdent au fil de ce roman. Ils ont même un compte Instagram @cercle.spirite.m.hamilton et c’est vraiment intéressant et ça alimente plutôt bien le roman !
Si je n’ai pas accroché avec tous les personnages, celui de Stella en revanche est vraiment génial, sa psychologie est incroyablement bien travaillée et j’ai beaucoup aimé découvrir ce personnage et sa part d’ombre. J’ai aussi adoré Gabrielle, cette femme si compréhensive, étrange également.
Dans l’ensemble, Un signe d’elle est une bonne lecture, peut être un peu trop barge à mon goût cependant. Le dénouement fait sens, il tient la route, nous apporte les réponses nécessaires.
Lylha 15 octobre 2022
Un signe d’elle - Stéphane Galas
Dans ce livre, on suit le jeune Niels Edwards, un jeune adolescent amoureux de Stella. La jeune fille qui sais qu’il ferait n’importe quoi pour elle, lui propose de se suicider ensemble pour ainsi ne jamais être séparer l’un de l’autre.
Quinze ans plus tard, on retrouve Niels qui contrairement à Stella n’a pas eu le courage de sauter.
Il a désormais une vie bien ranger avec sa famille mais garde un énorme sentiment de culpabilité.
Et sa vie va être bouleversé quand des manifestations occultes lui font croire au retour du fantôme de Stella.
On est ici dans un parfait mélange entre ésotérisme et enquête.
L’auteur mêle avec brio des éléments paranormaux, les pathologies psychiatriques et des éléments factuels et plausible.
Le format est original car présenté sous forme de pièces à conviction mises à la disposition de la justice.
C’est très surprenant, et je n’ai rien vu venir.