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L’insigne du boiteux - Thierry Berlanda

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8 #AvisPolar
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Résumé :

A quelques mois de la retraite, le commandant Filier se retrouve à la tête d’une affaire comme il en existe fort peu : un tueur psychopathe tue des mères de famille sous le regard de leur enfant de 7 ans. De quoi défrayer la chronique et attiser les peurs enfouies. Afin de l’aider sur l’affaire, le commandant fait appel au professeur Bareuil et à l’une de ses anciennes étudiantes, Jeanne, elle-même mère d’un enfant. Car il faut arrêter le psychopathe avant que celui-ci ne cause de nouvelles victimes.
Les crimes sont odieux, cruels mais que cachent ces horreurs ? Alors que les indices commencent à apparaître que les éléments commencent à se rejoindre, le meurtrier gagne du chemin. Bientôt, ce sera Jeanne qui sera dans sa ligne de mire. Les enquêteurs devront faire preuve de courage et de force pour sauver la jeune femme et mettre un terme à ces tueries.

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Vos #AvisPolar

  • Des plumes et des livres 7 septembre 2019
    L’insigne du boiteux - Thierry Berlanda

    Même si on est sur un genre différent de Cerro Rico (ici, il s’agit d’un polar pur), j’ai été agréablement surprise de retrouver le même style d’écriture de l’auteur avec un vocabulaire riche et soigné.

    Thierry Berlanda n’abuse pas de la violence et du sang comme on peut le retrouver dans d’autres romans. Il dissémine à chaque page juste ce qu’il faut pour comprendre la violence du crime, sans trop en faire, que l’on a affaire à un tueur sanguinaire mais dont le rituel et les motivations restent obscures.

    Ajouter à cela deux professeurs de la Sorbonne avec un passé commun qui enrichit grandement les soupçons, l’angoisse et la tension au fil des pages.

    A travers L’Insigne du Boiteux, Thierry Berlanda nous en apprend un peu plus sur la culture byzantine, sans pour autant jouer au professeur d’histoire ennuyeux. Comme pour les crimes, ses informations sont justes dosées, ni trop, ni trop peu.

    L’Insigne du Boiteux est un polar des plus agréables à lire et l’auteur, Thierry Berlanda, est sans aucun doute une des plus belles découvertes littéraires que j’ai faite cette année.

  • livrement-ka 26 juillet 2019
    L’insigne du boiteux - Thierry Berlanda

    Un thriller qui manie les meurtres commis de sang froid par un so-disant Prince avec un soupçon d’histoire.

    Début du livre

    Dimanche matin, 4 heures 

    Chloé sort énervée du Slow club. Sa première virée dans une boite classe a tourné au fiasco.

    Une jeune mère de famille, également professeur d’histoire ancienne entend en plein milieu de la nuit son téléphone. Au bout du fil la police.

    Cette dernière enquête sur des meurtres monstrueux. Pourquoi font-ils appel à cette dernière sur la recommandation d’un de ses anciens professeurs, qu’elle aurait préféré ne jamais revoir.

    En effet, ces derniers ne se sont pas quittés en très bon termes.

    Toujours est-il que le commandant Fallier est insistant et souhaite que cette dernière les rejoigne au plus vite afin de donner son avis sur la scène de crime et plus particulièrement sur un objet découvert sur les lieux.

    Son fils Léo est endormi et un policier est envoyé à son domicile pour le surveiller. En effet Jeanne et Paul le père de Léon, sont séparés depuis quelques temps.

    Quand Jeanne arrive sur place elle assiste à une scène d’horreur qu’elle n’est pas prête d’oublier.

    Les personnages :

    Jeanne : cette jeune mère de famille est une femme simple qui enseigne l’histoire. Son fils unique Léo est la prunelle de ses yeux. avec Paul son ex compagnon ils ont une relation un peu particulière.

    Léo : Ce petit garçon est vif et dynamique. Il n’a de cesse de voir ses parents se remettre ensemble. Il vivra algé lui une scène qui le marquera à jamais.

    Paul : père de Léo, ne pouvant s’empêcher de tomber dans les bras de toutes le jeunes femmes. C’est cela qui a conduit Jeanne à ses séparer de lui.

    Fallier : commandant à la veille de la retraite, il a enquêté sur de nombreux délits et crimes, mais là il fait face un psychopathe hors du commun.

    Le Prince : ce meurtrier tue de manière tout à fait symbolique et surtout en rapport avec son enfance que je vous laisse découvrir. Il s’acharne sur la mère de famille devant les yeux de son fils qu’il place sur un piedestal. Quant au mari, il ne lui accorde aucun intérêt et le tue rapidement comme pour se débarasser de cette personne insignifiante à ses yeux, inexistante.

    Bareuil : Mentor de Jeanne dont elle ne garde en tête que leur dernière entevue qui s’est mal terminée. Cet homme a semble t’il à ses yeux poussé le bouchon un peu trop loin, et cela elle n’arrive pas à lui pardonner.

    Le point fort de l’histoire : il réside dans le rapport de l’auteur à l’histoire médiévale, et surtout au modus operandi de l’assassin tout à fait original et dont la cause trouve son origine dans la petite enfance de ce dernier.

    Le style de l’auteur

    C’est le deuxième livre que je lis de cet auteur ; les deux ayant un style tout à fait différent. Mais le point commun entre les deux est surtout un style d’écriture facilement reconnaissable de par notamment le vocbaulaire employé. 

    Toujous les bons mots au bon moment, une certaine justesse des répliques, et surtout une histoire très travaillée.

    Le sujet n’est pas simplement posé ni l’écriture faite à main levée. on ressent une certaine culture enrichie par des recherches pour faire de son livre un roman assez différent des autres.

    Pour tout dire, moi qui ne fait pas de l’histoire ma tasse de thé, j’arrive à m’y intéresser par ce biais là. Car au-delà des rappels historiques, l’auteur réussit à les manier pour leur donner une symbolique et une signification qui fera avance l’enquête.

    Et l’auteur ne se focalise pas sur les personnages, ne détaillant pas les traits de caractère, puisque là je ne pense pas que ça aurait apporter grand chose.

    Et alors j’ai vraiment apprécié le pourquoi du comment des réactions de cet assassin qui se fait appeler le Prince. A un certain moment j’ai comme ressenti un peu de pitié pour ce personnage bien étudié.

    Quant au parallèle entre les victimes et Jeanne, il est autant saisissant que terrifiant.

    Le genre

    Un thriller.

    La forme de l’histoire

    Le récit est divisé en plusieurs chapitres.

    Le texte est très aéré et l’écriture est très fluide. Ce qui en fait une lecture très agréable.

    Une connaissance et des recherches vraiment très enrichissantes sur les armes et les objets de cette époque.

    Conclusion :

    Le premier tome d’une trilogie qui s’anonce plus que réussie.

    A suivre ......

  • livrement-ka 26 juillet 2019
    L’insigne du boiteux - Thierry Berlanda

    Titre : L’INSIGNE DU BOITEUX

    Auteur : Thierry BERLANDA

    Editions : Editions de Borée

    Genre : thriller

    Nombre de pages : 335

    Date : 2019 (mars)

    Prix : 7,50 €

    Présentation physique du livre :

    Un livre de format poche de près de 350 pages.

    Une couverture représentant la rue d’une ville dans la nuit.

    Résumé : cf Babélio

    Un assassin, qui se fait appeler le Prince, exécute des mères de famille sous les yeux horrifiés de leurs jeunes fils âgés de 7 ans. Opérant à l’arme blanche avec une rare sauvagerie, le meurtrier taille ses victimes en lanières. Telle est la punition qu’il inflige. Mais qui punit-il ? Et de quoi ? Pour répondre à ces deux questions fondamentales, le commandant Falier s’adjoint les services du professeur Bareuil, spécialiste des crimes rituels, « retraité » de la Sorbonne, et de Jeanne Lumet, qui fut sa plus brillante élève. Or la jeune femme est mère d’un petit garçon de 7 ans. Détail qui n’échappera sans doute pas au Prince...

    Dès les premières pages, l’auteur nous plonge dans une descente vertigineuse au fin fond de la folie meurtrière. Certaines figures cauchemardesques prennent vie dans notre réel. Le Prince est de celles-là. Gageons que cette créature qui se nourrit de nos peurs hantera longtemps nos mémoires. 

    Sur l’auteur et son univers cf Babelio

    Nationalité : France 
    Né(e) à : La Garenne , le 18 03 60

    Biographie : 

    Je vis à Paris et j’y écris nuit et jour (la nuit surtout). Trenet disait qu’il faisait des chansons comme un pommier fait des pommes. C’est ainsi que je fais des livres. Dans quel but ? Toucher et faire toucher ce qu’est l’humanité quand on l’a débarrassée de ces masques.
    J’écris un roman (entre autre) à peu près tous les dix huit mois. Depuis une dizaine d’années, je me suis dit qu’il était temps de les partager. Parce que finalement un livre n’existe pas tant qu’il n’est pas lu. 

    Sur les éditions 

    Les éditions de Borée ont été fondées en 1989 avec une vocation régionaliste, publiant des ouvrages liés à l`Auvergne. Elle publie désormais plus largement des livres de poche et de littérature.

    AVIS

    Un thriller qui manie les meurtres commis de sang froid par un so-disant Prince avec un soupçon d’histoire.

    Début du livre

    Dimanche matin, 4 heures 

    Chloé sort énervée du Slow club. Sa première virée dans une boite classe a tourné au fiasco.

    Une jeune mère de famille, également professeur d’histoire ancienne entend en plein milieu de la nuit son téléphone. Au bout du fil la police.

    Cette dernière enquête sur des meurtres monstrueux. Pourquoi font-ils appel à cette dernière sur la recommandation d’un de ses anciens professeurs, qu’elle aurait préféré ne jamais revoir.

    En effet, ces derniers ne se sont pas quittés en très bon termes.

    Toujours est-il que le commandant Fallier est insistant et souhaite que cette dernière les rejoigne au plus vite afin de donner son avis sur la scène de crime et plus particulièrement sur un objet découvert sur les lieux.

    Son fils Léo est endormi et un policier est envoyé à son domicile pour le surveiller. En effet Jeanne et Paul le père de Léon, sont séparés depuis quelques temps.

    Quand Jeanne arrive sur place elle assiste à une scène d’horreur qu’elle n’est pas prête d’oublier.

    Les personnages :

    Jeanne : cette jeune mère de famille est une femme simple qui enseigne l’histoire. Son fils unique Léo est la prunelle de ses yeux. avec Paul son ex compagnon ils ont une relation un peu particulière.

    Léo : Ce petit garçon est vif et dynamique. Il n’a de cesse de voir ses parents se remettre ensemble. Il vivra algé lui une scène qui le marquera à jamais.

    Paul : père de Léo, ne pouvant s’empêcher de tomber dans les bras de toutes le jeunes femmes. C’est cela qui a conduit Jeanne à ses séparer de lui.

    Fallier : commandant à la veille de la retraite, il a enquêté sur de nombreux délits et crimes, mais là il fait face un psychopathe hors du commun.

    Le Prince : ce meurtrier tue de manière tout à fait symbolique et surtout en rapport avec son enfance que je vous laisse découvrir. Il s’acharne sur la mère de famille devant les yeux de son fils qu’il place sur un piedestal. Quant au mari, il ne lui accorde aucun intérêt et le tue rapidement comme pour se débarasser de cette personne insignifiante à ses yeux, inexistante.

    Bareuil : Mentor de Jeanne dont elle ne garde en tête que leur dernière entevue qui s’est mal terminée. Cet homme a semble t’il à ses yeux poussé le bouchon un peu trop loin, et cela elle n’arrive pas à lui pardonner.

    Le point fort de l’histoire : il réside dans le rapport de l’auteur à l’histoire médiévale, et surtout au modus operandi de l’assassin tout à fait original et dont la cause trouve son origine dans la petite enfance de ce dernier.

    Le style de l’auteur

    C’est le deuxième livre que je lis de cet auteur ; les deux ayant un style tout à fait différent. Mais le point commun entre les deux est surtout un style d’écriture facilement reconnaissable de par notamment le vocbaulaire employé. 

    Toujous les bons mots au bon moment, une certaine justesse des répliques, et surtout une histoire très travaillée.

    Le sujet n’est pas simplement posé ni l’écriture faite à main levée. on ressent une certaine culture enrichie par des recherches pour faire de son livre un roman assez différent des autres.

    Pour tout dire, moi qui ne fait pas de l’histoire ma tasse de thé, j’arrive à m’y intéresser par ce biais là. Car au-delà des rappels historiques, l’auteur réussit à les manier pour leur donner une symbolique et une signification qui fera avance l’enquête.

    Et l’auteur ne se focalise pas sur les personnages, ne détaillant pas les traits de caractère, puisque là je ne pense pas que ça aurait apporter grand chose.

    Et alors j’ai vraiment apprécié le pourquoi du comment des réactions de cet assassin qui se fait appeler le Prince. A un certain moment j’ai comme ressenti un peu de pitié pour ce personnage bien étudié.

    Quant au parallèle entre les victimes et Jeanne, il est autant saisissant que terrifiant.

    Le genre

    Un thriller.

    La forme de l’histoire

    Le récit est divisé en plusieurs chapitres.

    Le texte est très aéré et l’écriture est très fluide. Ce qui en fait une lecture très agréable.

    Une connaissance et des recherches vraiment très enrichissantes sur les armes et les objets de cette époque.

    Conclusion :

    Le premier tome d’une trilogie qui s’anonce plus que réussie.

    A suivre ......

  • polacrit 26 juin 2019
    L’insigne du boiteux - Thierry Berlanda

    L’insigne du boiteux a été publié par les éditions De Borée en 2019. Thierry Berlanda développe dans ce roman son style vif, plein de panaches, dont les mots s’enchaînent à un rythme soutenu : "Au milieu de la nuit, alors qu’elle examine les reproductions des parures de la cour des rois afghans du XIIIe siècle, le téléphone vrombit entre les pièces de l’échiquier en palissandre doré où elle l’avait posé machinalement avant de se mettre au travail." (Page 76), utilisant un vocabulaire hybride, jouant avec bonheur avec les mots : "Après une courte déambulation, le Prince s’est immobilisé. En quelques minutes, il s’est transformé en une grosse gargouille qu’un architecte donnant dans le biomorphisme sardonique aurait accrochée au parapet du parking souterrain de la rue Boucher." (Page 11)
    Humour : la petite touche de l’auteur, un humour parfois décalé, jamais méchant, juste pour détendre l’atmosphère et, de temps en temps, tirer de ses lecteurs un petit sourire, au plus fort de scènes d’action : "Arrive un grand et gros type, cheveu rare et gras. Il porte un imperméable doublé qui doit lui servir aussi de pyjama." (Pages 18-19)..."Dix minutes après, Falier et Simonet pilent devant l’immeuble de Jeanne. Une ambulance y est déjà stationnée. Les deux gras du bide se jettent dans l’escalier en soufflant comme des cachalots." (Page 120)..."Quand il entend se refermer la porte d’entrée sur Jeanne, il va à son piano et joue une musique proche du bruit que feraient des bonbonnes de verre tombant du deuxième étage." (Page 216)..."Eh oui. Le vrai, l’intégral, le démoulé sans bavure du moule à cons. L’archétype. Je vous souhaite du plaisir." (Page 241).Thierry Berlanda nous offre ici un roman policier nerveux, au rythme endiablé, qui nous plonge dans un suspense haletant à coups de scènes d’action bien ficelées, de personnages bien campées et d’une mise en scène soignée. A dévorer au coin du feu un dimanche pluvieux ou sur votre terrasse un jour de grand soleil, peu importe, mais à dévorer indéniablement !!

  • Ju lit les Mots 13 juin 2019
    L’insigne du boiteux - Thierry Berlanda

    Lu fin 2015 et je préfère la plume de l’auteur dans un autre registre que le thriller policier.

    Jeanne est un personnage très attachant. Le commandant Falier, prend son travail à coeur et il est prêt à tout pour résoudre cette énigme et arrêter ce fou. Concernant Bareuil, le professeur, je n’ai sue de quel côté il était : celui de la police ou de l’assassin. Cet assassin étrange et énigmatique.

    L’enquête est bien menée, malgré des moments incohérents. Les heures tournent au fil des chapitres, le suspense va grandissant. Les dialogues efficaces nous plongent dans une réalité crue et sordide.

    Jusqu’à la fin on s’interroge sur le coupable (même si on a des informations distillées)

    Heureusement que je ne me suis pas arrêtée à la couverture de ce roman, ni le titre. Aucun des deux ne m’aurait poussé à acheter ce roman !

    La chute qui semble bâclée n’est malheureusement pas à l’image de cet ouvrage ! mais en lisant la suite « la fureur du prince »cela devrait donner un nouveau regard.

  • L’atelier de Litote 15 mars 2019
    L’insigne du boiteux - Thierry Berlanda

    Thierry Berlanda signe un polar à couper le souffle, l’intrigue est sanglante, le tueur est un psychopathe de la pire espèce. Il choisit des mères de famille pour les assassiner sous les yeux de leur fils de 7 ans. Jeanne vit seule avec son fils, elle va être sollicitée en tant qu’experte sur un bijou ancien retrouvé sur la scène de crime par le commandant Fallier, en compagnie du Professeur Bareuil, son ancien directeur de thèse. J’ai été happé par ce roman, je dois dire que le fait que les crimes commis soient particulièrement horribles m’a donné envie d’en savoir plus sur ce tueur mystérieux. J’ai beaucoup aimé les passages où une large part est donnée à l’histoire et à la genèse de l’assassin, on y perçoit toute sa souffrance et pour un peu il ferait peine. C’est principalement la profondeur psychologique du tueur et la façon dont l’auteur nous la fait découvrir qui m’a captivé. L’enquête démarre doucement mais c’est pour mieux monter en tension dans les chapitres à venir. Les dialogues sont enlevés et donne un style légèrement suranné qui n’était pas pour me déplaire. Le personnage de Jeanne est parfait, on s’inquiète pour elle car elle semble vulnérable et à juste titre puisqu’elle a le profil idéal pour devenir la cible de ce psychopathe qui semble toujours réussir à tirer son épingle du jeu. J’ai passé un très bon moment de lecture, je n’hésiterai pas à lire la suite « la fureur du Prince » si l’occasion m’en est donnée. Bonne lecture.

  • Sangpages 13 mars 2019
    L’insigne du boiteux - Thierry Berlanda

    Thierry Berlanda nous emporte dans une histoire sordide ou au final rien n’est très clair puisque les apparences semblent trompeuses. Les gentils ne le sont peut-être pas et le méchant nous fait osciller entre la monstruosité absolue et la pitié avec cette petite envie de lui octroyer des circonstances atténuantes. Un style fluide et super agréable à lire, page après page à vitesse grand V, emporté dans un tourbillon de mots et d’une folie certaine. J’ai adoré le petit détail qui tue : l’utilisation des majuscules à tous les pronoms possessifs lorsque le Prince parle. Ce qui lui donne encore plus de grandeur ! Un petit air de Juliette Benzoni pour le côté légèrement historique, ce qui n’est pas pour me déplaire puisque j’avais dévoré toutes les aventures du Prince Morosini à une certaine époque ou plutôt …à une époque certaine … De chouettes personnages, une bonne intrigue, plein de petites choses qu’on n’explique pas vraiment et qui en font un très bon livre. A recommander et se plonger direct dans la suite "la fureur du prince"

  • celitterature 13 mars 2019
    L’insigne du boiteux - Thierry Berlanda

    Bien que le résumé du roman m’a totalement intrigué, l’histoire d’un tueur en série, assassinant des mères de famille sous les yeux de leurs enfants et une jeune femme qui se retrouve enquêtrice puis traquée par le tueur à son tour, mais le style m’a totalement dérouté. Je n’ai pas réussi à accroché au style d’écriture, et le profil de l’assassin m’a complètement échappé. La dimension psychologie est bien construite et on se plaît à chercher avec les personnages principaux, la raison d’une telle sauvagerie chez cet… individu, si on peut encore le qualifier comme tel au vu de sa cruauté. Le personnage de Jeanne est attachant et au fur et à mesure des pages, plus le tueur s’approche d’elle, plus l’inquiétude est vive. Cependant ce roman n’a pas été un coup de coeur. Deux tomes complètent cette trilogie et je me demande si je les lirais ou non pour peut-être creuser davantage l’énigmatique profil de l’assassin.

    https://celitteratureofficiel.wordpress.com/2019/03/13/litterature-linsigne-du-boiteux/

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