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Les Gentils - Michaël MENTION

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8 #AvisPolar
3 enquêteurs
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1 enquêteur
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Résumé :

Franck, disquaire à Pigalle, avait tout : une femme formidable, une petite fille espiègle.
Et puis un jour de juin 1977, tout s’effondre lorsqu’un type braque une boulangerie de Belleville, dévalise la caisse et blesse mortellement la gamine.
Six mois plus tard, Franck, devenu l’ombre de lui-même, attend toujours des flics cette réponse qui ne vient pas : l’identité du salaud qui a tué sa fille. Alors il se lance, se mue en enquêteur aux méthodes violentes, sadiques.
Une piste vers le Sud, à la recherche d’un toxicomane tatoué d’un symbole Anarchie sur l’épaule. Yannick. Pour le retrouver, Franck a chargé tout ce qui lui reste dans sa R5. Le fantôme de sa môme, à l’arrière, sur la banquette.
Mais sa course vengeresse ne va pas s’arrêter là. Les eaux bleues de la Méditerranée ne seront pas le théâtre de représailles salvatrices. Car Yannick est parti. Loin, en Guyane, là où vivent des hippies qui l’aideront à racheter sa conscience...
La voix la plus singulière du polar français fait son grand retour. Un roman noir ciselé, émouvant et terrible pour conter le plus odieux des deuils, la plus insatiable des vengeances et peindre le portrait d’un
homme et d’un monde qui vacillent.

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Vos #AvisPolar

  • Cindymartin.13 23 octobre 2023
    Les Gentils - Michaël MENTION

    Belleville, six mois déjà que la fille de Franck est morte dans un braquage, victime collatérale. Six mois que ça hurle dans sa tête. Six mois qu’aucun suspect n’est arrêté. Alors Franck ratisse tout Paris pour trouver des indices, il trouve et cherche un tox avec le tatouage "Anarchie". Tout plaquer, à bord de sa R5 Franck part jusqu’en Amazonie trouver le meurtrier de sa fille avec ses maigres indices.

    Un roman noir où la détresse de Franck est insurmontable, il lui faut à tout prix tuer l’homme qui a volé la vie de sa gamine.
    Dans ce récit, Franck se parle à lui-même, mais surtout à sa fille, ils font le voyage ensemble. Je n’ai ressenti aucune attache pour les protagonistes et cela m’a dérangé pour être honnête.
    Une histoire de vengeance sous un font de sujet géopolitique tout en rythme avec une playlist choisi par l’auteur amateur de rock très en raccord avec le personnage de Franck disquaire.
    Un road trip de Paris à Jonestown où là-bas jungle et violence est partout, Franck va se heurter à la folie humaine dans un camp de hippies où se trouve normalement le coupable.
    La plume de l’auteur est très ciselée avec un certain humour noir, très facile à lire avec des chapitres extrêmement courts.
    Malheureusement je n’ai absolument pas était convaincu tout au long de ma lecture par ce road trip complètement farfelu, beaucoup d’incrédibilités, ça part dans tous les sens pour presque en oublié le motif de cette vengeance prévu.
    Très déçu aussi par les événements qui se passent dans le camp où se trouve Franck à 8000 km de Paris pour un final hors contexte pour moi.
    Un total flop malgré la facilité de lecture.

  • jeanmid 4 octobre 2023
    Marathon du polar 2023, équipe JMD
    Les Gentils - Michaël MENTION

    Quelle claque ! Il y avait bien longtemps qu’un récit ne m’avait autant happé si intensément !
    Le fil conducteur de Franck Lombard c’est la vengeance. Cette énergie dévastatrice qui s’est emparée de son âme depuis la mort de sa fille dans un braquage de boulangerie le 28 juin dernier. Depuis cette date il ne vit que pour retrouver le responsable , lui cracher sa haine à la figure avant de le tuer. Son couple ayant explosé peu après, il ne survit que grâce à la musique, ce rock qui est devenu une passion, qu’il écoute à longueur de journée et dont il vend les disques dans sa boutique spécialisée parisienne . Alors, quand les flics lui avouent que l’enquête fait du sur place , il décide de la reprendre à sa manière , fouillant les bas-fonds de la capitale, suivant les maigres pistes qu’il a pu déterrer : un tatouage et un prénom. Quitte à traverser la France , du Nord au Sud .,,,jusqu’en Guyane pour débusquer l’assassin de sa fille. Quitte à prendre tous les risques, frôler la mort à de multiples reprises pour atterrir au Temple du Peuple fondé par un certain Jim Jones qui fera couler beaucoup d’encre dans les journaux en ce mois de novembre 1978.
    Quel roman ! Quel scénario où l’aventure vengeresse et rocambolesque d’un homme rencontre la dangereuse folie d’un autre. Quand la fiction et l’Histoire se percutent. Que dire de l’écriture frénétique qui donne le tempo à ce road trip sous adrénaline ? Des phrases courtes, des mots qui frappent et marquent le chemin chaotique suivi par cet anti-héros magnifique. Difficile de suivre le rythme implacable imposé par Franck dans sa quête punitive. Ceux qui croiseront sa route s’en rendront vite compte , certains à leur dépend. Franck, lui , est en mission , sa fille l’accompagnant partout il va - les dialogues incessants qu’il a avec elle le rassure et le pousse dans ses derniers retranchements. La beauté du roman vaut aussi pour la galerie de personnages croisés le temps d’un instant sans parler de quelques représentants du règne animal qui peuplent le récit comme cette forêt amazonienne dont on ne voit jamais le bout. Un roman qui sort lui du bois avec cette intensité et cette force narrative rare et qui, malgré toute cette atmosphère poisseuse et parfois étouffante , vous donnera peut-être envie de remettre une bonne vieille cassette de rock seventies dans le lecteur .

  • GentlemanFarmer 15 avril 2023
    Les Gentils - Michaël MENTION

    Un petit livre NOIR sans pretention qui se lit aisement.
    Le seul moment interressant est la plongee dans la secte de Jim Jones .

  • GentlemanFarmer 15 avril 2023
    Les Gentils - Michaël MENTION

    Un petit livre NOIR sans pretention qui se lis aisement.
    Le seul moment interressant est la plongee dans la secte de Jim Jones .

  • lecturesdudimanche 13 avril 2023
    Les Gentils - Michaël MENTION

    Juin 1977. Au son si particulier de « Death Walks Behind You », la vie de Franck vole en éclat. Sa petite fille est morte. Bêtement. Bousculée par un voyou quittant la boulangerie qu’il vient de braquer. Pour Frank, la perte de son enfant est le début d’un engrenage impossible à arrêter. Il perd sa femme, il perd pied. Harcèle la police pour espérer pouvoir un jour apposer le mot « vengeance » sur cette colère qui le ronge. Sauf que la police n’a pas l’ombre d’une piste. Six mois ont passé, et finalement, c’est Franck qui sacrifie tout pour reprendre le fil de l’enquête lorsque le hasard place un indice sur sa route. Il a appris deux choses : l’individu s’appelle Yannick et il porte le symbole d’anarchie tatoué sur l’épaule. Il n’en faudra pas plus pour que Franck décide de tout abandonner pour entamer sa traque. Son repos dépend de la découverte du coupable. Il entame alors, seul, son voyage vers la vengeance. Enfin, pas tout à fait seul… Car il est accompagné du fantôme de sa fille, avec lequel il dialogue sans cesse, rendant son absence insupportable totalement omniprésente.

    Cette quête pourrait n’être qu’une banale histoire de vengeance. Mais elle devient rapidement bien plus que ça. C’est l’histoire du cri de rage et de douleur d’un père qui va l’emmener loin, aux confins du monde et au plus profond de lui-même. Un voyage introspectif et historique, dans lequel l’auteur nous emmène dans des contrées exotiques dans lesquelles sa plume nous immerge totalement ! Et le voyage de Franck tout autant que celui du lecteur prend des tournures totalement inattendues, sur fond de climat socio-économique, géopolitique mais, surtout, sur un fond musical qui apporte une profondeur au récit déjà très immersif que nous propose Michaël Mention.

    Une expérience de lecture totalement inédite pour moi, aux premières loges de la douleur de Franck, incapable de l’apaiser, de l’aider.

    Tout, dans sa vie, lui a été volé, alors peut-on lui en vouloir d’aller jusqu’à se perdre lui-même pour panser ses plaies ? Cette vengeance à laquelle il croit tant en sera-t-elle d’ailleurs capable ?

    C’est totalement en apnée que j’ai suivi ce récit, ne reprenant mon souffle qu’au terme d’un final qui porte un coup fatal à notre cœur de lecteur. Une lecture coup de cœur pour laquelle je remercie les éditions Belfond et NetGalley, et de laquelle je vous parle dans le podcast « Un certain goût pour le noir #126″ de BePolar.

  • kris_k 22 mars 2023
    Les Gentils - Michaël MENTION

    Les gentils, ou quand Franck perd complètement les pédales après la mort de sa fille dans un braquage. Il aimerait bien voir l’assassin derrière les barreaux, mais voilà que 6 mois après toujours rien, alors Franck désespère et part lui-même à la recherche du braqueur.

    Un roman noir, ou devrais-je plutôt dire un road trip sur fond noir avec un air de rock & roll en fond sonore et une jolie descente aux enfers pour le personnage principal.
    J’ai juste trouvé dommage qu’en milieu de livre tout n’était pas très crédible à mes yeux, et c’est donc la raison pour laquelle je n’ai pas complètement été emporté par cette histoire.
    Mais soit, avec ces chapitres courts et son écriture agréable, ce livre se lit assez vite.
    Et puis la fin du livre qui m’a semblé farfelu, s’avère être une histoire véridique… mais je n’en dirai pas plus.

    En conclusion, un livre que j’ai assez bien aimé lire mais qui ne m’aura pas complètement emporté, dommage.

  • Killing79 13 mars 2023
    Les Gentils - Michaël MENTION

    J’avais découvert Michael Mention grâce à un recueil de nouvelles. Ce premier contact m’avait plu et je me faisais une joie d’approfondir notre relation avec son dernier livre.

    « Les gentils » raconte l’histoire d’un homme, abattu de tristesse, qui n’a plus qu’une seule idée en tête, se venger. Afin d’éponger sa soif de justice, il se lance à la poursuite du suspect. Le voilà entraîné dans un voyage chaotique qui le conduit aux quatre coins de la France puis à l’autre bout du monde. Il rencontre dans son périple des personnages hauts en couleurs et vit des situations pour le moins extraordinaires. L’auteur nous fait vivre un ensemble de scènes dignes d’un roman d’aventure.

    Cette histoire de vengeance ne connaît aucun temps mort. Dès les premières pages, on est happé par le délire obsessionnel. Grâce à de courts chapitres dans lequel il s’adresse à sa défunte fille, on le suit à un rythme effréné dans sa quête personnelle. L’écriture est originale et agréable. Les péripéties ne manquent pas d’originalité et c’est assez dépaysant.

    Le seul reproche que je pourrais lui faire concerne son manque d’humour. En effet, comme le destin s’acharne sur le narrateur et qui lui arrive des péripéties improbables, une certaine légèreté aurait rendu les énormités du scénario moins gênantes à la lecture. Des écrivains comme Benoit Philippon, Fabcaro ou Jacky Schwartzmann le font très bien. Ici, les scènes sont rocambolesques, impossibles, mais présentées comme sérieuses. Résultat, on n’y croit pas et l’intrigue en devient tirée par les cheveux !

    Heureusement, le dernier quart du livre, basé sur une histoire vraie, redonne une légitimité au propos. Malgré mon petit bémol, j’ai passé un bon moment de détente aux cotés de ce père en colère, qui m’a fait voyager et m’a sorti de mon quotidien plan-plan ! Divertissant !

    https://leslivresdek79.wordpress.com/2023/03/13/832-michael-mention-les-gentils/

  • Aude Lagandré 2 février 2023
    Les Gentils - Michaël MENTION

    Pour décrire « Les gentils », le nouveau roman de Michael Mention, j’ai envie d’utiliser cette citation de Charles Baudelaire. « Sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille. » En effet, dans les 50 premières pages, je n’ai ressenti que de la douleur, une douleur si forte qu’elle m’a broyé les tripes. Il y a l’histoire que l’auteur présente ici, écrite avec des mots très précis, une rythmique singulière présente dans tous ses romans, et il y a les mots invisibles. Ceux qu’on devine, entre les lignes, ceux qui n’existent pas vraiment, mais qui jaillissent entre chaque ligne. La souffrance comme compagne ordinaire, comme moteur de chaque lever, comme somnifère de chaque coucher. J’ai toujours pensé qu’il y avait chez Mention une vraie dextérité, un art de dire les choses. Mais il possède également ce don de faire sentir à ses lecteurs ce qui n’est pas écrit, à lui faire ressentir l’acmé de ses émotions. Au commencement de « Les gentils », il y a tout ça. Le dit et le non-dit.

    Le père de ce roman se prénomme Franck. Et Franck vit un drame. Il perd sa fille dans un banal casse de boulangerie. Le truc improbable. La faute à pas de chance. Au mauvais endroit, au mauvais moment. Sa gamine prend un mauvais coup sur la tête, un très mauvais coup, un coup fatal. Fracture, hémorragie cérébrale. Décès. Au moment où Franck apprend le drame, il écoute « Death walks behind you ». Karma is a bitch. Il se demandera souvent quelle aurait été l’issue de ces cinq minutes passées dans la boulangerie pour acheter une sucette Pierrot Gourmand s’il avait écouté autre chose. À partir du moment où Franck invoque le « Et si », il ne peut plus vivre ni respirer. Le braqueur s’est enfui et n’a jamais été retrouvé. Franck ne peut penser qu’à ça. Il veut la justice, mais plus encore il appelle la vengeance. La mort de sa fille lui coûte son couple, les rêves à deux et à trois, sa raison d’exister. Le retrouver. Retrouver Yannick. Yannick. Yannick. Yannick.

    « – Et t’as pas peur qu’il te tue, toi aussi ?

     Non.

     Pourquoi ?

     Parce que je suis déjà mort. Allez, dors, on a encore beaucoup de route. »

    « Le temps est assassin et emporte avec lui le rire des enfants. » Le rire des enfants s’est enfui. Le rire de sa fille s’est envolé, mais pas ses conversations avec elle. C’est ce qui engendre tant d’émotions. Fracassé par le deuil, Franck continue à converser avec elle. Il lui parle, elle lui répond. Stayin’ Alive. Chacun trouve sa manière de rester en vie, même si sa vie à lui ressemble à une existence de zombie. Nous sommes en 1978, Franck est disquaire. Il vend des vinyles à des clients en recherche de produits rares. « Mon job, passion, devenue refuge. La boutique, c’est tout ce qu’il me reste. (…) Face au pire, chacun sa réaction. D’autres auraient sombré dans l’alcool ou se seraient foutus en l’air, mais moi, j’ai choisi de me suicider à la vie. »

    Que Franck exerce cette profession n’est pas un hasard. Ça correspond bien à la « marque de fabrique Mention ». Boom boom tchak, Boom boom tchak, Boom boom tchak. Son écriture est rythmique. La musique s’adapte à son texte, aux actions, aux émotions de son personnage principal. Le désir de vengeance, omniprésent, va emporter Franck au-delà de ce qu’il imaginait au début de sa quête. Il va expérimenter les conséquences de sa vendetta. Pour exprimer cela, le roman a une rythmique différente, selon que Franck soit à Paris ou en Amazonie. À Paris, les phrases sont courtes, parfois un seul mot. Tout va à 100 à l’heure, le lecteur est emporté dans ce tourbillon avec Franck. En Amazonie, c’est la perte des repères. Franck découvre un nouvel environnement. « Ivresse de couleurs, de senteurs mêlées de sève et d’humus. Cette nature, si hostile auparavant, se révèle incroyablement généreuse et m’accueille en son sein. Plus je l’admire, et plus elle gagne en splendeur, comme si ce paradis se créait en direct sous mes yeux émerveillés. Si on m’avait dit qu’un jour, on vivrait ça, ensemble. » Sa fille est toujours là.

    Dans « Les gentils », il y a l’histoire bien sûr de ce père qui doit trouver l’assassin de sa fille. C’est la trame de fond. Ce que j’ai beaucoup aimé, c’est le personnage de Franck. D’abord, le dialogue intérieur avec sa fille décédée qui apporte un vrai supplément d’âme à cet homme. Ensuite, ses faiblesses. Il se noie littéralement dans son désir de vengeance. Sa quête l’emporte au bout de lui-même, au fond du gouffre dans la sueur et dans le sang. Paradoxalement, plus il approche du but, moins il va bien. Durant tout le roman, il est sans arrêt en mouvement, lancé dans une course poursuite pour retrouver Yannick. Mais psychologiquement, il est totalement figé. Le monde autour de lui continue de tourner, et c’est sans doute là ce que tout homme dans sa situation doit trouver le plus injuste. « La touche Mention », c’est cette écriture calquée sur un rythme musical. Même s’il m’a manqué des références, j’ai pris la peine d’aller écouter quelques titres, comme je l’avais fait en lisant son roman « Manhattan Chaos ». À chaque roman, c’est une véritable expérience sensorielle que l’auteur propose à son lecteur. « Les gentils » possède quelque chose de plus, la douleur, l’expression d’une souffrance intense, qui va bien au-delà du roman, bien au-delà de l’intrigue, une douleur intrinsèque, une douleur qui fait partie de lui, une douleur qu’il faut dégager sous peine d’en crever.

    « Life goin’ nowhere, somebody help me

    Somebody help me, yeah

    Life goin’ nowhere, somebody help me, yeah

    I’m stayin’ alive »

    Dans la catégorie, écrire comme un exutoire, écrire pour faire passer des émotions, Michael Mention est certainement l’un des auteurs les plus doués de sa génération.

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