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L’escalier du diable - Dean Koontz

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Résumé :

La suite des aventures de Jane Hawk, mue par la même soif de justice et de vengeance, par Dean Koontz, l’un des auteurs américains de thrillers le plus lu au monde.
" Je pourrais être morte demain. Ou pire... "

Luttant contre l’étrange épidémie de suicides qui a emporté son mari, Jane Hawk est devenue la fugitive la plus recherchée des États-Unis. Tant par le gouvernement que par les responsables d’une confrérie secrète. À présent, elle tient une proie dans son viseur : un homme influent... disposant d’une armée de tueurs.
Mue par sa soif de vengeance, Jane rejoint les flancs enneigés du Lac Tahoe, en Californie. Ce qu’elle va y découvrir est terrifiant. D’autant qu’elle va devoir gravir l’escalier du diable !
Jane sait que le temps lui est compté. Que sa vie ne tient qu’à un fil. Mais, elle respire encore... Et une conspiration menace des millions d’êtres humains.

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Vos #AvisPolar

  • Marygira 28 janvier 2023
    L’escalier du diable - Dean Koontz

    Risque de spoilers si vous n’avez pas lu les tomes 1 et 2 !

    À peine La chambre des murmures terminé, me voici déjà plongée dans le troisième volet, impatiente de connaître la suite. A l’instar de Jane Hawk, je ne prends pas le temps de souffler. Je me sens nerveuse et fébrile tant j’ai hâte de découvrir ce que Dean Koontz a pu nous concocter.

    Plus l’enquête de la jeune femme avance, et plus elle s’aperçoit que les ramifications de la confrérie des Techno-Arcadiens, partisans d’une nouvelle Utopie, s’étendent toujours davantage à travers le pays, à l’insu de la majorité de la population qui ne se doute de rien. Ce nouvel ordre cherche à modifier les défauts humains les plus courants et à offrir aux gens la paix, en les délivrant de leurs soucis, en donnant à leur existence un sens qu’ils sont incapables de trouver par eux-mêmes. À cette nanotechnologie qu’ils implantent dans le cerveau et qui transforme les individus en robots dociles et obéissants, il n’existe qu’une porte de sortie : la mort.

    Dès le début de l’histoire je me suis prise d’affection pour Jane. Plus je l’accompagne dans son combat pour la justice, et plus j’apprécie de la découvrir, même sous ses travers les plus sombres. Il arrive parfois qu’elle soit obligée de recourir à certains moyens peu orthodoxes pour obtenir des informations, mais on sent qu’elle ne le fait pas de gaieté de cœur, et c’est justement ça qui la différencie de ses ennemis et qui fait que le lecteur s’attache à elle et à son humanité.

    On l’apprécie aussi évidemment pour sa force de caractère et sa combativité incroyables. Non seulement elle se bat pour son mari décédé et son petit garçon de cinq ans, un peu plus mis en avant dans ce tome, mais également pour le reste de la population. Très souvent sous-estimée par ses ennemis, elle frôle la mort à de nombreuses reprises mais parvient toujours à s’en sortir de justesse grâce à sa perspicacité, sa vigilance et son sens de l’observation très aiguisé. Une héroïne comme je les aime !

    Une fois n’est pas coutume, Dean Koontz, par son imagination délirante, est parvenu à me faire frissonner d’horreur avec un récit très graphique des plus angoissants et des plus stressants, mais également à m’arracher un fou rire, lors de la scène avec Tuong le vendeur vietnamien. C’était exquis et rafraîchissant ! Je tiens d’ailleurs à saluer le travail de traduction absolument remarquable de Sebastian Danchin.

    Si ça n’est pas déjà fait, lancez-vous dans cette saga, vous ne le regretterez pas !

  • SIGPRO2022 26 décembre 2021
    L’escalier du diable - Dean Koontz

    L’escalier du diable de Dean Kontz

    C’est après avoir découvert la chambre des murmures, qui m’avait véritablement enthousiasmé, que j’ai découvert ce nouvel épisode des aventures de Jane Hawk, ancienne agente du FBI,devenue la fugitive la plus recherchée des États-Unis. A la suite du meurtre de son mari Nick ancien marine, Jane Hawk part en croisade contre les membres d’une société secrète Les Arcadiens, qui ont décidé à partir d’un algorithme d’un ordinateur, de modifier différentes personnes en leur injectant des nanoparticules afin que celle-ci répondent au doigt et à l’oeil à toutes leurs exigences, dans des missions terroristes suicidaires. Nous retrouvons donc Jane Hawk, au mois de mars chez Sarah Holdsteck à la recherche d’information concernant son ex-mari Simon Yegg. Très vite la surprise de l’intrusion dans cette villa sous surveillance électronique passée, Sarah Holdsteck, lui fait part « mon mari ! Mon ex-mari. Un merdeux vicelard. J’ai de bonnes raisons de le mépriser... mais quelles sont les vôtres . Il fréquente des gens que je cherche à détruire et au passage , je peux m’arranger pour qu’il regrette sérieusement le mal qu’il vous a fait. » Dans le même temps, trois hommes de stature imposantes, dissimulées par des capuches, tels des moines sataniques occupés à une tache infernale dont un certain Lincoln Crossley, adjoint au shérif investissent la maison occupée par un frère et une sœur, écrivains Tanja et Sanjay Shukla.
    C’est en alternant ces deux moments que l’auteur nous fait vivre ces deux « rencontres » particulièrement mouvementée et sanglante, mais je ne veux pas vous gâcher les surprises qui je vous l’assure ne manquent pas.
    En parallèle à ces deux séquences si je peux dire, vient s’adjoindre une troisième celle ouverte avec le fils de Jane et Nick Hawk, Travis, qui a trouvé refuge auprès des deux membres des marines lorsque celui-ci a été la cible d’enlèvement par les Arcadiens. Alors qu Travis semble être à l’abri, deux agents fédéraux, à la solde des Arcadiens, Jergen et Dubose partent avec des moyens considérables de cet enfant. L’écriture de Dean Kontz nous met tout de suite en tension et c’est dans une montée d’adrénaline et un rythme infernal que nous allons vivre plusieurs chapitre de ce nouveau pan de cette histoire à la rencontre de personnage haut en couleur.
    Usant également des mêmes armes que les Arcadiens, Jane Hawk va être confrontée aux souvenirs d’enfance de Booth Hendrickson qui l’entraînera par la suite dans l’escalier du diable alors que Jergen et Dubose, poursuivent leur recherche dans la vallée de Borrego.
    Lors de cette descente dans l’escalier du diable, Jane Hawk va également découvrir un autre membre des Arcadiens, Anabel Claridge, mère de Booth et se rendre compte que la phrase code « Jouons au crime dans la tête ne fonctionne plus. « Pauvre petite connasse. Ton mécanisme de contrôle ne peut rien contre celui que je lui ai injecté. Il est infiniment plus puissant. Il m’appartient et m’appartiendra toujours. »
    D’autres pistes s’ouvrent pour Jane Hawks et il ne semble pas que le combat s’achèvent ainsi. L’on comprend que Dean Kontz termine son roman par cette phrase : « Épuisée, l’on parle ici de Jane Hawk, elle remonte dans son explorer et se mit en quête d’une chambre. Elle avait bien besoin d’un oreiller ou poser la tête et dormir, tout en sachant déjà que les premiers rayons du soleil révéleraient aussi sûrement la beauté du monde que son horreur. »
    Au regards de tout ce que vous vivrez en lisant ce roman de Dean Kontz vous n’aurez pas de mal à trouver un oreiller pour un sommeil réparateur. En ce qui me concerne je l’ai trouvé. J’attends une suite à ce roman que j’ai trouvé moins abouti que la chambre des murmures, car j’espère, que Dean Kontz ne va pas nous, laisser sans nouvelles de Jane Hawks. Bien à vous.

  • SIGPRO2022 18 septembre 2021
    L’escalier du diable - Dean Koontz

    L’escalier du diable de Dean Kontz
    C’est après avoir découvert la chambre des murmures, qui m’avait véritablement enthousiasmé, que j’ai découvert ce nouvel épisode des aventures de Jane Hawk, ancienne agente du FBI, devenue la fugitive la plus recherchée des États-Unis. A la suite du meurtre de son mari Nick ancien marine, Jane Hawk part en croisade contre les membres d’une société secrète Les Arcadiens, qui ont décidé à partir d’un algorithme d’un ordinateur, de modifier différentes personnes en leur injectant des nanoparticules afin que celle-ci répondent au doigt et à l’oeil à toutes leurs exigences, dans des missions terroristes suicidaires. Nous retrouvons donc Jane Hawk, au mois de mars chez Sarah Holdsteck à la recherche d’information concernant son ex-mari Simon Yegg. Très vite la surprise de l’intrusion dans cette villa sous surveillance électronique passée, Sarah Holdsteck, lui fait part « mon mari ! Mon ex-mari. Un merdeux vicelard. J’ai de bonnes raisons de le mépriser... mais quelles sont les vôtres . Il fréquente des gens que je cherche à détruire et au passage , je peux m’arranger pour qu’il regrette sérieusement le mal qu’il vous a fait. » Dans le même temps, trois hommes de stature imposantes, dissimulées par des capuches, tels des moines sataniques occupés à une tache infernale dont un certain Lincoln Crossley, adjoint au shérif investissent la maison occupée par un frère et une soeur, écrivains Tanja et Sanjay Shukla.
    C’est en alternant ces deux moments que l’auteur nous fait vivre ces deux « rencontres » particulièrement mouvementée et sanglante, mais je ne veux pas vous gâcher les surprises qui je vous l’assure ne manquent pas.
    En parallèle à ces deux séquences si je peux dire, vient s’adjoindre une troisième celle ouverte avec le fils de Jane et Nick Hawk, Travis, qui a trouvé refuge auprès des deux membres des marines lorsque celui-ci a été la cible d’enlèvement par les Arcadiens. Alors que Travis semble être à l’abri, deux agents fédéraux, à la solde des Arcadiens, Jergen et Dubose partent avec des moyens considérables de cet enfant. L’écriture de Dean Kontz nous met tout de suite en tension et c’est dans une montée d’adrénaline et un rythme infernal que nous allons vivre plusieurs chapitre de ce nouveau pan de cette histoire à la rencontre de personnage haut en couleur.
    Usant également des mêmes armes que les Arcadiens, Jane Hawk va être confrontée aux souvenirs d’enfance de Booth Hendrickson qui l’entraînera par la suite dans l’escalier du diable alors que Jergen et Dubose, poursuivent leur recherche dans la vallée de Borrego.
    Lors de cette descente dans l’escalier du diable, Jane Hawk va également découvrir un autre membre des Arcadiens, Anabel Claridge, mère de Booth et se rendre compte que la phrase code « Jouons au crime dans la tête ne fonctionne plus. « Pauvre petite connasse. Ton mécanisme de contrôle ne peut rien contre celui que je lui ai injecté. Il est infiniment plus puissant. Il m’appartient et m’appartiendra toujours. »
    D’autres pistes s’ouvrent pour Jane Hawks et il ne semble pas que le combat s’achèvent ainsi. L’on comprend que Dean Kontz termine son roman par cette phrase : « Épuisée, l’on parle ici de Jane Hawk, elle remonte dans son explorer et se mit en quête d’une chambre. Elle avait bien besoin d’un oreiller ou poser la tête et dormir, tout en sachant déjà que les premiers rayons du soleil révéleraient aussi sûrement la beauté du monde que son horreur. »
    Au regards de tout ce que vous vivrez en lisant ce roman de Dean Kontz vous n’aurez pas de mal à trouver un oreiller pour un sommeil réparateur. En ce qui me concerne je l’ai trouvé. J’attends une suite à ce roman que j’ai trouvé moins abouti que la chambre des murmures, car j’espère, que Dean Kontz ne va pas nous, laisser sans nouvelles de Jane Hawks. Bien à vous.

  • Clem_YCR 30 avril 2021
    L’escalier du diable - Dean Koontz

    Les sorties poche de la série Jane Hawk de Dean Koontz sont des immanquables pour moi ! Alors que les tomes s’enchaînent (et se ressemblent d’une certains manière), je crains l’essoufflement de cette saga à couper le souffle. Or, pour le moment il n’en est rien. Si nous retrouvons une structure commune entre chaque opus, nous sommes également stupéfait de constater l’ampleur de la conspiration et les personnes qui y sont impliquées. C’est toujours aussi fou, aussi révoltant et aussi vraisemblable malgré cet aspect futuriste/science fiction.

    Le rythme est donné par les chapitres très courts, qui défilent sous nos doigts impatients au rythme d’une course effrénée, à la recherche de la vérité (pour Jane) et de Jane (pour les méchants) ; mais aussi par les changements de temps entre les chapitres. Le focus se fait tantôt sur l’avancée de Jane, tantôt sur des cibles des complotistes, tantôt sur le fils de Jane (Travis) et ses gardiens, tantôt sur des hommes de mains, aux moyens illimités, lancés dans une chasse à l’homme.

    Pour tout dire, je n’ai fait qu’une bouchée de L’escalier du diable (dont le titre prend tout son sens à la fin - et l’horreur ne semble pas avoir de fin). Il est intense, oppressant, dérangeant et totalement addictif.

    Jane, dans son rôle de sur-femme, est toujours aussi bonne. Prête à tout pour éloigner la menace de son fils, elle en reste pourtant étrangement accessible et touchante, elle est amenée à commettre des actes répréhensibles, sans pour autant en perdre son humanité. En effet, elle garde toujours cette conscience que ce qu’elle fait est "mal", et elle en est fortement atteinte. Forcée de revoir ses plans à plusieurs reprises, elle se retrouve dans une situation délicate, l’espoir d’une fin heureuse semble s’amenuiser à mesure que l’iceberg se dévoile. C’est une guerre qu’elle mène, dans le but de sauver l’humanité, seule contre tous.

    Ce qu’il est amusant de constater, c’est que chaque homme ou femme appartenant à cette pseudo société secrète, visant à révolutionner le monde, tout important qu’il pense être, n’est finalement qu’un tout petit maillon de la chaîne, auquel tellement de choses ne sont pas révélées. Si Jane déroule la pelote, remontant de personne en personne, on se demande si elle arrivera à trouver la tête. Tête qu’elle pensait déjà avoir débusquée à deux reprises. Il est d’ailleurs effrayant de constater à quel point ce groupuscule est infiltré dans les plus hautes sphères et contrôle déjà un certains nombre d’individus, dépourvus de leur libre arbitre.

    L’homme influent dans le viseur de Jane saura lui donner du fil à retordre et Dean Koontz, sera nous surprendre par d’une fois dans ses révélations. Avec ces retournements de situation que nous n’avions pas vu venir et qui nous scandalisent toujours plus.

    Travis, le fils de Jane, apparaît comme la personnification de l’innocence. Un petit bonhomme, confronté à des choses qui ne sont pas de son âge, qui supporte tout avec vaillance, et le sourire, même si sa maman lui manque. Il fait figure de petit ange, traqué par les méchants, qui veulent faire pression sur maman. Le côté rêveur et obéissant que lui donne Dean Koontz, renforce encore l’injustice et l’absence de morale de leurs poursuivants.

    Les passages de traque, durant lesquels des individus ciblés par l’organisation se retrouvent confrontés à une situation dont ils n’ont même pas conscience, une situation dont ils tentent de s’échapper par tous les moyens à leur disposition, sont particulièrement forts. Il s’en dégage une impression mécanique, une suite d’exécution d’ordres, des actions déshumanisées, comme la marche implacable du destin ; une course à la survie que l’on sait perdue d’avance mais pour laquelle on ne peut s’empêcher d’espérer.

    Chez les méchants, le duo des hommes de mains fonctionne étonnamment bien. Ils sont sans pitié et sans morale aucune, même si l’un d’entre eux semble un peu plus distingué que l’autre. Plutôt mal assortis, ils se complètent pourtant et mènent de front les missions qui leur sont confiées. Ils ont conscience de la puissance de leurs soutiens et n’éprouvent que mépris pour les petits gens, frustrés de devoir respecter tout de même certaines règles. Comme ça, ils ressemblent à monsieur tout le monde (si ce n’est la carrure), ils ont été à l’université, ont une famille et une vie "normale", oui mais… ils tuent ou asservissent leurs semblables comme s’ils cueillaient des fleurs. Bref, ils sont plutôt effrayants dans leur manière de voir les choses, à la fois instruits mais dociles, exécutant les ordres sans les discuter, comme de bons petits soldats. Leur capacité de déduction est tout bonnement impressionnante, ne laissant que peu de chances à leur ennemi.

    Malgré des airs de "sauvetage du monde", l’auteur reste réaliste puisqu’il n’hésite pas à sacrifier certains de ses personnages (voire beaucoup). L’étau se resserre autour de Jane, et la conclusion de L’escalier du diable nous laisse dans une situation pour le moins explosive.

  • leslecturesdecaroline 5 mars 2021
    L’escalier du diable - Dean Koontz

    Suite des aventures de Jane Hawk (enfin je devrais plutôt écrire cauchemar , vu les événements), agent du FBI en cavale, qui continue à essayer de déjouer la machination terrifiante des Arcadiens, un réseau de personnes haut placées qui asservissent les gens en leur implantant des nanomachines dans leur cerveau.

    Ayant apprécié les deux premiers tomes de cette série, j’attendais beaucoup de ce nouvel opus et malheureusement, je suis un peu déçue. L’intrigue avance peu, on en apprend moins sur le complot que dans les précédents tomes et malgré quelques nouveaux éléments, Jane ne semble pas plus avancée dans ses découvertes pour faire éclater la vérité. L’ajout d’une intrigue secondaire avec deux nouveaux personnages est intéressante et donne un nouveau souffle au récit mais malheureusement elle se conclut abruptement sans que le lecteur en connaisse les conséquences (mais peut-être dans le tome 4 ?).

    Malgré tout, cela se lit facilement (l’écriture fluide et la méthode des chapitres courts fonctionnent bien) et le suspense de la fin me donne quand même envie de lire la suite pour savoir comment tout cela va finir.

  • LesRêveriesd’Isis 8 octobre 2020
    L’escalier du diable - Dean Koontz

    Il y a un an, je redécouvrais Dean Koontz avec La Chambre des Murmures, un roman glaçant et inquiétant (lien vers la chronique ici) et depuis, j’attendais la suite avec impatience. Autant dire que lorsque j’ai reçu L’Escalier du Diable, je n’ai pas mis longtemps à l’attaquer !

    Dans ce deuxième volet, nous reprenons la traque de Jane pour déjouer le complot d’une société encore secrète. Ces hommes et ces femmes qu’elle combat transforment certaines personnes avec des nanotechnologies et usent d’un pouvoir de vie et de mort démentiel, tout en s’assurant une place de choix dans le monde.

    Le roman s’ouvre sur Sarah Holdsteck, une jeune femme détruite et ruinée par son ex-mari. Autant dire que j’ai cherché le lien avec Jane Hawks pendant quelques instants, puis je me suis laissée porter. Très vite ce lien apparaît (Simon Yegg) et nous retrouvons notre héroïne plus décidée que jamais ! J’ai beaucoup aimé cette entrée en matière du roman parce que finalement, nous avons une coalition de femmes, que des hommes sans pitié, des bourreaux, pensaient avoir brisées et qui renaissent de leurs cendres pour mieux terrasser leurs ennemis. La complicité créée par des ennemis communs est très vite palpable et nous réjouit autant que le récit des atrocités subies par Sarah nous révulse.

    Le ton de ce 3e tome est plus sombre que dans le deuxième volet. Jane est enferrée dans une véritable croisade où les dés semblent pipés, et plus d’une fois, nous la croyons perdue. Elle lutte avec l’énergie du désespoir face à une structure qui déploie toujours plus avant ses ramifications. Les Modifiés par les Arcadiens sont partout, ils gangrènent toutes les strates de la société et la cruauté des gens hauts placés dans cette secte n’a pas d’égal : meurtres mis en scène et filmés, tortures, viols, vols, extorsions… rien ne les arrête, ni la famille ni les amis. La NSA et les deux hommes à la poursuite de notre héroïne en sont le parfait exemple. Cruels, ils se délectent de la souffrance de ceux qu’ils exécutent ou à qui ils injectent le sérum pour les contrôler. Dubose est particulièrement détestable. Son attitude face à Sanjay et Tanuja m’a profondément révoltée. Dean Koontz a un vrai talent pour mettre en scène des situations glaçantes mais qui ne semblent malheureusement pas impossibles dans un futur plus ou moins lointain. Quant à la bassesse et à la cruauté humaine, nul doute que ce qu’il évoque pourrait exister – et si des nanotechnologies permettaient d’assujettir et de balayer le libre arbitre, nul doute que les dérives des puissants du livre arriveraient. Cela rend le roman particulièrement inquiétant et lui confère une saveur très singulière. Nous ne sortons pas indemnes de la lecture.

    Dans un monde sans foi ni loi, notre pauvre Jane peut compter sur quelques amis, mais encore faut-il savoir si ces amis suffiront à sauver son fils Travis et à lui permettre de poursuivre son combat… d’autant qu’ils sont eux aussi plus rares que dans le tome 1. C’est ce qui rend le roman plus oppressant d’ailleurs. Jane est ici tout aussi attachante que dans La Chambre des Murmures, mais la traque qu’elle mène l’épuise et la transforme. Pour survivre, elle doit aussi s’endurcir, et parfois, jouer à armes égales avec ses adversaires. La proie devient le bourreau du méchant tombé entre ses griffes, mais à la différence de ses ennemis, ce qu’elle est réduite à faire la hante. Je ne peux qu’admirer cette femme et son courage. Elle s’est avancée trop avant pour renoncer, mais chaque pas risque de la mener au trépas et au carnage. Elle devient dans ce livre un véritable funambule effectuant une traversée sans fin au dessus de l’abîme.

    Son fils a un rôle un peu plus grand ici aussi et j’ai adoré le croiser et voir le garçon intelligent qu’il devient. Mais l’auteur ne lui épargne rien, et mon cœur s’est serré à la lecture de ses mésaventures. Je l’ai cru sauvé, puis perdu, et quand j’ai pensé qu’il était enfin sorti d’affaire, tout s’est joué à quelques instants… La tension est donc à son comble ici et l’auteur joue très clairement avec nos nerfs en ce qui concerne Travis, mais pas seulement : pour les Washington, pour Jane, pour Booth Hendrickson…

    Enfin, j’ai adoré le revirement de situation dans les dernières cent pages, je me suis trouvée estomaquée de ne pas avoir anticipé ce qui se passerait dans l’antre du Diable. Les choix de Dean Koontz permettent de relancer la dynamique du roman et cela éclaire beaucoup de choses sur les deux cent pages précédentes : autant de petits détails distillés, que nous n’avions pas su interpréter et qui prennent enfin tout leur sens. La construction du roman est réellement au service du sens et nous avons là un thriller sans temps mort, qui aiguise notre appétit page après page, qui nous emporte sur de fausses pistes afin de mieux nous laisser étourdis par le rythme et l’évolution des choses.

    Je terminerai sur le titre et sa symbolique. Tout au long du roman, je me suis demandé ce qu’était cet Escalier du Diable. Au début, on ne nous en parle pas, puis le nom apparaît, vient, revient, mais sans que l’on ait la moindre idée de ce dont il s’agit. La révélation n’en est que plus éclatante ! La description des lieux est terrifiante, elle fait froid dans le dos et illustre à la perfection la folie des Arcadiens et de leur projet sociétal. Une fois ce lieu énigmatique atteint, le roman atteint lui aussi son acmé et l’intensité ne baisse plus jusqu’aux dernières lignes.

    Au terme de ce troisième tome, Jane Hawks n’a pas fini son oeuvre. Le lecteur pourrait se lasser, trouver des redites dans ce jeu du chat et de la souris entre l’ex-enquêtrice et les acteurs de la conspirations… Mais non. Ce n’est pas le cas. L’intrigue est sans cesse relancée, l’histoire avance et, à chaque page, nous soulevons un peu plus le voile de l’horreur qui se trame en sous-marin.

    Ainsi, L’Escalier du Diable est un excellent thriller, saisissant et haletant totalement en lien avec la Modernité dans tout ce qu’elle a de terrifiant, et saupoudré d’un zeste de turpitudes humaines. Par son écriture et par la construction du livre, Dean Koontz attise notre curiosité et souffle sur les braises de nos peurs pour nous laisser essoufflés et étourdis à l’issue du livre.

  • LesRêveriesd’Isis 7 octobre 2020
    L’escalier du diable - Dean Koontz

    Le roman s’ouvre sur Sarah Holdsteck, une jeune femme détruite et ruinée par son ex-mari. Autant dire que j’ai cherché le lien avec Jane Hawks pendant quelques instants, puis je me suis laissée porter. Très vite ce lien apparaît (Simon Yegg) et nous retrouvons notre héroïne plus décidée que jamais ! J’ai beaucoup aimé cette entrée en matière du roman parce que finalement, nous avons une coalition de femmes, que des hommes sans pitié, des bourreaux, pensaient avoir brisées et qui renaissent de leurs cendres pour mieux terrasser leurs ennemis. La complicité créée par des ennemis communs est très vite palpable et nous réjouit autant que le récit des atrocités subies par Sarah nous révulse.

    Le ton de ce 3e tome est plus sombre que dans le deuxième volet. Jane est enferrée dans une véritable croisade où les dés semblent pipés, et plus d’une fois, nous la croyons perdue. Elle lutte avec l’énergie du désespoir face à une structure qui déploie toujours plus avant ses ramifications. Les Modifiés par les Arcadiens sont partout, ils gangrènent toutes les strates de la société et la cruauté des gens hauts placés dans cette secte n’a pas d’égal : meurtres mis en scène et filmés, tortures, viols, vols, extorsions… rien ne les arrête, ni la famille ni les amis. La NSA et les deux hommes à la poursuite de notre héroïne en sont le parfait exemple. Cruels, ils se délectent de la souffrance de ceux qu’ils exécutent ou à qui ils injectent le sérum pour les contrôler. Dubose est particulièrement détestable. Son attitude face à Sanjay et Tanuja m’a profondément révoltée. Dean Koontz a un vrai talent pour mettre en scène des situations glaçantes mais qui ne semblent malheureusement pas impossibles dans un futur plus ou moins lointain. Quant à la bassesse et à la cruauté humaine, nul doute que ce qu’il évoque pourrait exister – et si des nanotechnologies permettaient d’assujettir et de balayer le libre arbitre, nul doute que les dérives des puissants du livre arriveraient. Cela rend le roman particulièrement inquiétant et lui confère une saveur très singulière. Nous ne sortons pas indemnes de la lecture.

    Dans un monde sans foi ni loi, notre pauvre Jane peut compter sur quelques amis, mais encore faut-il savoir si ces amis suffiront à sauver son fils Travis et à lui permettre de poursuivre son combat… d’autant qu’ils sont eux aussi plus rares que dans le tome 1. C’est ce qui rend le roman plus oppressant d’ailleurs. Jane est ici tout aussi attachante que dans La Chambre des Murmures, mais la traque qu’elle mène l’épuise et la transforme. Pour survivre, elle doit aussi s’endurcir, et parfois, jouer à armes égales avec ses adversaires. La proie devient le bourreau du méchant tombé entre ses griffes, mais à la différence de ses ennemis, ce qu’elle est réduite à faire la hante. Je ne peux qu’admirer cette femme et son courage. Elle s’est avancée trop avant pour renoncer, mais chaque pas risque de la mener au trépas et au carnage. Elle devient dans ce livre un véritable funambule effectuant une traversée sans fin au dessus de l’abîme.

    Son fils a un rôle un peu plus grand ici aussi et j’ai adoré le croiser et voir le garçon intelligent qu’il devient. Mais l’auteur ne lui épargne rien, et mon cœur s’est serré à la lecture de ses mésaventures. Je l’ai cru sauvé, puis perdu, et quand j’ai pensé qu’il était enfin sorti d’affaire, tout s’est joué à quelques instants… La tension est donc à son comble ici et l’auteur joue très clairement avec nos nerfs en ce qui concerne Travis, mais pas seulement : pour les Washington, pour Jane, pour Booth Hendrickson…

    Enfin, j’ai adoré le revirement de situation dans les dernières cent pages, je me suis trouvée estomaquée de ne pas avoir anticipé ce qui se passerait dans l’antre du Diable. Les choix de Dean Koontz permettent de relancer la dynamique du roman et cela éclaire beaucoup de choses sur les deux cent pages précédentes : autant de petits détails distillés, que nous n’avions pas su interpréter et qui prennent enfin tout leur sens. La construction du roman est réellement au service du sens et nous avons là un thriller sans temps mort, qui aiguise notre appétit page après page, qui nous emporte sur de fausses pistes afin de mieux nous laisser étourdis par le rythme et l’évolution des choses.

    Je terminerai sur le titre et sa symbolique. Tout au long du roman, je me suis demandé ce qu’était cet Escalier du Diable. Au début, on ne nous en parle pas, puis le nom apparaît, vient, revient, mais sans que l’on ait la moindre idée de ce dont il s’agit. La révélation n’en est que plus éclatante ! La description des lieux est terrifiante, elle fait froid dans le dos et illustre à la perfection la folie des Arcadiens et de leur projet sociétal. Une fois ce lieu énigmatique atteint, le roman atteint lui aussi son acmé et l’intensité ne baisse plus jusqu’aux dernières lignes.

    Au terme de ce troisième tome, Jane Hawks n’a pas fini son oeuvre. Le lecteur pourrait se lasser, trouver des redites dans ce jeu du chat et de la souris entre l’ex-enquêtrice et les acteurs de la conspirations… Mais non. Ce n’est pas le cas. L’intrigue est sans cesse relancée, l’histoire avance et, à chaque page, nous soulevons un peu plus le voile de l’horreur qui se trame en sous-marin.

    Ainsi, L’Escalier du Diable est un excellent thriller, saisissant et haletant totalement en lien avec la Modernité dans tout ce qu’elle a de terrifiant, et saupoudré d’un zeste de turpitudes humaines. Par son écriture et par la construction du livre, Dean Koontz attise notre curiosité et souffle sur les braises de nos peurs pour nous laisser essoufflés et étourdis à l’issue du livre.

  • claire07 26 mai 2020
    L’escalier du diable - Dean Koontz

    Tout d’abord, merci aux éditions de l’Archipel pour ce service presse. C’est parti pour 432 pages !
    Je connaissais déjà l’auteure avec « La chambre des murmures » que j’avais beaucoup aimé.
    Il faut savoir que ce livre peut se lire indépendamment des autres.
    Nous retrouvons notre héroïne Jane Hawk toujours en fuite.
    Qui est en pleine discussion avec Sarah au sujet de son mari.
    On comprend très vite que Sarah a un lien avec le complot et l’injection d’une nanotechnologie dans le cerveau et d’une histoire d’algorithme.
    Ici, il est question d’une organisation secrète qui espère changer le monde en mode manipulation mentale (oui, oui, rien que ça !)
    Dans ce complot, vous trouverez également des meurtres déguisés et des actes terroristes. Comme toujours les grosses légumes veulent gouverner le monde.
    Des protagonistes ainsi que des jumeaux qui feront avancer toute cette affaire avec cette alternance de chapitres. Vous l’aurez compris,
    j’ai vraiment beaucoup aimé ce roman. On replongera avec elle pour un nouveau tome pour notre plus grand plaisir.
    Ce thriller est un vrai page-turner ! J’ai été littéralement happée par l’histoire et par son écriture fluide.
    Et quel plaisir pour moi de savoir que nous allons retrouver Jane.

  • bookliseuse 30 mars 2020
    L’escalier du diable - Dean Koontz

    Jane Hawk – 3

    On retrouve Jane Hawk, toujours à la recherche de vérités, se rapprochant chaque jour un peu plus de celle-ci. Pourquoi masquer le meurtre de son mari en suicide ? Pourquoi menacer son fils de mort dès le début de son enquête ? Qui est derrière tout ça ?

    Encore une fois Jane va nous montrer combien elle est tenace, courageuse, et prête à tout pour découvrir la vérité et par la même occasion mettre en sécurité ceux qu’elle aime notamment son fils.

    Dans cet opus, l’auteur développe un peu plus deux personnages que l’on a découvert dans les autres romans : Washigton et Jessie qui cachent Travis le fils de Jane. On ne peut qu’admirer ce couple si uni, qui est dévoué corps et âme à l’amitié qui les unie à Jane et l’amour profond qu’ils ressentent pour le petit Travis. Ils sont prêts à tous les sacrifices pour protéger celui-ci. Le petit Travis, si jeune mais tellement mature, ayant grandi d’un coup face à l’adversité.

    La nanotechnologie, omniprésente dans ce roman, mais froid dans le dos. Et si tout ce que décrit l’auteur était possible ? Cela signerait certainement la fin du monde et du libre-arbitre comme nous le connaissons actuellement. L’auteur décrit avec détail, les horreurs que sont prêt à commettre des êtres assoiffés de pouvoir et d’argent.

    Je n’ai pas trop saisi la présence des jumeaux, je pensais qu’il allait apporter quelque chose en plus, après toutes ces pages de courses-poursuites inimaginable, mais au final rien. Peut-être dans le prochain roman ?

    En fermant ce roman, je n’ai qu’une hâte, découvrir le prochain.

  • Des Livres Mon Univers 24 février 2020
    L’escalier du diable - Dean Koontz

    J’ai lu le troisième opus de la série Jane Hawk qui est un peu différent des deux précédents.

    Jane est toujours en cavale, elle essaie de trouver les dirigeants de la société secrète qui asservissent la population nommés Les Arcadiens tout en essayant de protéger son fils, ils veulent la voir morte coûte que coûte et sont infiltrés partout.

    J’ admire la force de caractère de Jane, je me suis même demandée si elle n’était pas faite en acier. Ça fait déjà un moment que Jane se cache et elle commence à montrer des craquelures que j’ai aimé voir, nous nous enfonçons avec elle dans les ténèbres, nous descendons l’escalier du diable qui nous emmène vers la folie. La poursuite est loin d’être terminée. À suivre dans un quatrième tome !

    Si vous voulez vous aussi descendre l’escalier du diable, je vous conseille de lire la série depuis le début car chaque roman se relaient, et ce serait vraiment dommage de ne pas le faire.

    NB : Petite réflexion très personnelle, je trouve que Dean Koontz répète souvent les mêmes détails dans ses romans qui pour moi n’est pas nécessaire, puisque les romans se suivent, du coup la lecture est moins fluide,
    c’est pourquoi je ne mets que quatre étoiles !

  • Le Monde de Marie 24 février 2020
    L’escalier du diable - Dean Koontz

    Dans ce 3e opus on va encore plus (et oui c’est possible) découvrir la folie du monde dans lequel vit Jane. Une sombre machination qui remonte toujours plus haut et un désir de vengeance qui la mène toujours plus loin.

    Une intrigue principale qui se poursuit, mais aussi des intrigues secondaires. Elles sont des démonstrations de toute l’horreur de la mise en place du mécanisme de contrôle. Un rythme toujours aussi prenant et un chouïa plus intense encore. Avec le sentiment constant que l’étau se resserre autour de Jane et ses proches. De lourdes pertes viendront tout bouleverser.

    On suit l’intrigue à différents niveaux avec toujours ses chapitres courts qui donnent un bon rythme. J’ai apprécié découvrir de manière plus approfondie la façon dont procédent « les méchants » par le biais de deux agents pas tout juste non plus.

    Une série à lire dans l’ordre. Une très belle épaisseur dans l’intrigue. Son côté anticipation fait froid dans le dos et nourrit la paranoïa. Une soif de vengeance, une quête dans laquelle Jane est à la fois proie et chasseuse. L’histoire, très fournie, est captivante et on ne peut que ressentir une profonde empathie pour Jane et ses proches. Malgré les conclusions qui sont bien là, il est difficile de ce dire que ce 3e opus marque la fin de la saga.

  • L’atelier de Litote 17 février 2020
    L’escalier du diable - Dean Koontz

    Après "Dark Web" et "La chambre des murmures", "L’escalier du diable" est la troisième apparition de Jane Hawk. Cela ne manque pas d’action, de violence ni de suspense, tout nous ramène à la peur de perdre le contrôle, de sa vie, des ses choix, de son esprit. Jane va devoir faire preuve de courage encore une fois pour trouver le tueur de son mari et pour sauver la vie de son fils. Le moins que l’on puisse dire c’est que c’est intense et sombre, peut-être trop. Jane a tout de l’héroïne, intelligente et allant jusqu’au bout de ce qui doit être fait dommage qu’elle doive pour cela se mettre au niveau des « méchants ». Elle est à la fois celle qui fuit et celle qui pourchasse. Cela en fait un personnage de superwoman qui arrive à se sortir de biens des situations périlleuses. Quand on sait qu’il y a peu elle était encore une épousé aimé, une mère et un agent reconnu du FBI mais depuis la perte de son mari, tout semble avoir volé en éclat.

    Le récit est écrit en alternant de courts chapitres et des points de vue différents. Pas évident d’apprécier ce style chargé et ces longueurs. Des intrigues en parallèles qui n’apportent rien de particulier (voir les jumeaux). Je n’oublie pas les dialogues entre Jergens et Dubose qui s’ils ne m’ont pas convaincu, on eu l’avantage de me faire prendre conscience de leur degré de folie. Un livre difficile à classer qui ne se cantonne pas au thriller dont Koontz est un maître du genre mais qui s’approche aussi de la science –fiction pour aller vers un thriller technologique. Avis aux amateurs, je voulais terminer par dire qu’il me semble important pour bien apprécier les nuances de cette série de lire les tomes précédents. Bonne lecture.

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