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Les lendemains qui chantent - Arnaldur Indridason

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Résumé :

Pourquoi ce teinturier sans histoire, père célibataire, a-t-il disparu un soir en laissant son fils sans famille et sans protection ? Comment ce conducteur habile a-t-il pu s’engager sur ce glacier et disparaître ? N’y a-t-il personne pour trouver cela bizarre à l’exception de Konrad ? Un roman très noir dans lequel Konrad nous révèle l’existence des réseaux d’espionnage russes en Islande dans les années 60 et la façon dont les militants de gauche se sont trouvés enlevés ou tués au nom de la révolution soviétique.

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Vos #AvisPolar

  • Sylvie Geoffrion 16 mai 2025
    Les lendemains qui chantent - Arnaldur Indridason

    Je me suis habituée aux humeurs bourrues de Konrad. Retraité bougon de la police, il continue à chercher et à fouiner. Pour se faire pardonner des années de service moins lumineuses ? Peut-être. On aurait pensé que la lumière faite sur le meurtre de son père, Konrad se rangerait, qu’il profiterait de sa retraite dans le calme et la sérénité. Que nenni. Pugnace un jour, pugnace toujours.
    Ce dernier tome des enquêtes de Konrad est touffu. Toujours aussi noir, l’auteur met également en lumière les défauts de la société islandaise, sa politique, son passé, oui ici les relations de l’Islande avec son voisin russe sont importantes dans le récit, cette Russie qui voulaient offrir des lendemains qui chantent aux jeunes islandais. Ça donne de l’étoffe aux enquêtes de Konrad. C’est un portrait sans concession de la petite société islandaise qui se plaint de la corruption, du surtourisme, de l’état du système de santé, bref tout n’est pas rose en Islande.
    Konrad qui s’intéresse cette fois à la disparition de Petrur un teinturier sans histoires, un citoyen modèle pour tous. Disparition jamais élucidée. Puis, deux corps sont retrouvés. Un en particulier, celui de Skafti, qui prouvera que son ex partenaire, Leo, a envoyé un innocent en prison. Et en parallèle, Konrad tente de sauver de lui même et de sa famille ce Leo, qui dérive de plus en plus. L’auteur n’hésite aucunement à mettre en lumière les débuts peu reluisants de Konrad dans la police, à la limite du ripou, une ombre qui le suit encore aujourd’hui mais qu’il tente de réparer en examinant et en résolvant de vieilles affaires.
    Grosse galeries de personnages, plusieurs qui reviennent de titres en titres, il est préférable de lire en ordre les titres avec Konrad. L’auteur ne récapitule pas nécessairement ce qui s’est passé jadis. Il faut avoir bonne mémoire. Indridason a la main heureuse, il sait tisser une bonne intrigue. Une écriture fluide et simple, un récit à rebondissements et un excellent suspense où le coffre d’une Lada a toute son importance !

  • Sylvie Geoffrion 16 mai 2025
    Les lendemains qui chantent - Arnaldur Indridason

    Je me suis habituée aux humeurs bourrues de Konrad. Retraité bougon de la police, il continue à chercher et à fouiner. Pour se faire pardonner des années de service moins lumineuses ? Peut-être. On aurait pensé que la lumière faite sur le meurtre de son père, Konrad se rangerait, qu’il profiterait de sa retraite dans le calme et la sérénité. Que nenni. Pugnace un jour, pugnace toujours.
    Ce dernier tome des enquêtes de Konrad est touffu. Toujours aussi noir, l’auteur met également en lumière les défauts de la société islandaise, sa politique, son passé, oui ici les relations de l’Islande avec son voisin russe sont importantes dans le récit, cette Russie qui voulaient offrir des lendemains qui chantent aux jeunes islandais. Ça donne de l’étoffe aux enquêtes de Konrad. C’est un portrait sans concession de la petite société islandaise qui se plaint de la corruption, du surtourisme, de l’état du système de santé, bref tout n’est pas rose en Islande.
    Konrad qui s’intéresse cette fois à la disparition de Petrur un teinturier sans histoires, un citoyen modèle pour tous. Disparition jamais élucidée. Puis, deux corps sont retrouvés. Un en particulier, celui de Skafti, qui prouvera que son ex partenaire, Leo, a envoyé un innocent en prison. Et en parallèle, Konrad tente de sauver de lui même et de sa famille ce Leo, qui dérive de plus en plus. L’auteur n’hésite aucunement à mettre en lumière les débuts peu reluisants de Konrad dans la police, à la limite du ripou, une ombre qui le suit encore aujourd’hui mais qu’il tente de réparer en examinant et en résolvant de vieilles affaires.
    Grosse galeries de personnages, plusieurs qui reviennent de titres en titres, il est préférable de lire en ordre les titres avec Konrad. L’auteur ne récapitule pas nécessairement ce qui s’est passé jadis. Il faut avoir bonne mémoire. Indridason a la main heureuse, il sait tisser une bonne intrigue. Une écriture fluide et simple, un récit à rebondissements et un excellent suspense où le coffre d’une Lada a toute son importance !

  • spitfire89 12 mars 2025
    Les lendemains qui chantent - Arnaldur Indridason

    Sixième opus de la série avec Konrad, un très bon livre, l’affaire concernant le père de Konrad est en partie élucidé et notre anti-héros à la retraite peut enfin faire la paix avec lui même et devenir humain. L’intrigue est captivante et complexe mais moins intense que les précédents tomes on découvres des flashbacks sur des précédentes enquêtes, plusieurs histoires s’entremêlent, les chapitres sont assez court, la plume est fluide et agréable. Un tome difficile de lâcher avant la fin.

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