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Le premier fils - Roy Braverman

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Résumé :

QUAND LA VENGEANCE EST PLUS FÉROCE QUE LE CRIME TREMBLEZ POUR VOS FILS... Gaza, 2001 Un enfant est abattu en direct, devant des caméras, lors d’un accrochage entre Palestiniens et soldats israéliens. Des deux cés, certains crient au complot. Beyrouth, 2002 Un chef de faction impliqué dans la mort du petit garçon de Gaza est assassiné. 2022 Trois meurtres de sniper. Le premier, dans le delta du Tigre, en Argentine. Le deuxième, à Saint-Pierre-et-Miquelon. Le troisième, dans les calanques, du cé de Marseille. Chaque fois, les victimes sont des enfants. Chaque fois, le tireur abandonne son arme. Avec trois munitions non tirées, marquées des lettres TFS. Très vite, il apparaît que les grand-pères des victimes ont en commun un passé militant agité. L’un dans les factions libanaises au Proche-Orient, l’autre comme armurier de l’ETA basque, le troisième au sein de la mouvance palestinienne. Chargé des deux premières enquêtes par le « Service », l’agent Karakozian, dit Kara, va devoir remonter le cours de l’histoire. Au risque de se retrouver lui aussi la cible d’une vengeance féroce, aveugle, impitoyable.

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Vos #AvisPolar

  • angelita 12 août 2023
    Le premier fils - Roy Braverman

    Le premier fils de Roy Braverman, présentation
    Tibre, Buenos Aires, Maria sort d’un long arrêt maladie après avoir reçu deux balles dans le dos. Elle a survécu mais est encore faible. Elle assiste au décès d’un jeune garçon pour lequel elle s’est prise d’affection.

    Christine est adjudante chef. Elle entretient une relation avec Giovanna. Trois morts à Guernesey dont un enfant, Patxi, 8 ans.

    Karakozian est en planque avec un collègue, pour surveiller une famille

    Avis Le premier fils de Roy Braverman
    Deux enfants, deux garçons, assassinés par une balle de sniper à deux endroits différents du monde. Kara est en planque, avec un de ses collègues. Ils assistent à l’assassinat d’un bébé et le suicide en suivant de sa mère. Les deux hommes sont poursuivis par la famille du bébé. L’un deux est tué.

    Karakozian menace le père de l’enfant et lui promet de le tuer lorsque l’enquête sera finie. Car Karakozian, agent secret, enquête sur les trafics d’armes de cette famille.

    Les meurtres de ces trois enfants vont être au coeur d’une enquête internationale. Kara va rencontrer les différents protagonistes, échanger avec ces deux femmes qui se sont occupées de ces enquêtes.

    Très vite, la personnalité de Maalouf, le chef de famille est au coeur de tout. Qui est cet homme ? Quel est son passé ? Pourquoi ne retrouve-t-on rien, à part les dernières années ? Son fils, avec l’aide de Kara, va aller de surprises en surprises. Il ne comprend rien car il est considéré comme adopté, mais Maalouf est bel et bien son père.

    Les morts jonchent ce roman. Des enfants sont encore tués. Le passé de chaque famille, notamment les grands-pères vont démontrer qu’ils ont été au coeur de violences, de meurtres. Kara et ses collègues sont suivis, poursuivis par différentes organisations, plusieurs services secrets.

    Roy Braverman nous offre un roman à la violence à l’état pur, brute, sans compromission. Ses personnages sont tous très attachants et au caractère bien trempé, comme Kara, son héros arménien. On comprend mieux les liens qu’il entretien avec Duvauchel, son chef. Le rythme est très enlevé. Les mots défilent, tout comme les situations. La France, les Etats-Unis, le Liban, Israël, un roman politique, des Etats voyous, des Etats qui font en sorte que la paix ne fonctionne pas. Les politiciens sont corrompus, les trafiquants d’armes en profitent. Et ce n’est pas grave qu’un enfant en meure. Mais la vengeance peut durer extrêmement longtemps. Même si c’est romancé, on peut se rendre compte que l’on ne sait pas grand chose sur tout ça.

    La fin est menée tambour battant, tout comme le roman dans son intégralité. Il faut arrêter ce tueur, avant qu’il ne s’en prenne à un autre enfant. J’ai tellement été transportée par Le premier fils qu’il m’est très difficile d’écrire une critique, sans trop en dévoiler. Mais je retrouve le style, comme toujours, de Roy Braverman, aka Ian Manook. Il a une telle facilité d’écriture, quel que soit le sujet abordé.

    Roy Braverman n’oublie pas sa pointe d’humour acérée, d’ironie, qui fait sourire son lecteur. Egalement une référence à son autre nom d’auteur et à Stephen King, j’ai adoré.

    Le premier fils est un coup de coeur. J’espère retrouver Kara, comme le fait très souvent l’auteur avec ses séries. Mais je pense que cela ne sera pas le cas.

  • L’atelier de Litote 26 juillet 2023
    Le premier fils - Roy Braverman

    Un superbe thriller qui nous fait voyager de l’Argentine à Saint Pierre et Miquelon, des calanques de Marseille à Beyrouth. Sans oublier la bande de Gaza où tout commence par la mort tragique d’un enfant. Les victimes à venir seront toutes des enfants, plus précisément des garçons, ce que l’on a de plus cher, la prunelle de nos yeux. Petit à petit une piste s’organise que l’agent Karakozian va s’appliquer à remonter en compagnie des différents intervenants menant leur propre enquête dans leur pays.
    Le thème de la vengeance est un choix captivant pour ce thriller puissant, car il évoque des émotions intenses et soulève des questions morales complexes. De nombreux éléments sont exploités, la recherche de la vérité face à la tragédie, la chasse à l’homme qui conduit à des scènes d’action et à des confrontations émotionnelles. On est face à un cycle de vengeance en spirale qui engloutira toutes les personnes impliquées et fera aussi des dégâts collatéraux. On devine derrière tous ces meurtres une personne ayant sans doute subi une tragédie personnelle dont la motivation ne faiblira jamais et qui prendra des mesures extrêmes pour assouvir son besoin de vengeance conduisant à une escalade dangereuse de l’intrigue. Certaines scènes sont tout juste supportables. Pour les initiés, on aura reconnu qui se cache sous le pseudonyme de Roy Braverman, Patrick Manoukian écrivain français d’origine arménienne qui ne se lasse pas de faire intervenir des personnages d’origine arménienne (ici l’agent Karakozian) dans toute leur splendeur. Dans un style incisif mais non dénué de touches d’humour ce qui vient un peu alléger le récit. Une galerie conséquente de personnages bien construits que l’on retrouve dans un épilogue qui vient donner une conclusion définitive à l’histoire et nous apporte un sentiment d’achèvement.
    L’auteur a su développer une histoire palpitante, remplie de tension, de suspense et de dilemmes moraux. Il nous offre une expérience émotionnelle intense et mémorable. Bonne lecture.

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