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La maison des pendus- Jean-Paul Nozière

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Résumé :

Tonio qui partait braconner avec son chien autour du golf dans lequel il est jardinier, ne s’attendait pas à trouver le cadavre de Victor Sanga. Son chef s’est suicidé, en tuant par la même occasion Dakar, son chien. Qui était Victor, celui qu’ils appelaient le « nègre » ? Pourquoi Marcus et Lucie vivaient avec lui ? Marie, Joseph, Maxime et Tony, des personnes limite asociales. Tout ce petit monde vit dans le golf du Val-des-Sources, chacun détestant l’autre… Jusqu’où sont-ils capables d’aller par cupidité ?

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Vos #AvisPolar

  • Stef Eleane 5 mars 2019
    La maison des pendus- Jean-Paul Nozière

    Ce roman qui vient de sortir chez French Pulp Éditions est encore un excellent roman noir, un livre avec une atmosphère prenante.

    Victor Sanga est retrouvé mort dans une vieille cabane de chasse. Tout pourrait laisser croire à un suicide, mais son chien est également mort avec lui. Ce vieux qui habite « la maison des pendus » avait beaucoup de secrets. Son passé. Le mythe d’une fortune caché chez lui. Sa relation avec deux employés du Golf. Pour comprendre, il vous faut remonter l’histoire.

    Jean-Paul Nozière ne vous offre pas un livre avec une enquête effrénée. Ici, c’est plutôt un décor, des personnages aboutis, une ambiance presque en huis clos avec le Golf, la maison et les bois. Un roman noir quoi !

    Construit en trois parties. La découverte du mort. Le passé puis l’après, vous permets de prendre votre temps pour comprendre chaque élément, chaque perso et chaque lien.

    Les personnages sont exceptionnels. Difficile de les aimer pour certains. Tous manipulateurs sauf un. Le seul personnage qui m’a touché est Marcus, le plus simple, le plus pur. Tous employés du Golf, on se retrouve avec un panel de mesquinerie et jalousie…. Tout y passe, enfin beaucoup de choses que j’exècre comme la chasse, le racisme. On est propulsé dans ce que l’Homme fait de mauvais.

    Une ambiance donc comme je le disais. Il m’a fait penser au roman Nulle part sur la terre de Michael Farris Smith, par son rythme lent et cette noirceur. Un chouette roman à découvrir !

  • mavic 1er mars 2019
    La maison des pendus- Jean-Paul Nozière

    Voici ma première déception de l’année. Ce qui aurait pu être un thriller haletant ou un roman noir prenant, est au final une histoire un peu bancal avec des personnages pour lesquels il est difficile d’avoir de la compassion. Si l’intrigue en soi est intéressante, j’ai trouvé que cela partait dans tous les sens et qu’au final beaucoup de questions restaient et restent encore en suspens.

    Difficile de dire que l’on a pas aimé un livre. J’essaye au maximum de tirer du positif dans tous les livres que je lis. Mais ici c’est compliqué... parce que j’ai eu l’impression d’être dans un espèce de nanard où les personnages misent en scène sont plus antipathiques les uns que les autres et où je passe complètement à côté de l’intrigue. Pourtant le prologue donnait, suscitait l’envie malgré les pensées un peu ronflantes de Tony, chasseur qui découvre le corps de Victor Senga.

    D’ailleurs c’est ce qui a rendu ma lecture pesante et quelques peu laborieuse, les pensées des jardiniers du Val-des-sources. Que c’est long ! Ce n’est pas forcément intéressant à part pour se dire qu’ils reflètent le parfait cliché de "beauf" qui n’a que trois passions dans la vie : la chasse, l’argent et le sexe. Ah et l’alcool aussi !

    De plus les relations entre tous les personnages et je dis bien tous, sont malsaines et dérangeantes. Entre sexe, manipulation et méchanceté gratuite on est servis. D’autant qu’à mon sens cela n’apporte pas grand chose à l’histoire mis à part de l’abandonner ou de le finir au plus vite.

    Ainsi l’histoire se compose en deux parties : avant la mort de Victor Senga et l’après. Si l’auteur prend le temps de poser sa première partie, j’ai trouvé que la deuxième était assez vite expédiée. Et pourtant niveau répartition on est sur du quasi 50/50. Pourquoi ce ressenti alors ? Car si l’on reste sur les mêmes points de vue qu’au début, vient s’ajouter celui du flic en charge de l’enquête et qui s’ennuie bien profond dans sa bourgade.

    Ce nouveau point de vue redonne un rythme à l’histoire, et heureusement, mais il manque de détails, d’approfondissement. Moi qui aime quand c’est concis et précis, j’avoue que pour le coup je me suis sentie frustrée par le manque d’informations. Tout va beaucoup trop vite. Là où l’auteur peut parfois trop s’appesantir notamment sur le côté quelque peu graveleux des protagonistes, il va parfois trop vite sur des éléments qui entraînent des questions sans réponses. Ou alors il faut lire entre les lignes, chose que je n’ai pas su faire.

    Pourtant le thème abordé aurait pu être bon encore une fois. L’appât du gain et ce que cela entraîne comme réaction. Surtout dans un petit village où a l’air de régner la précarité. De principe je trouve cela vraiment intéressant surtout que l’on ne sait pas du tout ce qui est arrivé à Victor. Meurtre ou suicide ? Clairement cette question est très vite oubliée pour autre chose mais de beaucoup moins intéressant. Et encore une fois, c’est dommage.

    En bref,

    Ca n’a pas fonctionné avec La maison des pendus et moi. J’ai trouvé l’intrigue bancal, pas forcément intéressante de par la manière dont c’est amené. Des personnages insipides, exaspérants et d’autres pas assez exploités. Là où cela aurait pu être un très bon roman noir de par les thèmes évoqués, je n’ai ressenti que lassitude et exaspération. Evidemment je vous laisse vous faire votre propre avis, si l’envie vous dit.

  • Mes évasions livresques 1er mars 2019
    La maison des pendus- Jean-Paul Nozière

    L’auteur nous livre avec ce roman noir une véritable chronique de la haine ordinaire.
    Tous les personnages du golf du Val- des -Sources se vouent une haine tangible.
    L’envie, la jalousie, la cupidité... tout cela va mener à un drame étonnant.

    Tout débute avec la mort de Victor Sanga, chef des jardiniers au golf du Val-des-Sources, et de son chien.
    Homme énigmatique et plein de ressources, il vivait avec deux employés du golf : Marcus et Lucie.
    Cet étonnant trio avait réveillé la jalousie de quatre employés : Joseph, Tony, Maxime et Marie, pauvres hères cupides et mesquins, qui envient un certain train de vie qu’affiche leur chef, Victor Sanga, bien au-delà du salaire qu’il a.

    De cette cupidité va naître un imbroglio où chacun pense mériter sa part du gâteau, où chacun semble avoir des choses à se reprocher, où chacun est un coupable imaginable...

    Ce roman noir fut une bonne lecture bien que tous les personnages étaient antipathiques au possible. Pour comprendre comment Victor est mort, on va devoir se pencher sur le passé de tous les personnages.
    On pourrait séparer le moment en deux parties : la première, une sorte de huis clos où comme dans une pièce de vaudeville, les personnages se croisent, s’aiment et se détestent. La deuxième partie est plus une chasse au trésor avec un road trip très intéressant, nous dévoilant encore plus sur la psychologie des personnages.

    J’ai apprécié cette lecture bien que l’écriture était un peu trop classique pour moi et que l’ensemble manquait de modernité. Il y avait un côté intemporel dans le style qui m’a interrogé plusieurs fois sur la période à laquelle se déroulait le récit. Quelques indices m’ont bien renseigné sur le fait que ça se passait bien de nos jours mais ça aurait pu se passer dans les années 60 par exemple...

    Un roman noir avec tous les codes du genre avec des personnages cupides et désœuvrés, une femme fatale, un trésor caché et une ou deux bonnes âmes perdues. Un roman noir old school pour les amateurs du genre :)

    Une curiosité à découvrir ;)

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