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Le Cercle - Bernard Minier

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16 #AvisPolar
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3 enquêteurs
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Résumé :

Pourquoi la mort s’acharne-t-elle sur Marsac, petite ville universitaire du Sud-Ouest ?
Une prof assassinée, un éleveur dévoré par ses propres chiens… et un mail énigmatique, peut-être signé par le plus retors des serial killers.
Confronté dans son enquête à un univers terrifiant de perversité, le commandant Servaz va faire l’apprentissage de la peur, pour lui-même comme pour les siens.

Source : Éditions Pocket

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Vos #AvisPolar

  • Asciena Rose 25 février 2024
    Le Cercle - Bernard Minier

    L’enquête est complexe mais bien maîtrisée, abordant divers thèmes avec habileté. Se laisser porter par les découvertes des enquêteurs a été un vrai plaisir. En conclusion, je pense avoir encore plus apprécié le deuxième tome de cette série d’enquêtes de Martin Servaz, et j’ai hâte de lire la suite pour retrouver un policier avec une personnalité humaine et réaliste, ainsi qu’une enquête bien ficelée.

    Ma chronique complète : https://mellecupofteabouquine.wordpress.com/2024/01/28/chronique-martin-servaz-t2-le-cercle-de-bernard-minier/

  • angelita 30 décembre 2023
    Le Cercle - Bernard Minier

    Le cercle de Bernard Minier, présentation
    Elle est enfermée. Elle est devenue muette. Depuis combien de temps, elle ne sait plus.

    Un vendredi, une nuit d’orage à Marsac. Oliver appelle la gendarmerie après ce qu’il a vu dans la maison en face de chez lui.

    Avis Le cercle de Bernard Minier
    #Servaz2

    Ceci est le deuxième tome de Martin Servaz, qui vient donc avant N’éteins pas la lumière où je m’interrogeais sur ce qui avait pu arriver dans l’opus précédent au célèbre commandant. Bernard Minier ne révèle pas tout.

    Une femme a été enlevée, elle est abusée, elle est enfermée depuis de nombreux mois dans ce cachot. Elle essaie de résister mentalement mais c’est très dur. Elle va abdiquer et sombrer dans la folie. Au milieu du roman, j’ai compris qui était cette femme et quand je suis plongée dans un roman, je suis tellement scotchée que je ne m’interroge pas forcément. Pourtant j’aurais dû avec ce que j’ai lu avec N’éteins pas la lumière.

    A Marsac, une jeune femme est retrouvée morte chez elle, noyée dans sa baignoire. Au vu des atrocités subies, elle ne pouvait pas s’en sortir. Martin Servaz reçoit l’appel d’une femme, qu’il a bien connu quand ils étaient étudiants. Elle l’informe que son fils a été arrêté et qu’il doit reprendre l’enquête. Cela ne plait pas aux gendarmes du cru, ni à la justice. Mais l’enquête lui est confiée. Après l’enquête de voisinage d’usage, la récolte des indices, Martin se rend compte qu’un CD de Malher est présent chez cette professeure. De suite, il fait le lien avec Hirtmann qui s’est évadé il y a près de deux ans et qui n’a jamais été retrouvé. Personne ne croit à la présence du célèbre tueur en série. Pourtant, au fur et à mesure, des indices sont laissés à l’intention de Martin Servaz. Ce dernier pense qu’Hugo, le fils de Marianne, n’est pas coupable, même s’il avait bu et pris de la drogue.

    En plongeant dans cette enquête, Martin se rend à Marsac, lieu où il a fait ses études, où il a noué des relations amoureuses et amicales. En revenant dans ce haut lieu d’études, il renouera avec Marianne, même si elle l’a fait souffrir et qu’il ne s’en est jamais remis. Il reverra un de ses meilleurs amis également et ce seront des révélations sur ce qui s’est passé lorqu’ils étaient jeunes et tous très unis. Mais la rivalité amoureuse a été au centre de leurs relations. Prendre le pas sur celui qui est jugé le plus intelligent. Prendre le pas sur une femme. Car Martin Servaz, en devenant flic, n’a pas suivi la voie qui lui était assignée. De plus, à Marsac, Martin va vouloir protéger sa fille, Margot, qui fait ses études. Cette dernière enquêtera, de son côté, avec un de ses amis, sur ce groupe de quatre jeunes gens, dont faisait partie Hugo, qui semble avoir quelque chose à cacher.

    Retour également d’Irène Ziegler qui tente de protéger Martin Servaz. Elle revient de vacances et a été rétrogradée dans ses fonctions, après ce qui s’est passé dans l’opus précédent et ce malgré le bon rapport de Martin. Elle aussi veut retrouver Hirtmann et fouille tant et plus pour affiner ses recherches. Martin prendra contact avec elle pour faire avancer son enquête.

    Une très belle histoire de manipulations dont on connait les aboutissants à la fin. Martin Servaz joue avec le feu tout du long et il en subira des conséquences puisqu’on s’en prendra à lui. Mais on veille sur lui et pas forcément ceux auxquels on s’attend. Cela ne lui plaira pas du tout de savoir ce que fait Hirtmann. Mais ce dernier a trouvé la personne qu’il juge égale à lui-même, le côté clair face au côté obscur.

    Bernard Minier entraîne son lecteur dans une belle histoire. Il a tout développé de main de maître. Je n’ai pas été au meilleur de ma forme pour lire ce roman car sur les derniers temps, j’en lisais qu’une trentaine de pages par soir, et encore, je ne comprenais pas forcément tous les tenants et aboutissants. Le lecteur est tenu en haleine jusqu’au bout. Une partie du final est époustouflante avec cette chevauchée sur l’autoroute. Martin Servaz a pris cher avec cette enquête, toute personnelle.

    J’ai donc lu assez rapidement les trois premiers de la série, ce qui me permet de savoir ce qui s’est passé avant N’éteins pas la lumière. Je vais donc pouvoir continuer les aventures de Martin Servaz. J’aime bien l’écriture de Bernard Minier, les situations racontées, les personnages de ses romans… Je n’ai pas encore éprouvé de coup de coeur mais j’espère que cela va venir.

  • Johanna 30 janvier 2023
    Le Cercle - Bernard Minier

    La suite des aventures de Martin Servaz toujours aussi palpitante !

    Après Glacé que j’avais adoré, j’avais très envie de continuer à découvrir Bernard Minier. J’ai encore été complètement prise dans cette enquête folle où tous les éléments s’emboitent doucement les uns avec les autres me laissant complètement perplexe jusqu’à la fin !

    Après le froid de Glacé, ici c’est sous la pluie que le commandant Servaz devra trouver le tueur qui rôde dans Marsac, petite ville étudiante proche de Toulouse. J’ai de plus en plus de sympathie pour ce flic complètement paumé, prenant tous les risques pour découvrir la vérité. J’ai hâte de continuer à le suivre et à voir s’il arrivera à se libérer de ses vieux démons.

    Je regrette que le résumé en 4ème de couverture en dise trop, encore une fois, c’est vraiment dommage pour un polar d’une grande qualité comme celui-ci que de se faire spoiler un élément de l’histoire qui n’apparaît que dans la seconde moitié du livre. Cela n’a pas gâché mon plaisir de lecture, je vous rassure !

  • Roxanebouquine 2 septembre 2021
    Le Cercle - Bernard Minier

    Un thriller prenant qu’on a du mal à lâcher. De multiples fausses pistes, des crimes sanglants et une multitude de personnes susceptibles d’être le coupable. Servaz va devoir replonger dans son passé et connaître la peur pour lui et ses proches. Avec le possible retour d’un personnage emblématique...

  • emy8909 16 juin 2021
    Le Cercle - Bernard Minier

    Voici la "suite" de glacé, on y retrouve Martin Servaz 18 mois après son enquête de glacé qui l’a profondément marqué.

    L’histoire se passe à Marsac, petite ville universitaire, où Martin y a passé sa jeunesse pour étudier. Le passé et les souvenirs remonte, mais il n’en oublie pas pour autant son enquête.

    Tout semble désigner le coupable, mais est ce vraiment lui ? Ou bien quelqu’un de plus terrible qui se cache dans l’ombre ?

    J’ai adoré ce livre, car dès les premières pages on est dans le bain, le ton est donné, une signature de @bernardminier

    On nous plonge au coeur de l’enquête qui va malmené Martin Servaz, dans le passé qui ressurgit, mais aussi dans le futur

  • labibliodeclo 25 septembre 2020
    Le Cercle - Bernard Minier

    Bernard Minier pourrait bien être le Harlan Coben français. J’ai lu les quelques 550 pages en 2 jours, ne pouvant m’arrêter de lire. Encore une fois, on s’attache énormément aux personnages : on retrouve bien entendu le fidèle Servaz, mais on rencontre également d’autres personnages, comme Marianne, qui promettent de rester dans les parages...

    à travers ce nouveau thriller, l’auteur joue avec nos nerfs : une ambiance angoissante, une organisation secrète intrigante, des suspects qui semblent tous être coupables...

    Une grande réussite pour ma part.

  • Des Livres Mon Univers 16 avril 2020
    Le Cercle - Bernard Minier

    j’ai adoré Le cercle encore plus que glacé ! Bernard Minier nous emmène sur les traces de Martin Servaz dans une atmosphère sous tension très électrique ! Vraiment excellent ! Avec une fin qui m’a surprise ! Je pense que je vais vite enchaîner la suite, enfin tant que je serais d’humeur à lire ces histoires avec moi ça peut changer très vite !

    Bernard Minier ça vous tente ? C’est le troisième que je lis avec M le bord de l’abîme que j’avais aussi bien aimé. Je trouve que c’est quand même plutôt pas mal, en tout cas j’ai très envie de continuer.

  • lireencore93420 12 avril 2020
    Le Cercle - Bernard Minier

    Marianne, le grand amour du commandant Martin Servaz l’appelle au secours, son fils se retrouve sur une scène de crime. A Marsac, la ville ou il as également fait ses études et ou sa fille Margot fait également les siennes.

    Ce deuxième opus est vraiment de la veine du premier, on flirte entre l’enquête en cours, une professeure tuée dans d’atroces souffrances et le psychopathe Hirtmann avec qui on as fait connaissance dans Glacé, qui reviens probablement ?

    On à faire à un récit qui va a cent a l’heure, énormément de rebondissements, une tension palpable ou on est plongée dans cet univers universitaire.

    Autant que Martin Servaz, qui parle de cette période, et les jeunes qui sont au cœur de l’intrigue.

    On peut remarquer le parallèle entre les deux périodes, la construction de la trame est vraiment bien amenée et j’ai vraiment adorer retrouver cette personnalité qu’est le commandant Martin Servaz, son côté littéraire, classique et bien le casse-cou qui m’as fait beaucoup rire, ainsi que sa collègue gendarme, Irène Ziegler.

    J’apprécie vraiment de me plonger dans une saga, on retrouve les protagonistes avec tellement de plaisir, et malgré cela, on est toujours surpris, enthousiasmé et ravie de continuer.

    La fin est assez triste, je n’ai pas versé ma larme, mais cela as ce côté violent, cruel, bon l’avantage, on sait qu’un on as un autre après.

    Dans ce tome, on est vraiment dans l’intime, ce que ressens ce personnage énigmatique qu’est Martin Servaz.

    Pour moi après cette lecture, il m’est impossible de ne pas prendre le suivant, mais surtout comme très peu de livres me font cet effet, je me sens bouleversée complètement chamboulée, sachant que c’est une série qui n’est pas finis, puisque le dernier volet est en cours de sortie.

  • lesmotsquilient 2 mars 2020
    Le Cercle - Bernard Minier

    près le succès de son livre « Glacé » et de son adaptation en série, j’avais plutôt hâte de relire un livre de Bernard Minier. Ce thriller est très bien ficelé du début à la fin ; le commandant Servaz est attachant et le suspens est mené d’une main de maître. Quelques longueurs parfois mais qui trouvent finalement petit à petit leurs pertinences. Ce deuxième livre m’a convaincue de lire plus de Bernard Minier !L’univers n’est pas si « Glacé » que le précédent. Les ingrédients d’un bon thrillers sont présents et l’histoire vaut le coup d’être lue. Entre flash-back, pas dans le futur et l’enquête menée au présent, Minier sème le doute jusqu’à la fin.

  • elodie rouge 7 novembre 2019
    Le Cercle - Bernard Minier

    Très bon second tome, j’avais adoré la plume de l’écrivain toulousain Bernard Minier dans Glacé et le second tome de m’a pas déçue.
    On retrouve le commandant Martin Servaz pour une nouvelle enquête dans la commune de Marsac, dés les premières pages on sait qu’on aura affaire également au retour du psychopathe Jullian Hirtmann, pleins de références au tome 1 que j’ai bien aimé et comme pour son premier livre j’ai été agréable surprise par la fin ! Hâte d’attaquer n’éteins pas la lumière pour retrouver tous les personnages dont je me suis attachée.

  • ju_se_livre 18 mai 2019
    Le Cercle - Bernard Minier

    En voilà un second tome bien plus interessant que le premier ! J’avais trouvé Glacé sympa. J’avais apprécié le personnage du commandant Servaz et son équipe mais sans plus . J’avais beaucoup plus été marquée par Hirtmann, un psychopathe sacrément emblématique.

    Par contre là je suis totalement conquise de A à Z ! J’ai adoré comment l’auteur a construit son histoire. Cette manière de faire monter le suspense crescendo. Plus on avance et plus on a envie de tourner les pages frénétiquement. Il y a une vraie montée en puissance dans l’intrigue. Et jai trouve très astucieux cette manière de réintroduire beaucoup de personnages du premier volet.

    Me voilà fan à mon tour du commandant Servaz. Car ici l’auteur décortique un peu plus son personnage. On en apprends plus sur son passé, ce qui le rend d’autant plus intéressant. Et le fil rouge qu’instaure Bernard Minier donne d’autant plus envie de se jeter sur la suite. L’avantage de découvrir une saga sur le tard c’est que je n’ai pas à attendre pour lire la suite et N’éteins pas la lumière est déjà dans ma pal 😜

  • lecturesdudimanche 12 avril 2019
    Le Cercle - Bernard Minier

    Même s’il n’est pas forcément indispensable d’avoir lu le premier tome (« Glacé » – mon avis ici), je pense que c’est quand même utile au confort de lecture, dans le sens où pas mal de références sont faites à l’enquête qui s’y était déroulée.

    On entre une nouvelle fois dans le vif du sujet dès les premières pages. Je ne sais pas si c’est le fait d’être déjà familiarisée avec l’équipe d’enquêteurs qui en a été responsable mais j’ai eu moins de mal à entrer dans l’histoire qu’avec le premier volet. Je trouve que l’écriture a gagné en maturité, les passages latins que je reprochais au tome 1 se sont espacés, mieux dosés et dans un contexte plus acceptable. On lève un pan de voile sur le passé de Servaz, ce qui le rend moins mécanique et plus humain. Concernant l’intrigue, chaque fois que vous penserez tenir le bon bout, détrompez-vous, vous serez à côté de la plaque ! Les infos pleuvent de partout et c’est un indescriptible méli-mélo qui nous fait nous interroger sur l’utile du superflus… On se demande vraiment où l’auteur souhaite nous mener… Et bien son objectif est tout simplement un emboîtement final grandiose où on a l’impression d’entendre petit à petit les rouages prendre leur place… Vous savez, un peu comme quand les participants à Fort Boyard s’installent sur les bonnes lettres et qu’on entend les éléments se mettre en branle… clac clac clac clac… Et Bingo ! L’énigme est résolue ! Sauf qu’à la clé, ce n’est pas un trésor pour Servaz… C’est même plutôt le contraire…

    Deuxième volet donc que j’ai apprécié d’avantage que le premier. Et qui d’ailleurs m’a clairement motivée à entamer le troisième…

  • La Caverne du Polar 10 mars 2019
    Le Cercle - Bernard Minier

    Aujourd’hui je vais vous parler du second tome de la série mettant en scène le commandant Martin Servaz. C’est toujours un grand plaisir de retrouver des personnages récurrents que l’on apprécie. J’ai beaucoup aimé Glacé, alors forcément j’attendais beaucoup de la suite et je dois dire que Le Cercle a vraiment été à la hauteur de mes attentes. C’est parti en direction du Sud-Ouest, plus précisément à Marsac et à Toulouse.

    L’histoire débute en juin 2010, en pleine Coupe du Monde de foot en Afrique du Sud. Le commandant Martin Servaz, qui se remet à peine de son enquête dans les Pyrénées, est contacté par Marianne, un amour de jeunesse. Claire Diemar, une des professeurs de son fils vient d’être retrouvé assassiné chez elle. Ce dernier a en effet été retrouvé sur les lieux du crime, à Marsac petite ville universitaire du Tarn. Marianne demande alors à Martin de prouver l’innocence de son fils. Le commandant Servaz et ses collègues vont devoir remuer ciel et terre pour défaire ce mystère. En même temps, Julian Hirtman, le tueur en série Suisse qui a sévit dans Glacé, est lui toujours en cavale, a été aperçu dans la région. D’ailleurs en inspectant les lieux du crime, Martin découvre un CD de Gustav Malher qui est son compositeur préféré, mais également celui de Hirtmann…Une bonne partie de l’enquête se déroule dans la prestigieuse université de Marsac, où étudie Margot sa fille, et d’où notre commandant est lui-même sorti diplômée.

    Oui Le Cercle est un pavé, mais il ne souffre d’aucune longueur. Les références culturelles littéraires et musicales sont de toutes beautés. Le style est parfaitement maîtrisé. Des rebondissements surprenants, des fausses pistes et du suspense rythment à merveille cette enquête. J’ai également apprécié de retrouver certains protagonistes du premier livre. Vincent Espérandieu, l’adjoint et ami de Martin, qui est l’exact opposé de son patron à qui il voue une grande admiration. Samira Cheung la Franco-Sino-Marocaine, personnage très excentrique et anticonformiste au tempérament volcanique qui sait se faire respecter par les hommes. Margot sa fille, adolescente rebelle, adepte de tatouages, de piercings et de blousons en cuir avec qui Martin entretient une relation assez conflictuelle. Et enfin Irène Ziegler, une gendarme attirée par les femmes.

    Si vous avez aimé Glacé, vous allez adorer Le Cercle, qui pour moi est un thriller captivant, mené d’une main de maître par Bernard Minier. J’ai hâte de lire la suite des aventures du commandant Martin Servaz et de toute son équipe !

  • jeanmid 6 mars 2019
    Le Cercle - Bernard Minier

    Si vous avez aimé le premier opus de Bernard Minier "Glacé " vous retrouverez ici avec plaisir le Commandant Martin Servaz , la gendarme à la moto Irène Ziegler. embringués dans une nouvelle enquête qui se déroule à Marsac , petite ville universitaire du Sud Ouest .
    Comme dans son premier roman , on est tenu en haleine jusqu’à la fin ; les intrigues , les mystères qui ressurgissent du passé , les personnages en haut en couleur , peuplent avec bonheur ce roman policier . Même si cette fois ci on est en juin , le climat reste humide et froid , l’’orage qui gronde noircit également le ciel mais aussi l’âme des protagonistes sans compter sur l’ombre de Julian Hirtmann qui plane à nouveau sur l’enquête...

  • meslivresetmoi33 18 février 2019
    Le Cercle - Bernard Minier

    Quel plaisir de retrouver Martin Servaz ! Dans ce tome nous le retrouvons 18 mois après les événements de Glacé.
    Ces événements l’auront marqués pour longtemps et il est encore très traumatisé. Alors quand l’ombre du tueur en serie refait surface a Marsac le commandant a peur. Pour lui, pour sa fille...
    Car Margot étudie à Marsac , comme son père avant elle, et Martin va devoir faire face à son passé !
    J’ai adoré ce tome, la menace permanente, l’atmosphère lourde et orageuse font qu’on s’imprégne de l’ambiance du livre et qu’on arrive plus à le lâcher. Une enquête dense dans laquelle nous allons soupçonner et innocenter beaucoup de personnages avant d’avoir le fin mot de l’histoire. J’ai beaucoup aimé en savoir plus sur le passé de Servaz et ce qui a fait de lui le flic qu’il est maintenant. Un très très bon livre !!

  • universpolars 24 novembre 2018
    Le Cercle - Bernard Minier

    "Le Cercle" est le second roman de Bernard Minier. Cette histoire met en scène le commandant Martin Servaz, flic au SRPJ de Toulouse, division des affaires criminelles, personnage que vous avez déjà pu suivre dans le premier roman de cet auteur, "Glacé".

    Et bien sûr, comme souvent, je fais les choses à l’envers ! Mais rassurez-vous, il n’est pas indispensable d’avoir suivi les premières aventures de Servaz pour apprécier celle que Bernard Minier vous propose ici.

    Le commandant Martin Servaz, 41 ans, divorcé, une fille Margot âgée de 18 ans, est appelé - inofficellement - sur une scène de crime assez particulière ; victime attachée et noyée au fond de sa baignoire, morte à petites gorgées d’eau savonneuse dans le gosier, une lampe de poche enclenchée enfoncée au fond de la gorge.

    Dans sa piscine bordant la résidence, des dizaines de poupées flottant à la surface. Au bord de celle-ci, un jeune homme qui paraît dans un état second. Évidemment, tous semble le désigner comme l’auteur présumé. La victime, Clair Diemer, était son professeur à Marsac, une ville universitaire réunissant des établissements prestigieux et reconnus.

    Le commandant Servaz a été appelé par Marianne, la mère du jeune assis au bord de la piscine, qui est affolée par cette scène impliquant son fils. Marianne... Amour de jeunesse du commandant. Aïe...

    Le tableau est planté ; une ambiance froide et humide, une pluie diluvienne nous rince dès les premières pages. L’orage insistant qui gronde en arrière plan et envoyant ses éclairs et ses coups de tonnerre nous annonce d’emblée la couleur - sombre - et le ton de cette histoire ; cela ne va pas forcément être gai.

    Nous sommes en 2010, dans la région de Toulouse, la coupe du monde de football qui se déroule en Afrique du Sud capte toutes les attentions. Enfin presque toutes, car il faut exclure le commandant Martin Servaz qui n’en a pas grand chose à foutre de ces rigolos qui courent après un ballon.

    Ce flic, qui voue un amour protecteur inconditionnel pour sa fille Margot - après la lecture et les livres, tout de même -, vit un sacré calvaire depuis plus de 18 mois, soit depuis que le suisse Julian Hirtmann, ancien procureur de Genève, s’est évadé d’un établissement psychiatrique. Servaz y pense chaque jour, mais aussi chaque nuit sous la forme de cauchemars envahissants.

    Une sorte de mort lente dans l’âme de ce flic qui venait de lui rendre visite peu avant son évasion. Cet ancien magistrat helvète, adepte d’orgies sado-maso, possède à son actif une quarantaine de meurtres, voir plus.

    Notre commandant et cet infâme personnage entretiennent une passion commune ; la musique classique, plus précisément les oeuvres du compositeur autrichien Gustav Mahler. Un point commun dont se serait bien passé notre flic, mais un point commun tout de même fort et bien ancré.

    Lors de cette enquête le touchant de très près - surtout vis à vis de son passé -, le commandant Martin Servaz va tomber sur quelques éléments bien particuliers qu’il aurait préféré négliger ou vite oublier. Mais ces éléments sont bien là, sur la scène du crime ou lors de l’enquête ; le doute devient une certitude, notre flic vient visiblement d’être contacté personnellement, subtilement, pour jouer au jeu du chat et de la souris. Les oeuvres de Gustav Mahler vont subitement prendre des aires de fausses notes dans les esgourdes du commandant Servaz., mais peut-être aussi des aires de fausses pistes pour nous, lecteurs.

    Après la pluie vient le beau temps. Ceci est une certitude au niveau météorologique, mais en tout cas pas au niveau de l’enquête. Celle-ci emmène le commandant Servaz et son équipe à Marsac, cette fameuse ville universitaire dont je vous parlais avant. Cet endroit principalement peuplé d’élèves et de professeurs, est un lieu bien connu du commandant, ayant lui-même étudié ici à l’époque.

    Les temps changent, les lieux un peu moins, mais les personnes qui composent le tableau sont parfois toujours les mêmes. Notre flic, encore une fois, va devoir affronter son passé qui revient à la surface comme une bouée bien trop gonflée. Rapide, directe et en pleine poire. Nostalgie.

    "Servaz n’oubliait pas qu’il s’agissait de Marsac, une ville universitaire, comme l’avait souligné Francis, qui l’avait comparée à la cour d’Elseneur, un endroit où on avait le sens de la discrétion tout comme celui de la médisance, où on poignardait, mais avec élégance, avec raffinement - et où toute accusation directe pouvait passer pour la plus impardonnable des fautes de goût.

    Ce qui n’arrange pas le commandant Servaz, dont l’enquête se rapproche toujours un peu plus de Marsac, c’est que sa fille Margot vit et étudie là-bas. Tout tourne autour de Martin Servaz, absolument tout ; l’auteur en fait le noyau de cette histoire. Nous avançons aux côtés d’un homme perdu, qui traverse la vie comme un navire perdant le contrôle et naviguant à vue, au gré des vagues. Un homme seul qui a rapidement été confronté aux tourments de la vie, mais aussi à la mort de sa famille. Un homme désemparé, dérouté, qui va l’être encore davantage lors de cette enquête très personnelle qui va immanquablement faire ressurgir son passé chargé d’émotion et parfois d’incompréhension.

    Mais aussi un homme décidé à conduire cette enquête jusqu’au bout, jusqu’à la vérité, sans se faire piéger par les circonstances, respectivement en ôtant les oeillères qu’endossent encore pas mal de flics inexpérimentés. Se fier aux apparences pourrait engendrer des conséquences irréparables, et c’est le cas ici. L’acharnement et les remises en question seront des qualités essentielles pour ce flic.

    Bernard Minier sait nous faire poireauter avec brio, avec beaucoup d’habileté. Le rythme est lent et palpitant à la fois ; quel paradoxe ! L’auteur nous fait progresser sans trop nous en dire, mais en nous disant juste assez pour nous faire envie d’avancer, de connaître la suite à tout prix, soit de savoir une fois pour toute ce qu’il essaye de nous expliquer, mais à sa manière ; en nous dirigeant dans des directions floues, en arborant un rythme lent - donc frustrant pour nous - et en nous semant peu d’indices pour nous en sortir. Les suspects potentiels ne manquent pas, vous voila avertis !

    A l’image d’un politicien influent, charismatique et médiatique qui va se retrouver mêler à l’enquête. L’auteur, par les représentants d’un monde politique désolant (de vérité ?), nous donne sa vision de cette politique de faux-culs, avec des députés et sénateurs passablement profiteurs, qui dénigrent son peuple pour le bien-être de leurs propres fesses ! Absolument lamentable, mais peut-être pas si faux ? Allez savoir. Bernard Minier ne se voile pas la face - c’est certain - et son discours, contrairement aux hommes qui représentent l’Etat dans son bouquin (ou ailleurs), est d’une franchise implacable.

    Des portes qui s’ouvrent mais qui se referment très rapidement en nous claquant à la figure. L’auteur nous distribue des cartes mais une fois en mains, il nous les reprend pour les mélanger, en se permettant même d’en enlever quelques unes ! Du coup, nous sommes largués, on s’y perd - comme notre enquêteur d’ailleurs - et on recommence sur une autre ligne. Un puzzle géant manipulé par Minier, des pièces que nous essayons d’assembler pendant que l’auteur les enlève à l’autre bout ; merci...

    Que ce soit le Marsac d’hier ou d’aujourd’hui, le commandant Servaz est bien placé pour savoir que cet endroit regorge de non-dits, de personnes soudés se serrant les coudes jusqu’au bout. Notre flic va être confronté à un pacte solide, formé suite à un vieux fait divers dévastateur. "Le Cercle". Des enfants qui n’ont pas oublié et qui n’oublieront jamais. Lorsque la douleur, la peur et l’incompréhension vous ont volé votre âme, suite à des actes de lâcheté, il est difficile d’y faire abstraction et de ne plus se souvenir. La vengeance est un plat qui se mange froid, à tout heure, et indéfiniment.

    Celles et ceux qui ont lu le premier roman de Bernard Minier, "Glacé", se souviendront de la magnifique et sensuelle Irène Ziegler qui joue ici un rôle clé.

    Bonne lecture.

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