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Cendres ardentes - Marc Voltenauer

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Résumé :

Un corps démembré est retrouvé flottant dans le lac Léman. Bientôt un deuxième, puis un troisième. Des cadavres de femmes, atrocement mutilées, dont il ne reste que le tronc. Les victimes sont inidentifiables. Alors, trouver le coupable...L’inspecteur Andreas Auer et son équipe de la brigade criminelle de Lausanne sont immédiatement chargés de l’enquête. Parallèlement, un Albanais, Sokol Hoti arrive en Suisse à la suite de l’assassinat de son frère Mirjan victime d’une ancienne gjakmarrje (de gjak, le sang et marrja, la prise), littéralement une reprise du sang, une vieille histoire de vendetta à l’albanaise.
Mais Sokol disparaît. Une partie de sa famille installée en Suisse se partage entre l’idée de venger Mirjan ou de mettre fin au cycle de la vendetta.
L’inspecteur Auer se lance dans une course poursuite effrénée à travers l’Europe pendant laquelle il se verra confronté à la partie la plus sombre de son passé.

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Vos #AvisPolar

  • L’atelier de Litote 19 avril 2023
    Cendres ardentes - Marc Voltenauer

    Cendres ardentes est le dernier polar suisse de Marc Voltenauer et certainement le plus aboutit. Le personnage récurent d’Andreas Auer, chef de la division homicide et intégrité de la brigade criminelle de la police cantonale vaudoise, accompagné de son équipe que nous retrouvons avec plaisir ainsi que la médecin légiste Parvati dont on sent que l’auteur pose des jalons pour une prochaine intrigue dont elle pourrait être le centre. (C’est l’impression que j’ai eu).
    Un corps de femme tronqué est retrouvé flottant dans le lac Léman. L’enquête patine mais d’indices en indices, elle se dirigera vers la communauté albanaise émigré en Suisse. J’ai trouvé cette enquête passionnante parce qu’on y apprend énormément de chose sur l’Albanie. Notamment sur ses codes d’honneur régit par un ancien livre de l’époque médiéval nommé Kanun. Souvent l’auteur commence un chapitre avec une citation tirée du Kanun qui s’applique précisément à l’histoire. C’est brillant et bien vu. Une intrigue mettant en jeu des personnages attachants et originaux comme celui de Sokol et de sa famille nombreuse albanaise, pas d’inquiétude un arbre généalogique nous est fournit. Il n’y a pas qu’en Sicile que l’on trouve des mafias et des vendettas. Une plongée dans dans la noirceur de l’âme humaine où tout peut arriver surtout le pire. Une multitude de thèmes abordés, l’homme n’a jamais le meilleur rôle et dévoile toute sa perversité. Le seul bémol de mon humble point de vue tient au style d’écriture, des dialogues peu naturels, qui ne sonnent pas comme dans une conversation réelle et une façon systématique de donner une description vestimentaire des personnages qui n’a que peu d’intérêt et alourdit le texte. Mise à part cela, j’ai apprécié ma lecture, instructive et dont le travail de recherche ne fait aucun doute. On en apprend un peu plus sur la vie privée du couple que forme Andreas et Mikael son compagnon journaliste et là aussi une suite s’impose. Bonne lecture.

    http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2023/04/19/39877475.html

  • jeanmid 14 avril 2023
    Cendres ardentes - Marc Voltenauer

    Après un passage par la littérature pour ados, Marc Voltenauer revient cette année avec un récit vraiment glaçant dont certains passages où il faudra avoir l’estomac bien accroché pour supporter certaines descriptions cliniques comme ces actes particulièrement abominables dont je ne vous dis rien de plus.
    A travers ce roman c’est également l’histoire de l’Albanie que l’auteur nous raconte. L’histoire de la diaspora qui vit en Suisse comme celle restée au pays. Un État longtemps resté refermé sur lui-même pendant la dictature communiste et qui utilise encore quelques règles coutumières dictées par un certain « Kanun » Il est censé représenter un code de conduite ancestral pour les familles albanaises qu’elles soient situées en Europe ou dans le Monde.
    C’est notamment le cas de la famille Hoti disséminée entre la Suisse, l’Albanie et le Monténégro. L’un des membres de la famille vient de se faire tuer en Albanie alors qu’il était venu enterrer son épouse. Un meurtre attribué sans doute possible au clan Hakani avec qui les Hoti ont des relations conflictuelles depuis l’arrivée au pouvoir du dictateur Hoxha après la deuxième guerre mondiale. Si Sokol, le chef du clan Hoti est partisan de stopper la spirale funeste qui relie les deux familles régie par le Kanun, son neveu Skënder souhaite se venger en éliminant l’un des membres de la famille Hakani habitant en Suisse. Les deux positions semblent irréconciliables d’autant que Skënder, qui a développé divers trafics, souhaite en profiter pour éliminer un concurrent.
    Quelques mois plus tard, on retrouve l’inspecteur principal Auer aux prises avec une sombre affaire de membres humains découverts dans le Lac Léman. Plusieurs fouilles sous-marines vont permettre de déterminer que d’autres membres se trouvent encore au fond du lac puis qu’ils appartiennent à plusieurs femmes d’âges différents. Leur examen détaillé par le légiste va par la suite mettre en lumière quelques morceaux de chair manquants comme s’ils avaient été découpés après la mort des victimes. Dans quel but ? Pour quel rituel ? L’équipe de la Brigade Criminelle, dirigée par Andreas Auer n’est pas au bout de ses (mauvaises) surprises.
    Vous êtes prévenu : ce nouveau roman de l’auteur suisse ne fait pas dans la dentelle et nous fait basculer dans ce récit hors-norme sans aucun filtre. Plusieurs histoires se déroulent en parallèle dont on présume qu’elles finiront bien par se chevaucher à un moment : l’enquête de police dirigée par l’inspecteur principal Auer qui doit identifier les restes humains et tenter de trouver une piste lui permettant de remonter vers ceux qui ont commis ces crimes ; les pérégrinations de la famille Hoti et parmi elle , celles du sulfureux Skënder et de Sokol qui vient de disparaître ; la troisième histoire est l’enquête que mène officieusement Hubert, sourd-muet mais dont les autres sens sont très affûtés, qui cherche la trace de son ami Sokol en compagnie de la soeur Laura, une religieuse qui ne recule devant aucun sacrifice pour faire jaillir la vérité, aussi sombre soit-elle.
    Comme à l’habitude Marc nous gratifie d’une écriture fluide qui vous embarque instantanément. Côté scénario, si le début vous semblera peut être manquer de rythme , gardez de l’énergie pour un final hallucinant.
    Les autres retrouverons avec plaisir un Andreas Auer qui prépare un bel événement d’ordre privé même s’il doit garder la tête froide pour élucider une enquête aux multiples rebondissements.
    Enfin concernant les personnages vous allez découvrir une fratrie albanaise en pleine turbulence, tiraillée entre les coutumes ancestrales et leur vie à l’occidentale.

  • Co et ses livres 5 avril 2023
    Cendres ardentes - Marc Voltenauer

    Ça y est !!! Enfin j’ai retrouvé Andreas !! Je l’attendais avec impatience pour cette enquête ! (histoire indépendante). C’est comme retrouver un vieil ami que l’on n’a pas vu depuis longtemps. D’ailleurs, j’ai du mal à l’appeler autrement que par son prénom. Il faut dire que l’auteur a le chi pour rendre ses protagonistes vivants, humains, sensibles, réalistes.

    Quand on s’est attaché à un personnage, on a toujours hâte de lire un nouveau roman. Et cette fois encore, je n’ai pas été déçue ! Tout est réuni pour passer un bon moment. Une enquête difficile et complexe, très peu d’indices pour avancer, seul le torse de la victime a été retrouvé…

    En parallèle, j’ai suivi l’histoire de la famille Hoti, des Albanais installés en Suisse. Une atmosphère plus sombre dans ces chapitres qui alternent avec l’enquête d’Andreas et de son équipe.

    Bien sûr, les deux sont liés et finiront par se rejoindre. Mais comment ?

    J’aime toujours autant l’écriture de Marc Voltenauer. Précise, sensible et rythmée, elle m’entraîne dans le récit. Très bien documenté, il a dû nécessiter un gros travail de recherches. Sur l’Albanie, son histoire et ses coutumes (et même sa gastronomie !) à travers la famille Hoti. Sur l’extrémisme et la façon d’aborder des textes. Certains n’en gardent que ce qui les arrange et oublient le reste…L’auteur souligne bien que la majorité des Albanais en Suisse sont bien intégrés et vivent en paix, mais il y a toujours malheureusement des « brebis galeuses », en Suisse et ailleurs. Du « côté Andreas », on en apprend plus sur l’utilisation des insectes dans la datation de la mort.

    Donc oui, certains passages nécessitent un peu plus d’attention.

    Les personnages ne sont pas en reste. Ils sont fouillés, étudiés eux aussi. J’avoue que l’auteur a fait fort avec son méchant. Un ego surdimensionné, une âme noire, violente, vicieuse et perverse. Toute l’étendue de la cruauté humaine et de sa folie...

    La vie personnelle d’Andreas est un peu « mise de côté », même si on aperçoit Mikaël, son compagnon, (et Minus !). Mais Marc nous réserve quelques surprises à son sujet… ( il faudra d’ailleurs que je lui parle « entre quatre zyeux »…)

    Des moments très noirs, de l’action, une enquête documentée, des personnages humains. Des ingrédients savamment réunis qui m’ont encore une fois fait apprécier cette intrigue et embarquer aux côtés d’Andreas, un de mes personnages chouchou. Que je dois quitter une fois de plus… Mais pourquoi donc faut-il que les romans de Marc Voltenauer se lisent aussi vite et bien ?

  • T’as où les livres ? 17 mars 2023
    Cendres ardentes - Marc Voltenauer

    Après Le dragon du Muveran (2015), Qui a tué Heidi ? (2017), L’aigle de Sang (2019) et Les protégés de Sainte-Kinga (2020), l’inspecteur Andreas Auer est de retour pour une nouvelle enquête. Et ce sont des morceaux de corps retrouvés dans le Léman qui occupent nos policiers et leur donnent du fil à retordre, l’état des corps laissant planer beaucoup d’hypothèses.

    En parallèle, nous suivons la famille Hoti, originaire d’Albanie, dont une partie vit en Suisse, ayant fui la pauvreté et l’instabilité. Une autre raison de cette fuite peut être imputée à une vendetta entre le clan Hoti et Hakami, et à une gjakmarrja, littéralement « une reprise de sang » ou le droit de venger la mort d’un homme par celle d’un autre homme de la famille du meurtrier, conduisant ainsi à une escalade de violence.

    Pour le retour de l’inspecteur Auer, Marc Voltenauer a choisi de nous immerger dans le passé plus que torturé de l’Albanie. Nous y apprenons énormément de faits très intéressants sur ce pays. Les chapitres du livre sont notamment rythmés par des extraits et des explications concernant le Kanun, un code de droit coutumier, datant du moyen-âge, qui régissait la vie quotidienne, et entre autres, les règlements de compte. Punies par le régime communiste mais toujours tenaces dans une partie de la société, ces lois ne sont aujourd’hui plus du tout adaptées au monde actuel et engendrent des bains de sang.

    L’auteur nous dévoile également des facettes de la triste histoire de l’Albanie durant le XXème siècle, et en particulier durant la dictature d’Enver Hoxha. Le pays a été totalement fermé durant des décennies, son peuple réprimé, surveillé par la police d’état, parfois emprisonné ou envoyé dans des camps de travail inhumains… Depuis la chute du régime communiste en 1991, cette patrie s’est considérablement vidée des ses habitants à cause d’une émigration massive. Les plaies sont encore béantes, et même si le développement va bon train, la corruption, les divers trafics et la violence restent préoccupants.

    Compte tenu de l’importante diaspora albanaise en Suisse, le choix du thème aurait pu s’avérer délicat à traiter, au risque de tomber dans les clichés, mais l’écrivain genevois aborde les choses très adroitement, en n’oubliant pas – comme à son habitude – de prôner des valeurs telles que la tolérance et la bienveillance envers son prochain.

    Mais avouons-le, pour ce cinquième tome, Marc Voltenauer a fait fort avec le méchant de l’histoire, qui s’avère être une belle ordure s’adonnant aux pires perversions qui puissent exister. Récit parfois cru, certaines scènes montrent bien les atrocités dont les hommes sont capables et on ne ressort pas indemnes de cette vendetta sanglante.

    Au départ, il peut apparaître un peu compliqué de rentrer dans le roman à cause de nombreux termes et noms en albanais. Fort heureusement, un arbre généalogique de la famille Hoti est fourni. Certaines discussions scientifiques m’ont aussi un peu perdue, comme celle sur l’impact des insectes dans la datation des cadavres. Et même si la vie privée des personnages principaux est un peu mise en retrait dans ce nouvel opus, tout ceci ne gâche en rien le grand plaisir de retrouver cette belle équipe de policiers et de suivre cette enquête passionnante !

    Et pour finir, chapeau à l’auteur pour le travail de recherche sur l’Albanie, qui a dû être considérable !

    En résumé, une plongée dans la noirceur humaine et dans le passé torturé de l’Albanie ! Une cinquième enquête très réussie !

    https://tasouleslivres.com/cendres-ardentes-marc-voltenauer/

  • universpolars 17 mars 2023
    Cendres ardentes - Marc Voltenauer

    Après être ressortis des mines de sel, à Bex, nous nous dirigeons, dans ce nouveau millésime, un peu plus à l’est. Nous débarquons en Albanie, ce qui me réjouit déjà. J’ai eu l’occasion de visiter ce pays de long en large et en travers, du coup, ça m’interpelle !

    J’aime ce pays qui est historiquement farci de paradoxes et de contradictions, à l’image du dictateur Enver Hoxha, qui y a longtemps régné. Aujourd’hui, encore, l’avis des albanais est totalement partagé sur le résultat de son gouvernement. Dans ce récit, Marc Voltenauer nous explique très bien l’historique de ce pays controversé.

    J’avoue avoir eu du mal à entrer dans cette histoire. Je n’arrive pas à en identifier clairement la cause, mais c’est certainement dû à l’écriture un peu trop chargée. Oui, pour moi, Marc Voltenauer entre trop souvent dans des phases descriptives, des détails qui m’occasionnent des indigestions, soit tout un répertoire didactique qui me lasse et qui m’agace.

    Très souvent, au cours du récit, un personnage nous fait tout un explicatif sur une procédure, une méthode ou un lieu et cela me fait presque perdre le fil, car je suis un impatient. C’est très personnel, mais ça m’irrite vraiment. Bref.

    Le début des chapitres traitant du passé s’ouvre sur un extrait du Kanun, ce fameux code albanais ancestral dont vous avez certainement déjà entendu parler et, franchement, j’ai apprécié ce détail qui est en lien avec le chapitre en cours.

    Nous serons également en Suisse, de nos jours, où nous allons découvrir un corps démembré, dans un sac poubelle, flottant à moitié dans le lac Léman. Ce crime va nous faire renouer contact avec Andreas Auer, flic à la PJ du canton de Vaud, ainsi qu’avec la région de Bex, chère à l’auteur.

    L’esquisse de cette trame est une affaire d’honneur et de vengeance entre deux clans familiaux. Dans certaines familles albanaises, ces éléments ne sont pas pris à la légère, mais plutôt réglés avec les tripes, pour certains, traités avec des codes stricts, pour d’autres.

    Au sein de la famille Hoti, qui vit en partie en Suisse, la réponse à donner ne sera pas très claire. L’auteur casse ici un peu les préjugés que nous pourrions avoir envers la communauté albanaise et il le fait plutôt bien. Je ne peux que cautionner !

    Trafics de stups, traite d’êtres humains, magouilles, nous voici embarqués au sein d’une organisation bien cloisonnée, qui nous transbahute entre la Suisse et l’Albanie. L’auteur nous y immerge totalement avec des personnages intéressants qui marquent bien les esprits.

    Oui, très bon récit. Le volet lié au trafic de stup est bien réalisé - réaliste ! - et je pense être assez bien placé pour relever ce point. Mise à part ces phases bien trop descriptives ou didactiques qui m’ont plus gêné qu’ennuyé, je dois admettre que j’ai plutôt bien croché à cette histoire qui ne fait qu’accélérer.

    Un bon nombre de références religieuses rythme un peu cette histoire et, pour moi, qui suis drastiquement antireligions - surtout catholique -, je me suis senti que très peu concerné. Ça, ce n’est évidemment pas de la faute de l’auteur !

    J’ai aimé suivre les traces des divers enquêteurs - même une none ! - qui nous conduisent droit vers l’horreur absolue. La seconde moitié du récit prend de la vitesse et j’admets que, cette fois-ci, j’ai plutôt bien croché et je me suis même plutôt bien éclaté !

    Ça va loin, très loin, dans la déchéance humaine. Vous verrez, c’est plutôt intéressant ! Marc Voltenauer a plongé la tête la première dans les abîmes – a même touché le fond ! - pour nous conter cette histoire. Humainement parlant, la teinte est plutôt sombre.

    Bonne lecture.

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