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Léviatemps - Maxime Chattam

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11 #AvisPolar
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Résumé :

Paris, 1900. L’Exposition universelle bat son plein. Mais loin des artères lumineuses, au cœur de la ville, c’est un sang noir qui bat au diapason. Et coule inexorablement, au rythme des crimes commis par un tueur... diabolique.
Plusieurs filles de joie, déjà, en ont été victimes. Choqué par l’immobilisme de la police, l’écrivain Guy de Timée arpente les rues sordides, et même les égouts, dans sa traque insensée du monstre. Chaque minute compte... et tue.

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Vos #AvisPolar

  • Sylvain V 23 septembre 2021
    Léviatemps - Maxime Chattam

    Après avoir lu mon premier Chattam avec "le signal", j’ai été déçu par ce roman. L’histoire a du mal à décoller ; l’auteur nous ballade dans un Paris du début du XXème siècle où les descriptions sont trop nombreuses au détriment d’une intrigue qui peine à se mettre en place même si l’auteur essaye de distiller de nombreuses fausses pistes. Mais il y a quelque chose qui ne marche pas dans ce roman. On a du mal à rentrer dans cette histoire trop fantasmée et verbeuse. Dommage car ce roman n’incite pas à lire le tome 2.

  • kris_k 2 avril 2021
    Léviatemps - Maxime Chattam

    Oui, ben non... ce n’est pourtant pas faute d’aimer le temps dans lequel il se déroule. L’exposition universelle donne très envie d’y faire un retour dans le temps pour le visiter !
    L’histoire est bien, mais long et pas très nouveau dans l’univers Chattam. Bref un bon livre, mais sans plus.

  • LesRêveriesd’Isis 8 octobre 2020
    Léviatemps - Maxime Chattam

    Léviatemps est mon premier roman de Maxime Chattam, mais comme plusieurs de mes amies sont fan, il fallait bien que je me lance !

    L’intrigue se déroule dans les années 1900 alors que l’Exposition Universelle s’installe à Paris, Guy, un écrivain à succès quitte sa famille et s’enfonce au cœur de Paris et se perd dans ses dédales entre cercles ésotériques et lupanars. Sa descente le confrontera à l’horreur, au meurtre sauvage, et sa soif de vérité le mettra plus d’une fois en danger.

    Il faut tout d’abord reconnaître que ce roman arrive à faire cristalliser le Paris de 1900 avec force détails : les salons cossus, les progrès scientifiques et technologiques, le racisme vis à vis des colonies, la manière inhumaine de traiter ces êtres, amenés et exposés dans des zoos humains, les salons à la mode qui se piquent de spiritisme, les maisons closes aussi. De nombreux passages du livre sont descriptifs et assoient cette crédibilité d’ensemble. On nous montre aussi bien les quartiers ouvriers, celui des halles, celui des chiffonniers, que les ruelles sordides des laisser-pour-compte et des filles perdues. Le sinistre n’est pas caché, l’horreur des bas-fonds n’est pas embellie sous le voile de la pudeur ou de la métaphore. Dans ce roman, la déchéance ressemble à la déchéance et la misère humaine éclate dans toute son atrocité. Cela a en partie ralenti ma lecture parce que les mots pèsent lourd sur le cœur. Je n’ai pas pu me résoudre à lire ces passages comme on lirait un texte léger. La souffrance humaine mérite bien une pause. Au milieu de ce sordide, la maison close tenue par Julie ferait presque exception et ce refuge que s’est choisi Guy de Timée est un élément central de l’oeuvre. La plupart des personnages capitaux évoluent dans ce cercle.

    Le récit en lui-même est dense. Les rebondissements sont nombreux, mais ils prennent le temps de se déployer, rien de rocambolesque, l’enquête est opaque et nécessite du temps. Très vite le parallèle avec Jack l’Eventreur est dressé pourtant le roman s’autonomise entièrement de cette filiation. Meurtres sauvages, prostituées tuées oui, mais la violence déployée est ici hors norme et le but poursuivi par le meurtrier est tout bonnement glaçant. Ce thriller flirte avec le fantastique mais aussi avec l’horreur, à mon sens. Ce mélange des genres est intéressant : en effet, tout du long, j’ai pensé que l’explication serait surnaturelle, et je me suis fourvoyée. Ma surprise n’en a été que plus grande lors de la chute, qui, par ailleurs m’a semblé d’autant plus révoltante et repoussante que je ne l’avais pas anticipée. La cruauté et la folie humaines, les rêves de progrès corrompus s’avèrent être d’une mécanique implacable ! Ce roman offre une plongée au cœur de la noirceur de l’être, au cœur du Mal. Et notre apprenti détective, Guy, s’y brûlera les ailes : à force de vouloir comprendre, analyser, démasquer le monstre à l’oeuvre, il en vient lui-même à perdre pied, à se réjouir de chaque avancée si funeste soit-elle et l’envie de comprendre vire à l’obsession malsaine.

    Guy reste un personnage intéressant. Il fait figure d’enquêteur atypique car il s’appuie sur le geste créateur littéraire pour établir la psychologie du tueur. A partir de ses actes, de ses écrits, de ses déplacements, il infère des caractéristiques, il imagine, analyse et établit un profil, à la manière d’un criminologue. Guy est pourtant un personnage ambivalent, il est lui-même en rupture avec la société et son milieu de naissance. Il est déchiré entre deux univers, entre avenir et culpabilité. Ses doutes le rendent humain, sa façon de s’entêter face à l’assassin aussi. Parmi ses amis, j’ai beaucoup aimé le personnage de Faustine. Elle aussi n’est pas que ce qu’elle laisse paraître, son passé la construit et la poursuit, sa culpabilité, sa peur font d’elle ce qu’elle est. C’est donc un personnage complexe et charmant par sa pugnacité et par son courage que nous prenons plaisir à découvrir.

    Ainsi, Léviatemps est une jolie découverte : un univers travaillé et dépaysant, qui nous fait faire un saut dans le temps, une enquête résistante et déconcertante, servie par un trio haut en couleurs, et un mélange des genres des plus savoureux ! Fans de thrillers et d’horreur, n’hésitez pas !

  • bedelia34 17 septembre 2020
    Léviatemps - Maxime Chattam

    J’ai adoré ce livre, mon premier CHATTAM gros coup de cœur !

    A trop désirer la mort, on y brûle son âme.
    Paris, 1900.
    Prisonnier de son succès, un écrivain décide de tout quitter pour entrer au plus profond de ses cauchemars, de ses abysses, explorer ce qu’il y a de pire en lui. Dans ce terreau de peurs se cache la matrice des monstres enfouis en chacun de nous.
    Un Léviatemps d’ombres, un golem de violence.
    Guy de Timée voulait déterrer la fange, il va rencontrer le Mal.
    Des cercles ésotériques de la capitale aux démesures de l’Exposition universelle, le début du XXe siècle inspire à Maxime Chattam un thriller halluciné où les progrès de la science nourrissent la folie des âmes perdues en quête d’éternité.

  • Oryane 7 juillet 2020
    Léviatemps - Maxime Chattam

    Léviatemps de Maxime Chattam

    Résumé : Guy de Timée un écrivain qui a fui sa femme et son palace car la vie aristocratique n’était pas pour lui, il a fui la campagne pour se retrouver à Paris dans une maison close. Depuis quelques temps de nombreux meurtre de fille joie sont laissés sans enquête par la police, qui est plus concentré sur l’exposition universelle qui se met en place. On se rend vite compte que les minutes provoquent le sang qui coule, et un tueur coure toujours. Guy de Timée se met alors à la recherche du coupable quand une des filles de la maison est retrouvée morte des parties de son corps en moins.

    Avis : Tout ce livre nous met en transe, on est dans un diapason qui bat de plus en plus la chamade que notre cœur suit également ce rythme, les instincts primaires des gens ressortent dans ce livre et nous foudroie. Nous ne sommes plus qu’un être avec des organes pour un tueur sans limite. Enfin si une l’ouverture de l’exposition universelle. On est vraiment happé par le temps, les frissons, et l’envie de découvrir ce qui se passent. …. Citations : « Prendre la vie peut-être une forme de jouissance. C’est l’orgasme divin, comme je l’appelle. Le pouvoir de vie et de mort lorsque vous avez terminé la traque, que la proie est face à vous, que votre index est sur la détente, prêt à la presser. Il ne reste plus que vous pour prendre une vie ou pour la laisser. C’est votre pouvoir de vie et de mort sur ce que vous venez de pourchasser, un droit quasi divin. La décharge émotionnelle, au moment où le coup part, où vous savez que vous venez d’arracher une vie au cosmos, est une ivresse formidable. »

  • alexandra 7 mars 2020
    Léviatemps - Maxime Chattam

    il se trouve que j’ai lu la suite avant (le requiem des abysses) donc j’avais une petite idée de ce qui m’attendait en l’ouvrant. Mais je n’ai absolument pas été déçue et je me suis laissée emporter dans l’intrigue sans problème.
    Tout ce que j’ai aimé dans le 2eme je l’ai retrouvé dans le premier donc bien sûr j’ai adoré. J’ai vraiment fait connaissance avec les personnages et leurs histoires personnelles, comment ils ont atterri au Boudoir de soi. L’univers particulier de ces courtisanes, l’univers de la rue Monge, la fascination pour l’exposition universelle et les promesses qu’elle engendrait... c’est une reconstitution parfaite de l’ambiance 1900 avec une pointe de modernité apportée par le personnage de Guy et ses facultés de profiler avant l’heure. Les passages où il s’exerce à la graphologie et où ils dissèquent la personnalité du tueur sont extrêmement intéressants. Ce livre aurait pu sans problème être transposé à notre époque mais il reste ancré dans la Belle époque de par les milieux ésotériques et scientifiques auquel il se réfère.
    Un régal à lire

  • marineuh 25 juin 2019
    Léviatemps - Maxime Chattam

    J’ai beaucoup aimé aussi, l’ambiance m’a un peu fait penser au Londres de la fin du 19ème siècle, avec Jack l’Eventreur, l’ambiance avec les prostituées et tout et tout, pas toi ?

  • Linkael Fre 23 juin 2019
    Léviatemps - Maxime Chattam

    Excellent ! On évolue dans le Paris du début du siècle dernier. L’intrigue est bien ficelée,les personnages attachant. On suspecte réellement les différents protagonistes au fur et à mesure des rebondissements.
    Je n’ai pas eu le temps de m’ennuyer. J’ai eu le sentiment de mener l’enquête pendant toute ma lecture.

  • eTemporel 10 février 2019
    Léviatemps - Maxime Chattam

    Si Maxime Chattam s’est récemment illustré avec Autre-Monde, une saga jeunesse fantastique, c’est en nous proposant Léviatemps qu’il renoue avec ses premières amours, le thriller, dont l’intrigue se déroule au tout début du siècle dernier, durant l’Exposition Universelle. On y suit Guy de Timée, un écrivain en fuite qui a trouvé refuge dans une maison close, où il cherche l’inspiration pour un nouveau roman. Issu de la bourgeoisie, il fuit une vie qui ne lui convient plus - lui a-t-elle jamais convenu, en réalité ? -, s’immergeant avec une espèce de délectation dans le sordide, pour retrouver un sens des réalités qu’il a le sentiment d’avoir perdu, et qu’il espère pouvoir le sauver.

    Guy est un personnage complexe, que l’on sent en équilibre précaire au bord d’un gouffre. Il aspire à quelque chose dont on ne sait pas très bien s’il mesure les conséquences, mais à chercher les ennuis, on finit par les trouver ! Et c’est bien évidemment sous la forme d’un tueur en série qu’ils vont se manifester, lorsque Milaine, l’une des filles du lupanar se fait soudain assassiner dans d’horribles circonstances. En compagnie de Faustine, une autre des courtisanes du Boudoir de Soie, et de Martial, un jeune inspecteur qui n’a pas encore fait ses preuves, Guy mène l’enquête sous prétexte de venger cette amie qui n’en était pas vraiment une.

    Mais ses motivations sont-elles réellement celles qu’il affirme ? Car notre écrivain ne cesse de mettre sa vie en danger, comme s’il cherchait à provoquer le sort pour expier la lâcheté dont il a fait preuve en abandonnant sa famille. De la même manière que les personnages de ses romans naissent sous sa plume, il décortique la personnalité du tueur pour découvrir son identité, s’approchant peu à peu de la vérité, au mépris de sa sécurité, et presque aussi de celle des deux amis qu’il a entraînés dans cette aventure. Plus qu’une intrigue policière, Léviatemps est l’histoire de la descente aux enfers de Guy de Timée.

    Un roman noir, presque glauque, rendu parfois un peu difficile à lire par le style volontairement abrupt adopté ici par l’auteur. Quelques longueurs au cours de l’enquête, nécessaires sans doute pour rendre clairement perceptible l’évolution du héros, mais le propos est un poil trop appuyé à mon goût. De belles trouvailles, néanmoins, avec une fin comme je les aime, inattendue, bien amenée, cohérente. Sans doute pas mon Chattam préféré, mais une histoire qui tient la route, et tiendra peut-être ses promesses dans le second volume de ce diptyque du temps, Le requiem des abysses.

  • La Caverne du Polar 26 novembre 2018
    Léviatemps - Maxime Chattam

    Léviatemps est différent de ce qu’écrit Maxime Chattam habituellement, on a plutôt l’habitude de le voir dans un registre moderne où les meurtriers ainsi que la police utilise des technologies de pointe. Pour ce roman il prend le contre-pied parfait de ce qu’il fait en général, car l’histoire se déroule à Paris en 1900 en pleine Exposition Universelle.

    Paris, année 1900, l’Exposition universelle bat son plein. C’est dans ce décor que plusieurs meurtres particulièrement horribles sont commis. Nous suivons Guy de Timée, un romancier en mal d’inspiration qui a trouvé refuge dans une maison close qui va enquêter sur le meurtre affreux d’une amie à lui, Milaine. Etant donné que c’est une vendeuse de charme la Police ne va pas faire grand-chose pour retrouver son tueur. Dans son enquête, il sera assisté de Faustine, une autre vendeuse de charme et de Martial Perotti, un jeune inspecteur. Entre ésotérisme et science, dans les ruelles mal famées de Paris, ses pas vont le mener sur la piste d’un tueur particulièrement sanglant et diabolique. De la même manière que les personnages de ses romans naissent sous sa plume, il décortique la personnalité du tueur pour découvrir son identité. S’approchant peu à peu de la vérité, au mépris de sa sécurité et de celle de ses amis qu’il a entraînés dans cette aventure.

    Maxime Chattam a choisi de créer son histoire il y a plus de 100 ans mais il reste dans son style, car il faut avoir l’estomac bien accroché devant certaines scènes. On découvre les bas-fonds, très sordides, de Paris aux pavillons de l’Exposition Universelle, des cercles ésotériques mystérieux aux maisons closes chics. On a vraiment l’impression d’être plongés en 1900. L’intrigue est bien ficelée et très intéressante. J’ai beaucoup apprécié les personnages principaux. Guy de Timée est issu de la bourgeoisie et fuit une vie qui ne lui convient plus pour retrouver le sens de la réalité qu’il a le sentiment d’avoir perdu, mais qu’il espère pouvoir retrouver. Faustine la belle courtisane qui est une femme très courageuse et très intelligente.

    C’est un roman efficace, avec une fin inattendue et cohérente. J’ai aimé l’ambiance de ce Paris en 1900 et je vais lire le second opus de ce diptyque du temps, Le requiem des abysses où l’on retrouve Guy et Faustine.

  • Grenier 24 mai 2018
    Léviatemps - Maxime Chattam

    Un livre très noir situé à une époque pas très intéressante.
    Trop de choses invraisemblables et plutôt situé côté fantastique

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