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Trois vies par semaine - Michel Bussi

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Résumé :

Habiter trois villes différentes ? Posséder trois identités reconnues ? Aimer trois femmes intensément ?
Avoir trois vies par semaine.
Pour tirer les fils de ce nouveau suspense qui mêle les thèmes de l’exil, la vengeance, la multiplicité d’une vie… l’unique Michel Bussi.

Un mort
Deux disparus
Trois femmes amoureuses

Un corps est retrouvé dans la vallée de la Meuse, au cœur des Ardennes. Accident, suicide, meurtre ?
La révélation de l’identité de la victime plonge la capitaine Katel Marelle dans la sidération.
Renaud Duval menait-il… trois vies par semaine ?
Trois femmes attendent son retour. Chacune revendique d’être son unique amour.
Ensemble, elles vont tenter de percer l’énigme d’une impossible triple vie...
Mais comme dans un théâtre d’illusions, des ombres rôdent, prêtes à se venger.
Qui sait la vérité ? Qui manipule ? Qui tire les ficelles ?

Méfiez-vous des fils invisibles...

Une intrigue vertigineuse pour un grand suspense de Michel Bussi.

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Vos #AvisPolar

  • Kamiyu-chan 30 avril 2023
    Trois vies par semaine - Michel Bussi

    Comme toujours, Michel Bussi nous offre un polar plaisant, avec un intrigue alambiquée et prenante. C’est avec plaisir que l’on se laisse balader par l’auteur, de rebondissements en rebondissements, jusqu’à la révélation finale. Comme les marionnettes et les personnages, tous originaux et attachants, de l’intrigue, le lecteur est habilement manipulé, les indices étant progressivement distillés, levant tout doucement le rideau de l’intrigue, comme dans un tragique spectacle de marionnettes. Un très bon moment de lecture !

  • moons 25 avril 2023
    Trois vies par semaine - Michel Bussi

    Une histoire incroyable, un livre qui se dévore rapidement !


    Une intrigue complexe, des secrets de famille, du suspens…

    

J’ai adoré ce nouveau roman de Michel Bussi, un roman avec un twist final époustouflant.


    On se fait manipuler (et balader) du début à la fin, ce livre m’a tenu en haleine jusqu’à la dernière ligne.

    

J’ai passé un très très bon moment de lecture !

  • Cyvan Lblc 3 avril 2023
    Trois vies par semaine - Michel Bussi

    Trois vies par semaine est un très bon policier, avec cette signature particulière de l’auteur qui lui est propre : une histoire au twist final étonnant et qui vous retourne le cerveau…
    On est baladé de bout en bout, les interrogations sont nombreuses face à ces identités et ces personnages aussi intrigants que fascinants.
    On est vigilant aux moindres indices, et on essaye d’échafauder les pires hypothèses pour tenter de déjouer les machinations.
    Une fois de plus… Avec Michel Bussi, je ne suis jamais déçue…

  • Sonia Boulimique des Livres 25 mars 2023
    Trois vies par semaine - Michel Bussi

    Un roman déroutant où les apparences s’avèrent trompeuses, entre la France et la Bohême, où les marionnettes sont reines, et où le lecteur en devient une à part entière…totalement manipulé par Michel Bussi.

    Au bord de la Meuse, dans les Ardennes, le corps de René Duval est retrouvé au pied d’une falaise. Cet homme menait une vie banale. Sauf que les policiers vont retrouver dans sa voiture trois permis de conduire avec la photo de la victime mais avec trois noms différents : René Duval, Pierre Rousseau et Hans Bernard.

    Ces trois hommes ont chacun une femme, respectivement Agnès (surnommée Nanesse), Eléa et Vicky. La dimension romanesque pointe son nez rapidement dans le récit, ces trois femmes vivent chacune une histoire d’amour très passionnelle, ayant toute confiance en l’homme qu’elles ont choisi. Comment un homme peut-il mener une triple vie sans que personne ne se doute de quoi que ce soit ??

    Le lecteur est avide de savoir, il attend le mode d’emploi lol ! J’ai vraiment été très curieuse de voir ce que Michel allait nous concocter. Adepte des twists « retournement de cerveau », l’idée de départ était bien trop simple.

    Toujours est-il que nos trois femmes vont se rencontrer, mener l’enquête et tenter de démêler le vrai du faux. Bon, pour Nanesse, malheureusement, les dés sont jetés, son René est mort. Pour Eléa et Vicky, par contre, l’espoir subsiste. Elles sont en effet persuadées que l’amour de leur vie n’a pas pu leur mentir à ce point et vivre une triple vie. Même si les indices tendent en ce sens. Chacun des trois hommes n’était jamais présent chez l’une ou chez l’autre en même temps….Troublant.

    « Oui, elle aimait cette alternance de retrouvailles et de séparations. Elle n’aurait pas pu vivre avec un homme à la maison, un type, aussi doux et aussi beau qu’il soit, qui aurait fini, petit à petit, par se croire chez lui.La vertu des femmes de marins, comme chantait Barbara… Ça lui allait bien. Jusqu’à un certain point. »

    Ce road trip nous permet de faire connaissance avec nos trois personnages féminins. Agnès a été mariée à Jean plus de vingt-cinq ans, ils ont eu deux enfants et Jean, ingénieur dans une grosse entreprise, s’absentait une semaine par mois pour son travail. Eléa est autiste asperger, elle se lance très souvent dans de grandes discussions avec son cerveau, qu’elle appelle tout naturellement « Brain ».

    « D’ailleurs, qu’y avait-il de plus banal que de parler à son cerveau ? Éléa imaginait que tout le monde, dans le secret de sa caverne crânienne, discutait avec lui-même, engageait des dialogues intérieurs sans fin, débattait d’opinions inavouables. Les plus grands secrets du monde ne se cachaient-ils pas là ? Dans notre tête ! Le seul et dernier coffre-fort véritablement inviolable, dans un monde où tout est filmé, espionné, commenté. »

    Vicky, quant à elle, est maman d’une petite Lola, pour qui Hans est devenu son père d’adoption. Trois femmes au caractère fort, touchantes, bougrement sympathiques. Elles sont déterminées à découvrir la vérité, peu importe les risques encourus.

    Car nous sommes dans un thriller, ne l’oublions pas, des méchants rôdent, il y a des courses poursuites, des enlèvements, des menaces, des tentatives de meurtre. Le rythme est donc loin d’être pépère, même si j’ai relevé quelques longueurs, mais rien de bien méchant.

    Un roman de Michel Bussi, c’est aussi de l’évasion. Cette fois-ci, il nous emmène dans les années soixante, en Bohême, qui fait bien plus rêver que la Tchécoslovaquie. D’un côté Prague et son rideau de fer, de l’autre la bohème de Rimbaud et d’Aznavour, celle des artistes et de l’insouciance. D’ailleurs, chaque partie s’ouvre sur une citation d’Arthur Rimbaud. Car l’art tient une place importante dans notre récit. Michel nous fait découvrir le monde passionnant des marionnettistes, on embarque avec eux dans une roulotte, sillonnant les routes de l’Est, de spectacle en spectacle. Les marionnettes tchèques, traditions intemporelles, sont inscrites sur la liste du patrimoine immatériel de l’UNESCO. Michel entraîne le lecteur à Pilsen, grande métropole de Bohême, berceau mondial des marionnettes, grâce à Josef Skupa, le plus célèbre créateur de marionnettes au monde.

    Côté personnages, ils sont nombreux, chaque chapitre permettant de mieux les connaître. Outre nos trois protagonistes, nous avons, dans le désordre, Katel Marelle, la capitaine de police chargée de l’enquête, Amos et Kristof, notre duo de méchants si particulier (ils font rire, même si je dois bien convenir que j’ai ressenti beaucoup de pitié pour eux), et Mina, avec qui nous faisons un bond dans le passé. Je vous laisserai les découvrir, ils valent le coup.

    La plume de Michel est invariablement fluide et agréable, elle nous emporte, toujours avec une pointe d’humour.

    « Trois vies par semaine » est une quête d’identité passionnante, mêlant secrets de famille, amours et destin. Un très bon roman, au twist final hallucinant. J’ai échafaudé toutes les fins possibles, et bien non, Michel réussit toujours à me surprendre, avec une simplicité étonnante. Et vous savez quoi ? J’aime me faire rouler dans la farine de la sorte. C’est même tout ce que j’attendais durant ma lecture.

    Ah, et on apprend même une recette de cuisine (décidément, Michel est bourré de qualités lol), celle de la cacasse à cul nu (ne vous moquez pas, ce plat ardennais existe vraiment !)

    Bref, les amateurs (de thrillers, pas de recettes de cuisine), foncez !

    « Il était à l’aise partout, Renaud, c’est pour ça que je l’admirais. Il avait ce don, je ne sais pas comment l’appeler, une faculté d’adaptation, de se fondre dans le décor ambiant, de te répondre exactement ce que tu avais envie d’entendre. Il aurait pu être espion. Il l’était peut-être, d’ailleurs. »

    #Troisviesparsemaine #MichelBussi #PressesdelaCité

  • Aude Lagandré 9 mars 2023
    Trois vies par semaine - Michel Bussi

    « Trois vies par semaine » est le nouveau roman de Michel Bussi. L’année dernière, il m’avait épatée avec son titre « Nouvelle Babel », aujourd’hui paru en poche. « Trois vies par semaine » débute par la découverte d’un cadavre tombé dans un gouffre, « plus profond qu’un immeuble de trois étages ». La capitaine Katel Marelle est dépêchée sur place. Elle ne tarde pas à se rendre compte que ce corps appartient à Renaud Duval, mais, dans la boîte à gants de sa voiture, les autorités trouvent son permis de conduire, ou plutôt ses permis de conduire… Trois pour être exacte. Trois permis au nom de trois conducteurs différents, Renaud Duval, Pierre Rousseau et Hans Bernard. Les photos d’identité sont toutes les trois strictement identiques, les dates de naissance mentionnées sur les documents le 29 janvier 1977 identiques aussi. Seuls les lieux de naissance diffèrent. Renaud est né à Charleville-Mézières, Pierre à Paris, Hans à Mende en Lozère. Cette affaire, qui semblait simple, a priori un suicide, pose question, justement à cause de ces trois identités. La capitaine décide d’aller rencontrer la femme de Renaud Duval, Agnès, dite Nanesse. C’est le début d’une enquête fastidieuse, où chacun cherche à comprendre qui est réellement Renaud Duval, pourquoi il possède trois patronymes, et comment aucune de ses compagnes ne s’est rendu compte du subterfuge…

    Qui était Renaud Duval, la victime ? Marié à Agnès Duval durant 28 années, ils ont eu deux enfants ensemble, il était ingénieur pour une grosse entreprise de décolletage qui l’obligeait à s’absenter une semaine par mois.

    Qui était Hans, en couple avec Vicky Malzieu, elle-même mère d’une petite Lola, qui est devenue tout naturellement la fille d’adoption de Hans ?

    Qui était Pierre auteur de « Nous, pauvres marionnettes », marié à Eléa, atteinte du syndrome d’Asperger qui a pris l’habitude de discuter avec son cerveau qu’elle surnomme « Brain » ?

    Et surtout, comment cet homme est-il parvenu à mener une triple vie, sans qu’aucune de ses femmes ne se rende compte de rien ?

    Quelques indices sont laissés çà et là par Michel Bussi, notamment par l’intermédiaire de certains personnages. « Il était à l’aise partout, Renaud, c’est pour ça que je l’admirais. Il avait ce don, je ne sais pas comment l’appeler, une faculté d’adaptation, de se fondre dans le décor ambiant, de te répondre exactement ce que tu avais envie d’entendre. Il aurait pu être espion. Il l’était peut-être, d’ailleurs. » Je vous l’accorde, cela nous apprend simplement que Renaud était un caméléon, mais en aucun cas cela n’explique quoi que ce soit. Il faut dire que pour mener trois vies de front, il semble nécessaire d’avoir certaines aptitudes et un sacré sens de l’organisation ! Ce mystère à résoudre n’est pas pour déplaire à la capitaine Katel, qui est certainement mon personnage préféré de ce roman. Dans son genre, elle est unique ! Qu’est-ce qu’elle m’a fait rire ! Elle possède une répartie hors du commun, son humour est décapant et cela faisait bien longtemps que je n’avais pas autant ri en lisant un polar !

    Dans « Trois vies par semaine », Michel Bussi nous emmène à nouveau côtoyer le monde de l’art. Cette fois-ci, nous sommes plongés dans l’univers des marionnettes fabriquées, collectionnées, puis parfois utilisées lors de spectacles. En tout cas, ces marionnettes sont présentes absolument partout, dans chaque foyer. Et comme les fils invisibles qui permettent de leur donner vie, l’auteur nous manipule lui aussi. Le parallèle fait entre l’homme et la marionnette est d’ailleurs, fort intéressant, et revient de façon récurrente. « Que retient-on de nous, une fois nos vies froissées ? Nous, pauvres, marionnettes. On s’anime un jour, on croit vivre, on croit être libre, on détourne les yeux pour ne pas voir les fils de nylon, le décor de carton, on a si peur que le spectacle s’arrête, que tombe comme un couperet, le rideau du castelet, de ne redevenir que ce qu’on a toujours été : un jouet, ballotté par des forces invisibles, le temps d’une danse dans la lumière, avant d’être à nouveau rangé dans un tiroir, à plat dans le noir. » Parallèlement, et très mystérieusement, chaque grande partie du roman commence par une citation tirée d’un ouvrage d’Arthur Rimbaud. De quoi ajouter un peu plus d’opacité à un contexte déjà bien nébuleux…

    Je dois bien avouer que « Trois vies par semaine » m’a donné du fil à retordre. J’ai fait des calculs savants pour tenter de comprendre où était Renaud une semaine sur quatre et comment il avait fait pour contenter les deux autres femmes de sa vie. J’ai imaginé plusieurs scénarios qui se sont tous révélés faux, bien évidemment. À de nombreuses reprises, je me suis dit que Michel Bussi n’arriverait pas à s’en sortir sans tomber dans l’invraisemblance, et qu’il allait forcément se planter…. Que j’allais être déçue, que j’allais être frustrée, que j’allais balancer le bouquin par la fenêtre ! Même lorsque sont apparus des apartés (vous n’aurez aucun mal à les reconnaître dans le roman), j’ai pensé que ces parenthèses permettaient simplement aux lecteurs de découvrir un pan de l’histoire familiale. Et que Michel Bussi ne s’en sortirait pas… J’ai tout imaginé, tout envisagé, tout tourné et retourné dans ma tête, j’ai même pris des notes, fait des schémas, des arbres généalogiques par famille. Et, je n’ai rien vu ! Je me suis pris la révélation finale en pleine face, c’est le cas de le dire. Et je ne sais pas comment expliquer ne pas avoir vu ce twist venir ! Les indices étaient donnés, alors certes, très discrètement, mais quand même !

    Comme le dit si bien Eléa : « Les plus grands secrets du monde ne se cachaient-ils pas là ? Dans notre tête ! Le seul et dernier coffre-fort véritablement inviolable, dans un monde où tout est filmé, espionné, commenté. »

    L’esprit retors de Michel Bussi a encore frappé, et son talent de marionnettiste n’est plus à démontrer.

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