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Le calligraphe - Hisaki Matsuura

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Résumé :

Otsuki, ancien toxicomane ayant décroché de l’université pour se laisser entretenir par des maîtresses, vit une existence de parasite à Tokyo. Une retrouvaille avec un camarade suintant la folie le mène à accepter un emploi auprès d’un mystérieux maître calligraphe. Ce dernier lui montre un film pornographique inachevé mettant en scène sa petite-fille, Tomoé, entrecoupé d’images d’insectes. Alors que le maître lui demande de terminer cette œuvre pseudo-artistique, Otsuki plonge peu à peu dans un cauchemar éveillé hanté par des personnages troubles et criminels, des doubles lunes et des énigmes métaphysiques sur la nature du temps.

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Vos #AvisPolar

  • Emysbook 1er janvier 2021
    Le calligraphe - Hisaki Matsuura

    Un roman noir qui met en scène la culture japonaise avec beaucoup de passion et de maîtrise.

    C’EST UNE PÉPITE CULTURELLE !

    A travers cet opus on ressent tout l’engouement que l’auteur a voulu mettre pour offrir au lecteur un soupçon de voyage.

    L’ambiance de ce roman noir est poisseuse ; tout au long des chapitres. On se sent oppressé. L’étau se resserre sur les personnages et on comprends petit à petit que ce livre regorge de noirceur.
    On se sent parfois étrangement mal à l’aise. Comme si le roman enfermé un diable profond mais subtilement intelligent.

    La plume de l’auteur est très belle, mélodieuse, parfois informative et très détaillé. Il faut être concentré pour saisir chaque personnalité et chaque élément de l’histoire. Malgré tout j’ai eu parfois des difficultés à me repérer dans le temps !

    La mise en scène est originale et enrichissante.

    Pas d’enquête, pas de course poursuite, pas de thriller à 100 a l’heure mais un écrit cru qui met en scène une petite fille dans un film porno ; le jeu est lancé...

  • L’atelier de Litote 25 octobre 2020
    Le calligraphe - Hisaki Matsuura

    Au japon on peut mesurer les dimensions d’une pièce en fonction du nombre de tatamis qu’elle peut contenir. Pour Otsuki, jeune quarantenaire, il s’agit d’une pièce de six tatamis dans une masure délabré d’un quartier de Tokyo. Ancien toxicomane, il végète et ne survit uniquement grâce aux femmes comme Hiroko qui l’entretiennent. Au hasard de ses déambulations dans les quartiers interlopes de la ville, il va suivre Sugimoto chez son maître Kôyama. Il assiste à la projection d’un film étrange entre pornographie et entomologie. Otsuki est troublé par la jeune actrice, d’autant plus qu’il apprend qu’elle est la petite fille du vieillard. Celui-ci lui demande de poursuivre son œuvre. A partir de là, la vie d’Otsuki va être bouleversée et transformée comme dans un mauvais rêve. Peur, hallucination, obsession, délire, rien ne lui sera épargné. Nous entrons dans une autre dimension fantasmagorique, plutôt effrayante. L’histoire se fait de plus en plus noire, les rencontres avec d’autres personnages apportent leur lot de violence et l’écriture de l’auteur devient nébuleuse. Les questionnements ne trouvent pas de réponse, les événements s’enchainent irrémédiablement et on sombre avec Otsuki dans un récit particulièrement noir et dérangeant. Un style singulier tantôt poétique, tantôt métaphysique avec des visions tirées d’on ne sait où forment un récit surprenant qui ne laisse pas indifférent et vient se rappeler à nous longtemps après la lecture. Le thème de l’identité est fort mais aussi celui de l’art de la calligraphie avec son esthétique du graphe allié à l’esthétique du corps. Cet enseignement réservé aux initiés porte en lui tout le côté ésotérique du roman. Une expérimentation à vivre au travers des lignes traduites avec justesse d’un monde si éloigné de notre occident qu’il en devient attrayant. Juste un point pour souligner la merveilleuse couverture qui n’est pas sans faire penser à Tomoe. Bonne lecture.
    http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2020/10/25/38597801.html

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