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Du sang sous les acacias - Bernadette Richard

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Résumé :

Un polar animalier où l’humour le dispute au suspense, et où les bêtes occupent un rôle central.
Yànnis Cortat est flic au sein d’une section internationale dédiée à la lutte contre le braconnage et toute forme de violence menaçant la faune. Il partage son temps entre ses enquêtes de terrain et sa famille.

Il est appelé en Tanzanie pour démêler une mystérieuse affaire de cœurs arrachés. Une amie proche, la journaliste américaine Violette McIntosh, prend l’avion avec lui. Elle emmène également son chien, Platon, qui ne la quitte plus depuis qu’elle a perdu sa fille et son compagnon dans un accident avec délit de fuite. Un drame qui la hante et la rend dangereusement sauvage.

En Afrique, les recherches piétinent malgré l’aide d’une biologiste parisienne, aussi efficace qu’irrésistible, tandis qu’en Suisse, l’ex-épouse de Cortat est blessée à coups de couteau par un mystérieux agresseur. Tétanisé par l’angoisse, Cortat tente malgré tout de poursuivre son enquête. Son équipe est aux prises avec une secte obscure, mais toutes leurs pistes semblent se dissoudre dans la chaleur étouffante de la brousse.

Pendant que les humains se torturent, se provoquent ou se séduisent, Platon, lui, a suvi et découvert l’assassin. Mais comment un bouledogue français peut-il se faire comprendre de sa maîtresse ?

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Vos #AvisPolar

  • universpolars 11 janvier 2020
    Du sang sous les acacias - Bernadette Richard

    J’aborde ce récit comme je le ferais face à un inconnu : avec prudence. Je ne connais ni l’auteure, ni son style, ni rien. Bernadette Richard nous écrit ici un polar, chose inhabituelle, paraît-il. Comme j’ai pu le comprendre, c’est son premier. Bonne décision, non ? C’est le meilleur genre littéraire ! Le genre, oui, ce titre en particulier, non. J’y reviendrai.

    Après quelques pages tournées, je remarque tout de même que ce n’est de loin pas son premier bouquin. Qu’est-ce qui me fait dire cela, me demanderez-vous peut-être ? Les personnages, clairement. Je suis très attaché à cet élément et j’ai vite été conquis.

    L’auteure suisse nous dépeint ses protagonistes avec finesse. Elle le fait rapidement, naturellement et - me semble-t-il ! - facilement. Le caractère propre à chaque personnage est solide, accentué d’une touche d’humour qui ne me déplaît pas. Par contre, au bout d’un certain moment, j’ai décroché. J’ai eu l’impression de stagner face à des protagonistes lassants qui m’ont même agacé, dommage !

    Cette panoplie de personnages sera complétée par nos amis à quatre pattes, l’auteure semblant ne pas être indifférente au monde animalier. C’est bien, mais c’est un peu trop pour moi dans ce récit ! Cela nous permettra tout de même de nous rendre dans une réserve naturelle en Tanzanie, où des rhinocéros semblent être décimés à la chaîne.

    Nous nous rendrons donc en Afrique de l’Est où nous accompagnerons un flic expérimenté, intuitif, une journaliste aussi déjantée que passionnée et une voluptueuse et délicate biologiste parisienne, qui évolue devant nos yeux telle une caresse ! Mission : enquêter sur ces morts suspectes d’animaux protégés.

    Plusieurs aspects m’ont fait réagir positivement dans cette intrigue, notamment les milliers de kilomètres qui séparent les méthodes d’enquêtes locales à celles auxquelles nous sommes habitués. Les moyens mis en œuvre ne sont de loin pas les mêmes, c’est certain, à l’instar des mentalités et de l’approche face à une scène de crime. Intéressant.

    Un autre aspect - et pas des moindres ! - m’a également interpellé, mais cette fois-ci négativement. Le rythme, bien trop lent, ne m’a pas convenu. Oui, nous sommes en Afrique, je sais, et le rythme se calque peut-être sur la manière de vivre là-bas. Mais ce tempo, pour une enquête, une intrigue, est bien trop assommant. J’ai vraiment eu l’impression de tourner en rond, encore et encore, jusqu’à faire des sillons dans cette terre aride, autant au niveau de la trame que par l’évolution des personnages.

    L’intrigue, justement. J’ai eu le sentiment qu’elle n’était là que pour fournir un prétexte. Étant adepte de polars et récits liés à une enquête, je me suis vite retrouvé frustré. C’est répétitif, fastidieux et cette trame n’avance que très lentement. L’enquêteur principal, annoncé comme étant une sommité, est aussi décevant qu’effacé.

    Au départ, j’ai décelé un énorme potentiel concernant les personnages mais, malheureusement, je n’y ai finalement pas trouvé mon compte.

    Si vous êtes en émerveillement devant nos amis les bêtes, vous allez peut-être y trouver le vôtre. Tous les goûts sont dans la nature, paraît-il.

  • L’atelier de Litote 21 septembre 2019
    Du sang sous les acacias - Bernadette Richard

    L’Afrique et plus précisément la Tanzanie, comme si vous y étiez, cela vous tente ? On embarque pour un superbe polar de la savane avec tous les animaux que l’on sait pouvoir trouver là-bas, mais c’est surtout l’hippopotame qui a des soucis à se faire dans cette histoire. En effet un tueur, a décidé de s’octroyer le cœur de ces cétartiodactyles dans le but d’assouvir on ne sait quel rituel, expérimenté et précis, il ne laisse aucune trace derrière lui. Aussi Gabriel Kibaki qui dirige de main de maître le Parc du Sud fait appel à Amélie, biologiste renommée pour sa grande connaissance des hippopotames. Yannis Cortat flic se voit confier l’enquête avec son amie journaliste Violette McIntosh accompagné de son truculent bouledogue Platon et si comme moi vous vous demandez comment se genre de couple peut-il fonctionner ? Faîtes confiance à notre auteure pour en tirer le meilleur parti. On va découvrir à leur côté la vie dans une réserve animalière et c’est tout un monde consacré à la préservation des animaux de la savane dont certains sont en voie de disparition. Un polar comme je n’en avais encore jamais lu, où les victimes sont des hippopotames, où un petit chien même une enquête de son côté de manière fort efficace. Tout ce petit monde se côtoie alors que les soupçons pèsent sur tous. J’ai beaucoup aimé cette lecture qui se veut divertissante. J’ai eu un temps la sensation de me retrouver devant un des épisodes de la série Daktari avec le fameux lion Clarence qui louchait. L’ambiance des voyages, des safaris photos bien entendu est très bien exploitée. Ici on regarde les animaux d’un autre œil, on ressent très fort le lien de l’auteur avec tous ses personnages humains mais surtout avec les animaux qui ont une grande place dans ce polar. Bonne lecture.

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