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L’Année du Lion - Deon Meyer

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Résumé :

Ils ont tué mon père.
Je les aurai.
Après la Fièvre qui a décimé les neuf dixièmes de la race humaine, mon père, Willem Storm, a fondé Amanzi, une nouvelle colonie, et l’a menée du chaos à l’ordre, de l’obscurité à la lumière, de la famine à l’abondance.
Je suis Nico Storm, formé par Domingo à l’art de tuer.
Je détestais mon père et je le vénérais.
Ils l’ont abattu à Witput, dans notre beau Karoo, en bordure de l’ombre effacée d’un cercle d’irrigation.
Je vais trouver ses tueurs et je le vengerai.
Ce qui suit est mon histoire.

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Vos #AvisPolar

  • kathel 10 avril 2023
    L’Année du Lion - Deon Meyer

    Une situation post-apocalyptique où tout manque, un père, son fils, on pense immédiatement à La route, mais L’année du lion est bien différent du roman de Cormac McCarthy, tout d’abord parce qu’il présente des personnages, quelques-uns du moins, à qui la catastrophe sanitaire n’a pas fait perdre toute humanité, et aussi par son dénouement qui ne manque pas de surprendre.
    Dès les premières lignes, on apprend que le fils veut venger la mort de son père, et on peut en déduire pas mal de choses et aussi voir se dessiner beaucoup d’interrogations. Pour faire court, une pandémie à coronavirus à décimé la population mondiale, laissant environ une personne sur dix capable de résister au virus. Tout est désorganisé, et une catastrophe nucléaire dans la région du Cap oblige les rescapés à fuir vers le nord. C’est là, près d’un barrage dont il espère remettre en route la centrale électrique, que s’installe Willem Storm avec son fils de treize ans, Nico. D’autres les rejoignent, pour peu qu’ils adhèrent à leur idée de la démocratie. Des personnages intéressants et venus d’horizons très divers…

    Cette pandémie a été décrite par l’auteur en 2016, sans doute parce que les chercheurs qu’il a interrogé lui ont affirmé que ce virus était le plus vraisemblable, s’il voulait prédire une pandémie très rapide et généralisée. La très bonne idée du roman est d’avoir imaginé un groupe d’habitants prêts à intégrer une communauté utopique, alors que le reste du pays semble vivre sous la coupe de gangs dont la survie passe par le pillage et pire encore. Et pourtant, ça fonctionne, et, en prenant beaucoup de précautions contre de possibles attaques, les habitants d’Amanzi (qui veut dire « eau » en xhosa) réussissent à vivre relativement en harmonie. La création d’une société nouvelle, pas à pas, avec ses réussites et ses déboires, se lit avec enthousiasme. L’auteur, au travers du personnage de Willem Storm, développe des idées passionnantes sur la capacité de l’homme à construire une société autour d’un mythe. (je synthétise, l’intérêt est dans l’explication claire de cette idée).
    Bien sûr, certains de ces villageois ne sont pas dépourvus de défauts, et de goût pour le pouvoir, et on se demande sans cesse par qui le malheur va arriver. Tout en admirant la résilience de la plupart d’entre eux et leur capacité à s’adapter à des conditions de vie moins consuméristes et plus communautaires que ce qu’ils avaient connu auparavant. Comme Deon Meyer est habitué à tisser des intrigues de polars, le suspense est parfaitement maintenu tout du long des six cents pages du roman. Les rapports compliqués entre le père et son fils adolescent, tous deux à leur chagrin dû à la perte de leur épouse et mère, apportent la touche indispensable de sentiment.
    Même si vous avez l’impression d’avoir déjà lu assez de romans post-apocalyptiques, ce serait dommage de passer à côté de celui-ci. Il soulève des questions intéressantes sur notre monde d’aujourd’hui, des questions qu’il s’agirait de prendre à bras le corps dès maintenant.

  • Lydls 8 août 2020
    L’Année du Lion - Deon Meyer

    Une lecture qui me laisse perplexe : étant fan de D. Meyer, je me demande encore si j’ai apprécié ce roman. Peut-être suis-je déçue de ne pas retrouver certains protagonistes, simplement.
    La reconstruction d’une société après une catastrophe est subliment maîtrisée. Par contre l’histoire des Storm ma agacée, surtout Nico et ces "ah si j’avais su".
    Quant à la fin... J’en suis mitigée.
    En fait, je me demande où l’auteur a voulu nous emmener exactement.
    Ce roman m’a semblé brouillon, ça part un peu dans tous les sens, comme un premier essai dans un nouveau genre, mais c’est Meyer, j’ai confiance !
    PS
    Et oui, cette 4eme de couv est un gros mensonge racoleur !

  • Canistrellu 30 mai 2020
    L’Année du Lion - Deon Meyer

    Un interview de Deon Meyer dans le "Monde", en avril 2020, m’a conduit à lire ce roman : en pleine pandémie, découvrir qu’une intrigue imagine un coronavirus qui décime les 9/10ème de la population mondiale, et ce imaginé en 2017...
    Lecture intense pour ce récit captivant. Davantage que la relation de l’apocalypse, il s’agit de construire une nouvelle société dans un monde où tout est à faire. Une nouvelle communauté humaine de rescapés, au sein de laquelle surgiront tensions, craintes, rivalités de l’ Ancien Monde. Entre espoirs et remords, comment vivre entre humains ? Se nourrir et se protéger ? Quelles lois édicter ? La communauté - comme le roman - sont portés par le fort personnage du père du narrateur. Un meneur humaniste qui ne cache pas ses doutes et ses fragilités.
    L’Afrique du Sud est également un personnage du roman, tant les descriptions sont autant d’invitations au voyage.
    Last not least - la tension fiévreuse qui court sur ces centaines de pages vite parcourues - qui a tué le père du narrateur, et pourquoi. Ce crime est évoqué au début du roman, et sous-tend l’intérêt. Sans le dévoiler, enfin ajouter que son élucidation repose sur un coup de théâtre, bien préparé.

  • LeoLab 1er août 2019
    L’Année du Lion - Deon Meyer

    D.M. assume le fait qu’il soit sorti de sa zone de confort et transforme cet essai avec succès. J’ai commencé ce roman sans lire la 4e et fus agréablement surpris au bout de quelques pages d’être immergé dans un Post-A. La narration est un peu lente mais construite de manière magistrale. Les personnages sont attachants et le thème sociétal intéressant. Mitigé néanmoins quant à la conclusion.

  • 1001histoires 22 décembre 2017
    L’Année du Lion - Deon Meyer

    Deon Meyer, c’est avant tout l’Afrique du Sud, son portrait social et racial est très fouillé et lucide, partagé entre traditions et modernité, gangréné par la violence et par la mondialisation du crime. Tout y passe, même la viticulture dans la région du Cap n’est pas oubliée dans les scénarios.

    L’inspecteur Mat Joubert de la brigade des Vols et Homicides du Cap fut le premier policier mis en scène par Deon Meyer, un policier blanc, bon, hanté par les violences commises par son père lui aussi policier.

    Et puis il y a Benny Griessel. C’est LE héros récurrent de Deon Meyer. Il est capitaine à la police du Cap, direction des affaires criminelles prioritaires, l’élite de la police sud africaine, les Hawks. Sa personnalité est à la fois attachante et sombre, son passé l’a rendu alcoolique (il compte les jours d’abstinence ) et parfois violent, mis à la porte par sa femme et soucieux de l’avenir de son fils et de sa fille. C’est un très bon policier d’une grande conscience professionnelle. Les procédures policières sont bien détaillées et les enquêtes menées sur un rythme effréné ( en "13 heures" ou en "7jours" ).

    Dans les romans de Deon Meyer, le lecteur rencontre aussi Martin Lemmeur, Zet Van Heerden, Thobela "P’tit" Mpayipheli. Désormais il est possible d’y ajouter un autre personnage remarquable : Nico Storm. Le titre "L’année du lion" est sorti en France en octobre 2017. Un virus a décimé la population mondiale sauf quelques humains. Un père et son jeune fils veulent construire une communauté, juste et démocratique, là où il y avait avant l’Afrique du Sud. Ce récit est en premier une fresque sociale passionnante sur ce que l’Afrique du Sud n’a pas été. Mais il y a aussi un crime ...

    http://romans-policiers-des-cinq-continents.over-blog.com/2016/06/deon-meyer.html

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