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La Soustraction des possibles - Joseph Incardona

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Résumé :

Fin des années 80, c’est la période bénie des winners. Le capitalisme et ses champions, les Golden Boys de la finance, ont gagné : le bloc de l’Est explose, les flux d’argent sont mondialisés. Tout devient marchandise, les corps, les femmes, les privilèges, le bonheur même. Un monde nouveau s’invente, on parle d’algorithmes et d’OGM.
À Genève, Svetlana, une jeune financière prometteuse, rencontre Aldo, un prof de tennis vaguement gigolo. Ils s’aiment mais veulent plus. Plus d’argent, plus de pouvoir, plus de reconnaissance. Leur chance, ce pourrait être ces fortunes en transit. Ils pensent qu’il suffit d’être assez malin pour se servir. Mais en amour comme en argent, il y a toujours plus avide et plus féroce que soi.
De la Suisse au Mexique, en passant par la Corse, Joseph Incardona brosse une fresque ambitieuse, à la mécanique aussi brillante qu’implacable.

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Vos #AvisPolar

  • jeanmid 4 octobre 2023
    Marathon du polar 2023, équipe JMD
    La Soustraction des possibles - Joseph Incardona

    Suite de mes pérégrinations en terre suisse romande avec ce roman de Joseph Incardona .
    Un amoureux de la langue de Molière mais aussi du poète suisse Charles Ferdinand Ramuz dont , comme l’indique Wikipédia - oui je sais on a la culture qu’on peut - les écrits reflètent les espoirs et les désirs de l’être humain . Et Dieu sait que ce roman est un condensé d’espoirs pas toujours couronnés de succès et de désirs souvent inassouvis .

    Prenons Aldo “le gigolo” , un professeur de tennis , beau gosse, toujours le teint bronzé , trentenaire approchant la quarantaine mais les muscles saillants et l’énergie du sportif qui s’entretient . le club de luxe dans lequel il officie représente un réservoir d’opportunité en gent féminine , riche à millions , frisant la cinquantaine mais avec une libido aussi démesurée que le trop plein d’ennui qui rythme leurs journées monotones . Un manque d’amour et de tendresse qu’Aldo propose de combler moyennant quelques marques d’affection pécuniaires .Mais plus que ça c’est pour Aldo Bianchi la possibilité de gravir à marche forcée les échelons de la société et d’entrer de plein pied dans le clan des nantis .
    Odile va représenter cette opportunité : elle va tomber follement amoureuse de son Aldo chéri ne lésinant sur aucune dépense ni sur aucun voyage pour faire plaisir à son amant .
    Elle va même l’embarquer dans une combine de porteur de valises permettant à une organisation criminelle de faire passer en toute discrétion la frontière franco suisse à quelques millions de francs français en cash . Un business bien rodé mais qui est gourmande en petites mains quand le flux s’accélère . C’est à l’occasion d’une soirée entre banquiers suisse et bourgeois établis que Aldo va faire la connaissance de Svetlana , une jeune banquière aux dents longues . Une rencontre qui va bouleverser à jamais leur vie et leurs ambitions mais la force de l’amour peut-elle battre la puissance de la convoitise ?

    On connaît la chanson “ les histoires d’amour finissent mal en général “ . Je ne vous cacherai pas que l’auteur ne laisse que peu d’espoir dans la réalisation d’un élément positif dans ce roman de pure noirceur et l’amour , même s’il crève l’écran par son incroyable intensité , ne résiste pas à l’immoralité , au machiavélisme et à la manipulation élevés ici à l’état de l’art par certains des personnages , qui semblent agir dans un mouvement perpétuel à la recherche de la multiplication infinie de leurs richesses . Un club très fermé où chaque membre , alors qu’il possède déjà tout , souhaite encore plus . Comme un appétit insatiable et incontrôlable . Comme une drogue ...ou une pathologie incurable .
    L’auteur nous immerge dans cette eau polluée en égos surdimensionnés , en jeux de rôles et jeux de dupes , en collusions toxiques entre des banquiers avides et des criminels en recherche permanente des meilleures blanchisseries suisses dans lesquelles écouler leurs liquidités .. L’auteur n’a pas de mots assez féroces pour décrire cette équipée malsaine , ces desseins dramatiques travestis par un orgueil et un narcissisme démesuré . Rien n’est caricatural dans les mots utilisés par Joseph Incardona pour dépeindre ces filous en Rolex - pardon en Patek - dont la cupidité n’a d’égal que leur insensibilité .
    Ce n’est pas un hasard si la période où se déroule le récit se situe à la fin des années 80 , les années fric , les années frime . le paraître et le superficiel comme moto . le capitalisme flamboyant - et flambeur - alors que le régime communiste russe vit ses derniers soubresauts .
    Un roman d’une grande justesse , qui plante ses flèches acérées sur cette période et cette faune consanguine , tout en laissant le lecteur seul juge des éventuels enseignements qu’il pourra en tirer.

  • reb_books 31 janvier 2022
    La Soustraction des possibles - Joseph Incardona

    Nous sommes en 1989 : le monde est en pleine mutation, le mur de Berlin va bientôt tomber, tout comme le rideau de fer. A Genève, dans les beaux quartiers, l’argent attise les convoitises. Aldo, le « rital », prof de tennis et gigolo, tente de s’en sortir en usant de ses charmes et de ses capacités d’ex professionnel de la raquette auprès de riches femmes, souvent délaissées. Svetlana, jeune femme intelligente qui a réussi à s’extraire d’Europe de l’Est, travaille dans une grande banque de la place. Tous les deux sont faits du même bois, ils veulent leur part du gâteau, quitte à se brûler les ailes.

    La couverture, avec ses mouvements de montres, m’a d’abord fait penser à un hommage à la Suisse pour son horlogerie mais en avançant dans le récit, j’y ai plutôt vu l’engrenage dans lequel sont pris nos héros. Les espoirs ne tiennent alors qu’à un fil, tous les personnages sont impliqués, le moindre grain de sable et la machine se grippe.

    Genève, ma ville natale, est décrite avec beaucoup de réalisme. La carte poste d’abord, avec les rives du Léman, le jet d’eau, les enseignes lumineuses dans la rade, les quartiers aux villas hors de prix, la rue du Rhône et ses banques, ses magasins de luxe, ses joailliers. Cette Genève ambivalente, d’un côté très riche, snob et d’un autre côté, populaire, bigarrée, peuplée d’immigrés. Cet eldorado convoité, ce monde de la finance, des banques, qui attire les plus avides (et peu scrupuleux) ou les grands de ce monde. Cacher ses millions, les faire fructifier, avec plus ou moins de légalité. A l’époque de l’histoire, le secret bancaire est encore d’actualité et le blanchiment d’argent d’une banalité (mais n’est-ce pas encore le cas aujourd’hui ?).

    Les 400 pages de ce roman sont très denses. L’histoire nous attrape, prenante. J’ai eu besoin de bien tout intégrer, raison pour laquelle j’ai pris du temps pour le lire, pour le savourer devrais-je dire. Je ne connaissais pas encore la plume de Joseph Incardona, j’ai beaucoup aimé le fait que l’auteur fasse des apparitions dans la narration. De plus, son style n’est pas linéaire, ce qui casse agréablement le rythme : certaines parties sont instructives, d’autres très poétiques et d’autres passages, au contraire, très crus, directs, bruts. A mon sens ni polar, ni véritablement thriller, cette histoire d’amour et de fric se révèle pleine de suspense, et ceci jusqu’au bout, où l’auteur nous réserve un final sans concessions.

    En résumé, une claque livresque !
    Un récit puissant, noir et cynique qui marque et que je vous recommande !

    https://tasouleslivres.com/la-soustraction-des-possibles-joseph-incardona/

  • Seb_Ply 9 octobre 2020
    La Soustraction des possibles - Joseph Incardona

    Joseph Incardona m’avait déjà scotché avec le sombre "Derrière les panneaux il y a des hommes" mais alors celui-ci, je l’ai trouvé encore plus abouti. Aussi bien dans les thèmes abordés que dans son écriture singulière, très visuelle.

    L’auteur s’extrait à certains moments de l’intrigue en commentant ce que vivent ses personnages, en mettant à jour des procédés narratifs, c’est déroutant au début mais très bien trouvé.

    On découvre au fil des pages une intrigue se déroulant en Suisse à la fin des 80’s. Une intrigue dans un monde où le paraître est la règle, où l’argent est roi (euphémisme), où les apparences sont trompeuses et où les engrenages sont bien plus complexes qu’on ne le pense. Des banquiers, des mafieux, des petites frappes, tout ce petit monde gravite et finit par se croiser. Un polar qui va crescendo, à lire.

  • Komboloi 7 juillet 2020
    La Soustraction des possibles - Joseph Incardona

    Joseph Incardona livre ici une fresque haletante, résolument contemporaine et engagée avec une liberté de ton tout à fait intéressante.

    Le lecteur est invité à suivre Aldo, un professeur de tennis mais aussi un gigolo qui a soif d’argent et d’ascension sociale. Il va mettre le doigt dans un engrenage qui va le conduire à rencontrer son alter ego féminin, Svetlana. Cette envie de s’élever dans la société coûte que coûte va petit à petit les détruire.

    Ce roman, c’est d’abord une critique acerbe de certains milieux comme la banque ou bien les ultra-riches, des milieux où l’argent est roi et surtout synonyme de pouvoir. Des actes immoraux jusqu’à la grande criminalité, l’auteur montre les répercussions pouvant découler de cette course à l’argent et au pouvoir.

    Le rythme est parfait et ne laisse aucun répit au lecteur. La narration est soignée avec un style qui semble bien caractéristique de l’auteur à base de digressions savamment dosées et venant systématiquement se raccrocher parfaitement à la trame principale. le lecteur est baladé de droite à gauche sans temps mort et assiste impuissant à la chute qui au fur et à mesure du roman devient inexorable. La violence, l’argent, le sexe sont présents à quasiment chaque page sans pour autant tomber dans quelques choses de trop indigeste, de trop grossier. L’auteur fait montre d’une belle maîtrise et d’un équilibre quasiment parfait dans son récit.

    C’est donc un roman tout à fait intéressant, particulièrement prenant et à l’écriture agréable et moderne. Derrière tout ça, on discerne une vraie critique de la société par l’auteur qui a écrit ce roman avec une liberté de ton très appréciable. Je n’ai pas vu le temps passer tant ce récit et ces parcours croisés aux trajectoires différentes mais ayant pour autant le même objectif est intéressant à suivre. Une vraie découverte !

  • Alex-Mot-à-Mots 6 avril 2020
    La Soustraction des possibles - Joseph Incardona

    J’ai dévoré ce roman comme une pâtisserie jamais écœurante.

    Est-ce le cadre ? Est-ce le cadre ?Genève et ses banques, ses couples sans difficultés financières, ses femmes aux corps parfaits, ses salons feutrés.

    Est-ce les personnages ? Aldo prof de tennis et gigolo en hiver ; Svetlana et sa fille qu’elle élève seule ; Odile folle éperdue d’Aldo et prête à tout pour lui ; Christophe Noir banquier sans scrupule ; le couple Horst et Julia ; Mimi la corse qui règle les problèmes elle-même.

    Est-ce le récit qui se met en place lentement : on entre dans l’intimité de chaque personnage jusqu’au gros coup final.

    Est-ce le ton si spécial : le narrateur prend à partie le lecteur, anticipe, joue avec ses nerfs.

    Il est beaucoup question des romans de Charles-Ferdinand Ramuz, auteur helvétique que je n’ai jamais lu.

    Même si la haute finance est un mystère pour vous comme pour moi, l’auteur réussi le tour de force de passionner le lecteur avec des personnages attachants ou repoussants et une narration vivante.

    Quelques citations :

    La jalousie. Souffrance à l’état pur. (p.186)

    Le problème avec la vie qui avance, c’est qu’elle soustrait les possibles. (p.268)

    (…) un des thème du roman est aussi celui de la superficialité au croisement de la tragédie. (p.271)

    L’image que je retiendrai :

    Celle du collier Tiffany dans un des coffre de la Banque.

    https://alexmotamots.fr/la-soustraction-des-possibles-joseph-incardona/

  • Kirzy 29 mars 2020
    La Soustraction des possibles - Joseph Incardona

    J’avais été très impressionnée par la noirceur atypique de Derrière les panneaux il y a des hommes. Je le suis encore par La Soustraction des possibles tant ce roman a du souffle et de l’ampleur pour raconter notre époque, bien au-delà du simple roman noir, mais toujours avec la même radicalité explosive.

    De l’ampleur, assurément avec cette fresque ambitieuse qui se déploie telle une tragédie grecque dans l’univers des golden boys de la finance suisse à la fin des années 1980.

    Dès le prologue, bref et fort, l’auteur se place en coryphée pour dire tout ce que seront les actes à suivre, tout ce qu’ils ne seront pas. Les mots clefs tiltent dans la tête du lecteur : fortune – crime – trahison – châtiment – désir – truands – vanité et ambition. Tout est annoncé. Assurément. Mais ce sera avant tout une histoire d’amour. Tragique, forcément tragique. En trois actes.

    Dès les premières pages, on est saisi par l’âpreté terrible qui suinte derrière chaque mot pour présenter les personnages principaux : Aldo, le prof de tennis gigolo obsédé par l’argent qui n’a pas et convoite ; Svetlana, la jeune banquière qui comme lui à la rage de réussir chevillé au corps ; Odile, quinquagénaire désespérée, épouse richissime d’un banquier genevois. Leurs portraits, ainsi que ceux de tous les autres personnages qui vont graviter autour ( banquiers, mafieux, proxénètes, avocats ) sont incroyables, bien au-delà des caricatures habituelles et transforme le premier acte en véritable comédie humaine à la Balzac, trempée à l’encre noire.

    Le deuxième acte bascule dans le thriller avec la combine géniale que croit monter Aldo et Svetlana au diapason de la passion amoureuse qui les emporte. le rythme s’accélère, le suspense happe. On est comme au cinéma, version ultra nerveuse. L’écriture est de plus en plus acéré. Joueuse aussi car Joseph Incardona continue à se la jouer coryphée avec ses apartés au lecteur / spectateur qui prennent des allures de sentences prophétiques, souvent drôles, toujours impitoyables.

    Tout se fracasse dans le troisième acte comme on le pressentait dès le départ. C’est là que le talent de constructeur de l’auteur se mesure le plus. Tous les engrenages mis en place lors des actes précédent s’enchâssent implacablement. le roman devient une machine infernale à broyer ceux qui ont succombé à l’hybris, ces dominés qui ont naïvement cru qu’ils pouvaient duper les dominants, ses professionnels de la magouille financière, pour s’arroger le pactole.

    Cette façon de dépecer à l’os l’homme et la société capitaliste qu’il a créé, est absolument brillante et hisse Joseph Incardona en moraliste affuté doublé d’un styliste hors pair.
    J’ai vibré. Peut-être aurais-je aimé vibré plus, dans le sens de m’enflammer pour des personnages.
    Finalement, ce n’est ni Aldo, ni Svetlana, malgré leur histoire d’amour à la Bonnie & Clyde, qui ont fait battre mon coeur ... inattendu, mais ce fut Odile, l’épouse fortunée et désoeuvrée qui redécouvre l’amour en la personne d’Aldo, lucide Odile qui sait que ce n’est pas réciproque et juste une histoire de fric, mais qui s’accroche comme une midinette :

    « Elle pressent jouer ses dernières cartes. Elle a connu cette même intensité, il y a une trentaine d’années, cet accélérateur de particules qu’est la passion. René ( son mari ) n’était pas l’homme en question, mais un amour de vacances aux doigts fins et aux caresses subtiles ; René est venu après, son plus grand mensonge. L’arrogance de la jeunesse, sa beauté, lui laissaient croire qu’elle aurait l’essentiel : richesse, maternité, réussite sociale. Elle a simplement oublié l’amitié et l’amour, la connivence, l’éclat de complicité jubilatoire dans l’oeil de l’autre, l’odeur de sa peau. Ces phéromones leviers de l’univers. Il y a l’épiderme auquel on s’efforce de s’habituer avec le temps, et puis l’autre, celui qu’on lèche comme une évidence dès la première fois, dont on s’enivre et qui nous brûle.
    Odile a choisi, oubliant la peau. La langue sur la peau. le goût de celui qu’on avale. Celui qu’on choisit dans son ventre.
    Sauf que l’amour est revenu. Il a traversé les âges comme l’os lancé par le singe dans le film de Kubrick. Elle avait anticipé un adultère maitrisé, s’offrir le professeur de tennis comme un nouveau tailleur, mais pas cette déferlante d’hormones ayant pénétré par effraction, s’insinuant et rampant, bouleversant les équilibres, renversant les barrières sociales et psychologiques."

  • Sangpages 6 février 2020
    La Soustraction des possibles - Joseph Incardona

    Une histoire faite de champagne et de caviar. De court de tennis et de Tag Heuer. De Versace et de Chanel.
    Une histoire faite d’une femme qui s’ennuie à mourir dans sa cage dorée. D’un mec version gigolo prof de tennis. D’une bimbo tchèque qui a su faire sa place au soleil. D’une famille Corse qui règne en maître et seigneur. De fric, de pouvoir, de tromperie, de trafic en tout genre. De blanchiment qui n’est pas celui d’une laverie automatique. De personnages hauts en couleur. De sarcasme, d’ironie, d’humour et...pour une fois...d’amour !
    Une recette à l’Incardona qui se veut, comme toujours, explosive et jubilatoire !
    Toujours difficile d’exprimer un ressenti à la lecture d’un Incardona. C’est un style unique. C’est des mots qui s’entremêlent à la perfection. Des émotions bruts. Un regard sur notre société. Acerbe, piquant, pointu, perturbant. Une plume acéré qui tranche comme la lame d’un scalpel.
    Tu observeras l’histoire au travers d’un objectif de caméra.
    Un auteur en narrateur omniscient qui te raconte et s’adresse même directement à toi lecteur. Fabuleux !
    "La soustraction des possibles", c’est un titre exceptionnel pour un récit "Made in Switzerland" avec mode d’emploi intégré. Noir, puissant, brutal.
    Incardona te plonge, à l’aube de l’avènement du net, dans les méandres du blanchiment d’argent, dans les profondeurs abyssales des coffres suisses avant la levée du secret bancaire mais aussi dans les relations humaines sous toutes ces formes dans un final en feu d’artifice ! Brillant !
    Un Incardona, ça ne s’explique pas. Ca se lit !

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