Club Sang

Profitez de toutes nos fonctionnalités et bénéficiez de nos OFFRES EXCLUSIVES en vous inscrivant au CLUB.

JE REJOINS LE CLUB SANG

Selfies - Jussi Adler Olsen

Club Sang

Inscrivez-vous ou connectez-vous pour pouvoir participer au Club !

14 #AvisPolar
9 enquêteurs
l'ont vu/lu
4 enquêteurs
Veulent le voir/lire

Résumé :

En raison de ses échecs répétés, l’existence du département V est menacée.

Rose doit montrer que le service vaut encore quelque chose, mais elle se retrouve internée, en proie aux fantômes d’un passé violent.

D’un autre côté, de nombreux crimes ont lieu à Copenhague.

Carl, Assad et Gordon devront empêcher les nouveaux crimes en préparation.

L'œuvre vous intéresse ? Achetez-la chez nos partenaires !

En librairie

Et chez vos libraires indépendants

  • Acheter sur Jesoutiensmalibrairie.com
  • Acheter sur lalibrairie.com
  • Acheter sur Place des libraires

Vos #AvisPolar

  • spitfire89 2 avril 2023
    Selfies - Jussi Adler Olsen

    Nous voilà plongé dans le 7èmes tomes des enquêtes du département V de la brigade de police de Copenhague. L’inimitable trio formé par le cynique inspecteur Carl Mørck et ses fidèles assistants Assad et Rose doit réagir vite s’il ne veut pas voir le Département V, accusé de ne pas être assez rentable, mettre la clé sous la porte. Un chauffard assassine des jeunes femmes jolies et pauvres, bénéficiaires de l’aide sociale. Ces dernières ne rêvaient que d’une chose, devenir des stars de télé réalité.

    Rose, plus que jamais indispensable, sombre dans la folie, assaillie par les fantômes de son passé.

    Une enquête du département V plus qu’intéressante sans doute l’une des meilleures. L’autrice construit habillement cette histoire. L’histoire reflète une triste réalité de ce pays danois. Rose doit faire face au malaise de son passé dont la racine est celle d’une famille mortifère.

  • celine85 20 février 2022
    Selfies - Jussi Adler Olsen

    Selfies est le septième livre de la série des enquêtes du Departement V. Je n’ai pas lu tous les précédents livres de cette série (Seulement Dossier 64 et L’effet papillon). Autant j’ai apprécié ceux que j’avais lu, autant là je n’ai pas trouvé qu’il y avait du rythme et je me suis ennuyée à certains passages. J’ai pris cependant du plaisir à retrouver certains personnages récurrents qui nous ont pas tous livré leurs secrets

  • angelita 9 octobre 2021
    Selfies - Jussi Adler Olsen

    Selfies de Jussi Adler Olsen, présentation
    Novembre 1995, Dorrit, est dehors, elle refuse de rentrer chez ses grands-parents. Son père est parti. Son grand-père a été soldat allemand pendant la Seconde Guerre Mondiale. Il cache de nombreux secrets dans une pièce fermée.

    En 2016, Dorrit a 27 ans. Elle vit dans une chambre de bonne dans l’immeuble familial. Sa mère vient la chercher car la grand-mère arrive et doit leur donner de l’argent pour, notamment, payer les dettes et le loyer.

    Avis Selfies de Jussi Adler Olsen
    Ca y est avec cette enquête, je suis à jour puisque j’ai lu la dernière peu de temps après sa parution et que je me souviens bien de ce ce qui se passe. L’auteur peut donc faire paraître un nouveau roman sans problèmes.

    Cette enquête est en grande partie consacrée à Rose, élément indispensable au Département V. Même si ses débuts ont été difficiles, notamment avec Carl, elle a su gagner sa place car elle sait aller au fond des choses quand il faut enquêter. Elle n’hésite pas à dire ce qu’elle pense, que ce soit à son chef ou ses coéquipiers. Assad a été un des premiers à se rapprocher d’elle. Ensuite, il y a eu Gordon, et petit à petit Carl. Rose souffre psychologiquement et c’est dû à son passé. Elle est très proche de ses soeurs qu’elle a voulu toujours protéger. Peu de sa mère, quant à son père, il est mort. Malgré les tortures mentales de cet homme, Rose se reproche toujours sa mort, se sentant responsable. Malgré de l’aide, elle sombre tant et plus. Rose arrive à en connaître les signes et sait quand elle doit être hospitalisée. Mais la dernière enquête a eu raison d’elle. Et ce sera une course contre la montre, car Rose est secrète et avec ce que ses coéquipiers apprennent, une de leurs priorités est de lui faire savoir la vérité, même s’ils doivent fouiller dans son passé, dans ses affaires personnelles.

    Jussi Adler Olsen s’attache, dans ses romans, aux sujets de société concernant son pays. Ici, ce sont les aides sociales accordées et les différentes mesures qui changent très rapidement, difficiles à suivre pour les travailleurs sociaux, dont les arrêts maladie et les burn-out montent en flèche. Il détaille également comment les abus s’intensifient, comment certaines personnes profitent de ces aides de nombreux mois, voire de nombreuses années. Ici, ce sont trois jeunes filles qui vont se rencontrer dans un centre social. Elles ont la trentaine, vivent d’excipients et surtout d’aides. Elles prennent soin d’elles, sont jolies et veulent devenir célèbres. Mais leur envie d’argent, plus ou moins facile, va leur faire prendre de mauvaises décisions. Surtout que leur assistante sociale qui a appris qu’elle était atteinte d’un cancer, veut quitter ce monde en se vengeant de toutes ces personnes.

    Le Département V doit résoudre d’anciennes affaires, mais après de nombreux recoupements, une ancienne affaire semble être un lien entre deux nouvelles affaires. Il ne faut pas marcher sur les plate-bandes de l’étage au-dessus. Mais Carl s’en moque, comme d’habitude. Il fait son travail avec Assad, ne l’écoute pas forcément et peut s’en mordre les doigts. Carl se ramollit-il ? Non, pas du tout, mais il se rend compte que son équipe est au top et malgré ses dehors bourrus, Carl est un homme au coeur d’or, qui connait profondément la nature humaine. Quelques éléments personnels encore sur lui, avec la visite obligatoire à sa belle-mère, de nouvelles rencontres avec Mona.

    Je ne me suis pas du tout ennuyée. J’ai beaucoup aimé toutes ces enquêtes, et celle-ci fait partie de mes préférées. Le rythme est entraînant, le roman est très documenté, le lecteur ne sent aucune difficulté lorsque les enquêtes se lient. Il existe toujours cette dimension de liens personnels, d’amitiés, de descriptions de personnages maîtrisés à fond. Il me tarde que le prochain roman sorte.

  • jenjen10 27 mars 2021
    Selfies - Jussi Adler Olsen

    Sans doute pas le meilleur des enquêtes du département v mais c’est toujours intéressant d’en apprendre plus sur les personnages. Trio qui fonctionne bien et Carl toujours fidèle à lui même. Hâte de lire la suite !

  • calyenol 9 octobre 2020
    Selfies - Jussi Adler Olsen

    Salut,salut !
    .
    .

    J’ai lu Selfie de Jussi Adler Olsen chez livre de poche.
    .
    .

    "Le coup de feu qui éclata entre les murs en béton et se matérialisa par un petit nuage de poudre et un trou de la taille d’une pièce d’une couronne dans la poitrine de l’Islandaise s’était fondu dans le vacarme ambiant."
    .
    .

    Copenhague,le département V est confronté à une nouvelle enquête non élucidée sur l’assassinat d’une prof qui ressemble aujourd’hui à celui d’une grand-mère.
    Ils vont aussi être confronté à un serial chauffard qui tuent de jeunes femmes ayant droit à l’aide sociale.
    Mais surtout,Mørck et Assad vont faire en sorte d’aider Rose en démêlant l’histoire de son passé.
    .
    .

    "Elle avait à peine fait demi tour que la porte s’ouvrit violemment et qu’un énorme coup sur la nuque lui fit perdre connaissance."
    .
    .

    7ème opus de la saga des enquêtes du département V, l’auteur m’avait donné bien mieux avec les précédents.
    J’ai trouvé l’histoire un peu longuette pour une finalité qui ne m’a pas plus emballé que ça.
    Pourtant j’étais bien dedans mais je crois que j’attendais autre chose vu le passé du grand-père de l’histoire.
    Attention je ne dis pas qu’il n’est pas bon hein mais juste qu’avec moi ça n’était pas ça.
    J’ai adoré retrouver toute l’équipe et apprendre le passé de Rose mais je n’ai pas eu d’empathie pour les autres personnages.
    Il m’a manqué un je ne sais quoi qui aurait pu me donner la petite étincelle avec Denise par exemple.
    J’ai même eu l’impression que l’auteur ne savait pas trop où il voulait m’emmener.
    En bref,j’ai largement été plus captivée par l’histoire de Rose qui a pris toute la place pour moi par rapport à l’intrigue de départ.
    Selfie aura donc été une lecture sympa,mais sans plus,qui laisse m’a préférence à Profanation et Dossier 64.

  • Tempsdelecture 3 septembre 2020
    Selfies - Jussi Adler Olsen

    Avant-dernier né d’une série de huit romans intitulée Les enquêtes du département V, Jussi Adler-Olsen était pour moi pourtant jusqu’à ce jour un auteur inconnu au bataillon. Et selon la logique qui est la mienne, j’ai d’abord commencé par acheter le roman puis j’ai demandé conseil sur Instagram, où je n’ai reçu que de très bons échos sur l’auteur et sur cette série de romans. Et bien évidemment, en toute logique une fois encore, mon choix s’est porté sur le septième tome de la série. J’ai peu l’habitude de lire des romans noirs qui font plus de cinq cents pages, habituellement ils ne les dépassent pas. Il faut dire que notre auteur n’y est pas allé de main morte sur la flopée d’intrigues, les principales, d’autres de moindre importance, qu’il a échafaudées.
    Au-delà des apparences de certains personnages, protégées par l’épais et opaque vernis de conformisme et de faux-semblants que leur confère leur aisance financière et qui s’effrite au fil des années, je pense à la famille Zimmerman, ce sont surtout des marginaux, inadaptés, laissés-pour-compte, qui se trouvent au coeur des histoires de l’auteur danois. Et d’ailleurs l’équipe d’enquêteurs n’est pas épargnée, Carl, Rose et Assad portent chacun leurs propres stigmates qui font d’eux des personnages un peu décalés et perdus dans ce curieux département V. J’étais loin de m’en douter en entamant cette lecture mais c’est une véritable plongée dans la misère humaine, qu’elle soit sociale, psychologique, économique, ou tout à la fois bien souvent. Une véritable exploration des mécanismes de cette société défaillante qui finit par fabriquer des assassins, des gens, à la base inoffensifs, mais qui ont fini par s’effondrer sur eux-mêmes et sombrer dans une folie meurtrière. L’homicide, les différents meurtres ne sont pas seulement la marque d’un esprit malade, tout n’est pas si simple. le monde criminel est loin de n’être constitué que de tueurs dérangés, pervers, assoiffé de sang et jouissant de la souffrance d’autrui, aveuglé par cette volonté de destruction motivée par sa haine insensée de l’autre. Dans Selfies les assassins eux-mêmes deviennent victimes. Jussi Adler-Olsen explore les gouffres de cette société, les processus psychologiques, où les personnalités les plus fragiles se noient, meurent ou assassinent, parce qu’ils ont perdu à un moment donné toute capacité à raisonner et à rester dans ses propres limites morales. Les assassins ne se réduisent pas à être de vagues tueurs en série, retors et machiavéliques, mais des gens usés par une vie dépourvue du moindre sens : voila ce que tente de démontrer Jussi Adler-Oldsen, mais sans pour autant expier chacun de ses personnages de leur pêcher.

    ême s’il utilise bien évidemment les ficelles habituelles du genre, je dirais qu’il contribue un peu à démythifier le genre, cette vision, ce mythe, du tueur au sang froid, inaccessible et sans état d’âmes. J’apprécie de voir se renouveler un peu le genre même si, obligations économiques obligent, je suppose, on nous présente cela sous une collection et un titre, pour le moins, peu engageant. On pensera, peut-être avec raison, que je cultive une obsession des titres, mais ici encore je trouve cela dommageable que l’on mette si peu de soin dans le choix du titre et de ne se contenter que d’un vague mot et d’une couverture noire pour attirer le chaland. Sincèrement, si je ne m’étais attardée que sur ce titre trop succinct, je n’aurais sans doute jamais acheté ce livre.

    ême s’il utilise bien évidemment les ficelles habituelles du genre, je dirais qu’il contribue un peu à démythifier le genre, cette vision, ce mythe, du tueur au sang froid, inaccessible et sans état d’âmes. J’apprécie de voir se renouveler un peu le genre même si, obligations économiques obligent, je suppose, on nous présente cela sous une collection et un titre, pour le moins, peu engageant. On pensera, peut-être avec raison, que je cultive une obsession des titres, mais ici encore je trouve cela dommageable que l’on mette si peu de soin dans le choix du titre et de ne se contenter que d’un vague mot et d’une couverture noire pour attirer le chaland. Sincèrement, si je ne m’étais attardée que sur ce titre trop succinct, je n’aurais sans doute jamais acheté ce livre.

    Même s’il utilise bien évidemment les ficelles habituelles du genre, je dirais qu’il contribue un peu à démythifier le genre, cette vision, ce mythe, du tueur au sang froid, inaccessible et sans état d’âmes. J’apprécie de voir se renouveler un peu le genre même si, obligations économiques obligent, je suppose, on nous présente cela sous une collection et un titre, pour le moins, peu engageant. On pensera, peut-être avec raison, que je cultive une obsession des titres, mais ici encore je trouve cela dommageable que l’on mette si peu de soin dans le choix du titre et de ne se contenter que d’un vague mot et d’une couverture noire pour attirer le chaland. Sincèrement, si je ne m’étais attardée que sur ce titre trop succinct, je n’aurais sans doute jamais acheté ce livre.

    Ce pêle-mêle d’intrigues diverses, qui embrassent un nombre assez conséquent de personnages, de jeunes femmes totalement paumées telles Michelle, Doris, Jazmine, qui ne savent plus comment gagner beaucoup d’argent sans pour autant occuper un emploi, d’un duo d’enquêteurs un peu blasés et en marge au sein de leur propre lieu de travail, de membres d’une même famille éclatée, qui se haïssent autant qu’il est permis, de l’assistante sociale usée jusqu’à la corde et dépourvue de la moindre étincelle d’empathie. Cela peut d’abord porter à confusion, ce sont tous des personnages aussi différents les uns des autres, des gens a priori simples, certains qui croulent sous le poids du secret de leur passé, mais qui finissent par se révéler à la fois pitoyables et tellement ordinaires, des personnages qui ploient jusqu’à se briser définitivement. Roman sur la folie générale, et individuelle, où chacun est consumé par ses propres démons, ses propres obsessions, dépendances à l’alcool, l’argent, souvent vaincus par leurs tourments dont ils ne réussissent à s’extraire. Comme le montre le titre, chacun est enfermé par une modernité de plus en plus monstrueuse et aliénante, qui enferme chacun dans sa propre prison.
    Même si le style de l’auteur, son écriture, sont loin d’être particulièrement brillants, en revanche un des points forts de son roman reste cette volonté de mettre en exergue la misère humaine et sociale dans laquelle sont englués les personnages de Jussi Adler-Olsen. Dans un monde où les valeurs morales s’effacent peu à peu et laissent place à une forme de dénuement moral né de l’argent facile, du triomphe des apparences et son overdose d’images insensées, de la jalousie malsaine et suffocante envers son contemporain. Les objectifs de l’appareil photo, celui du téléphone mobile et de la caméra sont ainsi omniprésents tant dans les vies intimes et personnelles que les vies professionnelles, mais faute de créer un lien véritable entre les individus, ils ne font que les ancrer plus profondément dans leur solitude. Symbole d’une société malade au sein de laquelle les individus ne font que détourner les yeux de leur propre incapacité à s’appréhender, et se remettre en question. Cette saturation d’images reste ici un moyen de dissimuler une vérité plus triste et sombre, le moyen de dissimuler ses secrets, et ses parts sombres. Tout aussi enfouis qu’ils soient, ces secrets n’en demeurent pas moins présents et le prix à payer est à un point tel élevé qu’il en détruit ses détenteurs. On pourra certes déplorer des ficelles un peu grosses, des raccourcis un peu trop expéditifs, des clichés un peu trop caricaturaux, parfois, il n’en reste pas moins que l’auteur a eu l’intelligence de bâtir son intrigue, non pas sur les ressorts des habituels effets de surprise ou de formidables coups de théâtre, mais au contraire sur la simplicité, qui confine à l’ordinaire, de la vie actuelle des citoyens danois ou de citoyens européens en général.

    Roman qui conjugue à la fois passé et modernité : des relents putrides de cette histoire, où le Danemark s’est vu le complice de l’Allemagne nazie, aux maux actuels de la crise économique et du chômage qui relègue une catégorie de la population au ban de la société. C’est globalement un roman noir plutôt réussi, qui a le mérite de contenir une vision tant historique que sociologique du Danemark, un pays qui en général reste peu connu. Jussi Adler-Olsen a pris le parti de ne pas noircir complètement les personnages qu’il dessine, ne cède pas à la tentation de les déshumaniser totalement et d’en faire des êtres dénués de la moindre conscience. On apprécie ce sens de la nuance, cette tentative de présenter, sous leurs aspects les plus obscurs, des hommes et des femmes en souffrance, perdus. J’ai apprécié ce titre, il est rare que je ne me laisse pas prendre au jeu de l’enquête policière, mais je ne suis pas certaine d’avoir fait le meilleur choix en optant pour ce tome-ci de la série.

  • 1001histoires 25 janvier 2020
    Selfies - Jussi Adler Olsen

    Selfies : titre original "Selfies" ( Danemark 2016 - France mars 2017 ). C’est le septième titre des enquêtes du Département V. Pour le sixième voir ICI

    Mai 2016 : les statistiques sont formelles, le Département V ne résout pas assez d’affaires. Peu de rapports sont fournis à l’administration ( pourtant Rose envoyait bien tout en temps et en heure ? ). Le département V coûte une fortune, pour continuer d’exister il faut licencier un de ses collaborateurs.

    Par une pirouette dont il a seul le secret et avec l’aide d’une équipe de la télévision, Carl Mørck veut redorer le blason du département V. Le cadavre de Rigmar Zimmerman, soixante sept ans, vient d’être retrouvé. Ce crime présente beaucoup de similitudes avec un autre meurtre datant de 2004 et resté non élucidé. Le Département V va s’employer à résoudre les deux affaires, le crime récent et le cold case ( Hardy, ami de Carl, avait enquêté vainement sur le premier meurtre, cela lui fera plaisir que Carl rouvre le dossier maintenant qu’il est immobilisé dans un fauteuil roulant ).

    Le présent du Département V fait sourire, le vocabulaire approximatif d’Assad fait franchement rire tout comme les proverbes tirés de son pays natal. Rose inquiète, ses pertes de mémoire l’amènent jusqu’à une hospitalisation en service psychiatrique. Gordon se fait efficacement une place dans le groupe.

    L’enquête est particulièrement complexe et le lecteur devine aisément que la solution de l’énigme puise ses racines dans un passé peu reluisant du Danemark. Tout n’est pas parfait non plus dans le présent de ce petit pays et Jussi Adler-Olsen nous présente des Centres d’Action Sociale débordés qui croulent sous ce qui ressemble fort à de l’assistanat. Les femmes sont à l’honneur dans ce récit, le passé de Rose est dévoilé.

    Une enquête du département V de Jussi Adler-Olsen peut s’apparenter à un puzzle inextricable mais c’est aussi une alchimie ingénieuse qui nous tient en haleine vers un final toujours aussi habile et sans doute le plus émouvant de la série.

    Bibliographie de Jussi Adler-Olsen

  • Céline de Roany 4 août 2019
    Selfies - Jussi Adler Olsen

    Inconditionnelle du département V dont je suis les péripéties depuis le début, j’aime particulièrement les personnages déjantés et terriblement attachants qu’Adler-Olsen a su faire vivre au fil des pages. J’ai aimé sa façon d’écrire, au plus près du récit, comme si ses mots collaient aux trottoirs, aux murs, aux visages, aux mains.

    Comme tous les Adler-Olsen, Selfies est bien écrit et se lit sans problème. Sauf que…

    l’histoire de Rose est tellement, tellement tirée par les cheveux que je n’ai pas du tout réussi à y croire et encore moins à m’y intéresser.
    le sujet d’accroche est intéressant (des filles qui veulent devenir des stars de télé-réalité et ne voient pas vraiment le sordide de leur vie ni leur propre désespoir), mais l’histoire est plate, je n’y ai pas trouvé les aspérités qui excitent l’imagination, qui font plisser les yeux et tourner les pages d’impatience à connaître la suite.
    impossible, du coup, de s’identifier à qui que ce soit, ce qui rend le roman distant.
    J’ai eu la sensation d’un collage de différentes histoires, à la manière de ces spectacles comiques où l’humoriste aligne les histoires drôles ou les films qui empilent les gags. Quelqu’un essaye de donner de la cohérence à tout ça sans vraiment y parvenir.
    Je n’ai pas trouvé le souffle des précédents opus dans cette septième aventure de Carl Mork, rien qui me tienne, rien qui me tire, qui me fasse m’évader.

    Ca reste un bon roman. Je me suis demandé si mon avis aurait été différent, s’il n’appartenait pas à une série que j’adore. Je crois que non. Je crois que non seulement Selfies souffre de la comparaison avec les autres enquêtes du Département V, mais que, en lui-même, il a des failles qui le rendent juste sympa, sans plus.

    Est-ce que c’est le livre de trop ? J’en ai bien peur.

  • Saveur Littéraire 21 mars 2019
    Selfies - Jussi Adler Olsen

    La première chose que l’on voit quand on se retrouve avec Selfies entre les mains, c’est que c’est un très gros pavé ! Ne reste qu’à s’y plonger pour se faire son avis. Je vous préviens tout de suite, ce n’est pas la première enquête du département V, l’équipe de police que nous suivons. De mon avis, vous pouvez vous lancer directement dans cette suite, mais si vous voulez vous approprier au mieux les personnages, je vous recommande tout de même de commencer par le premier et de suivre l’ordre, vous comprendrez mieux et apprécierez davantage toute la panoplie de personnages que l’on nous présente.

    Plusieurs intrigues d’apparence tout à fait distinctes rythment le très gros Selfies : d’un côté, la folie de Rose, l’une des policières que nous suivons, mais de l’autre, il y a une histoire de famille qui prend ses racines à la Seconde Guerre Mondiale. Encore plus loin, de macabres découvertes de corps retrouvés accidentés par une voiture. Pas vraiment le temps de s’ennuyer avec ce roman, même si le début met du temps à se mettre en place. On fait tranquillement connaissance avec les différents personnages, et il y en a un sacré paquet !

    C’est assez rare dans ces intrigues policières, mais cette fois, c’est là ! Et oui, nous ne tardons pas à découvrir le visage du chauffard meurtrier, nous allons même entrer directement dans sa tête grâce à l’écriture de Jussi Adler Olsen, qui nous offre-là des mots efficaces et une plongée dans la psychologie en toute beauté. On passe par la tête des coupables, mais aussi par la tête de personnes torturées, perdues, égoïstes, mauvaises… Bref, y a du niveau question psychologie des personnages.

    Si bien que je trouve rapidement mes chouchous. Une affection toute particulière pour Rose qui sombrerait dans la folie après un terrible drame. De la tendresse et des sourires pour Assad, un collègue de Rose qui a de l’humour et de bonnes répliques ! Il a toujours des paroles sages et intéressantes.

    Quant au méchant de cet opus, dont je vais garder l’anonymat, c’est un portrait tout à fait détestable que j’y ai lu. Autant ses réflexions de départ et son cheminement donnent à réfléchir et ouvrent un débat sur un sujet existant mais peu évoqué en public, autant ressentir de l’empathie pour ce personnage devient rapidement impossible, en dépit des propres épreuves que ce fameux méchant a lui-même traversé.

    Et forcément, lorsque l’on se plonge dans plusieurs intrigues, il y a un risque que la plume s’embrouille ou se disperse dans ses descriptions, ses dialogues et ses intrigues. C’est ici un peu mon ressenti, à certains moments. Pour autant, ça n’a pas rendu la lecture désagréable, la psychologie étant traitée avec efficacité. Si l’on se demande quels sont les liens entre toutes ces affaires, ils apparaissent peu à peu d’eux-mêmes.

    La notion de justice est importante dans Selfies. De même, rien n’est épargné, ni à nous, lecteurs que nous sommes, ni aux personnages. Je vous aurai bien dit que Jussi Adler Olsen est le George RR Martin danois, mais je n’en ferai rien, eheh ! Je dirais juste que les cadavres sont légion par ici.

    Alors, le bilan ? Arf. Ce n’est pas une déception, mais je n’ai pas été aussi emportée que je l’aurai voulu, très certainement parce que, ENCORE UNE FOIS, je n’ai pas regardé l’ordre des tomes… cette manie finira par me tuer ! A cause de cette arrivée mal assurée sur cet univers, j’ai manqué pas mal de choses. Je lirais néanmoins avec grand plaisir les autres enquêtes du département V, puisque je possède deux autres titres dans ma PAL. Croyez-moi, cette fois je vais me faire prudente !

  • Killing79 12 février 2019
    Selfies - Jussi Adler Olsen

    Tout amateur de thrillers qui se respecte, ne peut passer à côté de Jussi Adler Olsen, un des grands noms du polar scandinave. De cet auteur, j’avais déjà lu le premier acte « Miséricorde » qui m’avait beaucoup plu. Il était efficace dans son scénario mais surtout il proposait des personnages originaux auxquels je m’étais attaché. Malheureusement, avec mon planning de lecture plutôt tendu, j’ai toujours du mal à suivre les séries. J’étais donc ravi de cette opportunité qui m’a été faite de découvrir la septième aventure du département V.

    Cette dernière enquête en date relève plus du roman sociologique que du véritable thriller. En effet, l’auteur nous propose de suivre plusieurs protagonistes féminins aux destins chaotiques. Ces femmes sont au choix superficielles, égocentriques, bêtes ou folles et profitent du système social. Elles sont incontrôlables et toujours sur la corde raide. Elles sont sans limites et ne sont finalement que le reflet d’une partie frivole de la société norvégienne, que Jussi Adler Olsen voulait nous dévoiler. C’est par conséquent une analyse sociétale assez intéressante et une facette inconnue de ce pays.

    J’ai été ravi de retrouver l’équipe du département V. La fantaisie de ces enquêteurs atypiques est une nouvelle fois au rendez-vous et donne lieu à quelques petits échanges épicés. Le livre se lit très bien indépendamment même si je suis resté un peu frustré par rapport au personnage de Rose. N’ayant que les éléments du premier opus, je ne la connaissais pas. Elle doit apparaître plus tard. Et comme dans cette histoire, elle se retrouve au centre des enquêtes, il m’a manqué des composants pour mieux appréhender sa personnalité, particulièrement développée dans le livre.

    En ce qui concerne l’intrigue, le lecteur n’est pas sous pression comme dans « Miséricorde » et il est plutôt dans l’attente des réactions de tout ce petit monde particulièrement imprévisible. Le rythme est assez lent avec quelques longueurs dispensables, pourtant on ne s’ennuie jamais. En conclusion, ce volume ne restera pas dans les annales mais ma lecture de ce Jussi Adler Olsen a été agréable. Elle aurait peut-être été plus marquante si j’avais eu tous les éléments des autres épisodes en tête.

  • Bastet709 8 février 2019
    Selfies - Jussi Adler Olsen

    La 7eme enquête du département V qu’on retrouve avec toujours autant de plaisir.
    L’intrigue , moins complexe que les précédentes , reste captivante : nous assistons au basculement de la "normalité" au crime et à une jeunesse en dérive.
    Nos enquêteurs sont mis à mal par leurs difficultés internes à l’hôtel de police mais aussi par celles de Rose dont nous découvrons le passé.
    Vite la 8ème enquête ....

  • La Caverne du Polar 25 novembre 2018
    Selfies - Jussi Adler Olsen

    Jussi Adler-Olsen n’est plus à présenter, c’est un très grand nom du polar Nordique. Selfies est déjà le 7ème tome du département V de la police de Copenhague. Mais je tiens à préciser qu’on peut lire ce livre indépendamment des autres, même si forcément c’est mieux de connaître les personnages principaux. Ce livre nous plonge directement dans la sociologie de développement au Danemark.

    On redécouvre donc avec plaisir toute l’équipe du département V. Ces enquêteurs atypiques que sont l’inspecteur Carl Mørck, son adjoint Assad et son assistante Rose. Le département V s’occupe de résoudre les affaires classées, les « Cold Case ». On fait la connaissance de plusieurs femmes de tout âge qui ont une vie et un destin très compliqué. Tout d’abord Jazmine, Michelle et Denise, trois jeunes femmes très superficielles qui profite du système social danois. Puis Rigmor et Birgit Zimmerman mère et fille et enfin Anne-Line Svendsen des femmes plus âgées qui sont au choix alcoolique, aigri, frustré et déçu par la vie. Quand à Rose elle sera rattrapé par son passé très tourmenté et va se retrouver à délirer. Elle sera interné dans un hôpital psychiatrique.

    L’intrigue va se dérouler en plusieurs affaires parallèle. L’assassinat d’une femme retrouvé morte dans un parc, une vieille affaire de presque vingt ans qui va refaire surface et un chauffard qui renverse mortellement des jeunes femmes sur la route. Ce sont plusieurs évènements qui n’ont apparemment rien à voir ensemble au début, mais qui peu à peu s’assemble et ce n’est qu’à la fin du livre qu’on découvre pourquoi et comment.

    Le rythme est lent, mais malgré cela il n’y a pas vraiment de temps mort dans ce roman de plus de 600 pages. Les personnages principaux mais également les personnages secondaires sont très étoffé et très bien construit. Pour ma part Selfies est un roman réussi, je n’ai pas lu tout les tomes du département V, mais je vais me rattraper très vite. Alors prenez rdv le 3 avril pour la sortie de Selfies vous allez adorer.

  • universpolars 24 novembre 2018
    Selfies - Jussi Adler Olsen

    Le Département V, j’imagine que cela vous parle ? Si vous connaissez déjà un peu les romans de Jussi Adler-Olsen, je pense que ce département de la police danoise, conduit par l’excellent mais désagréable Carl Mørck, ne vous est pas inconnu !

    Le Département V, c’est une brigade qui s’occupe d’éplucher les affaires désormais classées. Une voie de garage ? Non, pour moi, c’est tout à fait l’inverse. C’est un excellent moyen de démontrer que tu es capable de mettre la lumière sur une affaire qui est restée au point mort jusqu’à présent.

    Carl Mørck l’a bien compris. Avec ses coéquipiers Assad et Rose, il a déjà bien fait ses preuves jusqu’à maintenant. Mais cette fois-ci, c’est aussi un combat interne qu’il va mener : sauver le Département V des coupes budgétaires. Les preuves, il les a montrées, mais visiblement elles se sont effeuillées petit à petit en montant les échelons qui mènent aux "décideurs".

    Soit...

    1995. La petite Dorrit, danoise issue d’une famille germanique, est témoin d’une dispute familiale entre ses parents et ses grands-parents. Elle sera également témoin, un peu par-hasard, des activités de son grand-papa lors de la Seconde guerre mondiale. Témoin de trop de choses, finalement.

    20 ans plus tard, Denise - elle a changé de prénom - vit ou plutôt survit dans une petite chambre de bonne. Sa mère, autant démunie que sa fille, vit - non, survit ! - dans la même bicoque, au rez-de-chaussée. La grand-mère, vieille casse-couilles moralisatrice est, quant à elle, assez blindée de thune.

    Denise est une habituée des services sociaux. Sans job, sans fric, sans trop de compétences, mais par contre munie d’une belle gueule de bimbo, elle se débrouille comme elle peut, parfois en arpentant le trottoir.

    Les services sociaux seront justement au centre de cette histoire. L’auteur met le projecteur sur une catégorie bien précise de personnes ayant besoin de leurs services : des jeunes filles, de loin pas désagréables à regarder, toujours bien fringuées, mais la tête aussi vide que leur portemonnaie. Bref, des tire-au-cul limite déjà fatiguées de devoir ouvrir les yeux le matin, à part peut-être pour les maquiller pendant des plombes. Une catégorie de personnes qui énerve au plus haut point les employées de ce service de l’Etat.

    Telles que ces cruches sont décrites ici, on aurait presque envie de les massacrer à coups de maillet sur la tête. D’ailleurs, c’est ce qui va plus ou moins se passer ici : une personne a décidé de s’en prendre à ces petites écervelées hautaines.

    Pour revenir à l’interne, soit au Département V, on pourra malheureusement apercevoir que Rose ne va pas bien du tout depuis quelques temps. Elle va gravement péter une durite et descendre dans des abîmes aux fonds terriblement mouvants. Rose est à deux doigts de sectionner le seul fil qui la retient encore ici... vous verrez pourquoi et comment.

    L’intrigue, qui a plusieurs fronts, est intéressante. Nous avons notamment à faire à une personne que je vais qualifier de standard, très respectueuse, bosseuse, mais peut-être faible et, surtout, qui a été poussée à bout. (Je ne parle plus de Rose). Et ici l’auteur va nous démontrer comment un individu tel que je l’ai décrit peut devenir haineux, dangereux et déséquilibré.

    Dès lors, en tant que lecteur, nous allons presque nous demander si nous ne serions pas pareils dans de telles circonstances. On en revient donc à cette problématique de la "justice" qui baigne ici dans son état le plus primitif ! Faire sa propre justice.

    Perdre pied et naviguer à vue, aveuglé par la haine, la frustration puis la folie, voilà le bilan d’une personne qui a perdu tous ses repères. Nous verrons jusqu’où peut conduire une situation qui place un individu dans le rôle d’une victime face à une injustice, ou du moins que lui estime injuste... Cette personne-là va se "prendre au jeu" jusqu’au bout et fixer des règles fatales. Fatales pour qui ?

    Nous allons ensuite, avec Carl Mørck et Assad, décortiquer la vie de Rose, enlever chaque pétales, un par un, pour tenter de savoir pourquoi il y a autant d’épines accrochées à son âme.

    Et pour finir, toujours avec les enquêteurs du Département V, nous allons nous pencher sur un double meurtre crapuleux.

    Bien évidemment, des liens directs, voire indirects, même peut-être des hasards vont aider à rassembler toutes ces affaires, jusqu’à un dénouement assez classique, mais très bien réalisé.

    Bonne lecture.

  • QuoiLire 10 juillet 2017
    Selfies - Jussi Adler Olsen

    Pour les habitués de mon blog, vous noterez que je n’ai pas classé Selfies dans la catégorie des thrillers mais dans celle des romans policiers. En effet, même si les victimes de ce roman ne vivent pas de bons moments, le niveau de noirceur dans les romans actuels font que ce livre est gentillet. Cependant j’avoue avoir bien aimé l’imbrication des différentes affaires qui donne un peu de piment à ces affaires relativement simples qui ont un peu de mal à démarrer.

    Les fidèles lecteurs de Jussi Adler-Olsen vont avoir la joie de retrouver l’équipe du département des cold cases de Copenhague, le département V : la rudesse de Carl Morck, la folie de Rose ou d’une de ses autres personnalités, le mystérieux Assad et le timide et amoureux transi Gordon. C’est d’ailleurs le grand intérêt qu’auront les lecteurs dans ce septième tome qu’est de suivre les aventures de cette troupe, et de connaître un peu plus de leur passé et de leurs mésaventures. Les lecteurs seront ravis car la moitié du livre porte sur ce point.On aimerait cependant que les révélations sur Assad soient plus nombreuses pour enfin découvrir l’identité de celui-ci.

    Si l’écriture est toujours aussi impeccable et fluide, la limite dans ce livre à une lecture rapide et agréable est la multiplicité des personnages qui nécessite une petite gymnastique cérébrale pour se souvenir de tous les protagonistes et de les resituer au fur et à mesure de l’histoire.

    Je conseillerais donc ce livre aux fidèles lecteurs des aventures du département V.
    (https://quoilire.wordpress.com/2017/07/10/jussi-adler-olsen-selfies/)

Votre #AvisPolar

Votre note :
Forum sur abonnement

Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.

ConnexionS’inscriremot de passe oublié ?

Bepolar.fr respecte les droits d’auteur et s’est toujours engagé à être rigoureux sur ce point, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. Les photos sont utilisées à des fins illustratives et non dans un but d’exploitation commerciale. et nous veillons à n’illustrer nos articles qu’avec des photos fournis dans les dossiers de presse prévues pour cette utilisation. Cependant, si vous, lecteur - anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe constatez qu’une photo est diffusée sur Bepolar.fr alors que les droits ne sont pas respectés, ayez la gentillesse de contacter la rédaction. Nous nous engageons à retirer toutes photos litigieuses. Merci pour votre compréhension.