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Askja - Ian Manook

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Dans le désert de cendre de l’Askja, au coeur de l’Islande, le corps d’une jeune femme assassinée reste introuvable.
Près de Reykjavik, des traces de sang et une bouteille de vodka brisée au fond d’un cratère, mais là non plus, pas le moindre cadavre. Et dans les deux cas, des suspects à la mémoire défaillante. Ces crimes rappellent à l’inspecteur Kornelius Jakobson, de la police criminelle de Reykjavik, le fiasco judiciaire et policier qui a secoué l’Islande au milieu des années 70 : deux crimes sans cadavres, sans indices matériels, sans témoins, que des présumés coupables finissent par avouer sans pourtant en avoir le moindre souvenir.

Après Heimaey, Ian Manook nous entraîne cette fois au coeur d’une Islande plus brute et plus sauvage, dans les rouages d’une machination politique qui révèle une toute autre facette de cette république exemplaire.

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Vos #AvisPolar

  • Fandol 20 décembre 2022
    Askja - Ian Manook

    Avec Askja, je suis revenu en Islande grâce à Ian Manook, de son vrai nom : Patrick Manoukian. Après Heimaey dont Askja est une sorte de suite, puis À Islande, me voilà dans le désert de cendres de l’Askja, lancé dans un polar aux incessants rebondissements, aux nombreuses surprises comme Ian Manook sait si bien en réserver pour ravir et passionner ses lecteurs.
    Réintégré dans la police après son coup d’éclat à Heimaey, Kornélius Jakobsson, flic hors normes de la criminelle de Reykjavik, se débat avec deux assassinats dont les corps des victimes ont complètement disparu !
    Devant le socle du Herðubreið, la reine des montagnes d’Islande, notre héros au physique si impressionnant qu’on le nomme le troll, se retrouve devant un gosse qui manipule un drone. Or, ce dernier a filmé le corps d’une femme nue mais ce corps a disparu. de plus, ce gosse donne une leçon sur les mousses et les lichens à Kornélius qui se retrouve ensuite dans la seule maison de ce désert de lave, celle d’Olaf Eriksson, un ancien marin qui souffre de la maladie d’Alzheimer. Une certaine Nola entre ensuite en scène sans laisser notre héros indifférent.
    Comme dans Heimaey, Kornélius travaille avec Botty, une collègue, et Ida, médecin légiste, mais leurs relations sont allées au-delà du simple travail…
    C’est justement Botty qui appelle Kornélius depuis Reykjavik pour une autre disparition. Cela s’est passé dans la chambre magmatique vide du Thrinukagigur, un cône volcanique d’une centaine de mètres de haut à peine. Dans l’intérieur de ce volcan, véritable curiosité unique au monde, tout au fond, là où les touristes descendent, on a découvert une culotte et des taches de sang mais, comme pour le précédent cas, pas de corps !
    Ainsi, Askja est bien lancé. Ian Manook excelle à me faire découvrir quantité de curiosités naturelles, de trésors qui ne manquent pas d’attirer beaucoup de monde. Au fil des pérégrinations de Kornélius qui a maintenant affaire à un sniper s’acharnant justement à effrayer les visiteurs sans jamais faire de victime, je découvre encore beaucoup de sites remarquables, déclenchant une forte envie d’aller découvrir tout cela sur place.
    Kornélius Jakobsson, en plus de Botty et Ida, est régulièrement assisté de deux collègues : Komsi et Spinoza. Ce sont bien sûr des sobriquets car le premier ne peut pas faire une phrase sans y glisser « comme si » et le second ne cesse de philosopher. Malgré tout, leur rôle n’est pas négligeable et leurs interventions souvent empreintes d’humour.
    Petit à petit, tout se complique et il faut, comme dans tout bon polar, aller au bout du récit pour que tout se dénoue et s’explique. L’auteur ajoute même un épilogue réussissant à m’étonner encore.
    Difficile d’en dire davantage sans divulgâcher ce second polar islandais qui m’a régalé après le triptyque consacré à Yeruldelgger, autre flic hors normes, en Mongolie : Yeruldelgger, Les temps sauvages et La mort nomade. Dans un registre vraiment différent, ce même auteur m’avait emporté dans la terrible histoire de sa famille et du génocide arménien avec L’oiseau bleu d’Erzeroum.
    Au cours de ce nouveau polar, Askja, Ian Manook fait intervenir la presse, les hauts responsables de la police et de la justice tout en utilisant remarquablement les applications des nouvelles technologies. C’est aussi bien documenté sur le plan touristique qu’au niveau des armes utilisées.
    Je me suis encore attaché à ce personnage unique qu’est Kornélius Jakobsson, rendu très humain par ses qualités et ses défauts mais aussi pour son histoire familiale assez émouvante.
    Émotions, érotisme, surprises, frayeurs, peur panique devant le peu de poids que représente une vie humaine, Askja m’a encore régalé jusqu’au bout.
    Ian Manook, j’en demande encore !
    https://notre-jardin-des-livres.ove...

  • jeanmid 19 juin 2021
    Askja - Ian Manook

    Deuxième incursion de l’auteur en Islande . Même si j’ai été un peu moins emballé que le précédent opus , il n’en reste pas moins un très bon roman policier dépaysant.
    Outre quelques spots touristiques ( mais aussi des « Hot Pot » ) que nous découvrons à travers l’intrigue et les enquêtes parallèles de deux flics aux caractères très différents, la particularité de ces affaires c’est que , s’il y a bien eu des crimes , les corps ont disparu dans la nature .
    Et ce ne sont pas les rares témoins qui vont aider l’inspecteur Kornelius Jakobson surnommé « Le Troll » , compte tenu de sa carrure, ni sa collègue Botty à faire progresser leurs enquêtes respectives ; d’un côté , un corps de femme filmé par un enfant dans l’Askja qui a disparu de la circulation quand Kornelius arrive sur site ou une petite culotte ensanglantée retrouvée dans un cratère de volcan, non loin de la capitale islandaise , qui ne semble appartenir à personne, de l’autre . En effet les deux hommes capables de témoigner semblent atteints d’une perte de mémoire due à un Alzheimer avancée ou une absorption exagérée de vodka , ayant effacé tout souvenir des événements. Comme si cela ne suffisait pas , un sniper semble prendre un malin plaisir à faire des cartons sur des voitures de touristes ou un avion échoué sur une berge sans, heureusement, faire aucune victime .
    Du pain sur la planche supplémentaire en perspective pour les policiers islandais en plus de ces enquêtes sans corps qui rendent les enquêteurs perplexes et quelque peu déboussolés .

    Alors que le premier volet ressemblait à un Guide du Routard mouvementé , ce dernier s’intéresse plus aux hommes et à leurs traditions ancestrales , sans oublier les mousses millénaires . le centre de l’histoire est occupé par Kornelius ( découvert dans le premier tome ) , un flic hors norme , une force de la nature qui a beaucoup de mal à gérer ses relations féminines,entre ex - compagnes , actuelle et celle , plus ponctuelle, avec qui il a partagé une nuit mémorable et qui lui réserve quelques autres surprises. Malgré quelques longueurs ou quelques passages de faux rythmes, on se laisse happer sans trop de mal par ces enquêtes et ces témoins un peu particuliers . L’auteur nous régale en sus de quelques bons mots et de quelques passages truculents qui apportent un petit peu de piment au récit .
    Un bon Manook mais pas son meilleur.

  • Cathy81 14 janvier 2021
    Askja - Ian Manook

    En Islande, l’inspecteur Kornélius a du mal avec cette nouvelle affaire, le corps d’une femme assassinée est introuvable mais les indices retrouvés ne laissent pas la place au doute : des traces ce sang, une bouteille de vodka brisée et les deux suspects ont un problème de mémoire : un vieillard atteint d’Alzheimer et un homme en coma éthylique. A chaque lieu où il enquête, un sniper tire sans faire de victimes !
    J’ai lu avec plaisir ce roman de Ian Manook car il a un plume très imaginative et distille avec merveille le suspens mais j’ai été déçue et pas très convaincu par cet enquêteur et les déboires de sa vie familiale et sentimentale, je reste un peu sur ma faim...

  • angelita 26 octobre 2019
    Askja - Ian Manook

    Résumé Askja d’Ian Manook
    Kornélius est appelé. Du sang, une chaussette de femme ont été trouvés. Mais pas de cadavre. Il découvre un jeune homme qui a pris des photos avec un drone. Dans cet endroit reculé, une seule maison. Maison où vit un vieil homme qui n’a plus toute sa tête.

    Ce vieil homme semble bien être suspect mais il disparaît.

    Avis Askja d’Ian Manook
    Ian Manook nous emmène en Islande, à nouveau, pour ce deuxième opus de sa trilogie. Nous avons du sang mais pas de cadavres, deux hommes qui ont oublié, un sniper qui tire sans faire de victimes. Et surtout nous avons la fine équipe composée de Kornélius, Ida, Botti et divers personnages qui gravitent autour d’eux. Après le succès de sa précédente enquête auprès du public islandais, Kornélius est resté dans les forces de police, au grand dam de ses supérieurs. Troll, géant, de nombreux qualificatifs pour cet homme qui n’en fait qu’à sa tête par rapport à sa hiérarchie. Colérique, grande gueule, que cache Cornélius ? Ses relations avec les femmes ne sont pas franchement de tout repos. En couple avec Ida, il ne peut pas résister aux autres femmes. En plus, il n’ose pas s’engager. Pourquoi ? Cache-t-il sous ses dehors d’ours une sensibilité extrême, un passé difficile dont il n’a révélé que quelques bribes. Est-ce qu’en permettant aux femmes qui comptent pour lui d’entrer un peu plus dans sa vie, Kornélius sera sauvé ? En tous les cas, sa fille Alma revient. La colère passée, tous les deux vont faire le point. Et puis Kornélius doit protéger sa fille et pour cela, il n’hésitera à mettre sa fierté de côté.

    Dans cette enquête de découverte de sang sans cadavres à deux endroits différents d’Islande et avec deux hommes amnésiques, comment les enquêteurs s’y sont pris ? A découvrir dans ce roman jusqu’au 3/4 pratiquement, pour les tenants et aboutissants, car cela va révéler une ancienne histoire pas bien glorieusespour les forces de police islandaises. Un traitement, à cette époque contre les suspects qui fait froid dans le dos. Comment instiller dans le cerveau, fatigué, apeuré, d’une personne des faits, des paroles pour que cette personne avoue afin de clore une enquête ? Comment fonctionne le mécanisme de la mémoire ? Kornélius, Botti et les autres enquêteurs vont avoir fort à faire, surtout lorsque Kornélius sera déchargé de l’enquête. Mais l’homme est tenace et ne s’avoue pas vaincu.

    Et ce sniper, pourquoi tire-t-il sans faire de victimes ? Que cherche-t-il à prouver ? L’imagination d’Ian Manook a bien galopé à ce sujet pour fournir à son lecteur des revirements de situation extrêmement agréables à lire.

    Ian Manook aime les grands espaces, il sait nous offrir de belles balades dans des lieux reculés, nous les décrire avec force détails, prendre parti pour l’environnement et l’écologie. Ces descriptions sur les mousses prennent tout leur sens. L’Islande semble être un très beau pays, sauvage avec ses points à visiter, à approfondir. Mais comme tout pays sauvage, il faut faire attention où l’on marche car la nature sait encore se préserver un tant soit peu, malgré tout. L’Islande est un pays qui attire de nombreux touristes. Et certains réagissent là-bas comme chez eux. Ils se moquent de tout tant qu’ils peuvent passer du bon temps, sans rien respecter.

    On ne sourit pas franchement en lisant Ian Manook, mais là il nous offre quelques tranches d’humour irrésistibles. Qualité des personnes, qualité des descriptions, qualité des endroits visités, mais aussi qualité des situations évoquées, Ian Manook offre à ses lecteurs, encore une fois, un très grand, un très beau roman. J’espère que son personnage principal n’aura pas la même fin qu’un de ses personnages principaux, Yeruldegger. Mais il devra mettre fin à sa trilogie et c’est lui qui décide.

    J’ai une question pour Mr Ian Manook. Je vous suis sur les réseaux sociaux, enfin plutôt votre femme qui partage de nombreuses photos où je peux vous voir en train d’écrire très souvent. Comment faites-vous avec deux trilogies en cours, peut-être finies au moment où j’écris ces lignes, des personnages différents, des pays différents, pour ne pas vous perdre ? En plus, le style n’est pas franchement le même ce qui prouve des qualités indéniables, depuis que j’ai lu Yeruldegger, même si Mato Grosso n’a pas été mon favori.

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