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Je m’appelle Birdy - Franco Mannara

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Résumé :

Paolo, guitariste underground, fait de la filature pour un détective privé. Sa mission : suivre Birdy, jeune femme en péril qui a fui son milieu huppé pour vivre avec des squatteurs.
Au même moment, une crise sanitaire éclate. Des douzaines de jeunes meurent après avoir consommé une nouvelle pilule bleue, sorte de « roulette russe chimique » qui fait fureur dans la nuit parisienne. L’inspecteur Ibanez est chargé de l’enquête.
Birdy est-elle liée à cette dérive macabre ? Comment stopper cette drogue qui cible les moins de trente ans ? Des bas-fonds de Paris aux salles de répèt, Je m’appelle Birdy est un polar toxique. Un voyage choc dans les ténèbres de la nuit, un scénario aussi haletant qu’effrayant.

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Vos #AvisPolar

  • Emilie Chloé Trigo 5 août 2020
    Je m’appelle Birdy - Franco Mannara

    Un polar noir, rock and roll, parisien, un peu glauque... et tellement bon !
    À cheval entre Bastille et le 18ème arrondissement de Paris avec une incursion entre Parmentier et Oberkampf, j’adore les livres dans lesquels je me balade géographiquement dans un univers connu et là j’étais totalement chez moi !
    Comme l’auteur le dit en préambule, écrit début 2015, ce livre a comme un arrière-goût d’anticipation mais je n’en dirai pas plus.
    On s’attache aux personnages, qui eux-mêmes dans les méandres de leurs problématiques personnelles nous touchent tous.
    Et enfin, comme dans tout bon roman noir... tout ne se termine pas « bien » et ça permet de garder le suspens jusqu’à la toute dernière page. Bref, je recommande !

  • Ju lit les Mots 5 mars 2020
    Je m’appelle Birdy - Franco Mannara

    "Sexe, Drug and Rock N Roll"

    Âmes sensibles s’abstenir ! 

    Voilà ce qui m’a donné envie de lire « je m’appelle Birdy » Du coup j’étais malgré tout sur la réserve, car des accroches comme celle-là même si elles laissent présager des coups de cœur ne sont que de la poudre aux yeux. Et puis voir Caryl Ferey inviter à la lecture, on se dit quand-même il doit être bon ce bouquin ! Et bien je peux vous dire que tout cela n’est pas de la poudre aux yeux et que je me suis pris un méga trip !

    Avec ce premier livre Franco Mannara compose un polar comme un opéra Rock qui te laisse sur les rotules à la fin !

    Un livre trash, hyper trash ! Mais quel putain de livre !!!

    Un livre qu’on n’oublie pas facilement ! Une claque livresque à tous les niveaux. Impossible à lâcher une fois qu’on le commence.

    L’auteur connaît bien le milieu dans lequel il nous embarque, dans lequel il nous balance sans bouée de sauvetage et autant dire que la claque dans la gueule n’est pas loin !

    Punaise je suis passée par tellement d’émotions : révolte, haine, envie de meurtre... 

    On découvre les travers, les vices de ceux pour qui le fric ne suffit pas, pour qui le besoin de domination est tel qu’il en devient dégueulasse et crade. Crade au point que tu as envie de prendre une douche parce que la crasse colle à ta peau, colle à ton âme. 

    Ici l’auteur nous plonge dans le monde de la nuit, la drogue, la sniff, les petites pilules bleues côtoient le sexe mais le sexe qui révulse le sexe qui te sali, le coup tiré vite fait et qui te laisse un goût amer, un coup dont tu ne te souviens pas tellement t’es défoncé.

    Avec l’auteur on plonge dans le monde de la défonce, le monde de la drogue dont on a du mal à s’extirper !

    Mais attention malgré les morts suspectes, la drogue et la montagne de merde, la beauté pousse parce que la merde fait un bon engrais ! 

    Ces meurtres qui jalonnent sont-ils le fait d’un tueur en série ou dus à l’univers de la nuit ? Il appartient à Ibanez, flic atypique, gitan rejeté par les siens et meurtri par la vie de le découvrir !

    Paolo, guitariste, qui n’hésite pas à sniffer sa dose pour se mettre dans l’ambiance va se retrouver parachuter détective pour payer sa dette.... 

    Ces deux hommes, vont se retrouver télescoper par la force des choses et c’est jouissif ! Jouissif car l’auteur ne ménage pas nos nerfs et n’ira pas par quatre chemin pour nous plonger dans l’horreur jusqu’à la fin !

    Je remercie l’auteur pour cette lecture pour cette écriture pour ces mots pleins de justesse et de talent. Alors oui c’est trash, c’est crade, c’est Vil, c’est noir mais c’est tellement humain ! L’humain est représenté dans tout ce qu’il a de décadent et d’horrible. Tellement horrible que vous ne pourriez deviner.... Le mieux c’est de lire "je m’appelle Birdy" pour le découvrir. ...

    je remercie vivement les éditions Calmann-Lévy pour l’envoi du livre, pour la découverte de ce premier titre et surtout pour la qualité des publications qui ne m’ont encore jamais déçues.

    Un premier roman efficace, d’une très grande qualité, un polar bien noir avec des scènes dignes d’un très bon scénario, avec des scènes choquantes. Choquantes si vous n’avez pas l’habitude des polars et thrillers, mais pour les lecteurs habitués à de ce genre ça passe bien et on en redemande.

    A quand le prochain, pour que je puisse me délecter, l’auteur m’a embarqué et ferré dans son univers

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