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Le Démon de la colline aux loups - Dimitri Rouchon-Borie

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Résumé :

Un homme se retrouve en prison. Brutalisé dans sa mémoire et dans sa chair, il décide avant de mourir de nous livrer le récit de son destin.

Écrit dans un élan vertigineux, porté par une langue aussi fulgurante que bienveillante, Le Démon de la Colline aux Loups raconte un être, son enfance perdue, sa vie emplie de violence, de douleur et de rage, d’amour et de passion, de moments de lumière... Il dit sa solitude, immense, la condition humaine.

Le Démon de la Colline aux Loups est un premier roman. C’est surtout un flot ininterrompu d’images et de sensations, un texte étourdissant, une révélation littéraire.

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Vos #AvisPolar

  • Chineuse Deculture 8 août 2022
    Le Démon de la colline aux loups - Dimitri Rouchon-Borie

    Le procédé narratif sans ponctuation à la première personne, vous laisse en apnée, mais là s’arrête l’empathie pour le personnage principal démuni de tout répère et d’éducation. On songe aux "monstres" de Maud Mayeras ou à "my absolute darling" de Tallent, mais la fatalité du récit s’embourbe dans des clichés dommage

  • SIGPRO2022 26 décembre 2021
    Le Démon de la colline aux loups - Dimitri Rouchon-Borie

    Le démon de la colline aux loups de Dimitri Rouchon-Borie

    Imprimé en janvier de cette année, ce livre a tout de suite trouvé une place sur l’étagère de présentation des ouvrages remarqués par des lecteurs et en l’occurrence des lectrices avec comme rappel un post-it, « coup de cœur de... mais il faut s’accrocher. » à la bibliothèque de mon petit village. En quatrième page de couverture, une phrase attise mon regard : « Les hommes sont des choses vides et des fois leur vie se remplit de bien et des fois de mal et des fois c’est partagé et ça fait une lutte. » Cette phrase extraite du Démon de la colline aux loups est suivie d’une indication de l’auteur : « elle résume l’élan qui habite ce texte stupéfiant, et son désir de dire la condition humaine, écrit dans une langue volcanique c’est une révélation, une lumière dans les ténèbres. »
    Comment ne pas résister à cet appel. Dès les première lignes notre attention est attirée « Mon père disait ça se passe toujours comme ça à la Colline aux loups et ça s’était passé comme ça pour lui et pour nous aussi. La Colline aux loups c’est là que j’ai grandi et c’est ça que je vais vous raconter. Même si c’est pas une belle histoire c’est la mienne c’est comme ça. Le Démon était là et c’est là qu’il m’a pris. Comme je n’ai pas fait l’école longtemps à cause du père, du Démon, de la mère et des autres , il manque des cases à mon entendement des choses. J’espère que vous saurez vous montrer miséricordieux.. parce que j’ai un parlement qui est à moi et pendant tout ce temps ces mots c’était ma façon d’être moi et pas un autre. »
    Dès le chapitre 2 nous retrouvons le narrateur dans une cellule avec son codétenu Fridge avec dix ou douze ans à faire. L’on se doute bien que si le narrateur dit qu’il lui reste une dizaine d’années de prison à faire c’est qu’il a été reconnu coupable de faits graves, qui ont amené à cette condamnation. Plus de dix ans nous sommes sur un registre criminel. Mes amies lectrices m’avez prévenu . « C’est un récit ou il faut s’accrocher. » Là je ne parle pas de la façon d’écrire de l’auteur, car toutes les précautions oratoires ont été prises pour nous préciser que le narrateur avait eu une scolarité particulière. Au gré des chapitres, c’est toute l’enfance disséquée du narrateur jusqu’à la prison, que nous allons revivre. Une enfance sans affection de la part d’ êtres immondes. A la Colline aux Loups dans cette maison isolée les enfants sont séquestrés, ; Ils ne peuvent quitter la maison aux volets clos. Dénutris, au point que cela interrogera les services sociaux, maltraités, privés d’éducation de langage, réduits à vivre comme des animaux, survivants de par leurs instincts primaires, dormant sur le sol, au milieu des déjections d’animaux, lovés les uns contre les autres pour ne pas avoir froid sous une couverture miteuse. Le moindre écart de leur part est sanctionné par des punitions corporelles. Duke, n’apprendra son prénom que lorsqu’il aura pu se rendre à l’école ou il découvrira un monde d’adulte qui ne connaît pas. Peu avant la condamnation des parents pour le père à dix-huit ans de prison et pour la mère douze ans , il apprendra également le prénom de sa sœur.
    Comment Duke après une telle enfance, va-t-il se construire. En étant placé dans une maison tenue par un couple aimant ? On n’aurait pu le penser ou l’espérer . Mais, le Démon de la Colline aux loups grogne dans ses entrailles. Duke essayera de le juguler, au delà de ses rencontres. Y parviendra-t-il je vous laisse le soin de le découvrir. Est-ce que le Démon de la Colline aux Loups laissera enfin Duke en paix ?
    Je suis sûr qu’en refermant ce premier roman Le Démon de la Colline aux Loups de Dimitri Rouchon-Borie vous n’oublierez pas Duke, Clara, La Boule, Pete et Maria, Billy, Jeb et le blond.
    Le Démon de la Colline aux loups est ponctué de belles réflexions mises dans la bouche de Duke : J’ai relevé celle-ci : Je sentais bien que j’avais à l’intérieur une trace qui ne partait pas c’était la déchirure de l’enfance c’est pas parce qu’on a mis un pont au-dessus du ravin qu’on a bouché le vide.
     » Le démon de la Colline aux Loups, c’est le destin d’un être enfermé en prison. Une révélation , une lumière dans les ténèbres, que je vous invite à découvrir, mais comme me l’ont dit mes amies : accrochez-vous ! » Bien à vous.

  • Kirzy 18 décembre 2021
    Le Démon de la colline aux loups - Dimitri Rouchon-Borie

    Ce n’est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l’inceste et de l’enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l’auteur n’a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l’intention, on sent juste l’urgence, incandescente, à raconter la vérité d’un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j’ai plus de noir que toi dans mon enfance ».

    Dès les premières lignes, j’ai été attrapée à la gorge par la puissance qui se dégage de ce récit. Duke est en prison, au soir de sa vie, il entame un travail d’écriture, obsédé par la perspective de sauver quelque chose de lui, sauver son âme en se débarrassant de ce démon qui le harcèle, le déborde. Ce démon, c’est l’incarnation de cette absence d’explications à ces actes criminels. Ce démon, il est apparu sur la colline aux loups, dans la maison où il a grandi, violenté par ses parents, violé par son père. Tout le roman est centré sur cette bataille intérieure extrême.

    « Je sentais bien que j’avais à l’intérieur une trace qui ne partait pas c’était la déchirure de l’enfance c’est pas parce qu’on a mis un pont au-dessus du ravin qu’on a bouché le vide ».

    Le premier tiers du roman raconte des faits insoutenables, de ceux qu’on entend dans les tribunaux ( l’auteur est journaliste judiciaire ) et qui donne envie de se boucher très fort les oreilles de peur d’être souillé par les images qu’ils charrient. La lecture est émotionnellement éprouvante, et pourtant j’ai refermé le livre presque apaisée ou du moins libérée d’une tension exténuante. L’outrenoir est traversé de rais de lumière bouleversants lorsque Duke découvre la beauté du monde ( anagramme de démon ) : une délicieuse sucette, le prénom de sa soeur, l’herbe entre les orteils, la houle de la mer qui accomplit ses rêves de rébellion, de force et de liberté, une séance de cinéma avec un documentaire animalier qui lui donne envie d’être un oiseau et de ne plus être un homme.

    Mais delà de ces instants d’éphémère lumière, c’est la formidable écriture de Dimitri Rouchon-Borie qui permet de surmonter le sordide décrit. Ce parler, qui devient écrit, est une plongée directe dans la tête de cet homme-enfant. Il faut l’apprivoiser. Elle n’a aucune virgule, aucune conjonction de coordination, sa syntaxe est brisée, syncopée, la logique des enchaînements complètement décalée. Et pourtant, sa respiration vient toute seule au bout de quelques pages. Les mots de Duke sont d’une authenticité absolue, l’auteur parvenant à capter toute la candeur et la vérité de cet homme brisé par son enfance. de cette langue si singulière naît la représentation du monde qu’il a construit autour de la genèse de la violence.

    La langue comme rédemption possible. Les dernières pages sont sublimes et basculent tout naturellement vers une réflexion quasi philosophique, existentialiste, sur l’hérédité du Mal, sur le liberté de nos choix et la responsabilité de nos actes. Au final, l’épilogue sublime le flot de sensations et d’émotions qui ont saturé le roman.

  • SIGPRO2022 3 décembre 2021
    Le Démon de la colline aux loups - Dimitri Rouchon-Borie

    Le démon de la colline aux loups de Dimitri Rouchon-Borie

    Imprimé en janvier de cette année, ce livre a tout de suite trouvé une place sur l’étagère de présentation des ouvrages remarqués par des lecteurs et en l’occurrence des lectrices avec comme rappel un post-it, « coup de cœur de... mais il faut s’accrocher. » à la bibliothèque de mon petit village. En quatrième page de couverture, une phrase attise mon regard : « Les hommes sont des choses vides et des fois leur vie se remplit de bien et des fois de mal et des fois c’est partagé et ça fait une lutte. » Cette phrase extraite du Démon de la colline aux loups est suivie d’une indication de l’auteur : « elle résume l’élan qui habite ce texte stupéfiant, et son désir de dire la condition humaine, écrit dans une langue volcanique c’est une révélation, une lumière dans les ténèbres. »
    Comment ne pas résister à cet appel. Dès les première lignes notre attention est attirée « Mon père disait ça se passe toujours comme ça à la Colline aux loups et ça s’était passé comme ça pour lui et pour nous aussi. La Colline aux loups c’est là que j’ai grandi et c’est ça que je vais vous raconter. Même si c’est pas une belle histoire c’est la mienne c’est comme ça. Le Démon était là et c’est là qu’il m’a pris. Comme je n’ai pas fait l’école longtemps à cause du père, du Démon, de la mère et des autres , il manque des cases à mon entendement des choses. J’espère que vous saurez vous montrer miséricordieux.. parce que j’ai un parlement qui est à moi et pendant tout ce temps ces mots c’était ma façon d’être moi et pas un autre. »
    Dès le chapitre 2 nous retrouvons le narrateur dans une cellule avec son codétenu Fridge avec dix ou douze ans à faire. L’on se doute bien que si le narrateur dit qu’il lui reste une dizaine d’années de prison à faire c’est qu’il a été reconnu coupable de faits graves, qui ont amené à cette condamnation. Plus de dix ans nous sommes sur un registre criminel. Mes amies lectrices m’avez prévenu . « C’est un récit ou il faut s’accrocher. » Là je ne parle pas de la façon d’écrire de l’auteur, car toutes les précautions oratoires ont été prises pour nous préciser que le narrateur avait eu une scolarité particulière. Au gré des chapitres, c’est toute l’enfance disséquée du narrateur jusqu’à la prison, que nous allons revivre. Une enfance sans affection de la part d’ êtres immondes. A la Colline aux Loups dans cette maison isolée les enfants sont séquestrés, ; Ils ne peuvent quitter la maison aux volets clos. Dénutris, au point que cela interrogera les services sociaux, maltraités, privés d’éducation de langage, réduits à vivre comme des animaux, survivants de par leurs instincts primaires, dormant sur le sol, au milieu des déjections d’animaux, lovés les uns contre les autres pour ne pas avoir froid sous une couverture miteuse. Le moindre écart de leur part est sanctionné par des punitions corporelles. Duke, n’apprendra son prénom que lorsqu’il aura pu se rendre à l’école ou il découvrira un monde d’adulte qui ne connaît pas. Peu avant la condamnation des parents pour le père à dix-huit ans de prison et pour la mère douze ans , il apprendra également le prénom de sa sœur.
    Comment Duke après une telle enfance, va-t-il se construire. En étant placé dans une maison tenue par un couple aimant ? On n’aurait pu le penser ou l’espérer . Mais, le Démon de la Colline aux loups grogne dans ses entrailles. Duke essayera de le juguler, au delà de ses rencontres. Y parviendra-t-il je vous laisse le soin de le découvrir. Est-ce que le Démon de la Colline aux Loups laissera enfin Duke en paix ?
    Je suis sûr qu’en refermant ce premier roman Le Démon de la Colline aux Loups de Dimitri Rouchon-Borie vous n’oublierez pas Duke, Clara, La Boule, Pete et Maria, Billy, Jeb et le blond.
    Le Démon de la Colline aux loups est ponctué de belles réflexions mises dans la bouche de Duke : J’ai relevé celle-ci : Je sentais bien que j’avais à l’intérieur une trace qui ne partait pas c’était la déchirure de l’enfance c’est pas parce qu’on a mis un pont au-dessus du ravin qu’on a bouché le vide.
     » Le démon de la Colline aux Loups, c’est le destin d’un être enfermé en prison. Une révélation , une lumière dans les ténèbres, que je vous invite à découvrir, mais comme me l’ont dit mes amies : accrochez-vous ! » Bien à vous.

  • Aude Lagandré 19 mars 2021
    Le Démon de la colline aux loups - Dimitri Rouchon-Borie

    « Le démon de la colline aux loups » est un chant, une ode, une voix qui s’élève dans les ténèbres, celle de l’enfant qui ne connaît pas son nom. « Ça paraîtra bizarre à vous tous mais au commencement on n’avait pas de noms. À quoi ça aurait servi on n’avait pas besoin de s’appeler alors on ne s’appelait pas. On se trouvait comme une évidence. » Il survit dans un nid, une tanière, collé à ses frères et sœurs mélangés à des chats pour se repaître de leurs odeurs, il vit en boule, calfeutré, caché, sans avoir connaissance du monde, de la lumière, du dehors. Il n’a pas conscience d’exister, il ne pense pas, il ne parle pas, l’apprentissage des mots viendra plus tard lorsqu’il nous racontera son histoire, le récit de ce démon qui rôde et prend possession des âmes. C’est lorsqu’il se rend à l’école que l’enfant apprend son prénom : Duke. Il y apprend aussi le début des mots dans leur signification la plus primitive. Hors de la tanière, il devient un être à part entière, témoin du monde qui respire et conscient de la manière dont les autres le voient.

    « Le démon de la colline aux loups » c’est la voix de l’innocence qui raconte l’horreur absolue. Les mots sombres, terrifiants, révoltants qui relatent cette existence effroyable sont littéralement illuminés par la candeur de Duke. Cette pureté de l’enfance salie, piétinée, vient embraser les pages d’une lumière saisissante appuyée par des phrases sans ponctuation dans lesquelles sont insérés des dialogues parmi les idées développées. Un style littéraire singulier pour un roman singulier. La simplicité du ressenti enflamme l’horreur et ce sont des milliers de flammèches qui s’abattent alors sur vos yeux, dans votre cœur, dans vos tripes. Entre révolte sourde, empathie fulgurante, désir de vengeance puissant qui demande du sang et des larmes, le lecteur est pétrifié de douleur, il supplie et agonise, saigne par tous les pores de sa peau, et voudrait qu’on lui offre la possibilité de se retirer le cerveau.

    Mais pour comprendre, il faut savoir, sortir du refuge d’une image mentale imaginée pour permettre la respiration, retourner dans l’arène des souvenirs et accepter d’écouter l’histoire jusqu’au bout. « Je crois que c’est ma souffrance qui m’a tué depuis longtemps je ne crois pas que je suis vivant autrement que par mes fonctions biologiques mais dedans je suis mort. Et cette mort profonde c’est elle qui est en train de monter en moi et de conquérir tous mes organes je le sais je ne peux que l’accepter et c’est ainsi. Et c’est aussi sans doute ma souffrance qui a fait le lit du démon. (…) » Tout est là. Parfois, le démon change de corps ou est trop profondément ancré dans l’ADN pour espérer s’en débarrasser. Le démon se sustente du sang, des larmes, de la sueur, se repaît des blessures de l’âme et du corps, croît, s’épanouit, outrepasse toutes les règles. Duke raconte : son enfance, sa vie en prison, et son récit, admirable va – et-vient entre passé et présent, éclaire son vécu. De cette existence martyrisée où les supplices endurés défient l’entendement, il pose des mots simples, presque naïfs qui permettent au lecteur de prendre la mesure du chemin parcouru. Des phrases qui crèvent le cœur et font monter une terrible envie de vomir. « Ce qui est étrange avec la fin de mon enfance et la disparition du nid c’est que ça m’a beaucoup intéressé de faire le parallèle parce que c’était l’horreur mais au fond c’était notre paradis et rien n’a été mieux que cela. »

    « La Colline aux loups c’était déjà une prison bien pire que tout imaginez-vous sous l’eau depuis le jour de votre naissance à retenir votre respiration en attendant une bouffée d’air qui ne vient pas ma vie c’est ça. » Et pourtant… de cette enfance brisée, Duke aura espéré une échappatoire, conscient de la nécessité de se débarrasser de cet héritage écrasant. Être une victime, ne pas devenir un bourreau, briser les paliers qui permettent d’aller de l’un à l’autre, carboniser le démon, le réduire en cendres, l’anéantir. « Je sentais bien que j’avais à l’intérieur une trace qui ne partait pas c’était la déchirure de l’enfance c’est pas parce qu’on a mis un pont au-dessus du ravin qu’on a bouché le vide. »

    Dimitri Rouchon-Borie est journaliste, spécialisé dans les affaires judiciaires. Voilà sans doute une piste à creuser pour expliquer la justesse de ce premier roman. S’il est nécessaire de savoir écouter, il faut aussi avoir le don de retranscrire, d’infuser les émotions sans tomber dans l’excès du pathos. « Le démon de la colline aux loups » est un texte d’une remarquable justesse, un texte touchant dont personne ne sort indemne et qui marquera chaque lecteur au fer rouge. Un premier roman déchirant, dérangeant, intimiste dont la plume incandescente éclaire les coulisses des ténèbres. Ne le ratez pas.

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