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Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

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Résumé :

Les ultrareligieux ont pris le pouvoir à Jérusalem pour former le Grand Israël. Les Résistants, composés de laïcs juifs et arabes, se sont regroupés à Tel-Aviv pour vivre selon les préceptes des premiers kibboutzim. Signe de la division, un nouveau mur a fait son apparition, entre Jérusalem et Tel-Aviv cette fois. Un mur surveillé par des robots tueurs fournis par la Russie, le parrain du Grand Israël. Ils sont six à devoir franchir cette frontière au péril de leur vie : Haïm, un ultra-orthodoxe en cavale ; Moussa et Malika, deux jeunes Palestiniens en exil ; Ana, la femme d’un religieux éprise de liberté ; Isaac, un conseiller du Premier ministre en proie au doute ; et Eli Bishara, un ex-commissaire de police à la recherche de son amour perdu. Tous n’y parviendront pas

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Vos #AvisPolar

  • Serial Lecteur Nyctalope 7 septembre 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Le pouvoir de la religion sur un pays, ici les ultras sont à la tête du Grand Israel. Les barrières se forment, les murs se créent dans ce roman d’anticipation. Un Israel à feu et à sang, où l’on pensait la situation actuelle catastrophique, il n’en est rien tout peut encore être pire. Alexandra Schwartzbrod avec ce scénario totalement fou, où les activistes russes au cœur d’une guerre d’armement, sont au front. Un permis de tuer, un mur de six mètres qui protège et exclue, l’urgence d’une situation établie est bien présente. C’est plausible et plutôt bien ficelé. Évidemment sa connaissance de ce pays est une évidence, les détails ne trompent pas Alexandra Schwartzbrod saisit chaque subtilité pour en faire un roman futur crédible.
    Les personnages tous aussi différents les uns que les autres sont attachants malgré tout. C’est plutôt extrêmement dense et fourni, peut-être trop parfois mais cela dénote la complexité de cette partie du monde.
    On ne peut s’arrêter de tourner les pages, on est addict et cela fait un bien fou !

  • Isa Naturaltales 5 septembre 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Voici un roman dont la lecture aura été assez longue. En effet, j’ai mis beaucoup de temps avant de véritablement rentrer dans l’histoire : beaucoup de personnages, de lieux, d’histoires différentes, je me perdais par moments pour accrocher seulement au tiers du roman.
    Le livre a pourtant une écriture très fluide et agréable, le rythme est dynamique et certains personnages m’ont touchée, notamment Eli.
    J’ai également voyagé, peu habituée à me retrouver à Jérusalem ou Tel-Aviv, j’ai apprécié ce dépaysement même si ma méconnaissance m’a fait relire quelques passages pour être sûre de bien comprendre. Le côté anticipation est d’ailleurs fait avec beaucoup de réalisme.

    Ce qui est paradoxal, c’est que même si j’ai mis énormément de temps à lire ce roman,j’ai trouvé la fin un eu rapide, tout se conclut très vite pour certains protagonistes, j’aurais voulu en savoir plus et prendre le temps de leur dire aurevoir.

    Je pense que j’aurais peut-être plus apprécié si il y avait eu un ou deux personnages en moins, et passer plus de temps à développer certaines situations pour mieux les comprendre - il est vrai que je me suis sentie très bête à ne pas tout saisir.

  • manonlit_et_vadrouilleaussi 17 août 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    [ DYSTOPIE ]

    Futur. Nous sommes en Israël devenu le Grand Israël. Les ultraorthodoxes ont pris le pouvoir à Jérusalem. Aidé des nationalistes russes, le premier ministre Arie Golan chasse Palestiniens et musulmans du territoire, interdit aux femmes de sortir bras et jambes nus et impose quatre heures d’études quotidiennes de la Torah. L’électricité, les médias, le réseau et la circulation sont contrôlés. Le yiddish refait sont apparition, l’hébreu n’étant plus là langue unificatrice. Dans cette nouvelle dictature, il existe un groupe de Résistants. Ils sont de l’autre coté du mur, à Tel-Aviv. Cette communauté d’Israéliens de gauche veut retrouver l’utopie des pionniers de 1948 en réinventant le mode de vie des Kibboutzim, ces villages collectivistes sionistes. Peu importe l’origine ou la religion, leur but étant de vivre en paix et de s’unir contre le Grand Israël. Mais une nouvelle menace rôde aux frontières du Mur. Une technologie russe très dissuasive pour quiconque veut le franchir. Nous ferons ainsi la connaissance de six personnages déterminés à passer de l’autre côté, au péril de leur vie ...
    .
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    Sans l’opération bepolar je pense que je ne me serai pas arrêtée sur ce titre. Un roman noir/polar sur les thèmes abordés il fallait oser et pourtant même si j’ai mis du temps à y rentrer je me suis finalement laissée emporter par l’histoire. Je n’ai pu m’empêcher de faire le parallèle avec la série Unorthodox, que j’avais beaucoup apprécié et qui m’avait familiarisée avec les pratiques de la communauté juive orthodoxe.
    .
    .
    Cependant je lui ai trouvé tout de même quelques bémols. J’ai eu l’impression d’effleurer les personnages et les situations. Si on ressent par moment l’oppression de cet état totalitaire et l’urgence pour atteindre le mur, il m’a manqué un petit quelque chose pour pleinement appréciée l’histoire. Ce que je retiendrai par contre, ce sont les nombreuses réflexions sur ce communautarisme et les préjugés véhiculés depuis des années entres les peuples. Les réflexions du jeune Moussa sont d’ailleurs assez révélatrices d’un certain conditionnement.
    .
    Un roman d’anticipation sur fond géopolitique, identitaire, communautaire et religieux. De l’imaginaire certes mais possiblement réaliste et transposable malheureusement à n’importe quel pays ...

  • Flo Poulpe 16 août 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Polar ou roman d’anticipation, je pencherai pour la seconde proposition.
    Alexandra Schwartzbrod nous présente la vie de Palestiniens reclus dans des grottes cherchant à fuir la persécution d’ultra-orthodoxes, mais également de Russes manipulateurs, tous cherchant "l’Eden" qui se trouverait à Tel-Aviv.
    Le roman est assez rapide a lire mais également un peu trop prévisible. Les personnages ne sont présentés que superficiellement.
    Cela semblait prometteur mais pas assez aboutit a mon goût
    Dommage

  • Mes petits plaisirs à moi 15 août 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Des quêtes multiples de liberté

    Le profil de l’auteur (directrice adjointe de la rédaction de Libération) laissait imaginer un roman de politique fiction. Alors, oui, on peut considérer que l’univers du roman relève d’une certaine anticipation : la séparation entre Jérusalem dominée par les ultra-orthodoxes et Tel-Aviv, refuge des résistants ou indésirables, symbolisée par un mur digne de celui de Berlin. Cependant, à la place des miradors et des tireurs d’élite, il est question de robots tueurs financés grâce à l’aide bienveillante de l’empire russe. Je vous rassure, cependant, tout de suite : malgré cette thématique, on est très très loin d’un roman de science-fiction puisque cet aspect de l’histoire est vraiment plus que minoritaire dans le roman. En effet, ce contexte géopolitique n’est qu’un prétexte pour mettre en avant des personnages particulièrement charismatiques en rébellion contre une certaine vision du monde. Et en cela, Alexandra Schwartzbrod s’en sort plutôt bien.

    L’intégrisme religieux, voilà ce qui constitue le point de départ du roman. Si vous n’en êtes pas encore convaincu, l’auteur vous prouve ici combien la folie religieuse est à la fois terrifiante mais également d’une hypocrisie sans nom. En effet, outre l’édification de ce mur de la honte (eh oui ! encore un), on comprend rapidement que, derrière tout cela, se cache surtout l’ambition d’oligarques accros au pouvoir et aux pratiques morales très éloignées des textes sacrés. Cette suprématie d’un petit groupe montre d’ailleurs ses limites dans la mesure où même quelques alliés russes émettent des réserves quand il s’agit de mettre à exécution le plan de ces « fous de Dieu ». Le mur n’apparaît plus alors que comme un moyen de garder prisonnier plus que de protéger des « impies ». Une chose est certaine : l’auteur ne fait pas de cadeau à ces traditionalistes aveuglés par leur propre intérêt.

    Mais c’est surtout le destin des personnages qui nous intéresse ici. En effet, qu’ils soient d’un côté ou de l’autre du mur, ils ont tous un point commun : le désir de retrouver une certaine liberté ou de la préserver. Cependant, on constate que leurs actions sont avant tout guidées par un altruisme admirable. Ainsi, Eli risquera sa propre liberté pour retrouver la seule femme qui ait jamais compté pour lui, Haïm se découvrira une âme de résistant malgré sa fidélité sans faille à ses croyances. Quant à Isaac, il devra faire un choix qui décidera du reste de son existence. Enfin, Ana, Moussa et Malika tenteront une alliance, malgré leurs origines différentes, pour une vie meilleure. Mais les obstacles seront nombreux sur leur chemin. A travers ses différents héros et héroïnes, Alexandra Schwartzbrod parvient ainsi à insuffler un peu d’espoir dans un monde où l’humanité se trouve, de plus en plus, malmenée et où la folie de certains décideurs internationaux nous laisserait penser qu’un tel scénario n’est finalement pas si inenvisageable que cela. Aussi, croisons les doigts, faute de mieux !

    Mes chouchous à moi

    Ils sont deux pour une fois : Moussa et Malika, les deux ados palestiniens. Ayant échappé de peu à une véritable rafle, ils tentent de faire leur apprentissage dans un monde qui ne veut pas d’eux. Et ce qu’ils vont devoir affronter n’est vraiment pas de leur âge. Leur destin bouleversant ne laissera en tout cas personne indifférent.

    Un roman noir que je recommande, tant il nous dépeint un monde si proche de nous et, pourtant, terrifiant si les limites venaient à être franchies.

  • Lectures noires pour nuits blanches 15 août 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Ce fut une lecture laborieuse. Je vais la faire courte, je n’ai pas aimé ce livre. Je suis totalement passée à côté car rien ne m’a captivé. Un livre certainement engagé, un message d’espoir peut-être, à mon plus grand regret, pour moi rien de tout cela. Passé les premiers chapitres mon intérêt s’est très vite émoussé pour faire place à l’ennui.
    Le résumé m’avait pourtant interpellé. Je m’attendais à une dystopie beaucoup plus éloignée de la réalité. J’espérais en apprendre plus sur la culture de ses deux peuples. Le glossaire de deux pages en fin de livre aurait suffit.
    J’ai trouvée l’écriture peu fluide et les nombreux termes hébreu ou arabes alourdissent encore le récit.

    Le seul suspense dans ce livre, pour moi, repose sur la dernière phrase de la quatrième de couverture. Quels personnages parviendront à leur fin et quels autres pas.
    À peine développés, je ne me suis attachée à aucun d’entre eux. On les suit pendant des pages et des pages et on en apprend finalement très peu.

    Passé les bons trois quarts du livre où il ne se passe pas grand chose, j’ai vu se profiler la fin gros comme une maison. Et ça n’a pas loupé ! Mais oui bien sûr, c’est tellement prévisible !

    Ce livre m’aura servi à deux choses : la première, les thématiques où il est fortement question de politque ou de religion ce n’est définitivement pas fait pour moi. Et la seconde, il faut absolument que j’apprenne à abandonner une lecture qui ne me plait pas. Un travail à faire sur moi, pour dépasser ce blocage, toc ou je ne sais comment l’appeler.

    Comme toujours ceci n’est que mon avis et il ne doit pas vous empêcher de vous faire le vôtre si le coeur vous en dit.

    Je remercie bepolar et Rivages Noirs pour cette lecture.

  • BulleDeLecture 14 août 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Quelle déception. J’ai trouvé l’histoire sans intérêt et surtout je n’ai pas compris l’intérêt de celle ci. Jusqu’à la fin j’ai espéré un rebondissement qui aurait été le bienvenu, mais je suis restée sur ma faim. Dommage !

  • caro.l.i.t.ne 14 août 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Des collines de cailloux. Des bruits de pierre. Un désert minéral.
    Des roches éternelles, gardiennes d’une histoire millénaire, mémoire de coutumes, empreintes de règles immuables.
    La pierre c’est la rugosité ; la dureté des codes à respecter, où les émotions n’ont place. Des rites et des prières régulières pour « empêcher de réfléchir par soi-même. »
    La pierre, c’est l’antan pour un roman d’anticipation. Celle du Grand Israël, dirigé par des ultrareligieux parrainés par la Russie.
    La pierre, c’est le passé protecteur dans un avenir incertain.
    Un passé qui enterre le futur.
    La pierre, c’est la dalle du tombeau de la coexistence, des rêves, de la raison, de la paix.

    La pierre, c’est le mur.
    Un tas de cailloux, séparation infranchissable d’avec Tel-Aviv où sont regroupés les Résistants autour d’un idéal d’égalité, de respect, de multiculturalisme et de liberté.
    Une ville lumière dans la noirceur du monde que six personnages vont tenter de rejoindre pour oublier le passé et se créer un avenir.
    Des personnages dont le destin personnel se confond avec le destin d’une région, tant ils sont l’incarnation de la relation conflictuelle entre ses peuples et de ses espoirs ; en quête d’ « un pays qu’ils méritent » pour ne plus se contenter d’ « un pays qu’ils peuvent. »
    Des héros seuls avec leur histoire, leur vécu et leur combat.
    Des personnages isolés les uns des autres par un mur fictionnel, construction littéraire de narrations compartimentées.
    Des parcours personnels pour un objectif commun ; des intrigues cloisonnées pour un épilogue fédérateur auquel chacun apportera sa pierre. Pour construire une autre réalité, d’où les séparations seront gommées, les murs effacés et les différences dissipées par le sable du désert.
    Le lecteur, lui, avancera seul également, passant d’un personnage à l’autre, d’une intrigue à l’autre, d’un chapitre à l’autre. Une alternance de trames narratives et une succession de chapitres très courts qui hachent le récit et interrompent l’intrigue, malgré une maîtrise du contexte géopolitique par l’autrice. La dynamique des personnages peine à se mettre en place et laisse le lecteur de l’autre côté du mur.

  • Maks 14 août 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Je vous le dis franchement, je n’ai pas aimé. Dès le début je me suis enlisé dans les pages et ce de plus en plus, trois pages lues, un retour de deux pages en arrière pour essayer de me replonger dedans, deux pages lues et un retour à la page d’avant, pareil pour les paragraphes et les phrases, et ce jusqu’au tiers du récit, puis j’ai baissé un peu les bras je l’avoue, j’ai lu en diagonale ensuite jusqu’à la moitié du livre pour au final abandonner ma lecture.

    J’ai trouvé le style d’écriture bien trop lourd, ce qui m’a empêché de comprendre véritablement ce que je lisais même si le quatrième de couverture était clair et me faisait envie. Je sentais pourtant que c’était écrit avec du cœur, que les personnages avaient de la consistance mais je n’ai pas su aborder cette lecture et j’en suis d’autant plus désolé pour le travail de l’auteure.

    C’est un coup dans le vide pour moi, j’espère que vous autres lecteurs et lectrices qui vous pencherez sur ce roman, que vous y trouverez votre bonheur.

    https://unbouquinsinonrien.blogspot.com/2020/08/les-lumieres-de-tel-aviv-alexandra.html

  • cathy_lit 14 août 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Bonjour, aujourd’hui je vous parle de "les lumières de Tel-Aviv" d’ Alexandra Schwartzbrod. J’ai reçu ce livre dans le cadre d’un "partenariat" avec BePolar. Je pensais donc lire un policier. Et bien pas du tout s’il y a bien une intrigue, ce n’est en rien un policier. J’ai eu du mal à entrer dans le livre mais passés quelques chapitres (très courts) je me suis attachée aux personnages Haïm, Ana, Eli, et les autres. J’ai adoré les suivre dans leurs aventures dans ce Jérusalem d’ultra orthodoxes. J’ai aimé la dimension politique que l’on peut avoir. Un livre qui m’a fait penser à la série "Unorthodox" que j’ai adorée. Même si nous sommes dans l’anticipation, c’est une anticipation tout à fait plausible et on entre dans cet univers sans se poser la question de la réalité puisque nous y sommes.Une quête de la liberté, de l’amour. Bref une très belle découverte pour moi.

  • Missbook Missbook 10 août 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Reçu dans le cadre d’une opération Club VIP, je remercie BE POLAR ainsi que les éditions Payot et Rivages pour l’envoi du nouveau roman d’Alexandra Schwartzbrod « Les Lumières de Tel Aviv » publié en mars 2020.

    Alexandra Schwartzbrod est romancière, essayiste, spécialiste du Moyen Orient et directrice adjointe de la rédaction de Libération. Elle a reçu le Prix SNCF du polar en 2003 pour Balagan et le Grand prix de littérature policière en 2010 pour Adieu Jérusalem, deux romans qui composent, avec Les Lumières de Tel-Aviv, un cycle consacré à Israël.

    Dans le contexte particulièrement tendu du conflit israelo-palestinien, ils sont six à vouloir franchir le nouveau mur érigé entre Jérusalem et Tel-Aviv. Haïm Müller, un ultraorthodoxe en fuite est l’un d’eux. Prêt à risquer sa vie pour franchir le mur.

    p. 32 : « Il avait franchi l’infranchissable. Malgré la douleur, une bouffée de fierté l’envahit. Il s’était détaché de ce fou de Golan. De ce système de surveillance insensé qu’il était en train de mettre en place et qu’il ne pouvait pas cautionner. « 

    En effet, les ultrareligieux se sont emparés de Jérusalem dans le but de créer le Grand Israël, tandis que les Résistants tentent de rétablir la liberté à Tel-Aviv. Haïm s’est enfui en traître pour éviter un drame.

    p. 47 : » – […] ce chien de Haïm s’est enfui avec les plans d’un système de surveillance unique au monde, je lui avais offert toute ma confiance, j’en avais fait le dépositaire du plus grand secret de l’histoire d’Israël et il m’a trahi, tu te rends compte ? Il m’a trahi, il t’a trahi, il nous a tous trahis ! »

    Ana, l’épouse abandonnée qui rêve de liberté, tentera elle aussi l’impossible pour atteindre l’eldorado.

    p. 38 : » Jamais elle n’aurait imaginé que l’antisémitisme reviendrait en Europe puis dans le monde, que les juifs seraient à nouveau contraints de fuir et que les démocraties occidentales vacilleraient les unes après les autres. « 

    Avec la complicité de la Russie, le gouvernement du Grand Israël est prêt à s’armer de robots tueurs pour empêcher le franchissement du mur.

    p. 154 : » – Moscou nous a livré des robots armés avec prise de décision autonome. Les progrès de l’intelligence artificielle sont tels qu’ils pourront très vite, sans l’aide d’humains, décider de tirer. C’est le but, si j’ai bien compris. « 

    Ils sont Haïm, Ana, Moussa et Malika, Isaac et Eli. Chacun a ses raisons de vouloir franchir cet effroyable mur, symbole d’une déchirure des peuples et des croyances. La radicalisation semble avoir atteint un point de non-retour, où les négociations et les pourparlers n’ont plus leur place.

    p. 219 : » A partir de quand ce pays était-il devenu ivre de lui-même et de sa toute puissance ? Le vote de la loi de l’Etat-nation du peuple juif, en juillet 2018, avait sans doute été un palier décisif. Pour la première fois, Israël se définissait officiellement comme un Etat purement juif, niant tous ses droits à la minorité arabe et abandonnant son statut de démocratie. Cet été-là, personne n’y avait pris garde à l’exception d’une poignée d’intellectuels que le public occidental écoutait comme on écoute une petite musique de fond, pour se donner bonne conscience. « 

    Glaçant de réalisme, ce polar est un passionnant page-turner. Entre dystopie et roman d’anticipation, j’y ai retrouvé des traits communs avec » 2084 » de Boualem Sansal et bien sûr » 1984 » de George Orwell. On réalise à quel point tout peut basculé rapidement et devenir hors de contrôle. Ce polar est le reflet de la radicalisation dans ce qu’elle a de plus dangereux. Se pose indéniablement la question de l’action / l’inaction des gouvernements occidentaux dans la gestion de ce conflit. Pourrait-elle, à terme, arrivée à ce genre d’extrémisme ?

  • Emilie Chloé Trigo 5 août 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Tout d’abord, je souhaite remercier BePolar et les éditions Rivages grâce à qui j’ai pu lire ce roman.
    Je ne connaissais pas Alexandra Schwartzbrod, dont j’ai pu ainsi découvrir l’univers.

    Dans un premier temps, je dois dire que j’étais sceptique concernant le pitch, préférant les romans historiques ou actuels aux romans d’anticipation. La 4e de couverture qui parlait de robots tueurs russes pour protéger le Grand Israël m’inquiétait un peu.

    Finalement, je dois avouer que cette histoire de robots n’est que prétexte à dérouler le récit de plusieurs personnages principaux dont nous suivons le périple au cours du roman.

    Les chapitres sont courts, presque trop pour que nous ayons le temps de nous attacher aux personnages, le début met un peu de temps à se mettre en route et la fin est, quant à elle, presque trop abrupte, ce qui est dommage, d’autant qu’il y aurait pu avoir matière à creuser certaines intrigues.

    En revanche, je considère finalement ce roman plus comme l’occasion de décrire un (des) pays que l’auteure connaît bien et cela se sent, et à traiter de thèmes qui sont plus que d’actualité, comme la laïcité ou le vivre-ensemble.

    Je connais moi aussi assez bien Jérusalem, la Cisjordanie, Jaffa et Tel Aviv et j’ai pu retrouver dans les descriptions les odeurs, les paysages, les sensations de la vieille ville de Jérusalem, et en cela j’y ai pris beaucoup de plaisir.

    J’ai pu aussi appréhender des thèmes qui me sont chers, et j’en profite pour partager un extrait qui m’a marquée : "En combattant les religions sans nuances, certains en étaient devenus aussi intolérants que ceux qu’ils entendaient réduire au silence". Rien que cette phrase mérite qu’on prenne du temps pour découvrir ce livre, son auteure, et pour s’interroger sur l’avenir que nous voulons pour notre humanité.

  • colorandbook 3 août 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Les lumières de Tel-Aviv était une très belle lecture, intéressante et enrichissante. C’est un roman d’anticipation, mais qui pourrait totalement être réaliste. Ce livre est riche en émotions : j’ai ressenti de la haine, de l’espoir, de la peur, et de la joie. Une nouvelle aire pour Israël qui pourrait s’annoncer tout autant dévastatrice.

    Les + :

    * J’ai apprécié découvrir les différents personnages.
    Six personnages aux désirs, rêves et ambitions différents mais peut-être pas si éloignés les uns des autres.

    * L’histoire en elle-même était prenante et passionnante. Une histoire qui parle de guerre, d’amour, de haine, d’espoir, de domination et de religion.

    * J’ai aimé l’alternance de points de vue à chaque chapitre, même si parfois les chemins des uns et des autres se croisent.
    J’ai aussi trouvé la plume fluide, belle et poétique.

    Les - :

    * J’ai trouvé que parfois les choses allaient un peu trop vite, surtout pour la fin qui était trop abrupte.

    * Quelques petits points pas assez approfondis.

  • Musemania 1er août 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Comme vous pourrez le lire dans le résumé de l’histoire, nous sommes en plein roman d’anticipation politique. Israël n’est plus un pays en tant que tel mais les ultra-religieux se sont imposés au pouvoir et ont pris la ville de Jérusalem pour en faire une cité où tout est dicté par la foi juive. La ville de Tel-Aviv est, quant à elle, sous l’égide du mouvement des Résistants qui prônent la liberté la plus totale dans tous les aspects de la vie quotidienne.

    Face à la resurgence des courants nationalistes et extrémistes, on ne peut que penser que ce livre tient peut-être (hélas) là, les éléments qui pourraient être mis en exergues par leurs militants. Israël est une terre de guerre et de conflits depuis des années et il était donc assez aisé de la voir tomber en première face à l’ultra-religion. Cette opposition d’idéologie est adroitement abordée.

    Par la lecture de ce livre, on y découvre beaucoup des villes de Jérusalem et de Tel-Aviv. Il est évident que l’auteure connaît très bien ce pays et nous le fait découvrir, même si c’est par certains aspects néfastes. Il est évident que le but de ce livre n’est pas de voyager mais de comprendre et d’imaginer le risque qu’a un pays de tomber dans les extrêmes mais je n’ai pas pu m’empêcher d’en sentir les embruns. L’écriture est très imagée et permet aux lecteurs de s’y trouver transporté. Un petit bémol est parfois de se retrouver parmi tous les lieux et une carte des deux principales métropoles aurait été un plus à la forme de ce livre.

    Les chapitres sont courts et consacrés chacun à l’un des personnages de l’histoire. Je ne sais pas pourquoi, je n’ai pas pu m’y attacher à l’un ou l’autre en particulier mais cela ne m’a pas gâché ma lecture pour autant.

    Le suspens induit dans la quatrième de couverture se retrouve bien présent mais, en même temps, j’ai trouvé qu’on arrivait au terme de l’histoire un peu trop vite et de manière un peu trop précipitée. Alors que le début se met en place crescendo, j’ai eu l’impression qu’à un certain moment (au deux tiers du livre, je dirais), tout s’imbrique trop précipitamment. Le livre aurait pu, selon moi, compter un peu plus de pages sans que cela n’aurait rien retirer de la qualité du récit, voire même l’aurait enrichi. Ce petit bémol n’entachera pas toute ma lecture pour autant.

    Je remercie le site bepolar.fr et les éditions Rivages pour l’envoi de ce livre.

  • ReadLookHear 30 juillet 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Nouvelle lecture dans le cadre de mon statut d’enquêteur VIP pour BePolar. Je les remercie d’ailleurs beaucoup pour cet envoi, ainsi bien sûr que les Éditions Rivages.

    Les lumières de Tel-Aviv est un roman d’anticipation sur le Moyen-Orient. Alors pour commencer autant vous dire que je ne savais pas du tout dans quoi je mettais les pieds. Tout d’abord je n’ai jamais vraiment compris ce qu’il se passe en Israël, du coup cela m’est complètement inconnu et ensuite, je lis très très rarement de roman d’anticipation.

    Je dois dire que j’ai été un peu déconcerté par ce roman. En terme de géo-politique, je pense que je n’ai pu apprécier pleinement les qualités de ce livre par manque de connaissance et c’est un peu dommage. Par contre, cela m’a donné envie d’en apprendre plus sur cette région du monde, donc c’est positif. Ensuite nous allons suivre plusieurs personnages à travers des chapitres courts et rythmés. L’idée, il y a un mur entre le Grand Israël et Tel-Aviv et plusieurs personnages veulent passer d’un côté ou de l’autre, et comme le dit la quatrième de couverture, il y a des drones tueurs prêts à les en empêcher.

    J’ai beaucoup aimé les différents personnages de ce romans, ils sont au final tous réunis par une envie de liberté et de paix, fini le nationalisme ou la religion, fini le fait d’être arabe, chrétien ou juif, fini la différence, leur but à tous est de vivre en tant qu’humain et forcément je ne peux qu’apprécier cela.

    J’ai aimé les messages de ce roman, le fait qu’au nom de la religion les puissants sont prêts à tout. Qu’est-ce que je n’aime pas ce fanatisme religieux et malheureusement nous ne retrouvons pas ça que dans des romans d’anticipation. Les messages d’espoir et de liberté sont aussi très important ici.

    J’ai beaucoup apprécié ce roman, et chose rare, j’ai été déçu qu’il se termine aussi vite, j’aurais aimé rester encore un peu avec Ana, Moussa et Haim.

    https://readlookhear.wordpress.com

  • alexandra 29 juillet 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Merci à Bepolar et aux éditions Rivages/noir pour l’envoi de ce livre.
    Spontanément je ne serais pas allée vers ce livre. un polar sous fond de religion dans un futur plus ou moins lointain, des ultraorthodoxes juifs en Israël. Même en suivant un minimum l’actualité, la situation géopolitique actuelle là-bas est complexe alors un polar là-dessus, je craignais de ne rien comprendre.
    Et au final je me suis laissée portée par l’histoire. l’avantage de l’avoir situé dans le futur c’est qu’on est plus dans la situation plus que tendue actuelle, l’auteure a imaginé Israël comme un pays dirigé par les ultraorthodoxes avec expulsion de tous les non-juifs et construction d’un mur entre Tel-Aviv et Jerusalem. une poignée de résistants vit à Tel-Aviv tandis que de l’autre côté du mur les gens étudient les textes et prient.
    L’auteur nous présente 6 personnages qui à un moment vont devoir faire un choix : franchir le mur. Haïm, Ana, Eli, Moussa, Malika et Isaac.
    on ne peut pas dire qu’il y ait de l’action dans ce livre. Les chapitres sont très courts, l’intrigue se met en place sur une bonne moitié du livre et petit à petit ça bouge. Certains qui apparaissaient transparents et sans intérêt, se révèlent dans l’épreuve, certains ouvrent les yeux, se posent des questions. En peu de mots, l’auteur nous dresse des portraits très différents, des destins qui à la base n’ont rien en commun. Mais tous comprennent la folie de ce qui se passe. Jusqu’où l’intolérance et l’extrémisme ont conduit les hommes sous couvert de religion ?
    Ce livre fait réfléchir et c’est là son point fort.

  • Emysbook 28 juillet 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Je voulais dans un premier temps remercier l’équipe de Bepolar et les Editions Rivages/Noir pour l’envoi et la découverte de cet auteure.

    En premier lieu le roman d’Alexandra Schwartzbrod m’a beaucoup intrigué et le suspense était présent dans la quatrième de couverture.
    J’ai retrouvé un peu de ce suspense et de ce intrigue au fil des chapitres mais de manière distancé.
    L’histoire qui se découpe en 4 personnages est très intéressante et très attirante bien que l’on n’en apprenne pas trop sur leur personnalité ou leur passé. Certains m’ont tout de même procuré de l’empathie et de la compréhension. J’ai était touché par Eli Bishara, cet ex-commissaire de police à la recherche de son amour perdu. C’est dommage mais je pense que ce n’était pas le but premier de l’auteur en écrivant ce récit.
    L’histoire est plutôt bien construite cependant j’avais du mal à avancer à cause des chapitres lourds. Pour autant les chapitres étaient courts mais ce sont des gros block et entre les différents lieux et les endroits non développés ça apporte vraiment un côté pesant. Cela apporte ce coté un peu lourd car quand on ne connaît pas Jérusalem ainsi que les endroits alentours on s’y perd et on a envie de sauter les noms tellement c’est délicat à prononcer et à lire...

    Concernant l’histoire j’ai beaucoup aimé arpenter les différentes idéologies. C’est un sujet super sensible et super délicat que nous argumente très bien l’auteure. Peut-être un peu trop dirais-je et j’avoue que quelques fois je me suis vraiment perdue entre les différentes instructions.
    J’avoue être un peu mitigé et sceptique par rapport à ce roman.
    C’était tout de même agréable à découvrir. J’ai passé un bon moment malgré tout !

  • bejiines 24 juillet 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Haïm Muller préfère quitter sa communauté religieuse ou la pratique de la foi le rendait fou. Tous ces interdits, cette haine des autres ceux qui n’étaient pas de la bonne religion. Il décide de passer de l’autre coté de la muraille, séparant le Grand Israël des Résistants de Tel-Aviv, en espérant une vie meilleure. Travaillant avec le 1er Ministre, il a eu connaissance d’informations politiques qu’il ne cautionne pas. Celui-ci cherche a fabriquer des robots tueurs (drones) capable de déceler plusieurs dizaines de kilomètres à la ronde des intrus ou fuyards afin de les éliminer.

    Le roman conte les histoires de :
     Haïm Muller : devenu "fugitif" en ralliant Les Résistants suite à sa fuite.
     Ana : la femme d’Haïm essayant elle aussi de franchir le mur afin de retrouver sa liberté
     Isaac Bronstein : ami de Haïm et conseiller du 1er ministre
     Eli Bishara : ancien flic qui à rejoint Les Résistants
     Moussa et Malika : ados Palestinien essayant de fuir Israël pour Tel-Aviv

    • Est-il possible de fuir cette société où la mort peut tomber du ciel sans que Dieu y soit pour quoi que ce soit ?
    • Est-ce la honte et le déshonneur qui attend les personnages de ce roman, en voulant fuir cette société qui ne leur correspond plus ?

    Les personnages sont nombreux et nous n’avons pas le temps de nous attacher aux personnages. Chaque chapitre est assez court et peu d’information sont dévoilées à chaque fois, ce qui fait traîner l’histoire. Le début du roman est assez long et rempli de descriptions et éléments historiques peu intéressants au niveau de l’histoires. La seconde partie du roman, concernant la fuite des personnages est plus interessante, car il y a plus d’action, de rebondissement et les destins des personnages se croisent. L’intrigue est simpliste, peu développée, et le suspens serait à développer pour plus d’intérêt. La fin est beaucoup trop rapide et manque de quelques chapitres supplémentaires

    Un roman agréable

  • Sylvie Belgrand 21 juillet 2020
    Les Lumières de Tel Aviv - Alexandra Schwartzbrod

    Quand vous allez ouvrir " Les lumières de Tel-Aviv", de Alexandra Schwartzbrod, assurez-vous que vous disposez de quelques heures, parce que ça va être difficile d’arrêter votre lecture. C’est un excellent roman qui vous emmène dans un monde assez proche de l’idée que je me fais d’un cauchemar, mais plein de vie et d’espoir. L’intégrisme, la soif de pouvoir en lutte contre l’amour et le désir de liberté, sur un bon rythme, fluide et imagé, avec une pointe de passion romantique, voilà entre autres ce que vous trouverez dans ce roman que je vous recommande chaudement.

    #LesLumièresDeTelAviv #AlexandraSchwartzbrod #Rivages #BePolar #polar #thriller #lecture #livres #chroniques

    Le quatrième de couverture :

    Les ultrareligieux ont pris le pouvoir à Jérusalem pour former le Grand Israël. Les Résistants, composés de laïcs juifs et arabes, se sont regroupés à Tel-Aviv pour vivre selon les préceptes des premiers kibboutzim. Signe de la division, un nouveau mur a fait son apparition, entre Jérusalem et Tel-Aviv cette fois.
    Un mur surveillé par des robots tueurs fournis par la Russie, le parrain du Grand Israël.
    Ils sont six à devoir franchir cette frontière au péril de leur vie : Haïm, un ultra-orthodoxe en cavale ; Moussa et Malika, deux jeunes Palestiniens en exil ; Ana, la femme d’un religieux éprise de liberté ; Isaac, un conseiller du Premier ministre en proie au doute ; et Eli Bishara, un ex-commissaire de police à la recherche de son amour perdu. Tous n’y parviendront pas.

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